C’est vrai que la vie n’est qu’un passage Que la belle vie n’est qu’un simple mirage Que la vrai vie est ailleurs vers les cieux Et que je n’ai peur de personne sauf DIEU
J’essaye d’être parfaite pour ELLE Avoir des âmes et des armes les plus belles Une âme blanche, et mes 5 piliers à la poche ELLE la mort qui de jour en jour se rapproche
Malakou al mawt attend chacun de nous au bout Chacun de nous qui vie dans ce monde de fou Il nous fauchera la vie sous les pieds Et à Dieu il nous interrogera sur nos piliers
Et je sens que c’est la fin Je cherche dans le noir une porte à ouvrir Mes forces m’abandonnent dans un dernier soupir
Les images du passé défilent, Les sourires, les pleurs, cette vie si futile.
Qu’est qui pourrait bien me retenir Dans ce monde où je n’ai pas d’avenir
C’est drôle, comme les choses autrefois essentielles Apparaissent maintenant si superficielles
Je savourais le bonheur Loin du mal et de ces rumeurs
A présent, j’attends la mort comme délivrance La grande faucheuse comme délicieuse sentence Et j’ai peur, j’ai peur de l’oubli Et je sens que monte en moi l’hypocondrie
L’angoisse m’entoure de toute part Et mes pleurs se font rares Pourquoi verser encore des larmes Face à ce mal qui ne redoute aucune arme
Tout défile à une vitesse vertigineuse Pas de prêtre, ni de pleureuses Juste moi face au néant Qui va m’engloutir définitivement
Mon corps astral s’envole enfin libéré
De cette enveloppe charnelle emprisonnée
Des tenailles de l’amour toutes ces années Il s’en va en quête de sérénité
L’être las se détache des ombres
Libéré des chaînes d’une vie trop sombre
Sans souffrance, il s’éteint lentement Dans une mort au silence arrogant.
Par un aspet poétique, Par la voie Islamique, J’invoque auprès de notre Seigneur La droiture et la Paix dans mon cœur
‘ihdinâ-s-sirâta-l-mustaqîm Guide nous dans le droit chemin
J’invoque auprès du Maître des cieux et de la terre, La sagesse suffisante et la protection de mes sœurs et frères
‘a’ûdu bi-l-lâhi ‘an ‘akûna mina-l-jâhilîn Je me réfugie auprès de Dieu pour éviter d’être parmi les ignorants
J’invoque auprès de l’Omnipotent et l’Omniscient, La récompense de mes intentions et la sagesse du patient.
Rabbanâ, ‘âtinâ fi-d-duniyâ hasanatan wa fi-l-âkirati hasanatan wa-qinâ ‘adâba-n-nâr Notre Seigneur, accorde-nous le bienfait en ce monde et le bienfait dans la vie future. Dispense-nous du châtiment du feu.
J’invoque auprès d’Allah, le plus Savant et le plus Sage, Un chemin brillant de lumières et d’absences orages.
Rabbanâ, lâ tuzig qulûbanâ bâ’da id hadaytanâ wa hab lanâ min ladunka rahmatan ‘innaka ‘anta-l-wahhâb Seigneur, ne dévie pas nos cœurs après nous voir orientés sur la bonne direction, accorde-nous miséricorde, Tu es le Donateur.
J’invoque auprès d’Allah, exalté soit-Il, Illumination de ma foi, le pardon de mes erreurs et mes faiblesses fragiles.
Rabbanâ ‘innanâ’ âmannâ fa-gfir lanâ dunûbanâ wa qinâ ‘adâba-n-nâr Seigneur, nous avons la foi, pardonne-nous nos péchés et épargne-nous du châtiment du feu.
J’invoque auprès de la Divinité Parfaite, Une famille qui sera, face à l’Islam, ni aveugle, ni muette.
Rabbî, hab lî min ladunka durriyatan tayyibatan ‘innaka samî’u-d-du’â Seigneur, accorde-moi une descendance vertueuse, Tu es Celui qui exauce les prières.
J’invoque auprès du Seigneur de tout les temps Le soutien d’une vie et d’une mort en tant que musulman.
Rabbanâ, ‘afrig ‘alaynâ sabran wa tawaffanâ muslimîn Notre Seigneur, répands sur nous la patience et fais nous mourir en musulman.
Son nom vibre dans mon coeur Lui qui a été choisi par mon Siegneur Rejeté par les kofar Il a su être rafar
Tant souffert pour ce Dine Tant prié Allah pour ne pas mourir indigne En élevant la l'hymne de sa Oumma Il nous a enseigné le Coran et la Sounnah
Mes yeux versent des larmes Et mon coeur pleure de sang De ne pas avoir vu mon Immam avant Mes oreilles souffrent et se plaignent De ne pas avoir entendu le son de sa belle voix Jamais je ne l'oublirai Dans le témoignage de ma foi Il est cité après Allah
Qu'Allah lui accorde sa Miséricorde Et le fasse habiter Jannat Al'Firdaws Ainsi pour toutes ces épouses purifiées Et sa noble progéniture et ces compagnons magnifiés Ali,Otman,Abou Bakr et Omar Et tout les Mouhajirina et l'Anssar.
