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poésie en tout genre
13 juillet 2005 01:45
Femme idéale

Charmante ou pas, peu m'importe !
Pourvu qu'elle reste elle-même.
Sans fantaisies qui la perdent.
C'est comme elle est que je l'aime.

Le naturel est beauté comme le sel.
La Peinture, le pigent inhabituel,
Gâche le goût et excite la pupille.
Quel est alors ce genre de filles ?

Douce ou agitée, peu m'importe !
Tant qu'elle garde son sang chaud.
Tout me va dans ce froid qui emporte
Et ramène les cœurs aux flambeaux.

Je désire. Je fantasme, célibataire.
Mais la femme parfaite n'existe pas.
On la crée dans nos cours élémentaires,
L'esprit qui ne la comprend toujours pas.

Môh Tsu
Le 15/04/2005
13 juillet 2005 01:46
Le rose

Le rose revient à la mode désirable.
Douceur de nos jeunes âges passés,
En ces lieux et en ces poupées.
Les filles font des rêves agréables.

Ce passé n'est pourtant pas si loin.
Tout près du cœur qui garde son goût.
Pincée de sel au sucré sur les mains.
Tout est bon, savoureux, n'importe où.

La jeunesse torture la belle ride.
Celle qui se dessine et s'invite
Sur la tête qui fuit le beau monde.
Celui des remarques qui l'imitent.

Le jaune, le bleu, rouge des chants.
Belle poésie qui berce nos corps.
On a tous gardé notre âme d'enfant,
Une couleur du cœur comme trésor.

Môh Tsu
Le 20/04/2005
13 juillet 2005 01:48
Calculs vitaux

Je note, tu notes nos excès
À défaut de nous corriger.
Le triangle est isocèle,
Trapézistes du rectangle.

La tête au carré, pas de bol,
Croit loin, exponentielle,
Faisait plans sur la pyramide
Du PIs au pic du stupide.

Sur la tangente, on décline...
Nos actes, jurant sur les lignes.
Fuyant la responsabilité, la mort,
Qui, elle, ne se calcule pas encor.

La probabilité de rester bon vivant
Se confond réelle, loin des plans.
La Statistique n'y peut rien
Même en remplaçant le Divin.

Môh Tsu
Le 16/05/2005
13 juillet 2005 01:49
Temps de séduction

Je partirai en guerre contre les autres,
Abordant mes plus belles peintures.
La chasse est ouverte pour l'Homme...
Rare sera le fait de pêcher, mauvaise âme.

C'est tout l'art inverse du camouflage.
Faut être remarquée à n'importe quel âge !
De cette opération dépend la "sûre" vie...
La certitude d'exister plus d'une nuit.

La bataille est excitante les premières années.
Puis quand on voit certaines tomber...
Amoureuses, partir avant les autres sur-le-champ.
Le cœur n'y est plus sans leurs sentiments.

Le regard se fait sombre, le sourire rare.
Le camouflage artistique devient dérisoire.
Ancienne joueuse éliminée... maillon faible,
Sans intérêt, que bien des rides accablent.

Môh Tsu
Le 02/06/2005
13 juillet 2005 01:55
Paroles de femmes

Nous célébrons la virilité masculine.
Poussons des cris simulés, câlines,
Quand les mots et gestes sont absents,
Qu'on les sent près, pourtant distants.
On ne veut que froisser les beaux draps,
À défaut du cortex qui flatte... le Moi
De l'égoïste qui oublie qu'on est là.
On n'est pas cruelles, mais justes...
Pour compenser l'inattention, l'injuste.
On donne donc ce qu'on ne reçoit pas...
Par nature qui définit presque ce choix.
Les hommes ne font pas l'effort, faibles,
Désarmés par nos gestes et paroles habiles.

La flèche file au cœur, belle anglaise,
Quand le masque tombe, en terre glaise.
Ne nous imitez pas ! Que Dieu vous garde de ça !
La chance nous a quittés dans leur bras.
On est malchanceuses, heureuses pour vous
Qui échappez à ce destin qui vous tue !
Restez loin de leurs mains, belles paroles !
Le "flow" de mots vous emporte alors folles.
Folles de désirs, d'amour, qui nous occupent...
L'esprit ailleurs, quand eux allument la clope.
La fumée envahit la pièce et les draps salis ;
Seules choses de lavables dans cette vie...
L'eau bénite ne pouvant plus rien faire alors
Pour notre âme emportée comme notre corps.

