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Plus de 2,5 millions de personnes ont été alphabétisées...
z
11 mars 2007 16:24
Plus de 2,5 millions de personnes ont été alphabétisées durant la période 2002-2007, dépassant ainsi le nombre cumulé sur près de 20 ans entre 1982 et 2001. Après ce saut quantitatif remarquable, il faut relever un autre défi, celui d’une alphabétisation de qualité.
Cela a fait l’objet de la deuxième rencontre nationale organisée à Rabat les 6 et 7 mars par le département d’Anis Birrou, secrétaire d’Etat chargé de l’Alphabétisation et de l’Education non formelle. «La majorité des études ont montré une corrélation entre la qualité de l’éducation et le développement économique», rappelle Birrou. Plus de 500 participants marocains et étrangers, représentant tous les domaines de l’éducation, du développement social et humain, étaient au rendez-vous.

Au menu de la rencontre, beaucoup de chiffres et surtout des témoignages et des expériences. L’objectif est de réfléchir sur les moyens et les modalités à mettre en œuvre pour parvenir à une alphabétisation de qualité. Une présentation exhaustive des réalisations du département de Birrou a été faite.

Philippe Quéau, représentant de l’Unesco auprès des pays du Maghreb, souligne, pour sa part, que «malgré le cumul enregistré au niveau de l’alphabétisation sur le plan international, tout le monde est convaincu que la qualité pose toujours problème dans ce domaine». Ce qui lui permet d’avancer qu’il n’existe pas de définition universelle de la qualité de l’éducation et de l’alphabétisation. Selon lui, ce concept s’est considérablement élargi ces cinquante dernières années. Concept qui a enregistré un glissement d’une vision cantonnée dans les compétences techniques vers une vision large et globale. Cette dernière doit prendre en considération les capacités humaines au profit d’une croissance économique et d’un changement social, culturel et politique. En d’autres termes, il ne s’agit plus d’une transformation individuelle, mais plutôt sociale. Ce qui permet de parler aujourd’hui de la «société alphabétisée». «La pertinence et l’équité d’accès au savoir doivent être parmi les préoccupations majeures de l’éducation sur le plan international», insiste le représentant de l’Unesco. Des expériences réussies, à travers le monde et au Maroc, ont été mises en exergue.

Par ailleurs, la rencontre a permis aux différents acteurs de soulever les problèmes rencontrés sur le terrain. Le retard de paiement des salaires des formateurs et le manque de suivi ont été pointés du doigt. La formation des éducateurs et la motivation des bénéficiaires ont par conséquent été au centre des recommandations.
A l’issu de la rencontre, plusieurs contrats de partenariat ont été signés avec certaines associations pour leur permettre de mener à bien leurs programmes en matière de lutte contre l’analphabétisme dans leurs régions.

Nour Eddine El Aissi
Source: L'Economiste
b
11 mars 2007 18:38
Ce maudit indice de l'analphabétisme le Maroc l'aura bientôt contrôlé.

Avec le changement des générations et le recl démographique observés dans le pays c#est une questions de quelques années seulement.

Le problème est celui de l'instruction (pas tous ceux qui savent lire et écrire sont isntruit et ça vaut souvent même pour des cadres). Mais aussi de l'enseigenement en général, secteru léthariguqe, sans réformes jusque là.
l
11 mars 2007 18:50
"Plus de 2,5 millions de personnes ont été alphabétisées durant la période 2002-2007"

Négatif! Ce n'est pas vrai..!
l
11 mars 2007 19:12
Qu'est ce qu'ils peuvent être menteurs effrontés c'est dingue..!!!
M
11 mars 2007 19:29
Des milliers de familles retirent leurs enfants de l'école faute de moyens financiers, fournitures, cantine, internat, vêtements....certains enseignants font même redoubler des enfants car ils n'ont pas reçu leur pourboire, dans ces cas les parents préfèrent envoyer les enfants "apprendre un métier" à la ville pour les garçons et faire la bonne pour les filles ou juste rester à la maison pour les tâches domestiques à quoi bon elles se marieront tôt ou tard.... La voilà la réalité en 2007
O
11 mars 2007 19:38
Citation
MARNES a écrit:
Des milliers de familles retirent leurs enfants de l'école faute de moyens financiers, fournitures, cantine, internat, vêtements....certains enseignants font même redoubler des enfants car ils n'ont pas reçu leur pourboire, dans ces cas les parents préfèrent envoyer les enfants "apprendre un métier" à la ville pour les garçons et faire la bonne pour les filles ou juste rester à la maison pour les tâches domestiques à quoi bon elles se marieront tôt ou tard.... La voilà la réalité en 2007

...............................................

