Charmante ou pas, peu m'importe ! Pourvu qu'elle reste elle-même. Sans fantaisies qui la perdent. C'est comme elle est que je l'aime.
Le naturel est beauté comme le sel. La Peinture, le pigent inhabituel, Gâche le goût et excite la pupille. Quel est alors ce genre de filles ?
Douce ou agitée, peu m'importe ! Tant qu'elle garde son sang chaud. Tout me va dans ce froid qui emporte Et ramène les cœurs aux flambeaux.
Je désire. Je fantasme, célibataire. Mais la femme parfaite n'existe pas. On la crée dans nos cours élémentaires, L'esprit qui ne la comprend toujours pas.
Le rose revient à la mode désirable. Douceur de nos jeunes âges passés, En ces lieux et en ces poupées. Les filles font des rêves agréables.
Ce passé n'est pourtant pas si loin. Tout près du cœur qui garde son goût. Pincée de sel au sucré sur les mains. Tout est bon, savoureux, n'importe où.
La jeunesse torture la belle ride. Celle qui se dessine et s'invite Sur la tête qui fuit le beau monde. Celui des remarques qui l'imitent.
Le jaune, le bleu, rouge des chants. Belle poésie qui berce nos corps. On a tous gardé notre âme d'enfant, Une couleur du cœur comme trésor.
Je partirai en guerre contre les autres, Abordant mes plus belles peintures. La chasse est ouverte pour l'Homme... Rare sera le fait de pêcher, mauvaise âme.
C'est tout l'art inverse du camouflage. Faut être remarquée à n'importe quel âge ! De cette opération dépend la "sûre" vie... La certitude d'exister plus d'une nuit.
La bataille est excitante les premières années. Puis quand on voit certaines tomber... Amoureuses, partir avant les autres sur-le-champ. Le cœur n'y est plus sans leurs sentiments.
Le regard se fait sombre, le sourire rare. Le camouflage artistique devient dérisoire. Ancienne joueuse éliminée... maillon faible, Sans intérêt, que bien des rides accablent.
Nous célébrons la virilité masculine. Poussons des cris simulés, câlines, Quand les mots et gestes sont absents, Qu'on les sent près, pourtant distants. On ne veut que froisser les beaux draps, À défaut du cortex qui flatte... le Moi De l'égoïste qui oublie qu'on est là. On n'est pas cruelles, mais justes... Pour compenser l'inattention, l'injuste. On donne donc ce qu'on ne reçoit pas... Par nature qui définit presque ce choix. Les hommes ne font pas l'effort, faibles, Désarmés par nos gestes et paroles habiles.
La flèche file au cœur, belle anglaise, Quand le masque tombe, en terre glaise. Ne nous imitez pas ! Que Dieu vous garde de ça ! La chance nous a quittés dans leur bras. On est malchanceuses, heureuses pour vous Qui échappez à ce destin qui vous tue ! Restez loin de leurs mains, belles paroles ! Le "flow" de mots vous emporte alors folles. Folles de désirs, d'amour, qui nous occupent... L'esprit ailleurs, quand eux allument la clope. La fumée envahit la pièce et les draps salis ; Seules choses de lavables dans cette vie... L'eau bénite ne pouvant plus rien faire alors Pour notre âme emportée comme notre corps.
LORSQUE J'AURAIS SOUS TERRE PRIS MA PLACE EN SES BRAS
Miroir, miroir, ne me dis pas que je suis belle, dis moi tout simplement que je suis encore là, car lorsque mon reflet ne fera plus de zèle c'est que j'aurai laissé toute vie derrière moi.
Miroir, mon miroir, est ce que tu te rappelles la fraîcheur de mes joues, le rose de mon teint, qui aux fards mensongers alors ne devaient rien, quand l'eau de ton regard me disait demoiselle,
va! le monde t'attend pour brûler tes vingt ans. Miroir tu as vu mes yeux noyés de pleurs plus souvent qu'ils n'étaient rayonnant de bonheur, miroir, tu as vu passer combien d'amants?
Et puis il est venu, celui que j'attendais oh! miroir tu as vu mes yeux remplis d'été, mes yeux toujours riants dans la valse du temps qui nous tenait soudés, amoureux et confiants.
Et puis il est parti, fauché par la camarde en me laissant plantée, sur le champ de la mort, miroir, mon miroir, as tu vu sur mon corps les cendres de sa vie qui me servent de hardes?
Miroir, miroir, ne me dis pas que je suis belle, dis moi tout simplement que je suis encore là, car lorsque mon reflet ne fera plus de zèle c'est que j'aurai sous terre pris ma place en ses bras.
Les touffes de braisiers au sable chaud Allaient et venaient au bord de l'eau. Le climat affole l'esprit alors libre, Étendu, détendu par le bruit de la mer.
Sur l'étendue sauvage et belle à la fois, Les hommes de tous âges donnent de la voix Comme pour séduire ces femmes sortant, En blanc, de ce bleu du total écran.
La luminosité, dans laquelle baigne Tous ces corps, séduit, prend et traîne Les esprits aveuglés par ses belles formes ; Confondant dès lors les hommes et les femmes.