Môh Tsu
Le 05/06/2005
r
13 juillet 2005 09:44
L'amitié


Ce que nous croyons tous connaitre
Mais qui s'avère
Ne vouloir que nous déjouer

Nous avons tous des amis
Mais s'on-t-il les élus?
Pourtant ils nous envis
Que nous avons qu'un seul élu

Cette personne
Qui est votre âme soeur
Est très cher à votre coeur
Et vous comprend comme personne

Elle vous aime
Vous l'aimer
C'est la clé
D'une grande amitié

abbie
r
13 juillet 2005 23:51
SONNET AVANT D'ENTRER


………Sonnet avant d'entrer
………C' est ainsi que le poète
………Vous donne la recette
………Pour chez lui pénétrer.

Peut être que 'sonner'
Eût été plus concret,
Mais quand on est poète
Qu'importent ces sornettes !

Pour ouvrir son huis
Point de coup de sonnette
Un quatrain bien senti

Et cherre la bobinette.
Les poètes sont ainsi
Et leurs portes aussi.

Christian PEQUEUX
r
13 juillet 2005 23:57
LORSQUE J'AURAIS SOUS TERRE PRIS MA PLACE EN SES BRAS



Miroir, miroir, ne me dis pas que je suis belle,
dis moi tout simplement que je suis encore là,
car lorsque mon reflet ne fera plus de zèle
c'est que j'aurai laissé toute vie derrière moi.

Miroir, mon miroir, est ce que tu te rappelles
la fraîcheur de mes joues, le rose de mon teint,
qui aux fards mensongers alors ne devaient rien,
quand l'eau de ton regard me disait demoiselle,

va! le monde t'attend pour brûler tes vingt ans.
Miroir tu as vu mes yeux noyés de pleurs
plus souvent qu'ils n'étaient rayonnant de bonheur,
miroir, tu as vu passer combien d'amants?

Et puis il est venu, celui que j'attendais
oh! miroir tu as vu mes yeux remplis d'été,
mes yeux toujours riants dans la valse du temps
qui nous tenait soudés, amoureux et confiants.

Et puis il est parti, fauché par la camarde
en me laissant plantée, sur le champ de la mort,
miroir, mon miroir, as tu vu sur mon corps
les cendres de sa vie qui me servent de hardes?

Miroir, miroir, ne me dis pas que je suis belle,
dis moi tout simplement que je suis encore là,
car lorsque mon reflet ne fera plus de zèle
c'est que j'aurai sous terre pris ma place en ses bras.

Christian PEQUEUX
14 juillet 2005 00:15
Vue sur la mer

Les touffes de braisiers au sable chaud
Allaient et venaient au bord de l'eau.
Le climat affole l'esprit alors libre,
Étendu, détendu par le bruit de la mer.

Sur l'étendue sauvage et belle à la fois,
Les hommes de tous âges donnent de la voix
Comme pour séduire ces femmes sortant,
En blanc, de ce bleu du total écran.

La luminosité, dans laquelle baigne
Tous ces corps, séduit, prend et traîne
Les esprits aveuglés par ses belles formes ;
Confondant dès lors les hommes et les femmes.

Des bouts de tissu remplacent la feuille...
Divine, dans ce paradis où fourmillent
L'être et l'absence, l'homme, l'enfant,
La femme-mère l'ignorant en l'épiant.

