Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
President Tunisien Ben Ali
E
9 décembre 2010 08:34
Le regime Algerien dans le froid . Le president Tunisien accuse le regime Bouteftef....du blocage du conflict du Saharaoui .


Ben Ali ne croit pas à la résolution du conflit par l'ONU
le 08.12.10 | 00h00 5 réactions

zoom | © D.R



Imprimer Envoyer à un ami Flux RSS Partager Le président tunisien, Zine El-Abidine Ben Ali, ne croit pas au règlement de la question du Sahara Occidental par le Conseil de sécurité.

Dans un câble, rendu public par Wikileaks le 07 décembre 2010, Ben Ali, en recevant le secrétaire d’Etat adjoint, chargé des affaires du proche orient et de l’Afrique du Nord, David Welch, en mars 2008, a estimé que «le problème est complexe et prendra des années pour être résolu».

Mieux, le président tunisien est allé jusqu’à accuser les algériens d’être responsables de l’impasse actuelle que connaît le conflit du Sahara Occidental.

Alors que pour David Welch «les algériens doivent accepter qu’il y’aura pas un Etat indépendant au Sahara Occidental ».

Le président Ben Ali a tenu à préciser, par ailleurs, que la Tunisie a essayé de convoquer une réunion du Maghreb à ce sujet à Tunis. «Alors que le Maroc et la Libye avait accepté de participer, l’Algérie a refusé, disant qu’il n y’avait pas rien à discuter», a-t-il dit.

Oui, l’Algérie a refusé d’y participer car, la question du Sahara occidental doit être résolu dans le cadre des Nations unies, car c’est un problème de décolonisation.

Le président tunisien ignore-t-il peut être que la question sahraouie est inscrite dans la 4e commission de l’Assemblée générale des Nations unies en tant que question de décolonisation (déclaration 1514 du 15 décembre 1960) ?.

Par ces révélations, sommes toutes, fracassantes, n’est ce pas Ben Ali se démarque de la légalité internationale et des principes des Nations unies en matière de la décolonisation et fait fi du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.

Il s écarte le Plan de règlement agrée depuis près de 20 ans, des Accords d’Houston et des plans Baker (I et II).

M. Ben Ali ignore aussi les efforts des Nations Unies réalisés depuis 1991 pour le Sahara occidental.

Il occulte le droit inaliénable de l’autodétermination du peuple sahraoui conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l’ONU.

Le président tunisien, M.Ben Ali, au lieu d’accuser l’Algérie du blocage du conflit sahraoui, doit savoir que si la question sahraouie s’est embourbée actuellement dans une impasse, c’est du fait de l’intransigeance du Maroc qui veut coûte que coûte imposer son plan d’autonomie, rejeté d’ailleurs par la communauté internationale.

Rabah Beldjenna
9 décembre 2010 09:30
Citation
El Gitano a écrit:
Le regime Algerien dans le froid . Le president Tunisien accuse le regime Bouteftef....du blocage du conflict du Saharaoui .


Ben Ali ne croit pas à la résolution du conflit par l'ONU
le 08.12.10 | 00h00 5 réactions

zoom | © D.R



Imprimer Envoyer à un ami Flux RSS Partager Le président tunisien, Zine El-Abidine Ben Ali, ne croit pas au règlement de la question du Sahara Occidental par le Conseil de sécurité.

Dans un câble, rendu public par Wikileaks le 07 décembre 2010, Ben Ali, en recevant le secrétaire d’Etat adjoint, chargé des affaires du proche orient et de l’Afrique du Nord, David Welch, en mars 2008, a estimé que «le problème est complexe et prendra des années pour être résolu».

Mieux, le président tunisien est allé jusqu’à accuser les algériens d’être responsables de l’impasse actuelle que connaît le conflit du Sahara Occidental.

Alors que pour David Welch «les algériens doivent accepter qu’il y’aura pas un Etat indépendant au Sahara Occidental ».

Le président Ben Ali a tenu à préciser, par ailleurs, que la Tunisie a essayé de convoquer une réunion du Maghreb à ce sujet à Tunis. «Alors que le Maroc et la Libye avait accepté de participer, l’Algérie a refusé, disant qu’il n y’avait pas rien à discuter», a-t-il dit.

Oui, l’Algérie a refusé d’y participer car, la question du Sahara occidental doit être résolu dans le cadre des Nations unies, car c’est un problème de décolonisation.

Le président tunisien ignore-t-il peut être que la question sahraouie est inscrite dans la 4e commission de l’Assemblée générale des Nations unies en tant que question de décolonisation (déclaration 1514 du 15 décembre 1960) ?.

Par ces révélations, sommes toutes, fracassantes, n’est ce pas Ben Ali se démarque de la légalité internationale et des principes des Nations unies en matière de la décolonisation et fait fi du droit du peuple sahraoui à l’autodétermination.

Il s écarte le Plan de règlement agrée depuis près de 20 ans, des Accords d’Houston et des plans Baker (I et II).