Des bouts de tissu remplacent la feuille... Divine, dans ce paradis où fourmillent L'être et l'absence, l'homme, l'enfant, La femme-mère l'ignorant en l'épiant.
il s'est assis devant l'écran, et ne sait pas si c'est normal si elle est là depuis des heures et si l'attendre lui fait mal si c'est le milieu de la nuit ou l'aube claire d'un nouveau jour il n'y a plus d'heure ou de seconde il n'y a qu'elle et rien autour . elle est sa muse, évidemment, mais il n'a jamais rien su d'elle peut être elle est trop irréelle, et si elle était virtuelle quand elle s'est mise à lui écrire, le temps soudain, n'a plus compté petit robot, petite fille pourra t-elle un jour exister . il a tapé sur son clavier, des mots qu'ensembles il a lié des mots cueillis comme des fleurs, des bouquets trop vite oubliés elle était là, lui répondait, un peu distraite, un peu lointaine il avait peur de la briser, cette poupée de porcelaine . ce soir il regarde le ciel, il imagine cette étoile içi ou là, elle est perdue, une araignée tisse sa toile pour la sauver y'a un problème, elle est trop loin sa citadelle elle doit éteindre la machine, elle doit couper l'adsl . elle s'est assise à son bureau, elle a sorti son gardénal elle a branché le computer, fait tout d'un geste machinal posé ses doigts sur le clavier et tapoté pendant des heures elle est si loin du nirvana, ce n'est pas là le vrai bonheur . pourtant un jour elle a craqué, s'est décidée, s'est commutée mais au début, rien ne lui plait, trop de flippés de détraqués elle se demande trop souvent ce qui la mène à internet c 'est pas sa place, fille comme elle, de trainer là sur cette planète . ce soir elle regarde le ciel, elle veut bien croire en son étoile elle n'a pas peur d'être perdue si l'araignée tisse sa toile dedans y'aura son âme soeur, içi où là mais bien à elle faut pas éteindre la machine, faut pas couper l'adsl
Quand mes yeux se posent sur toi C'est bizarre ce ressenti. Presque irrésistible, la peur du désir, La crainte que mon coeur s’emballe. Aujourd'hui tu me dis que tu n'es qu'un être, Que ce beau corps hâlé s'en est allé, Je ne te demande pas de te changer en Poséidon Je ne suis ni sirène d'or et d'argent Tu es tel que ce vagabond, ce pirate des mers, Me prenant la main, Mon corps et mon coeur te sont offerts, Par ma nudité, laisse moi être prés de toi, Etre ta confidente, pour un jour, une nuit Et même sans lendemain ! C'est vrai, tu n'as plus l'âge, D'être mon amant Et, même si ton corps dit non, La nuit la passion nous uniras dans l'envie ! A chaque fois que je te lis, Je te découvre par tes mots en pleine nuit. Un après l'autre, ils me transportent de bonheur Tu es celui qui fait battre mon coeur Et a travers tes écris j'ai envie de te dire Que ça fait bien longtemps que je t'attends Toute cette vie, quelle gâchis.
Regarde-moi dans mes yeux Oublie ce qui c'est passé Ici en ce moment Silence et sentiment Je suis ton poète Ton chanteur serait Ton roi et ton esclave Ton fleuve et ta route Vient avec moi, ne refuses pas Dans cette nuit claire d'été Que tu sois toujours mon meilleur présent Et qu'il le reste toujours comme il est C'est tout ce que je souhaite Léger comme le vent Chaud comme le soleil Dans la paix et la clarté Sans peur et sans nostalgie Libre comme le rêve Joyeux comme la lumière Désir et fantaisie En complète harmonie Je suis ton homme, ton amant Suis celui qui te veux d'amour Suis celui qui t'aime a en mourir Je suis la paire et ton meilleur ami Je irais avec toi soit où tu sois et où tu iras Viens oiseau blessé suis moi Je suis ta gondole dans cette mer d'amour Suis la voile qui t'emmène loin de la tristesse Je t'aime de toutes mes forces
Je ne connais pas l'origine De cette illusion étrange Mais si de quelque chose je suis sûr C'est que dans ma vie il y a eu du changement
En faisant ta connaissance C'est connaître l'amour de près Et de découvrir le sens Du sentiment qui nous reste
Tu es arrivé dans ma vie Comme un éclaire qui tombe au milieu de la pluie Comme un rêve qui entoure mes nuits troubles Comme le froid qui produit la lune
Si je dis que tu es ma vie Se ne serait pas exagérer, Tu as délié cette extrémité Qui ma vie avait empêtrée
Tu lui as donné un nouveau souffle Car elle ne respirait presque plus Et tu as rempli les parois de mon coeur Avec la douceur de tes mots et de ta beauté
Je parcourrais toutes les distances Pour avoir l'amour que tu me donneras C’est un amour que je veux mériter Mais de plus il fait marcher ma vie
À mon être des ailes tu as donné, Et quand il volera, vers toi En se submergent et nageant, en Passant par des eaux, entre des voies
Tu es la lumière dans l'orage Comme la pluie dans le désert, Comme une source d'eau ruisselante Et dans l'obscurité tu es mon étoile
Seulement en toi il dors et se repose Mon plus grand et éternel rêve ; Que tu es la vie de ma vie, Que tu le saisisses tel est mon désir
Quand je te chercherai entre la brise Qu'il est recueil entre des rivières Je trouve comme une étoile Qu'une fois ta main ma fait atteindre
En te cherchant dans l'immensité du ciel Entre des nuages qui vont et viennent Je te trouve entre les oiseaux Qui chantent le printemps et volent sans cesse
Si je te cherche dans la fantaisie, Ou même dans la réalité Comme le silence dans un charabia Ainsi je dois te retrouver
Si quelqu'un me demandaient Pourquoi je t'ai trouvé dans des terres de la mer bleue Je répondrais à celui ou celle qui me le demande Que mon inspiration c'est Seulement Toi.