Môh Tsu
Le 22/06/2005
r
14 juillet 2005 22:52
Devant l'écran

il s'est assis devant l'écran, et ne sait pas si c'est normal
si elle est là depuis des heures et si l'attendre lui fait mal
si c'est le milieu de la nuit ou l'aube claire d'un nouveau jour
il n'y a plus d'heure ou de seconde il n'y a qu'elle et rien autour
.
elle est sa muse, évidemment, mais il n'a jamais rien su d'elle
peut être elle est trop irréelle, et si elle était virtuelle
quand elle s'est mise à lui écrire, le temps soudain, n'a plus compté
petit robot, petite fille pourra t-elle un jour exister
.
il a tapé sur son clavier, des mots qu'ensembles il a lié
des mots cueillis comme des fleurs, des bouquets trop vite oubliés
elle était là, lui répondait, un peu distraite, un peu lointaine
il avait peur de la briser, cette poupée de porcelaine
.
ce soir il regarde le ciel, il imagine cette étoile
içi ou là, elle est perdue, une araignée tisse sa toile
pour la sauver y'a un problème, elle est trop loin sa citadelle
elle doit éteindre la machine, elle doit couper l'adsl
.
elle s'est assise à son bureau, elle a sorti son gardénal
elle a branché le computer, fait tout d'un geste machinal
posé ses doigts sur le clavier et tapoté pendant des heures
elle est si loin du nirvana, ce n'est pas là le vrai bonheur
.
pourtant un jour elle a craqué, s'est décidée, s'est commutée
mais au début, rien ne lui plait, trop de flippés de détraqués
elle se demande trop souvent ce qui la mène à internet
c 'est pas sa place, fille comme elle, de trainer là sur cette planète
.
ce soir elle regarde le ciel, elle veut bien croire en son étoile
elle n'a pas peur d'être perdue si l'araignée tisse sa toile
dedans y'aura son âme soeur, içi où là mais bien à elle
faut pas éteindre la machine, faut pas couper l'adsl

sans nom
r
14 juillet 2005 22:55
Etre a toi !

Quand mes yeux se posent sur toi
C'est bizarre ce ressenti.
Presque irrésistible, la peur du désir,
La crainte que mon coeur s’emballe.
Aujourd'hui tu me dis que tu n'es qu'un être,
Que ce beau corps hâlé s'en est allé,
Je ne te demande pas de te changer en Poséidon
Je ne suis ni sirène d'or et d'argent
Tu es tel que ce vagabond, ce pirate des mers,
Me prenant la main,
Mon corps et mon coeur te sont offerts,
Par ma nudité, laisse moi être prés de toi,
Etre ta confidente, pour un jour, une nuit
Et même sans lendemain !
C'est vrai, tu n'as plus l'âge,
D'être mon amant
Et, même si ton corps dit non,
La nuit la passion nous uniras dans l'envie !
A chaque fois que je te lis,
Je te découvre par tes mots en pleine nuit.
Un après l'autre, ils me transportent de bonheur
Tu es celui qui fait battre mon coeur
Et a travers tes écris j'ai envie de te dire
Que ça fait bien longtemps que je t'attends
Toute cette vie, quelle gâchis.

xxx
Q
15 juillet 2005 13:45
Rien à dire

Je ne sais plus que dire
quand tu ne pipe pas mot,
me terre en toi sans mot dire
et maudits soient ces maux.

Que faire de ces mots
quand la bouche sur celle qui,
mienne, se tait aussi
pour mieux faire duo.

Ne pas rompre le silence
qui se fait trait d’union
pour amener la danse
au point de suspension.

Viens dans mes guillemets
poser ton exclamation
sans alinéa j’y consentirai
par autant d’affirmations.

Employons nous au présent
d’un accord plus que parfait
qui ne vaut que dans l’instant,
maintenant, plus au passé.

J’ouvre une parenthèse
t’offrant une marge d’erreur,
je n’ai plus peur du 13,
même plus du bonheur.

Ton penchant majuscule
vers mon intime minuscule
est mon titre de noblesse,
ton accent sur caresse.

S’il n’y a qu’un quatrain
tu seras page à tourner,
si tu reviens demain,
un mot dans mon essai.

Alors j’en crierais une histoire
Où nous pourrons dormir debout,
Bien impossible à croire,
Pour ceux qui sont pas nous.


Q
15 juillet 2005 13:50
Sans degré

Sans canne à pêche
comment te repêcher,
n’ empêche que j’ essaierais,
pour deux d’ avoir la pêche.

toi si jolie dans l’ eau,
flottant sans y sombrer,
gaie au degré zéro,
nageant même blessée.

je te vois t’ enliser,
ivre morte de boue,
moi qui ne sais affronter
tes liqueurs d égout

Laisse moi juste te dire,
être là, cent fois, sans loi,
juste avec toi maudire
tes démons d’ autrefois.