M. Ben Ali ignore aussi les efforts des Nations Unies réalisés depuis 1991 pour le Sahara occidental.

Il occulte le droit inaliénable de l’autodétermination du peuple sahraoui conformément aux résolutions pertinentes du Conseil de sécurité de l’ONU.

Le président tunisien, M.Ben Ali, au lieu d’accuser l’Algérie du blocage du conflit sahraoui, doit savoir que si la question sahraouie s’est embourbée actuellement dans une impasse, c’est du fait de l’intransigeance du Maroc qui veut coûte que coûte imposer son plan d’autonomie, rejeté d’ailleurs par la communauté internationale.

Rabah Beldjenna

Moi j'accuse Ben Ali de dictateur, ennemi de la liberté d'expression!

Je l'accse de bloquer son propre pays!

Il y en n'a pas un qui rattrape l'autre dans ce Maghreb!
9 décembre 2010 13:33
WikiLeaks : les américains pointent le régime "sclérosé" de la Tunisie


La Tunisie n'a pas grand-chose à se reprocher en matière de droits de l'homme. Il y a bien eu "quelques problèmes", mais le gouvernement y remédie, puisque "des dizaines" d'officiers de police ont été jugés pour "corruption ou autres délits". Malheureusement, "certaines ambassades", à Tunis, et "des organisations de défense des droits de l'homme" ont pris prétexte de la lutte antiterroriste menée par le gouvernement pour multiplier les critiques. Ça n'est pas une "attitude amicale"… Le télégramme américain qui résume la rencontre, au printemps 2008 à Tunis, entre le président Zine El-Abidine Ben Ali et le sous-secrétaire d'Etat américain chargé des affaires du Proche-Orient et de l'Afrique du Nord, David Welch, ne dit rien de la réponse du diplomate.


Mais d'autres mémos, obtenus par WikiLeaks et révélés par Le Monde, permettent de se faire une idée précise du régime tunisien vu par les diplomates américains. Dans un câble daté de juin 2008, sous le titre "Ce qui est à vous est à moi", l'ambassade décrit la corruption organisée par l'entourage familial du chef de l'Etat – "la Famille" – qualifié de "quasi-mafia".

Plus d'une dizaine d'exemples sont cités. Ici, c'est l'épouse du président qui se voit accorder gratuitement par l'Etat un terrain, qui sera viabilisé tout aussi gratuitement, pour construire un établissement scolaire privé, revendu depuis. Là c'est un gendre qui récupère "un immense manoir tape-à-l'œil" construit sur un terrain exproprié par l'Etat, officiellement pour les besoins de l'Agence de l'eau.

Plus loin, c'est un autre gendre qui acquiert 17 % de la Banque du Sud à la veille de sa privatisation, et qui revendra ses actions "avec un confortable bénéfice" à un consortium bancaire hispano-marocain, lui assurant ainsi le contrôle majoritaire qu'elle souhaitait…

"LE PRÉSIDENT PREND DE L'ÂGE"

A l'été 2009, un autre mémo élargit le champ de vision et, non sans avoir salué la robuste croissance économique (5 % en moyenne depuis dix ans) et le statut avancé de la femme, recense les "gros problèmes" du pays. "Le président Ben Ali prend de l'âge, son régime est sclérosé, et il n'y a pas de successeur avéré, peut-on lire. Beaucoup de Tunisiens sont frustrés par le manque de liberté politique et en colère contre la corruption de la famille de la première dame, le taux de chômage élevé et les disparités régionales. L'extrémisme reste une menace. Confronté à ces problèmes, le gouvernement n'accepte ni critique ni conseil, qu'il vienne de l'intérieur ou de l'extérieur. A l'inverse, il ne cherche qu'à imposer un contrôle plus strict, souvent en s'appuyant sur la police. Résultat : la Tunisie est à la peine et notre relation [avec elle] également."

Pour les diplomates, travailler en Tunisie est devenu très difficile. Les contrôles, "mis en place par le ministre des affaires étrangères", les contraignent à avoir une permission écrite avant tout contact avec un officiel. Une demande de réunion doit être accompagnée d'une note diplomatique. "Beaucoup restent sans réponse", précise un mémo.

PRIVILÉGIER LA DISCRÉTION

Maintenir des contacts avec les militants de la société civile est une gageure. Et les Tunisiens invités à des réceptions par l'ambassade font l'objet d'intimidations par des policiers en civil postés à proximité.

Quelle devrait être la politique de l'administration Obama en Tunisie ? Poursuivre les contacts avec l'opposition et la société civile. Continuer à critiquer "l'absence de démocratie et le peu de respect pour les droits de l'homme", le faire "de façon très claire, le plus souvent possible, et à très haut niveau", mais, à rebours de l'administration Bush, en privilégiant la discrétion.

Les Etats-Unis, ajoute le télégramme, devraient aussi demander aux pays européens d'intensifier leurs efforts pour "persuader le gouvernement tunisien d'accélérer les réformes politiques".