Pouvez vous ( le CITOYEN ,MARNES ) nous prouvez ( chiffres à l'appui ) que ces déclarations sont fausses car c'est trop facile de tout remettre en question.

A vous lire,le Maroc marche à reculons.

L'optimisme beat est une tare tout comme le nihilisme .

La critique constructive vous connaissez?
l
11 mars 2007 19:39
"LES MISERABLES"..euh..c'est un titre euh...qui correspond à un livre je crois..euh..et à une époque bien définie..mais toujours d'actualité on dirait...
l
11 mars 2007 19:43
"Le mois de septembre de chaque année est une aubaine pour l’armée de mendiants qui d’habitude hantent les rues en quête de quelques centimes par-ci ou par-là, et généralement en crise d’imagination pour convaincre de leur état pitoyable quelques donateurs de moins en moins crédules et de plus en plus égoïste; en ce sens que la rentrée scolaire fait rapidement céder les âmes sensibles fortunées à la tentation d’apporter un peu de bonheur à quelques enfants miséreux entassés devant les librairies avec des listes de fournitures scolaires…Une fois achetées et offertes aux petits indigents, ces dernières retournerons aux librairies à partir du lendemain contre 50 ou même 20% de leur prix initial. Interrogé à ce sujet un père de famille nécessiteux répond sans gêne :

« Je dois d’abord apprendre à mes enfants comment se nourrir! »

C’est là une réponse parfaitement cohérente malgré son âpreté car comment songer à nourrir l’esprit de ses enfants alors que leurs estomacs sont vides ?"


Source: Parole de caïd [www.activcontact.com]
l
11 mars 2007 19:48
"Tant que l’on enregistrera l’absence d’une politique saine, d’une stratégie professionnelle et d’une volonté réelle d’améliorer la situation, l’Enseignement, dans le sens noble du terme, ne restera pas en crise mais demeurera inexistant en terme d’institution scientifiquement élaborée. C’est malheureusement la seule conclusion honnête que nous pouvons tirer en ce moment à propos de ce volet ou de cet aspect de la vie de notre nation que le makhzen a gangrené. Et ce n’est surtout pas un homme adorant s’afficher à la télévision comme monsieur Habib El Malki, l’actuel ministre (2005), encore un socialiste rasséréné, accumulant les échecs d’un ministère à l’autre, qui va sauver le Maroc en matière d’enseignement..."

Même source
l
11 mars 2007 19:50
..ce n'est donc pas la peine zaki, il n'y a rien à défendre...!
l
11 mars 2007 19:54
Citation
Ouldlablad a écrit:
Citation
MARNES a écrit:
Des milliers de familles retirent leurs enfants de l'école faute de moyens financiers, fournitures, cantine, internat, vêtements....certains enseignants font même redoubler des enfants car ils n'ont pas reçu leur pourboire, dans ces cas les parents préfèrent envoyer les enfants "apprendre un métier" à la ville pour les garçons et faire la bonne pour les filles ou juste rester à la maison pour les tâches domestiques à quoi bon elles se marieront tôt ou tard.... La voilà la réalité en 2007

...............................................

Pouvez vous ( le CITOYEN ,MARNES ) nous prouvez ( chiffres à l'appui ) que ces déclarations sont fausses car c'est trop facile de tout remettre en question.

A vous lire,le Maroc marche à reculons.

L'optimisme beat est une tare tout comme le nihilisme .

La critique constructive vous connaissez?

C'est plutôt à eux de prouver que leurs chiffres sont exactes..or comme ils n'ont aucune crédibilité parce que tout le monde sait que ce sont des menteurs...
Il ne faut pas prendre les marocains pour des deumeurés..et ce n'est pas avec leurs mensonges "constructifs" qu'ils vont gagner en crédibilité...
l
11 mars 2007 19:56
En fait, dix (10) personnes ont été alphabétisés pour les faire passer à 2M...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/03/07 19:58 par le citoyen.
M
11 mars 2007 19:59
OULDLABLAD, les chiffres ne m'intéressent pas, on sait tous qu'on peut en faire ce que l'on veut pour tromper le peuple, vois juste en France où soit-disant il y a la transparence et la démocratie, ce qui m'intéresse c'est le terrain, et moi je ne vais pas passer toutes mes vacances à me dorer la pillule,ni à me prendre pour une touriste, ce qui m'attire c'est le "Maroc profond" comme dirait l'autre, soit tu vis sur une planète soit tu nies la réalité et veux par orgueil montrer qu'au Maroc koulchi labasse hamdoulah, c'est ton problème, en tout cas moi la réalité je la connais.
O
11 mars 2007 20:28
Citation
le citoyen a écrit:
Citation
Ouldlablad a écrit:
Citation
MARNES a écrit:
Des milliers de familles retirent leurs enfants de l'école faute de moyens financiers, fournitures, cantine, internat, vêtements....certains enseignants font même redoubler des enfants car ils n'ont pas reçu leur pourboire, dans ces cas les parents préfèrent envoyer les enfants "apprendre un métier" à la ville pour les garçons et faire la bonne pour les filles ou juste rester à la maison pour les tâches domestiques à quoi bon elles se marieront tôt ou tard.... La voilà la réalité en 2007

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Pouvez vous ( le CITOYEN ,MARNES ) nous prouvez ( chiffres à l'appui ) que ces déclarations sont fausses car c'est trop facile de tout remettre en question.

A vous lire,le Maroc marche à reculons.

L'optimisme beat est une tare tout comme le nihilisme .

La critique constructive vous connaissez?

C'est plutôt à eux de prouver que leurs chiffres sont exactes..or comme ils n'ont aucune crédibilité parce que tout le monde sait que ce sont des menteurs...
Il ne faut pas prendre les marocains pour des deumeurés..et ce n'est pas avec leurs mensonges "constructifs" qu'ils vont gagner en crédibilité...

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Ils sont peut etre pas credibles mais ce n'est pas toi ,qui fait dans la critique reductrice qui sera ,en mesure , de nous prouver le contraire.

Sache qu'a force de jouer au " raleur " en permanence, on finit par lasser.

En attendant , continue ton cinema .Tu dois surement en faire rigoler certains.
b
11 mars 2007 20:42
Et pour quoi cet acharnement le citoyen?
Avez-vous d'autres sources que votre propre?
Si c'est non, laissez l'info tranquille. Merci
z
11 mars 2007 20:45
"les chiffres ne m'interessent pas", c'est exactement ce que Basri disait...
O
11 mars 2007 21:09
Citation
MARNES a écrit:
OULDLABLAD, les chiffres ne m'intéressent pas, on sait tous qu'on peut en faire ce que l'on veut pour tromper le peuple, vois juste en France où soit-disant il y a la transparence et la démocratie, ce qui m'intéresse c'est le terrain, et moi je ne vais pas passer toutes mes vacances à me dorer la pillule,ni à me prendre pour une touriste, ce qui m'attire c'est le "Maroc profond" comme dirait l'autre, soit tu vis sur une planète soit tu nies la réalité et veux par orgueil montrer qu'au Maroc koulchi labasse hamdoulah, c'est ton problème, en tout cas moi la réalité je la connais.

...............................................

Je connais beaucoup mieux la réalité marocaine dans la mesure ou je vis dans le meme pays , depuis plus de 50 ans .

A aucun moment,tu ne m'as vu dire que tout va bien dans le meilleur des mondes et que les tares n'existent pas au Maroc.

J'ai milité dans un parti de gauche quand militer était synonyme de prison et les couches déshéritées j'en connais un coin.

J'aurai réagi de la mémé façon si un forumiste ne cessait de faire des louanges au régime.

Dans un forum ,il est nécessaire , pour qu'il y ait un meilleur intérêt pour les débats qu'il n'y ait ni des beni oui-oui,ni des béni non-non ( genre le citoyen).

Je deteste , tout simplement, les excés de part et d'autres .L'age , peut etre ?
M
11 mars 2007 23:00
Absence d'alternatives :
l'école défaillante

Association BAYTI
Interview du Dr Najat M'jid


"Le manque d’alternatives est une des causes, et non des moindres, de l’accès à la rue. Parmi celles-ci, il faut citer : l’école, l’enseignement pré-scolaire, le troisième temps

1- l’Ecole
Son accès, malgré la gratuité, n’est pas donné à tout le monde : fournitures scolaires, vêtements…
Une fois cet obstacle franchi, l’enfant découvre son école :
· Classes surpeuplées
· Mobilier vieux, bancal
· Murs sales, parfois décorés en fonction de la bonne volonté de l’enseignant
· Cour dénuée de tout accessoire ludique
· Bibliothèque inexistante
· Sanitaires souvent insalubres
· Cantines souvent inexistantes ou non-fonctionnelles

En ce qui concerne les aspects pédagogiques :
· Programmes pédagogiques archaïques
· Instituteurs souvent démotivés
· Savoir souvent dispensé à coups de règles de bois
· Approche participative, pédagogie à la carte, développement de l’esprit d’analyse, créativité, dialogue élèves-enseignants, projets de classe : ne figurent pas dans le «lexique scolaire»

Les plus téméraires s’accrochent mais un autre obstacle surgit : qui va les aider à assurer correctement cette montagne de devoirs à faire à la maison ? Les parents ? S’ils sont analphabètes, la question ne se pose plus.

S’ils ont un degré de savoir, la supervision des devoirs se fait très fréquemment, à coups de ceinture.

La relation parents-enseignants se résume à des convocations émises par l’école, devant l’absentéisme ou les mauvaises notes de l’enfant. En ce qui concerne le savoir, nous constatons que, tant les parents que les enfants ne considèrent plus l’accès au savoir comme une priorité, prétextant l’important taux de chômage affectant les diplômés. L’apprentissage est largement encouragé. On constate de plus en plus, dans la même famille, un garçon scolarisé (exceptionnellement une fille), l’aînée des filles restant à la maison (assistante-maternelle), les autres garçons en apprentissage, les autres filles placées comme petites bonnes.

L’école rurale présente, quand elle existe, tous les aléas possibles et inimaginables :
· Très grande distance entre l’école et le douar
· Mixité, d’où le faible taux de scolarisation des filles
· Infrastructure rudimentaire
· Pas de programmes adaptés au contexte
· Enseignants mutés contre leur gré et peu enclin à se dépasser

Après l’enseignement primaire, les perspectives sont nulles. La réforme de l’enseignement, longtemps en gestation, n’a toujours pas vu le jour et ce malgré de beaux écrits (Charte Nationale d’Education et de Formation)

2 - l’enseignement pré-scolaire
Avant l’entrée au primaire (6 ans), l’enfant traîne dans les jupons de sa mère ou de sa sœur, ou encore dans la rue (seul espace ludique disponible et gratuit). Les jardins d’enfants, maternelles, toujours privés, sont une denrée rare dans les quartiers d’origine de ces enfants. Les écoles coraniques font partie du passé. La première enfance, étape capitale du développement psychomoteur (nombreuses acquisitions, socialisation) se déroule quasiment dans la rue, l’enfant livré à lui-même. Pas de guidance éducative, peu ou pas de références. Aucune préparation préalable à la scolarisation : l’école revêtira l’aspect d’une geôle pour un enfant habitué à une liberté, une vie sans horaires, sans règles.

3 - le troisième temps
Bibliothèques, espaces-jeux, lieux de rencontres ne font pas partie de l’environnement de ces enfants, la rue, de nouveau, remplissant ces fonctions. Pour l’heure, il s’agit d’un luxe inutile, dont les élus locaux font fi."

Est-ce suffisant?
c
11 mars 2007 23:11
Industrie: Bataille de chiffres

· Lahlimi et Mezouar, pas d’accord

· Le HCP conteste, le MCI s’explique

· Textile-cuir: du simple au double

Qui dit vrai? Qui dit faux? Le Haut-Commissariat au plan (HCP) s’est fendu, dimanche dernier, d’une note d’information contestant les chiffres 2005 de l’industrie manufacturière. Et de publier à son tour ses propres statistiques. Annoncés à la mi-février par le ministère du Commerce et de l’Industrie (MCI), les indicateurs souffriraient, selon le HCP, de plusieurs lacunes. Le Haut-Commissariat ne cite pourtant pas une seule fois le département de Mezouar directement.
Et d’un, les informations «ne cadrent pas avec celles qui se dégagent des agrégats de la comptabilité nationale». Et de deux, les deux institutions ne retiennent pas les mêmes secteurs. Alors que le MCI en dénombre 5, le HCP travaille, lui, sur 6. Les IMME sont divisées en deux secteurs par le MCI (industries métalliques et mécaniques d’une part, et industries électriques et électroniques d’autre part), tandis que le HCP les regroupe. Par ailleurs, le Haut-Commissariat rajoute à la liste deux autres secteurs. Il s’agit du «raffinage de pétrole et autres produits d’énergie» et «autres industries manufacturières». Rappelons que nombre d’opérateurs économiques n’ont pas caché leur scepticisme au lendemain de l’annonce des chiffres du MCI (cf.www.leconomiste.com).
Pourquoi de telles divergences? Contacté par L’Economiste, le département de Mezouar se défend: «C’est nous qui sommes sur le terrain, nous sommes en contact quotidien avec les entreprises». La différence, selon le MCI, vient tout simplement de la méthodologie retenue. Celui-ci, contrairement au HCP, ne comptabilise que les entreprises ayant un effectif supérieur à 10 employés permanents ou réalisant un chiffre d’affaires de plus de 100.000 DH. En outre, le secteur de l’informel n’est pas compris dans son champ d’investigation, alors que le Haut-Commissariat l’inclut dans le PIB industriel. Enfin, le ministère affirme que la nomenclature officielle exclut les autres secteurs pris en compte par les services de Lahlimi.
Toujours est-il que les différences sont très importantes et laissent perplexe. A titre d’exemple, le MCI annonce, pour l’industrie textile-cuir, une valeur ajoutée de 9,6 milliards de DH alors que le HCP l’évalue à pas moins du… double (18,3 milliards) perplexe. Encore plus étonnant, la chimie/parachimie affiche, selon le Haut-Commissariat, 8,1 milliards de DH soit presque trois fois moins que le ministère (22,3 milliards de DH). Enfin, le département de Mezouar annonçait que l’industrie a gagné 3 points de contribution au PIB. Performance démentie par le HCP qui fait état d’une augmentation d’à peine 0,7 point.
Sur quel pied danser? Aujourd’hui, le HCP annonce que les comptes nationaux seront révisés en juin, sur la base des résultats de l’enquête industrielle du MCI et de ceux de sa propre enquête-emploi. En attendant, cette bataille de chiffres sème le doute chez tout le monde.

Lahlimi commande une étude à Mezouar


Alors que le Haut-Commissariat au plan diffuse toute une note pour contester les chiffres du ministère du Commerce et de l’Industrie, voilà qu’il a rencontré hier les services de Mezouar pour… commander une recherche. Selon nos informations, celle-ci porte sur une étude-produit concernant 3.000 entreprises. Selon une source proche du dossier, le quiproquo sur les chiffres n’a pas déteint sur l’ambiance.

l'economiste

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Peut on faire confience aux statistiques de Mr lahlimi? aprés le bleuf du taux de chomage on est incapable de se decider si ces chiffres sont crédibles ou non



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/03/07 23:34 par crocotype.
M
12 mars 2007 00:00
Citation
Ouldlablad a écrit:
Citation
MARNES a écrit:
OULDLABLAD, les chiffres ne m'intéressent pas, on sait tous qu'on peut en faire ce que l'on veut pour tromper le peuple, vois juste en France où soit-disant il y a la transparence et la démocratie, ce qui m'intéresse c'est le terrain, et moi je ne vais pas passer toutes mes vacances à me dorer la pillule,ni à me prendre pour une touriste, ce qui m'attire c'est le "Maroc profond" comme dirait l'autre, soit tu vis sur une planète soit tu nies la réalité et veux par orgueil montrer qu'au Maroc koulchi labasse hamdoulah, c'est ton problème, en tout cas moi la réalité je la connais.

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Je connais beaucoup mieux la réalité marocaine dans la mesure ou je vis dans le meme pays , depuis plus de 50 ans .

A aucun moment,tu ne m'as vu dire que tout va bien dans le meilleur des mondes et que les tares n'existent pas au Maroc.

J'ai milité dans un parti de gauche quand militer était synonyme de prison et les couches déshéritées j'en connais un coin.

J'aurai réagi de la mémé façon si un forumiste ne cessait de faire des louanges au régime.

Dans un forum ,il est nécessaire , pour qu'il y ait un meilleur intérêt pour les débats qu'il n'y ait ni des beni oui-oui,ni des béni non-non ( genre le citoyen).

Je deteste , tout simplement, les excés de part et d'autres .L'age , peut etre ?


Si j'ai une quelconque rancoeur, indifférence ou mépris pour mon pays je ne serais pas là, mon temps est sacré et je en faire un tout autre usage, pourtant je suis là; je suis fière d'être marocaine, fière de mon pays, de son folklore, de sa diversité culturelle, de son peuple, de ses paysages, de son art, de son accueil, (de ses sardines).....et je peux continuer toute la nuit.

Depuis l'avènement du roi actuel, le Maroc fait des avancées extraordinaires et ce n'est qu'un début.
Seulement je ne peux me contenter de l'essor économique et constater sur place que ce que vivaient nos grand-parents nos cousins le vivent encore en 2007, il y a encore beucoup à faire dans le social, pourquoi ne pas profiter de ces investissements financiers pour mettre en place une politique social de la famille, de l'éducation, de la santé etc.

Ce n'est qu'en pointant du doigt là où ça fait mal que l'on peut avancer et ma nature n'est ni dans la résignation ni dans l'angélisme.

Notre objectif et désir n'est-il pas de voir un Maroc plus fort et plus solidaire afin de leur rendre ce qu'ils lui donnent chaque jour: l'amour
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