Et bientôt sourire
de ce qui ne fût toi,
juste un souvenir
à oublier je crois.


r
18 juillet 2005 23:24
Les yeux dans mes yeux

Regarde-moi dans mes yeux
Oublie ce qui c'est passé
Ici en ce moment
Silence et sentiment
Je suis ton poète
Ton chanteur serait
Ton roi et ton esclave
Ton fleuve et ta route
Vient avec moi, ne refuses pas
Dans cette nuit claire d'été
Que tu sois toujours mon meilleur présent
Et qu'il le reste toujours comme il est
C'est tout ce que je souhaite
Léger comme le vent
Chaud comme le soleil
Dans la paix et la clarté
Sans peur et sans nostalgie
Libre comme le rêve
Joyeux comme la lumière
Désir et fantaisie
En complète harmonie
Je suis ton homme, ton amant
Suis celui qui te veux d'amour
Suis celui qui t'aime a en mourir
Je suis la paire et ton meilleur ami
Je irais avec toi soit où tu sois et où tu iras
Viens oiseau blessé suis moi
Je suis ta gondole dans cette mer d'amour
Suis la voile qui t'emmène loin de la tristesse
Je t'aime de toutes mes forces

Manuel Fidalgo©
r
21 juillet 2005 21:57
C'est Toi

Je ne connais pas l'origine
De cette illusion étrange
Mais si de quelque chose je suis sûr
C'est que dans ma vie il y a eu du changement

En faisant ta connaissance
C'est connaître l'amour de près
Et de découvrir le sens
Du sentiment qui nous reste

Tu es arrivé dans ma vie
Comme un éclaire qui tombe au milieu de la pluie
Comme un rêve qui entoure mes nuits troubles
Comme le froid qui produit la lune

Si je dis que tu es ma vie
Se ne serait pas exagérer,
Tu as délié cette extrémité
Qui ma vie avait empêtrée

Tu lui as donné un nouveau souffle
Car elle ne respirait presque plus
Et tu as rempli les parois de mon coeur
Avec la douceur de tes mots et de ta beauté

Je parcourrais toutes les distances
Pour avoir l'amour que tu me donneras
C’est un amour que je veux mériter
Mais de plus il fait marcher ma vie

À mon être des ailes tu as donné,
Et quand il volera, vers toi
En se submergent et nageant, en
Passant par des eaux, entre des voies

Tu es la lumière dans l'orage
Comme la pluie dans le désert,
Comme une source d'eau ruisselante
Et dans l'obscurité tu es mon étoile

Seulement en toi il dors et se repose
Mon plus grand et éternel rêve ;
Que tu es la vie de ma vie,
Que tu le saisisses tel est mon désir

Quand je te chercherai entre la brise
Qu'il est recueil entre des rivières
Je trouve comme une étoile
Qu'une fois ta main ma fait atteindre

En te cherchant dans l'immensité du ciel
Entre des nuages qui vont et viennent
Je te trouve entre les oiseaux
Qui chantent le printemps et volent sans cesse

Si je te cherche dans la fantaisie,
Ou même dans la réalité
Comme le silence dans un charabia
Ainsi je dois te retrouver

Si quelqu'un me demandaient
Pourquoi je t'ai trouvé dans des terres de la mer bleue
Je répondrais à celui ou celle qui me le demande
Que mon inspiration c'est Seulement Toi.

Poésies Animés : Manuel Fidalgo©

r
21 juillet 2005 22:12
NOSTALGIES !!!