Un jour, quand la nostalgie te pressera la poitrine quand tu sentiras Que la vie est un rêve défait, tu liras ces chants qui sont les tiens... Tu te rappelleras, alors, de ces nuits de claire de lune, des étoiles Qui filaient sur la mer, de cette amertume du au revoir... Un jour quand tu sauras que je suis parti, sois certaine qui les moments Que j'ai vécu sont contenus dans mes pauvres vers ... Ouvre, alors, ton coeur attendrie, qui abrite les rêves du poète attristé, Qui dans une lamentation un jour te a dit ADIEU!... Tu t'es on allée... Jamais plus tu ne reviendras! Rien de plus ne me reste sinon pleuré Et de chanter l'amertume dans laquelle je me ramasse... T'es partie, mais beaucoup de choses sont restés encore: Ton parfum, Ta chaleur, une douleur infinie, la nostalgie d'un rêve... Tu me demandes ce que c'est la nostalgie... Nostalgie, je te jure, c'est la vérité ! C'est la tristesse sans fin, Un vide... Une présence éloignée, un regard suppliant, un monde sombre! Nostalgie c'est l'espoir souffert, un coeur déjà sans vie que la Nostalgie ensevelit... Bien plus grand de ce que là douleur, La nostalgie est comme la fleur que la rosée de la nuit emmitoufle... Nostalgie est ceci, je ne me trompe pas. Un vent froid, un regard perdu, Éloigné et muet... Une ombre que l'âme caresse... Nostalgie est comme le vent, lequel déchire l'espace et laisse son souffle Par trace... C'est comme la nuit en apparaissant toujours après le jour... Nostalgie est même un simple baiser, un souvenir tendre, un enfant bis, un hoquet Dans la poitrine endiguée, un cri dans la gorge étouffée... La nostalgie est une tenue couleur de rose, un lacet de ruban dans les cheveux Qui s'agitent, une angoisse pénible. Nostalgie est beaucoup de fois la fleur Qui né d'un bouton, la mer sauvage, l'immensité, de la nuit froide, Une chanson, et jusqu'aux vers qui te faisait... Nostalgie c'est un après-midi en fuyant, c'est la nuit en apparaissant, Apportant là douleur qui se consume... Nostalgie c'est la lune qui se retire, Du fond de la mer en émergeant, rayant dans l'argent ton nom! Tu me demandes ce que c'est la nostalgie... Nostalgie, je te dis : C'est comme une douleur inclémente, seulement celui qui la sent qui le sait... Pense a toi pendant qu'il pluie... Dans l'après-midi grise et froide Si tu t'en vas, je pense a toi tant que la solitude m'accompagne à chaque étape... Dans la danse de la nostalgie ton compas est une note de douleur dans le coeur... La nuit arrive en ensevelissant peu à peu la clarté... Je pense a toi tant que l'amertume et miroir de la nostalgie vient Et m'enlace tristement... En étudiant le noir immensité de ton souvenir Est le phare et la solitude va illuminer mon coeur afflictif... Je pense a toi à chaque instant, à toute heure une souffrance constante... Je pense a toi maintenant, virginal princesse, il va loin l'espoir fanée, Quand dans mon corps l'amour n'abrite plus, et dans mon âme que maintenant Ne contient que de la tristesse... Écris les pièces qu'en vain j'ai rêvées... Dans le théâtre de la vie, néanmoins, les scènes que j'ai imaginé, La vérité atroce a fait taire mon présent ! Mon âme est enceinte d'illusions perdues, Et mon corps plie devant mes larmes senties... Je voulu t'aimer seulement! Je sais que mes vers sont peuplés, de tristes rimes décalquées dans ma souffrance... Et sont l'amertume d'une douleur infinie ! Ma vie est une noire symphonie, Sans paix, sans bonheur, sans joie... Néanmoins, j'ai voulu t'aimer, encore ! Ces nuits solitaires, le vent froid en gémissant, je clame le manque de ton corps, De ta chaleur en me chauffant, de toi ! Âme mon âme désire! Aujourd'hui je voulais T'oublier, cesser de penser... Mais, en vain, je continue à te chercher! Je sais que je vais mourir en t'aimant !