j'ai des légumes chez moi et notamment des poireaux, mon papa aime les plats en sauces mais je ne sait pas comment cuisiné ces dernier avec de la sauce et une viande (n'importe..)
les poireaux, moi je les fais en fondue avec creme et la viande que tu peux ajouter c de la volaille (blanc de poulet, dinde voire meme des morceaux de veau). a servir avec un féculent ou des legumes cuits a l,eau.
miam miam un vrai delice
Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité, ce qui est impertinence ;
ne pas parler quand on y est invité, ce qui est de la dissimulation ;
parler sans observer les réactions de l'autre, ce qui est de l'aveuglement. [Confucius]
tu fais revenir tes poireaux en rondelles dans une poële avec de l'huile d'olive, sel et poivre. » le secret est de la faire a feu tres doux (pas fort sinon les poireaux grillent) ca prend du temps mais c meilleur.
ensuite une fois que tes poireaux ont blanchis correctement, tu ajoutes ta creme fraiche et un peu de moutarde.
dans une autre poële, tu fais revenir tes morceaux de viandes dans un filet d'huile d'olive (avec des epices su tu aimes mais pas trop genre un peu de gimgembre et du curcuma c suffisant , sel poivre bien sur)
pour dresser, tu mets des pommes de terre cuit a l,eau. un peu de viande a coté et tu verses ta fondue de poreaux dessus. miam miam. purée ca me donne faim et je jeune en plus lol.
Y'en a qui mette la viande avec les poireaux a cuire et a la fin ajoute la creme. a toi de voir ce que tu preferes.
Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité, ce qui est impertinence ;
ne pas parler quand on y est invité, ce qui est de la dissimulation ;
parler sans observer les réactions de l'autre, ce qui est de l'aveuglement. [Confucius]
Citation Bientot*Mariée*InchAllah a écrit: miam comme tu dis, dés que je teste je te tiens au courant!!
inchaallah. bonne appetit en tout cas
Il faut se garder de trois fautes : parler sans y être invité, ce qui est impertinence ;
ne pas parler quand on y est invité, ce qui est de la dissimulation ;
parler sans observer les réactions de l'autre, ce qui est de l'aveuglement. [Confucius]