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un poeme assez douloureux ... il n'est pas de moi
m
6 juillet 2005 15:11
Dès tes 11 ans, tu décidais,
Que cet homme, tu l'aimais.
Je n'ai pu t'ouvrir les yeux,
Depuis, comme je m'en veux.


Tu inventais tant de prétextes,
Pour t’en aller le retrouver,
Ne pensant plus, qu'à lui,
Tu n'en dormais plus, la nuit.


Chaque pensée d'envolée,
C'est à cet homme maudit,
Que tu les consacrais,
Lui sacrifiant ta jeune vie.


Tant de sourires et de larmes perdues,
Mon enfant, que je ne verrai plus,
Pourquoi es-tu sortie, cette nuit,
Où tu as perdu la vie, pour le suivre.


Cet homme, que tu croyais aimer,
Quatre jours, après, se consolait,
Auprès d'une autre, sans remords,
JESSICA, à qui profite ta Mort ?

1994


r
6 juillet 2005 15:55
PRISE AU PIEGE

Je suis enfermer
A moitier desabillé
Je ne sais pas ou je suis.
Je ne sais pas si je vie.

Un garcon entre dans la chambre.
Voila mes mains tremble.
Je suis prise au piege.
Comme un mechant sortilege.

Il commence a me toucher.
Je me met a pleurer.
Il me dit de me la fermer.
Et il commence a me frapper.

Je suis prise dans ce tourment.
Je ne sai pas se qu'il veux pour autant.
Il est entrain de me violer..
Ainsi jusqu'a me tuer

sans nom
r
6 juillet 2005 15:57
L’arme a double tranchant.

Le silence,
Toi qui était ma planche de salut.
Et la pire des punitions.
Je me complaisais dans mon calme
Jamais un mot a propos de ça.
Éviter les regards de pitié.
Tel était l’une de mes plus fortes volonté.
Éviter d’affronter la situation.
Et prendre l’aide offerte.
Je me complaisais dans mon silence.
Qui me permettait aussi d’oublier.
Mais maintenant je dois affronter.
Les cauchemars qui me hantent la nuit.
Je dois les raconter.
Et essayer de les analyser.
Est-ce si évident de dire.
Qu’il m’écœure.
M’effraie.
Et m’empêche de vivre ma vie.
Ce ne l’était pas tellement il y a un an.
Tant de temps c’est écoulé.
Avant que je ne puisse dire une simple phrase.
J’ai été agressé.
Trois mots minuscules.
Qui ne demande même pas beaucoup de force.
Trois mots si facile.
J’ai été agressé.
Et pourtant, juste au j’ai
Tu as déjà la nausée.
Alors autant se taire.
Et se complaire dans ses misères.
Mais, en même temps tu ne peux pas te confier.
Expliquer ce que tu ressens.
Hurler ta haine bien fort.
Hurler ton désespoir.
Hurler ton malheur.
L’arme a double tranchant.
Tel est le silence.

sans nom
r
6 juillet 2005 16:39
Il était une fois un amour d'été


Qui comme tous les amours d'été
C'était mal terminé
Deux adolescents c'étaient rencontrés
Et avait finis par couchés
Le lendemain le garçon est parti
Laissant sa copine seule dans l'oubli
Il ne l'avait pas prévunu,
Le matin il ne l'avait pas vu
Et il avait fini par partir
Oubliant cette fille et ses désirs
Il était retourné chez lui
Il avait retrouvé ses amis
Seul quand il entendait son prénom
Il repensait à cette fille et à leur union
On ne peut pas dire qu'il y regrettait
Il était simplement fier de dire à ses potes qu'il se l'était faite

Pour la fille sa ne s'est pas passé comme ça
Quand elle a vu qu'il avait décampé elle était sans espoir
Elle repensait tout le temps à se brun charmant
Qui est passé dans sa vie comme un coup de vent
Il lui manquait tellement
Elle voudrait tant avoir de ses nouvelles
Mais il est parti sans laisser d'adresse
Parfois elle se demande si elle n'a rêvé
Elle se demande si il a vraiment existé
Contrairement à lui elle n'est pas fière d'avoir couché
Elle voudrait tant tout oublié
Tous le monde sait qu'elle a perdu sa virginité
Mais elle n'est pas encore prête à l'assumer
Et dans un soir de detresse
Elle a laisser cette histoire derrière elle
Elle a mis fin à sa vie
Elle le retrouverai au paradis
Voilà, c'était un amour d'été
Qui c'était mal terminer
Entre deux adolescents
Qui commençait à devenir grand

sans nom
r
13 juillet 2005 11:35
Ton mari...

Il rentre tard comme tous les soirs,
Passe devant toi sans même te voir.
Tu es devenue sa propriété privée
Et avec le temps,tu as tout accepté.

Il t'ordonne.."verse moi à boire!"
Tu lui obéis,c'est ton purgatoire,
Et il s'endort ivre sur le canapé
Comme chaque jour,devant la télé.

Il n'a pas touché aux petits plats
Préparés exprès pour son repas.
Tu avais cuisiné amoureusement
Son mets préféré et qu'il aime tant.

Il ne voit même plus que tu existes,
Ta vie devient de plus en plus triste.
Les larmes et les pleurs n'y font rien,
Tu as moins d'intérêt que son chien.

Lasse de violence et de son mépris,
Demain à son retour,tu seras partie.
Il pourra crier et se mettre en colère,
Tu fuiras loin de lui et de ton calvaire.

Puis dans ta longue quête du bonheur,
Tu rencontreras un homme de coeur
Qui te parlera d'amour,que tu aimeras.
Pour toujours maintenant tu l'oublieras

...Ton mari!


anonyme
 
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