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Plan américain « Grand Moyen-Orient »
s
27 janvier 2006 22:01
Le hold up américain sur le pétrole irakien se poursuit non sans difficulté. Les espoirs placés en Ahmed Chalabi qui avait promis monts et merveilles au lobby pétrolier US et aux Israéliens, ont été déçus ; il s’avère que le pipeline qui devait acheminer le brut irakien vers Haïfa est impossible à protéger. De plus, les Arabes et les Turcomans ne se laissent pas expulser facilement de Kirkouk (1).
Le projet néo conservateur de « zone de prospérité » au Proche- Orient financé par l’or noir irakien, dont Israël aurait été le principal bénéficiaire, a été balayé par les réalités. Les Etats-Unis ont bien une solution de rechange, mais elle est toute aussi incertaine. Elle passe en effet par le renversement du Président Bachar Al-Assad et la création d’un Etat kurde au nord de l’Irak.


En mai 2001, l’« Energy Policy Development Group » du Vice-président Dick Cheney a demandé que la « sécurité énergétique » soit une priorité du commerce et de la politique étrangère américaine, justifiant par là au nom d’« intérêts vitaux » la programmation de l’agression contre l’Irak. Depuis, les Etats-Unis sont en guerre... et ils le seront, d’après James Woolsey, directeur de la CIA sous Bill Clinton, « pour plusieurs décades... pour le pétrole » (2). Aujourd’hui, bien que sa production pétrolière soit en chute libre, c’est au tour de la Syrie d’être dans la ligne de mire. Motif : elle est sur le passage des oléoducs kurdes destinés à faire de Haïfa la Rotterdam de la Méditerranée, et ses dirigeants ne sont pas disposés à reconnaître Israël.

Israël et le pétrole irakien
Les dirigeants israéliens rêvent depuis 1948, date la création de l’Etat hébreu, le la réouverture de l’oléoduc Kirkouk-Haïfa. Pour y parvenir ils ont tout essayer, y compris de traiter avec le « diable », c’est-à-dire... avec Saddam Hussein (3).

La fermeture de l’oléoduc Kirkouk-Banyas par la Syrie en 1982, pour soutenir l’Iran en guerre avec l’Irak, donna l’occasion à Yitzhak Shamir de proposer à Bagdad d’exporter son pétrole par Haïfa. Le Président irakien refusa.

Hanan Bar-On, sous-directeur au ministère des Affaires étrangères israélien revient à la charge deux ans plus tard en appuyant la proposition de Bechtel de construire un pipeline Kirkouk-Aqaba qu’un certain Donald Rumsfeld est allé « vendre » en décembre 1983 et mars 1984 à Saddam Hussein. Nouveau refus du Président irakien.

En 1987, Moshe Shahal - ministre israélien de l’Energie - fait étudier cette fois la possibilité d’exporter le pétrole irakien vers Haïfa, mais via le Golan. Le projet est abandonné en raison du déclenchement de guerre du Golfe de 1991.

Il fallu attendre le vote de l’Iraq Libération Act par Bill Clinton en octobre 1998 pour que la question de l’acheminement du brut irakien revienne à l’ordre du jour. L’opposition à Saddam Hussein est ainsi financée officiellement. Les Israéliens jettent leur dévolu sur Ahmed Chalabi qui a été lâché par la CIA et le Département d’Etat, et qui cherche à relancer sa carrière. Ils l’invitent à Tel Aviv où il s’engage à établir des relations diplomatiques avec Israël s’il arrive au pouvoir, et à rouvrir le pipeline Kirkouk-Haïfa. Son neveu Salem - futur responsable de la débaassification - se lie à Benyamin Netanyahou avec qui il s’entend pour octroyer des compensations aux juifs ayant quitté l’Irak dans les années 50. Le chiffre avancé est de 30 milliards de dollars, montant faramineux devant être payé en pétrole.