L'été naissait et toi tu mourrais Tu nous laissais et toute la famille pleurait Quand ton âme montait vers les cieux Nous avions des larmes plein les yeux
Intense douleur d'une mère qui son fils perd Quand sonne l'Heure où tout le monde désespère Mon frère s'est tu, Mon frère s'est tué Mille prières, Mille lumières t'éclairent là où tu es
Tes enfants, petits Poucets, poussent près d'une mère Mer calme sans orages, mère courage, les berce de sa tendresse Dans leurs grands yeux malicieux, s'efface à jamais toute tristesse Moi ton frère, je veille sur eux, les protége d'une vie amère
L'été naissait et toi tu mourrais L'été renaît, c'est comme si tu revenais Avec tes enfants, nous irons prier sur ta tombe Tu nous a appris que sur la Vie un jour la nuit tombe...
J’ai pris conscience à quel point je tenais à ma mère quand elle m’a quitté
Ce soir là je n'avais pas toute ma tête. Foudroyée par les évènements passés Je pensais à ce qu'il s'était passé Dire qu'une mère nous a quitté Qu'elle repose au Paradis Là ou il existe un Infini Mais comment prendre conscience de cette disparition? Ce soir là, m'a fait comprendre que je l'aimais Cette femme qui m'a toujours aimé et surtout bien élevé Si seulement je pouvais lui dire que je l'aimais Je n'ai jamais osé, peur de la toucher Mais c'est tellement profond Alors comment veux-tu que je lui dise ce que je ressens dans le fond
La vie est courte, c'est vrai Et c'est pour ça que tu dois en faire bonne usage Alors grandit, et construit ton nid et prend soin de ta famille N'oublie pas que la Religion c'est la voie du Saint Alors grâce à elle trace ton destin construit ton chemin N'oubli jamais que tu n'es pas seul Qu'il y a derrière toi quelqu'un qui sera toujours la pour toi! Allah.
habibati
inna llaha la yoghayirro ma bikawmine 7atta yoghayirro ma bi anfossihim
Je suis là entre les quatre saisons de Vivaldi, À regarder la truite, et à crier "vive la vie !" Sur le Danube bleu, au reflet du clair de lune, Me viennent des pensées en chœurs de la Fortune.
J'ai vu Pierrot, je t'ai vu posée à côté de lui, À regarder ce monde enlacé par la profonde nuit. La mélodie poétique porte les hommes et femmes, Tel l'amour de la lettre à Élise qui émeut les âmes.
Mélodie d'amour, mélodie du bonheur. C'est beau ! À la lueur du jour, la symphonie suit celle l'eau, Douce, claire et rafraîchissante, alors emportés, Bercés par les notes, clapotis, sur les rochers.
La musique coule de source, du cœur. Elle apaise, Adoucit les mœurs qui contemplent le malaise. Laisse-toi toi emporter, pour te ressourcer, éprise, Transportée au loin, quand la vie te semble trop grise.
Je les vois de haut, austère. Pauvres malheureux ! Je suis le Très Haut, aux airs, au regard curieux, Qui dévisage les "sans faces" qui se refont tout Pour ressembler à rien, aucune race, sur mes photos.
Je les avoir alanguis, tirant la langue au plus bas ! Pauvres vers enfouis, piétinés à la longue, sans bras, Droits ou courbés dès le crépuscule qui s'en va Aussi vite qu'il est venu, invisible ! On ne me voit pas.
Ma plus belle créature a muté dans l'horrible réalité, De la lucarne, souillure, ôtée pourtant dans le passé. J'ai envoyé des prophètes, des apôtres et un Grand Livre, Mais ces analphabètes, et bien d'autres ne savent pas lire.
Que faire quand l'incontrôlable le devient bien plus ? Pour leurs maux intolérables, qu'ils rient ou toussent, Le chemin d'une croix, narrable, deviendra ainsi dur, À l'orée de la pierre, du saint père, sans sainte lecture.
Voyez comme rien ne s'ajoute et ne se perd ! Regardez ces quelques gouttes : rien s'opère. C'est qu'un changement de vue, un simple clin d'œil, Quand on croit détenir l'aperçu avec l'oreille.
Perdez votre temps donc à compter les moutons, Sauvages en ce vent qui articule les raisons. Courant d'air chaud, brûlant plus que l'eau... Vous voici en bas du haut moulant le cerveau.
Ajouter votre science, infusion, sans réaction, Propre à l'ancienne opération tel le bon dicton, Ionaire, qui résout l'équation donnée au bâton, La mole-ionnaire et autres chiffres des Salons.
En un quartz d'heures, un demi leurre : tout passe. L'heure est aux comtes, qui chancellent et trépassent, Comme le bon vieux dicton du paradigme hors-normes... Tout se perd, rien s'ajoute puisque tout se transforme.
Dent pour dent, oeil pour oeil ! Le tout sanglant est pareil. Les fils de Dieu sont à Satan De larmes à feu passant par sang.
Don pour don, retour sans retour ! Le contre est son et le son impur. Trop violent sans tour, contrôle, Trop poignant sans amour qui s'envole.
Je hais les armées, déteste le kaki, Chemise brune, mal lavée du maquis. Au diable avec leurs guerres et morts, Quand ils ont tout et veulent encore.
L'amour ici bas est une bonne chose. L'amour du Haut est ce qu'on propose Quand la foi est là où tout se décompose... Reste que bouquets de lilas et quelques roses.
Môh Tsu Le 17/01/2006
Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/06/07 23:04 par Moh Tsu.