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poésie en tout genre
n
29 novembre 2005 12:44
ELLE, Allah et la vie...




C’est vrai que la vie n’est qu’un passage
Que la belle vie n’est qu’un simple mirage
Que la vrai vie est ailleurs vers les cieux
Et que je n’ai peur de personne sauf DIEU

J’essaye d’être parfaite pour ELLE
Avoir des âmes et des armes les plus belles
Une âme blanche, et mes 5 piliers à la poche
ELLE la mort qui de jour en jour se rapproche

Malakou al mawt attend chacun de nous au bout
Chacun de nous qui vie dans ce monde de fou
Il nous fauchera la vie sous les pieds
Et à Dieu il nous interrogera sur nos piliers


n
30 novembre 2005 11:26

autour de moi, tout s’est éteint


Et je sens que c’est la fin
Je cherche dans le noir une porte à ouvrir
Mes forces m’abandonnent dans un dernier soupir

Les images du passé défilent,
Les sourires, les pleurs, cette vie si futile.


Qu’est qui pourrait bien me retenir
Dans ce monde où je n’ai pas d’avenir

C’est drôle, comme les choses autrefois essentielles
Apparaissent maintenant si superficielles


Je savourais le bonheur
Loin du mal et de ces rumeurs

A présent, j’attends la mort comme délivrance
La grande faucheuse comme délicieuse sentence
Et j’ai peur, j’ai peur de l’oubli
Et je sens que monte en moi l’hypocondrie



L’angoisse m’entoure de toute part
Et mes pleurs se font rares
Pourquoi verser encore des larmes
Face à ce mal qui ne redoute aucune arme

Tout défile à une vitesse vertigineuse
Pas de prêtre, ni de pleureuses
Juste moi face au néant
Qui va m’engloutir définitivement



Mon corps astral s’envole enfin libéré


De cette enveloppe charnelle emprisonnée


Des tenailles de l’amour toutes ces années
Il s’en va en quête de sérénité

L’être las se détache des ombres


Libéré des chaînes d’une vie trop sombre


Sans souffrance, il s’éteint lentement
Dans une mort au silence arrogant.


n
30 novembre 2005 12:10
Par un aspet poétique,
Par la voie Islamique,
J’invoque auprès de notre Seigneur
La droiture et la Paix dans mon cœur

‘ihdinâ-s-sirâta-l-mustaqîm
Guide nous dans le droit chemin


J’invoque auprès du Maître des cieux et de la terre,
La sagesse suffisante et la protection de mes sœurs et frères

‘a’ûdu bi-l-lâhi ‘an ‘akûna mina-l-jâhilîn
Je me réfugie auprès de Dieu pour éviter d’être parmi les ignorants


J’invoque auprès de l’Omnipotent et l’Omniscient,
La récompense de mes intentions et la sagesse du patient.

Rabbanâ, ‘âtinâ fi-d-duniyâ hasanatan wa fi-l-âkirati hasanatan wa-qinâ ‘adâba-n-nâr
Notre Seigneur, accorde-nous le bienfait en ce monde et le bienfait dans la vie future. Dispense-nous du châtiment du feu.


J’invoque auprès d’Allah, le plus Savant et le plus Sage,
Un chemin brillant de lumières et d’absences orages.

Rabbanâ, lâ tuzig qulûbanâ bâ’da id hadaytanâ wa hab lanâ min ladunka rahmatan ‘innaka ‘anta-l-wahhâb
Seigneur, ne dévie pas nos cœurs après nous voir orientés sur la bonne direction, accorde-nous miséricorde, Tu es le Donateur.

J’invoque auprès d’Allah, exalté soit-Il,
Illumination de ma foi, le pardon de mes erreurs et mes faiblesses fragiles.

Rabbanâ ‘innanâ’ âmannâ fa-gfir lanâ dunûbanâ wa qinâ ‘adâba-n-nâr
Seigneur, nous avons la foi, pardonne-nous nos péchés et épargne-nous du châtiment du feu.


J’invoque auprès de la Divinité Parfaite,
Une famille qui sera, face à l’Islam, ni aveugle, ni muette.

Rabbî, hab lî min ladunka durriyatan tayyibatan ‘innaka samî’u-d-du’â
Seigneur, accorde-moi une descendance vertueuse, Tu es Celui qui exauce les prières.