Un jour, quand la nostalgie te pressera la poitrine quand tu sentiras
Que la vie est un rêve défait, tu liras ces chants qui sont les tiens...
Tu te rappelleras, alors, de ces nuits de claire de lune, des étoiles
Qui filaient sur la mer, de cette amertume du au revoir...
Un jour quand tu sauras que je suis parti, sois certaine qui les moments
Que j'ai vécu sont contenus dans mes pauvres vers ...
Ouvre, alors, ton coeur attendrie, qui abrite les rêves du poète attristé,
Qui dans une lamentation un jour te a dit ADIEU!... Tu t'es on allée...
Jamais plus tu ne reviendras! Rien de plus ne me reste sinon pleuré
Et de chanter l'amertume dans laquelle je me ramasse...
T'es partie, mais beaucoup de choses sont restés encore: Ton parfum,
Ta chaleur, une douleur infinie, la nostalgie d'un rêve...
Tu me demandes ce que c'est la nostalgie...
Nostalgie, je te jure, c'est la vérité ! C'est la tristesse sans fin,
Un vide... Une présence éloignée, un regard suppliant, un monde sombre!
Nostalgie c'est l'espoir souffert, un coeur déjà sans vie que la
Nostalgie ensevelit... Bien plus grand de ce que là douleur,
La nostalgie est comme la fleur que la rosée de la nuit emmitoufle...
Nostalgie est ceci, je ne me trompe pas. Un vent froid, un regard perdu,
Éloigné et muet... Une ombre que l'âme caresse...
Nostalgie est comme le vent, lequel déchire l'espace et laisse son souffle
Par trace... C'est comme la nuit en apparaissant toujours après le jour...
Nostalgie est même un simple baiser, un souvenir tendre, un enfant bis, un hoquet
Dans la poitrine endiguée, un cri dans la gorge étouffée...
La nostalgie est une tenue couleur de rose, un lacet de ruban dans les cheveux
Qui s'agitent, une angoisse pénible. Nostalgie est beaucoup de fois la fleur
Qui né d'un bouton, la mer sauvage, l'immensité, de la nuit froide,
Une chanson, et jusqu'aux vers qui te faisait...
Nostalgie c'est un après-midi en fuyant, c'est la nuit en apparaissant,
Apportant là douleur qui se consume... Nostalgie c'est la lune qui se retire,
Du fond de la mer en émergeant, rayant dans l'argent ton nom!
Tu me demandes ce que c'est la nostalgie... Nostalgie, je te dis :
C'est comme une douleur inclémente, seulement celui qui la sent qui le sait...
Pense a toi pendant qu'il pluie... Dans l'après-midi grise et froide
Si tu t'en vas, je pense a toi tant que la solitude m'accompagne à chaque étape...
Dans la danse de la nostalgie ton compas est une note de douleur dans le coeur...
La nuit arrive en ensevelissant peu à peu la clarté...
Je pense a toi tant que l'amertume et miroir de la nostalgie vient
Et m'enlace tristement... En étudiant le noir immensité de ton souvenir
Est le phare et la solitude va illuminer mon coeur afflictif...
Je pense a toi à chaque instant, à toute heure une souffrance constante...
Je pense a toi maintenant, virginal princesse, il va loin l'espoir fanée,
Quand dans mon corps l'amour n'abrite plus, et dans mon âme que maintenant
Ne contient que de la tristesse... Écris les pièces qu'en vain j'ai rêvées...
Dans le théâtre de la vie, néanmoins, les scènes que j'ai imaginé,
La vérité atroce a fait taire mon présent ! Mon âme est enceinte d'illusions perdues,
Et mon corps plie devant mes larmes senties... Je voulu t'aimer seulement!
Je sais que mes vers sont peuplés, de tristes rimes décalquées dans ma souffrance...
Et sont l'amertume d'une douleur infinie ! Ma vie est une noire symphonie,
Sans paix, sans bonheur, sans joie... Néanmoins, j'ai voulu t'aimer, encore !
Ces nuits solitaires, le vent froid en gémissant, je clame le manque de ton corps,
De ta chaleur en me chauffant, de toi ! Âme mon âme désire! Aujourd'hui je voulais
T'oublier, cesser de penser... Mais, en vain, je continue à te chercher!
Je sais que je vais mourir en t'aimant !

Poésies Animés : Manuel Fidalgo ©
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
r
22 juillet 2005 17:26
LEGERETES



Petit papillon blanc

Rêve, pur et charmant

Né de nos amours foles

Si fragille s'envole

Pour annoncer au vent

Que dorment les amants

Mais soudain tu t'éveilles

D'un songe sans pareille.

Petit papillon blanc

S'enfuit vireviletant

Disparaît sous nos yeux

Embués d'amoureux

Nous n'avons plus sommeil

Mais malgré ce réveil

Reste, au delà du temps,

Comme un enchantement

Petit papillon blanc

Né d'un lait innocent.


sans nom
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
k
22 juillet 2005 17:45
t'es encore là rifia ?
jcroyais que tu nous avais fait tes adieux ....
moi, je ne suis jamais allé à l'école, je suis juste passé devant...
r
22 juillet 2005 17:52
.....



Modifié 2 fois. Dernière modification le 22/07/05 19:56 par rifia1.
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
k
22 juillet 2005 19:12
.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/07/05 19:57 par khnouna.
moi, je ne suis jamais allé à l'école, je suis juste passé devant...
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