Opérations « Shekhinah » et « Matador »
Parallèlement au bombardement de Bagdad en 2003, l’Etat-major US lance l’opération « Shekhinah » (Présence de Dieu, en hébreu) (4) pour s’emparer de la bretelle de l’oléoduc de Haïfa. Des SAS britanniques et australiens, et une compagnie des Forces Spéciales américaines, prennent position près des stations de pompage H1 et H3 situées entre Al-Haditha et la frontière jordanienne. Après le renversement de Saddam Hussein, leurs campements sont transformés en bases militaires. H1 (rebaptisée Haïfa 1), H2 (surnommée « Corean Village ») et H3 (Haïfa 3), sont dotées d’un petit aéroport.

Mais en Irak, rien ne se déroule comme les néo conservateurs l’avaient imaginé. L’étoile d’Ahmed Chalabi décline, son neveu Salem quitte précipitamment Bagdad, accusé de meurtre. L’établissement de relations diplomatiques entre l’Irak et Israël n’est plus à l’ordre du jour. La montée en puissance de la résistance compromet la réfection du pipeline vers Haïfa. Les Israéliens révisent alors leurs plans. Ils misent désormais sur « l’option syrienne », c’est-à-dire le changement de régime à Damas. Deux projets sortent des tiroirs : celui de l’oléoduc Mossoul- Haïfa, et celui de la bretelle reliant le terminal au Kirkouk- Banyas, Elle serait branchée juste après la frontière syrienne ou au niveau de Homs.

En juin 2005, les Américains lancent l’opération « Matador » près de la frontière syrienne, dans la région d’Al-Qaïm, ainsi qu’au nord le long de l’axe Mossoul - Tell Afar - Sindjar. Sous prétexte d’éliminer « Zarqaoui » et ses partisans, ils ratissent les alentours des bases H1, 2 et 3 qui devraient servir en cas d’invasion de la Syrie. La bataille de Tell Afar dirigée contre les Turcomans hostiles à la main mise kurde sur les ressources de leur région, tournera au massacre de civils comme à Falloujah.

Le Kurdistan, 6ème puissance pétrolière mondiale ?
La création d’un Etat kurde au nord de l’Irak fait partie du plan américain « Grand Moyen Orient ». Mais, tout le monde sait qu’un Kurdistan indépendant n’est viable qu’avec Kirkouk, ses champs pétroliers et ses gisements gaziers. Pour Massoud Barzani et Jalal Talabani - les deux chefs kurdes provisoirement réconciliés - les priorités sont donc les suivantes : intégrer la cité pétrolière dans la région kurde, « nettoyer ethniquement » la zone Soulimaniya -Sindjar, et développer la recherche pétrolière.

Pour commencer, les milices kurdes terrorisent les populations indésirables - Arabes, Turcomans, Assyriens, bédouins Chammars - et leur font comprendre qu’elles n’ont pas leur place dans le Kurdistan de demain. Un terrain d’entente est recherché avec les Yézidis, que Barzani considère comme kurdes, mais surtout qui contrôlent les monts Sindjar surplombant le tracé du pipeline Mossoul-Haïfa.

A Kirkouk, l’équilibre ethnique est déjà modifié en prévision du référendum local prévu en décembre 2007 sur l’avenir de la cité. Mais on voit mal comment - autrement que par la violence - les Kurdes pourront expulser les Turcomans du reste de leur région. Ils sont entre 2 et 3 millions sur un territoire - baptisée Turkmeneli - qui s’étend sur 25 000 km2 de la frontière iranienne - au sud de Halabja - et de Kut jusqu’à Tell Afar (5). La Turquie ne l’accepterait jamais.

Le nouvel Etat kurde, s’il voit le jour, sera la 6ème puissance pétrolière du monde... C’est du moins ce que disent les experts pétroliers kurdes. Pour y parvenir, la mise en valeur des champs répertoriés par l’Iraq Petroleum Company(IPC) dans les années 50 et 60 (6) est menée au pas de charge, sans concertation avec Bagdad, notamment à Chamchamal (à l’est de Kirkouk), Raq Taq 1 et 2 (près de Koi Sinjak), et Demir Daagh (à 15 km au nord ouest d’Erbil).

Dès mai 2003, Jalal Talabani qui contrôle la région de Soulimaniya, avait autorisé Petoil et General Energy - deux sociétés turques - à s’installer à Taq Taq. Depuis, elles se sont associées au groupe kurde Eagle et à Heritage Oil Corporation - une société canadienne dirigée par Micael Gulbenkian, le petit fils du légendaire Callouste Gulbenkian, surnommé « Monsieur 5% » - pour étendre leurs recherches. En novembre 2005, une nouvelle étape a été franchie quand Massoud Barzani a donné à la société norvégienne DNO l’autorisation de prospecter à Tawuke, un champ qui s’étend sur une quarantaine de kilomètres à l’est de Zakho, et qui est considéré comme très prometteur.

La menace brandie par Hussein Al-Sharistani (6), conseiller de l’ayatollah Sistani et porte parole de l’ « Assemblée nationale », de considérer comme sans valeur les contrats de prospection et de production signés sans l’accord du ministère irakien du Pétrole (7), laisse Jalal Talabani, par ailleurs « Président » de la République, totalement indifférent : il sait qu’il bénéficie du soutien officieux des Etats-Unis et d’Israël.

Déstabiliser la Syrie
La campagne de déstabilisation de la Syrie s’explique mieux quand on prend en considération les plans américano-israéliens d’acheminement du pétrole irakien. La position de la France aussi. Comme en Afghanistan, où l’enjeu réel de la guerre était le passage d’un pipeline, les Etats-Unis veulent installer au pouvoir à Damas un régime allié, c’est-à-dire permettant l’alimentation du terminal de Haïfa en pétrole « kurde ».

Dans ce contexte, on est en droit de se demander si le pétrole est totalement étranger à l’assassinat de Rafic Hariri. Une bretelle du Kirkouk-Banyas a pour terminal Tripoli, où les Américains veulent construire une base militaire stratégique. On sait que l’ancien Premier ministre libanais était hostile au projet (8). Le cheikh Abdel Amir Kabalan, vice-président du Conseil supérieur chiite du Liban, a eu raison de dire au Juge belge Serge Brammertz, successeur de Detlev Mehlis, d’« ouvrir tous les dossiers et dans toutes les directions, sans que l’enquête ne porte sur une seule partie » (9).

(26/1/06)


Gilles Munier

P.S. Notes :
(1) La poudrière de Kirkouk, par Gilles Munier (AFI-Flash n°40 - 27/1/05)
(2) Report on the Annual Policy Forum of The American Council On Renewable Energy (ACORE)
(3) The Pipeline to Haifa, Israeli Minister Dreams of Iraqi Oil par Akiva Eldar (Avril 2001)
[www.counterpunch.org]
(4) L’opération était inspirée d’un projet israélien ajourné en 2001. C’est la raison pour laquelle son nom de code est tiré de la Torah, rappelant la « Shekhinah » qui serait remontée aux cieux lors de la destruction du Temple de Jérusalem par le roi mésopotamien Nabuchodonosor en 567 avant JC.
(5) Lettre du Docteur Hassan Aydenly - Président du Comité de Défense des Droits des Turkmènes irakiens -au journal « Le Monde ». [members.lycos.nl]
(6) Conseiller de la Commission irakienne pour l’énergie atomique jusqu’en 1979. Il a apporté son soutien à Colin Powell qui accusait Saddam Hussein de posséder des armes de destruction massive. Dans Al-Sharq Al-Awsat (15/4/01) il affirmait que sans la guerre du Golfe de 1991, l’Irak aurait « à six mois près » possédé la bombe atomique. [www.voltairenet.org]
(7) Kurds challenge Baghdad over oil-exploration rights, par David Axe (The Washington Times - 14/1/06) [www.uruknet.info] ?s1=2&p=19630&s2=15
(8) Mais qui a assassiné Rafic Hariri ? par Gilles Munier (AFI-Flash n°42 - 21/2/05)
(9) L’Orient-Le Jour (21/1/06)

Contact : [email protected]
siryne
N
27 janvier 2006 22:17
Il faut déjà réussir en irak avant de faire des projets aventuriers de ce genre.




"Le hold up américain sur le pétrole irakien se poursuit non sans difficulté. Les espoirs placés en Ahmed Chalabi qui avait promis monts et merveilles au lobby pétrolier US et aux Israéliens, ont été déçus ; il s’avère que le pipeline qui devait acheminer le brut irakien vers Haïfa est impossible à protéger. De plus, les Arabes et les Turcomans ne se laissent pas expulser facilement de Kirkouk (1).
Le projet néo conservateur de « zone de prospérité » au Proche- Orient financé par l’or noir irakien, dont Israël aurait été le principal bénéficiaire, a été balayé par les réalités. Les Etats-Unis ont bien une solution de rechange, mais elle est toute aussi incertaine. Elle passe en effet par le renversement du Président Bachar Al-Assad et la création d’un Etat kurde au nord de l’Irak."



et comment sait on des informations au look ultra secret dont la presse n'a jamais fait la une.
s
28 janvier 2006 13:13
Campagnes militaires au Moyen-Orient
COMMENT DÉSAMORCER UNE ESCALADE FUNESTE ?

27 janvier 2006

par Jacques Dumont

J’ai assisté en direct, comme plusieurs citoyens du monde, aux incroyables événements survenus en ce fatidique mardi 11 septembre 2001. Aux sentiments de surprise et d’incrédulité, se mêlait une impression viscérale que ces attentats n’auraient jamais pu se produire sans une défaillance majeure des mécanismes sophistiqués de la Défense et du Renseignement américains. Aujourd’hui, après plus de 4 ans de recherches et d’échanges avec différentes personnalités oeuvrant au sein de diverses sphères d’activités, à l’instar d’ailleurs d’un nombre grandissant de citoyens de par le monde , j’ai acquis la profonde certitude que ces événements fondateurs sont en fait l’œuvre de factions conservatrices radicales internes, appartenant fort probablement aux milieux de la Défense et du Renseignement états-uniens .

Aussi rebutante soit-elle, l’idée que ces attentats résultent d’une action menée de l’intérieur est à ce jour la seule qui explique de façon raisonnable l’incroyable faillite des services de renseignements et l’incapacité la plus totale d’interception de la Défense américaine, dont les budgets cumulent pourtant des centaines de milliards de dollars US ! Non vraiment, après des années de recherches, d’échanges et d’analyses, une seule conclusion s’impose : le 11 septembre 2001 découle d’une opération militaire complexe, préparée de longue date par une branche radicale liée à la Défense et au Renseignement (l’attaque contre le Pentagone indique sans équivoque l’implication d’éléments militaires haut placés) . L’extraordinaire convergence d’intérêts états-uniens dans l’actuelle fourchette de l’histoire (sur fond de crise économique) entre complexe militaro-industriel , cartels pétroliers et oligarques corrompus , explique en partie la réussite de l’opération et le confortement de la "thèse officielle" du complot islamiste.

Les arguments qui militent le plus en faveur de cette hypothèse troublante défilent pourtant devant nos yeux depuis ce fameux 11 septembre 2001 :

L’invasion de l’Afghanistan et de l’Irak sous de faux prétextes (ADM, liens supposés entre le régime Hussein et Al Qaïda), alors même que les plans de ces campagnes militaires datent de bien avant le 11 septembre 2001 et ce, en complète violation du Droit international ;

La mise en place et la promulgation quasi simultanées de mesures anticonstitutionnelles et liberticides sans précédent , préparées elles aussi avant le 911 ;

L’augmentation faramineuse des budgets de la Défense et du renseignement (43 % en 4 ans) fait de ces milieux les grands bénéficiaires, en dépit de l’incroyable incompétence dont ils ont fait preuve lors des attentats ; ce, malgré les milliards investis au cours des ans ;

Plus que tout, l’ahurissant corollaire entre cette trame d’événements post 911, ci haut mentionnés et les orientations d’une certaine doctrine militaire, fortement ancrée au sein de la droite conservatrice américaine, dont curieusement les grandes lignes guident aujourd’hui la Stratégie de sécurité nationale de la Maison Blanche .

Cette "guerre contre le terrorisme", dans laquelle on nous a déjà entraînés , sert en fait de prétexte au détournement massif des fonds publics vers l’armée et le contrôle des citoyens. Ultime supercherie (avant c’était la menace communiste...) , elle semble surtout destinée à occulter la féroce envie d’hégémonie mondiale du gouvernement américain et la spoliation des ressources naturelles des pays composant "l’axe du mal" ; statut vite octroyer aux régimes dissidents...

Cette tangente périlleuse, adoptée unilatéralement par l’administration Bush, nous offre cependant de bien sombres perspectives . Il faut ne pas s’y connaître en géopolitique pour s’imaginer que les grandes puissances rivales vont regarder le train passer sans réagir. La Chine et la Russie , entre autres, ont déjà prisent des mesures qui s’apparentent de près à une nouvelle course aux armements. Plus inquiétant encore, des "fuites" dans la presse américaine rapportaient récemment que l’administration Bush prévoyait l’utilisation d’armes nucléaires tactiques (mini-nukes) dans le cadre de frappes préventives imminentes contre l’Iran . Il est utile de rappeler ici que ce pays a dernièrement signé d’importants accords de coopération militaire avec la Russie, ainsi que des contrats de fourniture en gaz naturel chiffrés à plusieurs milliards de dollars avec la Chine .

Comment s’extirper de cette dynamique militaire qui représente un grave péril pour l’ensemble des citoyens de cette planète ? D’abord sortir de ce confort et de cette indifférence qui nous caractérisent si bien , nous les occidentaux. Puis, réaliser que les événements tragiques du 11 septembre 2001, qui ont rapidement conduit à la mise en place de ce "Nouvel Ordre Mondial" , dérivent non pas d’un sulfureux complot islamiste (les preuves formelles de l’implication de Ben Laden promises par l’administration Bush n’ont toujours pas été fournies), mais bien d’une action menée de l’intérieur. Ce n’est qu’en perçant au grand jour cette sombre machination du 11 septembre 2001 que le momentum du changement de paradigme sera disponible. Car il faudra un choc aussi grand que celui provoqué par les attentats eux-mêmes pour réussir enfin à inverser le processus enclenché par ces éléments bellicistes du pouvoir américain.

C’est la démarche qu’ont choisie quelques courageux citoyens américains, véritables patriotes, grandement préoccupés par les déviances de l’administration Bush. Leur vigilance et leur engagement méritoires ont conduit à la production de deux documentaires (" CONFRONTING THE EVIDENCE , a Call to Reopen the 9/11 Investigation " et " PAINFUL DECEPTIONS " .) importants qui mettent sérieusement en doute la fable officielle du gouvernement américain . Il est évident que le succès de cette démarche repose essentiellement sur la diffusion à grande échelle de ces éléments d’appréciations, occultés par les grands réseaux nationaux d’information , autant européens qu’américains .

L’histoire jugera sévèrement les véritables auteurs de ces attentats, mais également tous ceux restés silencieux, en particulier ceux ayant eu accès à quelques formes de tribunes que ce soit et dont la responsabilité première était justement d’informer les gens .

Quelques références incontournables :
Côté littérature :

GUERRE ET MONDIALISATION, la vérité derrière le 11 septembre Michel Chossudovsky (Éditions Écosociété, Montréal, 2002), professeur d’économie politique à l’Université d’Ottawa
Autre site intéressant auquel il collabore sur une base régulière : ici et ici (articles en français)

THE NEW PEARL HARBOR :
Disturbing Questions about the Bush Administration and 9/11"
David Ray Griffin , un théologien américain au parcours impressionnant.
Livre diffusé gratuitement sur Internet aux coordonnées suivantes.
Diffusion complète d’une conférence donnée par Griffin à l’University du Wisconsin à Madison, le 18 Avril 2005 (chargement rapide du fichier vidéo d’excellente qualité)
11 Septembre - Omissions et manipulations de la commission d’enquête David Ray Griffin (Éditions Carnot, avril 2005.)
11 septembre : le grand bluff ? Sacha SHER , Historien spécialisé sur l’histoire du Cambodge, un de ses essais figure sur le site de l’Institut Pierre Renouvin (Université de Paris)
L’ouvrage, très bien documenté, est diffusé gratuitement sur le Web à ces coordonnées : Cliquez
The Price of Loyalty : ... Paul O’Neil, ancien secrétaire au Trésor de George W. Bush .
" US plotted Iraq invasion long before 9/11..." Paul O’neil : ici et ici
La Guerre des Bush Éric Laurent, éditions Plon, 250 p, 2003.
La face cachée du 11 septembre Plon, 2004. (Très révélateur)
Against All Enemies : Inside America’s War on Terror
Contre tous les ennemis : Au coeur de la guerre américaine contre le terrorisme Richard Clarke, ancien haut responsable de la lutte antiterroriste de l’administration Bush Aux éditions Albin Michel . _liberation.com _solidariteetprogres
Le pentagate
L’effroyable imposture Thierry Meyssan, Editions Carnot ,7 mars 2002. Après des études de sciences politiques, Thierry Meyssan a animé une association internationale de défense des libertés individuelles, puis s’est orienté vers le journalisme d’investigation. Son parcours l’a conduit aussi bien à devenir expert pour les droits de l’homme auprès de la Conférence sur la Sécurité et la Coopération en Europe (CSCE) que rédacteur en chef du mensuel Maintenant. Il préside le Réseau Voltaire. _pentagate.info _effroyable-imposture
Ben Laden : La Vérité interdite Gallimard 27 mai 2002 . Guillaume Dasquié, trente-cinq ans, est journaliste, spécialiste en géopolitique et renseignement économique. Rédacteur en chef d’Intelligence Online, enseignant en DESS à Marne-la-Vallée, il a publié Sécrètes affaires en 1999.
Jean-Charles Brisard, 33 ans, fut conseils d’un représentant et d’un sénateur américains puis responsable d’u renseignement économique au sein d’un grand groupe International.
Dans un rapport de référence mondiale consacré à "L "environnement économique d’Oussama Ben Laden", publié ici pour la première fois, il révéla I ’ampleur des réseaux financiers du terrorisme. II dirige aujourd’hui une société d’investigations...
Monopoly, l’OTAN à la conquête du monde ;
Poker menteur.
ATTENTION MEDIAS ! Michel Collon , éditions EPO , Belgique.

Nouvelles connexes :
Steven E. Jones , du département de physique et d’astronomie de la Brigham Young University (UTAH), a récemment mis en ligne sur le site de cette institution une analyse fouillée d’une trentaine de pages qui démontre en 15 points que les tours 1 , 2 et 7 du WTC se sont fort probablement effondrées suite à la mise à feu séquentielle d’un dispositif comportant plusieurs charges explosives (thermite, C4 etc.)
Le site de "REOPEN911" systématiquement piraté :
100 personnalités contestent la version officielle du 11 septembre. (français).
911truth.org (anglais)
De simples citoyens, des intellectuels, des parlementaires commencent à interroger l’administration Bush . Le multi millionnaire Jimmy Walter a édité un DVD, sous-titré en plusieurs langues, pour faire connaître leur travail à un vaste public. Ce document présente, images à l’appui, les nombreuses incohérences de la version officielle. Plus de 350 000 exemplaires ont été déjà diffusés aux États-Unis mêmes
Voltaire (français)
Un ancien conseiller (Morgan Reynolds) de George W. Bush dénonce avec vigueur un complot d’État _portland.indymedia _Voltaire (En français)
Kevin R. Ryan (former laboratory director of a division of Underwriters Laboratories)
L’effondrement de la tour # 7 ...
Andreas von Bülow, ancien ministre allemand de la recherche scientifique, se confie.
Des agents du renseignement américain se regroupent pour témoigner...
Des scientifiques mettent à mal la thèse officielle
911, des pilotes de vols commerciaux doutent ...
L’insubordination du lieutenant-colonel Shaffer, Globalsearch
La preuve en 4 temps

La moitié des résidents de l’état de New York ne croit pas le gouvernement.

L’enquêteur américain Michaël Ruppert analyse et accuse
Réseau Voltaire->[www.reseauvoltaire.net] ]

Stanley G. Hilton , avocat californien fort connu et conseillé juridique pour l’équipe sénatoriale du républicain Bob Dole ; a récemment déposé une poursuite totalisant 7 milliards de dollars US contre plusieurs membres de l’administration Bush . Le dossier de la preuve contiendrait des témoignages de hauts gradés de l’armée américaine. Les incriminations découlant de ces témoignages soutiennent apparemment les thèses les plus folles. Non seulement ces attentats auraient été connues des services de renseignement américains bien avant qu’ils ne surviennent, mais on aurait en plus facilité leur mise en scène ! L’action en justice conduite par Hilton regroupe 400 parents de 14 victimes du 911. Détails sur : truthout.com
politiquedevie.net (Français) .
Un officier chef exécutif républicain conservateur ( Karl W. B. Schwarz , le type paraît être bien informé...) accuse (13/10/2004) le Président Bush de corruption en série ainsi que d’une opération de camouflage et de responsabilité dans le 9-11.
Un théologien américain (David Ray Griffin) attaque la Maison blanche pour sa complicité dans les assauts du 11/09.
« Leurs prétendues preuves ne sont qu’une vulgaire farce ! » Stan Goff , sergent-chef retraité des Forces spéciales de la US Army, a enseigné la science et la doctrine militaires, en particulier la tactique, au Centre d’Entraînement aux Opérations de Jungle à Panama ainsi que la science militaire à West Point.
Une proche victime du 11 septembre accuse Bush.
Un ouvrage prophétique rédigé par Webster G. Tarpley en ...1991 !
11 septembre : Cynthia McKinney, parlementaire démocrate aux USA , questionne Donald Rumsfeld sur l’opération "Gardien vigilant".
Les réflexions judicieuses de l’activiste américain Lyndon Larouche. (français), (anglais)

Deux éléments clés d’appréciation :

La mort du sénateur démocrate PAUL WELLSTONE , de tous les membres de sa famille ainsi que ses attachés politiques dans l’écrasement "accidentel " de son Jet : ( Leader parlementaire farouchement opposé à une intervention armée en Irak ) et indymedia.org

OPÉRATION NORTHWOOD :

Voltaire Pour ceux qui nourrissent une certaine incrédulité à l’effet qu’une faction radicale d’un gouvernement démocratique puisse commanditer des attentats contre sa propre population ; rappelez vous seulement les conditions qui ont conduit à l’instauration des commissions Keable et Macdonald. On se souviendra qu’un agent de la GRC s’était accidentellement fait exploser une bombe entre les mains près des bureaux du parti québécois dans le cadre d’une opération de déstabilisation commandée par le SCRS (contexte de la Crise d’octobre 70) .

Jacques Dumont

Jacques Dumont

P.S.

PS. Toutes les personnes intéressées à recevoir gratuitement le DVD en question ("CONFRONTING THE EVIDENCE , a Call to Reopen the 9/11 Investigation" et "PAINFUL DECEPTIONS"winking smiley n’ont qu’à me joindre à l’adresse suivante :

[email protected]
siryne
a
30 janvier 2006 00:55
La thèse complétement fumeuse du complot sionisto-neo-conservateur du 11 septembre fait par thierry Meyssan et le réseau Voltaire.... Ben voyons et au départ pour lui y'a pas eu d'avion dans le Pentagone mais un camion et après ce n'était plus un camion mais un missile.. Un ramassis de fumisteries.
z
30 janvier 2006 02:34
moi ca me fait tjs rire d'entendre des theses de complots avc etudes scientifiques a l'appui de personnes qui n'ont jamais mis les pieds aux US. Continuez comme ca les arabes, vous atterirez sur la lune en 4050. Ah mince, j'oublias, ca aussi, c'etait juste un montage de l'armee americaine dans le desert du nevada, ils ne sont jamais alles sur la lune...
 
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