J’invoque auprès du Seigneur de tout les temps
Le soutien d’une vie et d’une mort en tant que musulman.

Rabbanâ, ‘afrig ‘alaynâ sabran wa tawaffanâ muslimîn
Notre Seigneur, répands sur nous la patience et fais nous mourir en musulman.
n
30 novembre 2005 14:22
Allah, parfois j'ai peur
Que lorsque je me lève,
La lumière ne soit pas...

Allah, parfois j'ai peur
Pour ma mère et les miens,
Pour les coeurs orphelins...

Allah, pardonne moi
Pour ces moments si froids,
Ou je ne pense plus à Toi...

J'ai peur de nos oublis,
J'ai peur pour ma famille...

Allah, pourquoi les autres
Souffrent tant là-bas?
Et pourquoi mes prières ne suffisent-elles pas?


Allah, est-ce ma faiblesse
Ou mon manque de foi?

Allah, j'ai peur parfois...
n
30 novembre 2005 14:29
Nul ne peut me comprendre
Si ce n'est le Tout Puissant
Quand mes larmes dans le noir
Pleurent mes illusions d'antan

Nul ne peut m'entendre
Si ce n'est l'Omnipotent
Lorsque je crie l'injustice
Que mon âme entière ressent

Nul ne verra de mes yeux
Si ce n'est le Clairvoyant
Les cicatrices des sentiments
Qui m'habitent éternellement

Nul ne peut voir ce que je ressens
Si ce n'est l'Omniprésent
Quand quelque fois cette amertume
M'accompagne dans le présent...

Amin
n
30 novembre 2005 14:39



Son nom vibre dans mon coeur
Lui qui a été choisi par mon Siegneur
Rejeté par les kofar
Il a su être rafar

Tant souffert pour ce Dine
Tant prié Allah pour ne pas mourir indigne
En élevant la l'hymne de sa Oumma
Il nous a enseigné le Coran et la Sounnah

Mes yeux versent des larmes
Et mon coeur pleure de sang
De ne pas avoir vu mon Immam avant
Mes oreilles souffrent et se plaignent
De ne pas avoir entendu le son de sa belle voix
Jamais je ne l'oublirai
Dans le témoignage de ma foi
Il est cité après Allah

Qu'Allah lui accorde sa Miséricorde
Et le fasse habiter Jannat Al'Firdaws
Ainsi pour toutes ces épouses purifiées
Et sa noble progéniture et ces compagnons magnifiés
Ali,Otman,Abou Bakr et Omar
Et tout les Mouhajirina et l'Anssar.
n
22 décembre 2005 20:24
Mon frère, le doux, a dit...





L'été naissait et toi tu mourrais
Tu nous laissais et toute la famille pleurait
Quand ton âme montait vers les cieux
Nous avions des larmes plein les yeux

Intense douleur d'une mère qui son fils perd
Quand sonne l'Heure où tout le monde désespère
Mon frère s'est tu, Mon frère s'est tué
Mille prières, Mille lumières t'éclairent là où tu es

Tes enfants, petits Poucets, poussent près d'une mère
Mer calme sans orages, mère courage, les berce de sa tendresse
Dans leurs grands yeux malicieux, s'efface à jamais toute tristesse
Moi ton frère, je veille sur eux, les protége d'une vie amère

L'été naissait et toi tu mourrais
L'été renaît, c'est comme si tu revenais
Avec tes enfants, nous irons prier sur ta tombe
Tu nous a appris que sur la Vie un jour la nuit tombe...
r
23 décembre 2005 14:52
J’ai pris conscience à quel point je tenais à ma mère quand elle m’a quitté

Ce soir là je n'avais pas toute ma tête.
Foudroyée par les évènements passés
Je pensais à ce qu'il s'était passé
Dire qu'une mère nous a quitté
Qu'elle repose au Paradis
Là ou il existe un Infini
Mais comment prendre conscience de cette disparition?
Ce soir là, m'a fait comprendre que je l'aimais
Cette femme qui m'a toujours aimé
et surtout bien élevé
Si seulement je pouvais lui dire que je l'aimais
Je n'ai jamais osé,
peur de la toucher
Mais c'est tellement profond
Alors comment veux-tu que je lui dise ce que je ressens dans le fond

La vie est courte, c'est vrai
Et c'est pour ça que tu dois en faire bonne usage
Alors grandit, et construit ton nid
et prend soin de ta famille
N'oublie pas que la Religion c'est la voie du Saint
Alors grâce à elle trace ton destin
construit ton chemin
N'oubli jamais que tu n'es pas seul
Qu'il y a derrière toi quelqu'un qui sera toujours la pour toi!
Allah.

habibati

inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
14 juin 2007 22:49
Musique au coeur

Je suis là entre les quatre saisons de Vivaldi,
À regarder la truite, et à crier "vive la vie !"
Sur le Danube bleu, au reflet du clair de lune,
Me viennent des pensées en chœurs de la Fortune.


J'ai vu Pierrot, je t'ai vu posée à côté de lui,
À regarder ce monde enlacé par la profonde nuit.
La mélodie poétique porte les hommes et femmes,
Tel l'amour de la lettre à Élise qui émeut les âmes.


Mélodie d'amour, mélodie du bonheur. C'est beau !
À la lueur du jour, la symphonie suit celle l'eau,
Douce, claire et rafraîchissante, alors emportés,
Bercés par les notes, clapotis, sur les rochers.

La musique coule de source, du cœur. Elle apaise,
Adoucit les mœurs qui contemplent le malaise.
Laisse-toi toi emporter, pour te ressourcer, éprise,
Transportée au loin, quand la vie te semble trop grise.

Môh Tsu
Le 29/11/2005
14 juin 2007 22:55
Je les vois de haut, austère. Pauvres malheureux !
Je suis le Très Haut, aux airs, au regard curieux,
Qui dévisage les "sans faces" qui se refont tout
Pour ressembler à rien, aucune race, sur mes photos.

Je les avoir alanguis, tirant la langue au plus bas !
Pauvres vers enfouis, piétinés à la longue, sans bras,
Droits ou courbés dès le crépuscule qui s'en va
Aussi vite qu'il est venu, invisible ! On ne me voit pas.

Ma plus belle créature a muté dans l'horrible réalité,
De la lucarne, souillure, ôtée pourtant dans le passé.
J'ai envoyé des prophètes, des apôtres et un Grand Livre,
Mais ces analphabètes, et bien d'autres ne savent pas lire.

Que faire quand l'incontrôlable le devient bien plus ?
Pour leurs maux intolérables, qu'ils rient ou toussent,
Le chemin d'une croix, narrable, deviendra ainsi dur,
À l'orée de la pierre, du saint père, sans sainte lecture.

Môh Tsu
Le 05/01/2006
14 juin 2007 22:59
Physique cantique

Voyez comme rien ne s'ajoute et ne se perd !
Regardez ces quelques gouttes : rien s'opère.
C'est qu'un changement de vue, un simple clin d'œil,
Quand on croit détenir l'aperçu avec l'oreille.


Perdez votre temps donc à compter les moutons,
Sauvages en ce vent qui articule les raisons.
Courant d'air chaud, brûlant plus que l'eau...
Vous voici en bas du haut moulant le cerveau.

Ajouter votre science, infusion, sans réaction,
Propre à l'ancienne opération tel le bon dicton,
Ionaire, qui résout l'équation donnée au bâton,
La mole-ionnaire et autres chiffres des Salons.


En un quartz d'heures, un demi leurre : tout passe.
L'heure est aux comtes, qui chancellent et trépassent,
Comme le bon vieux dicton du paradigme hors-normes...
Tout se perd, rien s'ajoute puisque tout se transforme.

Môh Tsu
Le 07/01/2006
14 juin 2007 23:00
Moi et l'arme

Dent pour dent, oeil pour oeil !
Le tout sanglant est pareil.
Les fils de Dieu sont à Satan
De larmes à feu passant par sang.


Don pour don, retour sans retour !
Le contre est son et le son impur.
Trop violent sans tour, contrôle,
Trop poignant sans amour qui s'envole.

Je hais les armées, déteste le kaki,
Chemise brune, mal lavée du maquis.
Au diable avec leurs guerres et morts,
Quand ils ont tout et veulent encore.

L'amour ici bas est une bonne chose.
L'amour du Haut est ce qu'on propose
Quand la foi est là où tout se décompose...
Reste que bouquets de lilas et quelques roses.


Môh Tsu
Le 17/01/2006



Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/06/07 23:04 par Moh Tsu.
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