L'Allemagne et la Grande-Bretagne sont acquis à cette idée, mais "des pays-clés comme la France et l'Italie hésitent à faire pression" sur la Tunisie.


source : [www.lemonde.fr]
r
9 décembre 2010 15:47
Bouteflika ruine l’Algérie pour amoindrir le Maroc
Rédigé par JSS le Jan 11th, 2010 and filed under Monde islamique, Orient. Vous pouvez suivre les réponses à cet article grâce au RSS 2.0. Vous pouvez laisser une réponse ou un trackback à cet article

Après plusieurs semaines de léthargie, Abdelaziz Bouteflika est parti en Espagne mettre encore plus à mal le statut géopolitique et les intérêts de l’Algérie pour satisfaire son ego personnel. Vestige encore vivant de la politique de guerre froide, Bouteflika continue de ligoter la diplomatie algérienne à sa phobie de la monarchie marocaine.



Un petit sourire pour la photo? Non !
Dans la déclaration commune des travaux de Madrid du 7 janvier, on ne retient dans le verbiage diplomatique qu’un seul marchandage. Le bradage du gaz algérien contre une simple promesse de soutenir «le droit à l’autodétermination du peuple sahraoui».

Pour arracher cette déclaration de principe qui ne coûte rien à Zapatero, Bouteflika a posé sur la table des négociations le gazoduc sous-marin Medgaz classé par l’Espagne comme projet prioritaire. Alors que les travaux sont pratiquement achevés, la mise en service du projet reste tributaire de deux dossiers lourds: le prix du gaz et la part qui revient à Sonatrach dans la commercialisation en Espagne et en Europe des 8 à 16 milliards de m3/an qui transiteront à terme par ce gazoduc. (1)

Même le lourd contentieux de Gassi Touil, qui coûte à l’Algérie un retard considérable, a été pardonné et balayé d’un revers de main. On rappelle que ce mégaprojet gazier intégré GNL, initialement confié aux firmes espagnoles Repsol et Gaz Natural, avait été saboté. Les espagnols voulaient retarder sa réalisation tant que le gazoduc Medgaz ne serait pas opérationnel et les contrats de livraison sécurisés.

On ne sait toujours pas quelle est la part du gaz dans les recettes d’exportation d’hydrocarbures. L’indexation de son prix sur celui du pétrole cause à l’Algérie des fluctuations perturbantes et des pertes énormes que personne n’a pu chiffrer, en raison de l’opacité de gestion de Sonatrach, le secret des contrats commerciaux et l’absence totale de débat sur ce sujet sensible. Bouteflika et son ministre de l’énergie Chakib Khellil ont même contrarié la proposition russo-iranienne de créer une OPEP du gaz pour définir et défendre une stratégie de prix. (2)

José Luis Rodriguez Zapatero, qui entame son semestre à la présidence de l’UE, est placé en première ligne pour négocier au mieux les intérêts gaziers de l’Europe. Il est donc prêt à signer des deux mains n’importe quelle déclaration que lui demandera Bouteflika, même sur l’autodétermination des aborigènes d’Australie ou des pingouins de l’Antarctique.

Comme le cadeau gazier ne suffit pas, la déclaration de principe relève que «l’Espagne est devenue l’un des investisseur de référence en Algérie et souhaite stimuler davantage les investissements espagnols dans des secteurs moteurs de développement en Algérie». Bouteflika souhaite que «les entreprises espagnoles participent et s’impliquent dans le vaste programme national algérien d’équipements publics 2010-2014», c’est-à-dire jusqu’à la fin de son mandat. Le peu d’hommes politiques et de parlementaires conscients en Algérie se doivent de dénoncer le bradage du gaz et des intérêts algériens dans une opacité totale, et remettre en cause ce que cache cette déclaration de Madrid.

En fait, Bouteflika n’a qu’une seule obsession: que l’ex-colonisateur espagnol et voisin maghrébin l’accompagne dans le combat de sa vie contre son pays natal pour que le Maroc continue à souffrir.

Il est tellement honteux de son origine marocaine qu’il a effacé son lieu de naissance, Oujda, qui était auparavant mentionné dans sa biographie sur le site de la présidence algérienne (www.elmouradia.dz).

Il a lié la politique énergétique de l’Algérie au destin de quelques enturbannés d’un Polisario fantôme présidé depuis 33 ans par un marocain, et dont la plupart des membres fondateurs ont réintégré le royaume.
a
9 décembre 2010 16:15
Ben Ali et David Welch diplomate de haut rang U.S ont raison.

Il faut avoir du C.ACA DANS LES YEUX pour ne pas voir que c'est le Pouvoir algérien qui bloque toute solution à ce conflit et fait durer le pb en bloquant toute la région :


Extrait de la depeche diplomatique editée par Wikileaks :

(S) On the Western Sahara, Ben Ali said the Algerians
are responsible for the ongoing impasse. Welch agreed,
saying the issue was blocking progress in the region. He
said the Algerians need to accept that there is not going to
be an independent state in the Western Sahara. Ben Ali said
the problem is complex, and will take years to resolve. He
added it cannot be settled through the UN Security Council.
He noted Tunisia had tried to convene a Maghreb meeting on it
in Tunis. While Morocco and Libya had agreed to attend,
Algeria refused, saying there was nothing to discuss.
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook