Au début un état de choc, d'incompréhension et de colère suivie d'une grande réflexion, et une envie de se battre pour guérir mais au même temps envisager que ça puisse mal tourné et préparé sa disparition auprès de ses proches et dieu.
Pour autant que j'aie pleine conscience. Mettre en ordre les affaires courantes, transmettre les choses qui sont à transmettre, partager ce qu'il faut partager, parler avec ceux avec lesquels il pourrait il y avoir eu un malentendu, me préparer avec mes proches (entre autres, dédramatiser, afin que ces proches soient moins tristes), profiter de la nature et de toutes les merveilles qui nous entourent et qui sont gratuites.
Quand à Dieu, pour autant que ce qui précède soit fait et que je sois à jour avec Lui, je n'aurais rien à faire de plus.
Accessoirement, si mes moyens me le permettent, déguster un verre du meilleur vin avec des proches et des amis, afin de vivre des moments de convivialité.
Après ça, même si on le sait un an à l'avance, on sait le jour, mais on ne sait pas l'heure.
Quand l'être humain montre la Lune, Bôfbôfbôf le chien regarde le doigt.
Les chiens aboient, la caravane passe.
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