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pillage des richesses du sahara oriental...
r
30 décembre 2010 19:27
. le regime totalitaire du fln continue de piller les richesses du sahara orientale pour financer le polisario au detriment du peuple algerien .. les Protestations contre les conditions d'attribution de logements sociaux

· Troubles à Alger, Annaba, Tizi Ouzou …

LES émeutes qui ont opposé durant deux jours police et habitants d'une cité d'Alger, qui réclamaient de meilleurs logements, s'inscrivent dans une contestation sociale sporadique qui touche régulièrement plusieurs villes du pays.
Lundi et mardi derniers, des centaines de jeunes, soutenus par des femmes et des pères de familles de la cité populaire de Diar Echems, ont affronté les forces de l'ordre avec des pierres en les empêchant d'entrer dans ce bastion pauvre situé sur une colline, non loin d'un centre administratif regroupant banques, établissements publics ou privés.
Ils protestaient contre les conditions d'attribution de logements sociaux et leur «mal vie» dans des logements exigus ou insalubres dans ce quartier d'El Madania, alors que les autorités entendaient interdire la construction de baraques de fortune sur un terrain de football adjacent à la cité. L'attribution de logements sociaux provoque régulièrement des manifestations en Algérie, où les couples surtout ont une extrême difficulté à se loger en raison notamment de la démographie qui a fait tripler sa population depuis l'indépendance, en 1962, la portant à 35 millions d'habitants.
Dimanche, à Ouargla, à 800 km au sud d'Alger, des habitants de la commune de Rouissat ont de leur côté bloqué des routes avec des pierres et des pneus enflammés pour protester contre la dégradation de leur environnement par des grands travaux d'assainissement.
Des troubles étaient également signalés à Annaba, grande métropole de l'extrême-est algérien, tout comme à Tizi Ouzou en Kabylie, à 110 km à l'est d'Alger, ou à Boumerdès, à l'est de la capitale.
Ces manifestations très locales sont généralement basées sur l'exaspération des habitants face à des conditions de vie difficiles en raison notamment de services publics jugés déficients: problèmes de logements, de voiries, de coupures électriques ou d'eau et de gaz, note régulièrement la presse algérienne.
Les jeunes en sont souvent les fers de lance. «Les émeutes de ces dernières années sont l'oeuvre rageuse d'une jeunesse désemparée, lourdement frappée par le chômage, l'exclusion et le désespoir», estime Mohamed Hachemaoui, spécialiste en sociologie politique et professeur d'université, cité par le journal francophone El Watan. Elles traduisent «le clientélisme» de l'Etat et «ses ratés», et «sont dans le même temps le symptôme de la crise du politique: le régime politique génère l'émeute, expression extrême et violente de la prise de parole», dit-il en soulignant le manque de dialogue entre population et Etat.
Celui-ci refuse en effet «l'institutionnalisation du conflit social, l'expression autonome des revendications et la représentation politique de la société selon les intérêts en conflit», dit Hachemaoui.
Face à cette contestation, les autorité algériennes mettent en avant les progrès réalisés ces cinq dernières années, durant lesquelles un million de logements ont été construits ou sont en phase d'achèvement, et plus d'un autre million est prévu jusqu'en 2014.
Le projet de loi de Finances pour 2010 prévoit l'équivalent de 10 milliards d'euros pour la politique sociale de l'Etat, la même somme devant être consacrée «à l'amélioration des conditions de vie de la population»: santé, habitat, transports...
s
30 décembre 2010 21:10
Salam,

Je vois pas le rapport entre ton titre et des revendications d'ordre social moody smiley
En plus, t'oublies de mettre ta source !
Bref, ton intention n'est sûrement pas la recherche du débat.
a
30 décembre 2010 22:16
Citation
salmones a écrit:
Salam,

Je vois pas le rapport entre ton titre et des revendications d'ordre social moody smiley
En plus, t'oublies de mettre ta source !
Bref, ton intention n'est sûrement pas la recherche du débat.
Le debat n'a même lieu d'être puisque les généraix pillent toute l'Algerie et non seulement une partie.
Pour défendre une femme , il faut commencer par la respecter Etre tolérant , c'est faire un TOLLE A L'ERRANCE
s
30 décembre 2010 22:47
Le commandant Mahjoub Tobji,
auteur du brûlot “Les officiers de Sa Majesté”

L’officier maudit


Des mémoires maroco-marocaines à la réminiscence approximative, des regards d'outre-mer à l'approche distante laborieusement élaborée; des bonnes feuilles de presse diligemment livrées; nous sont régulièrement administrés. C'est notre passé récent et notre vécu présent qui nous tombent sur la tête. Devant ce déballage en avalanche éditoriale, on écarquille des yeux à la lecture, on tend l'oreille aux commentaires. Des fois on en revient; des fois à peine; des fois pas du tout.
Les derniers habitués des librairies qui n'ont pas perdu le réflexe acquis du compagnonnage livresque et les internautes qui vont à la pêche des mises en bouche avant parution, viennent d'être sollicités par le livre de Mahjoub Tobji Les Officiers de Sa Majesté, publié chez Fayard et mis en vente depuis le 13 septembre 2006. Sur le coup, on hésite entre le livre de plus et le livre en plus. Et puis, avant même d'y entrer, on se dit, quelle que soit l'appréciation sur ce nouveau-né, ou les précédents et les avenants, c'est bien qu'il en soit ainsi.

Hosni Benslimane


Car, rappelez-vous, il fut un temps très proche où, pour écrire sur la dynastie alaouite séculaire et sa succession de monarques, il fallait attendre qu'il y ait prescription historique. Le temps que des historiens d'une énième génération s'emparent, enfin, d'une époque devenue quasi-archéologique et nous parlent de Hassan II comme s'ils nous contaient Moulay Ismaïl, ou, mieux encore, Mehdi Ben Toumert. Évidemment que nous ne serions plus là pour les lire; mais leurs écrits n'auraient aucun impact immédiatement opératoire sur notre continuum actuel. C'est tout l'intérêt, a priori, du livre de Mahjoub Tobji. Nul doute qu'il aura du succès parce qu'il est édité à Paris et parce que le Maroc est devenu vendeur, depuis quelque temps, sur ce registre de littérature. Mais, au-delà, voilà un officier à la retraite qui nous prend par la main et nous fait voyager à l'intérieur de l'armée. C'est une première en son genre.
Un tabou est tombé; un autre verrou est levé; la citadelle hermétique complètement insonorisée renvoie, désormais, des échos de son for intérieur.

Abdelhak Kadiri

C'est cela, aussi, la marque d'une nouvelle manière d'être d'une nation qui n'a plus peur de s'introspecter, y compris sous des angles jadis considérés potentiellement dangereux et strictement interdits au grand public. Il y a comme un processus immunitaire qui s'enclenche, lentement mais sûrement.
Mahjoub Tobji, né le 2 mars 1944 à Meknès, est militaire de carrière. L'appel des armes, il y a succombé très jeune, à l'Académie de Meknès pour sa formation d'officier. Après, son parcours a balancé entre deux pôles, la pratique de la guerre au front et non pas dans une sinécure d'arrière ligne; et la connaissance des grands képis d'état-major.
Deux expériences aussi rudes l'une que l'autre. C'est dans ses souvenirs et jugements sur ces deux extrémités de son itinéraire d'officier que Mahjoub Tobji nous invite à le suivre dans une narration forcément subjective. On le suit volontiers, au regard de son livret militaire, qui le crédite de son intégration dans la Garde royale de 1972 à 1978, de l'équipée élogieuse du Golan en 1973; de la guerre du Sahara, qui ne dit pas son nom, entre 1978 et 1983; et de son titre d'aide de camp de deux grands “patrons” de l'armée marocaine, les généraux Sefrioui et Dlimi. Jusqu'à la mort problématique de ce dernier, un 23 janvier 1983.

Abdelaziz Bennani


Disons-le sans détours, par rapport à une rentrée politique à peine meublée par le renouvellement du tiers-sortant d'une deuxième Chambre menacée d'euthanasie, le livre de Mahjoub Tobji a fait l'événement. La question légitime que l'on se pose, en le feuilletant, est toute simple: qu'est-ce qu'il nous apporte de plus que ce que nous savions déjà, sans jamais avoir été écrit? Et on part à la découverte de réponses décoiffantes et de révélations inédites.
L'armée marocaine, nous dit-il, est sous la coupe d'une caste de gradés qui sont autant de businessmen de haut vol, avec ou sans uniforme. Sur ce chapitre, le commandant Tobji -c'est son grade inchangé et on y reviendra- n'y va pas de main morte. «La prévarication de nombreux généraux et officiers supérieurs marocains est si connue que la presse satirique a même parlé de “généraux de haute mer”, en raison du grand nombre de bateaux de pêche que d'aucuns possédaient»; écrit-il. Pour un scoop qui se voulait fracassant, c'est plutôt raté. Sur ce type de prévarications dénoncées, la presse, pas spécialement satirique, a ratissé plus large en direction des fermes agricoles et des carrières de sable du domaine public généreusement cédées à la nomenklatura militaire. La même presse a même fait état
d'une circulaire confidentielle enjoignant aux heureux bénéficiaires étoilés de se débarrasser de leurs chalutiers par trop voyants, même à ciel couvert dans une mer démontée.

Ahmed Dlimi et Driss Basri.


Dans «cette clique de ripoux et d'incapables», telle qu'elle est littéralement persiflée et pourfendue par Mahjoub Tobji, deux généraux, et pas des moindres, en prennent pour leurs grades: Hosni Benslimane et Abdelaziz Bennani, respectivement commandant de la Gendarmerie royale et inspecteur général des FAR (Forces armées royales) tout en continuant à assurer le commandement de la zone sud, dont fait partie le Sahara marocain. Inversons l'ordre de haine préférentielle, et commençons par le second. Le général Bennani est qualifié de trafiquant de tout ce qui bouge sous couvert militaire, dans le grand Sud marocain. «Il a son dû, écrit-il, sur tout camion franchissant le fameux mur du Sahara, y compris le transit et le commerce de chameaux».
Mais la palme revient à la cible préférée de Mahjoub Tobji, celle qui parcourt tout le livre, le général Hosni Benslimane, abondamment cité et richement décrit. Il ne le rend pas seulement responsable, mais grand ordonnateur de tous les maux qui minent l'armée marocaine, et, pire encore, de tous les dérapages programmés des services sécuritaires. Réel détenteur du pouvoir, d'après lui, sans jamais se mettre en avant, Hosni Benslimane est systématiquement diabolisé.
Une véritable fixation. Pour l'illustration, à ce sujet, par “des morceaux choisis”, il n'y a que l'embarras du choix. Exemples: «Ceux qui le connaissent bien disent de lui que c'est un individu tellement gluant, qu'il est insaisissable, un homme sans foi ni loi qui a depuis belle lurette remisé au placard ses principes et son courage, et vendu son âme au diable par amour du pouvoir».
Et d'ajouter, comme pour enfoncer le clou, «une méchanceté foncière et peu de compétences militaires». En somme, une attaque frontale qui sent à plein nez le règlement de compte. À distance. Et ce n'est pas fini, Hosni Benslimane est accusé d'avoir organisé la distribution de bidons d'essence à des pyromanes embrigadés pour attiser la révolte populaire à Fès, en décembre 1990. Là, comme pour tous les anathèmes à l'encontre du général, Mahjoub Tobji pousse le bouchon trop loin. L'abattage fixatoire atteint des limites peu crédibles, même si l'auteur appelle à la rescousse l'AMDH (Association marocaine des droits de l'Homme) pour accréditer l'implication de Hosni Benslimane dans le fonctionnement et la pérennisation du terrible bagne de Tazmamart.
Au fil des pérégrinations mnémoniques de Mahjoub Tobji, on en arrive à se demander quel traitement il va réserver à des personnages tels Ahmed Dlimi, Hamidou Laânigri, ou Driss Basri. Va-t-il au moins nous éclairer, par des faits jamais avoués, sur les véritables circonstances de la mort “accidentelle” du Général Dlimi? Tout laissait croire qu'il allait cracher le morceau. Et pourtant, rien! Même s'il en a été le plus proche; même s'il a été l'un des derniers à le voir pour des consignes de service; même s'il a été mis au secret pendant vingt mois après la disparition du général Dlimi; même s'il a été, par la suite, maintenu au grade de commandant pendant vingt-deux ans, alors que d'anciens subalternes, sous ses ordres, ont été faits, entre temps, généraux.
Ce n'est pas pour autant qu'il ménage le général Dlimi, qu'il qualifie de «fêtard invétéré», entre autres amabilités. Pourquoi les colonels Ben Athmane, Khamlichi, Taj, Abrouk, Oualit, Haïk et lui-même, sont-ils passés à la trappe? Mahjoub Tobji n'en souffle mot. Pourquoi dit-il trop, par-ci, par-là, sans dire assez, alors que l'on sent qu'il en sait plus qu'il ne dit? Le général Dlimi n'était-il pas, par exemple, sur le point de “tenter sa chance” par une tentative de putsch, après celles de juillet 1971 et août 1972? Avec qui il devait être de mèche dans les milieux militaires et civils?
Là aussi, Mahjoub Tobji est muet comme une carpe. En passant en revue tous ces pontes de l'armée et de la sécurité, Mahjoub Tobji revient constamment à son point de mire, Hosni Benslimane. Les généraux Abdelhak Kadiri et Hamidou Laânigri, ainsi que Driss Basri, tous auraient été instrumentalisés par Hosni Benslimane. Ce dernier, dit-il, «est resté constamment dans l'ombre, manipulant tout un chacun… ». C'est à croire que tous ces gardiens du temple étatique n'ont ni ressorts nerveux, ni un tant soit peu de quant à soi.
À ceci près qu'un zeste, savamment dosé, de sympathie envers Driss Basri exfiltre au travers de plusieurs passages. C'est ainsi que Hosni Benslimane a laissé «Driss Basri occuper le devant de la scène et jouer les boucs émissaires en étant la cible de toutes les critiques».
Mahjoub Tobji a servi au Sahara marocain, pour la défense d'une partie intégrante du territoire national. Il peut se prévaloir de faits d'armes reconnus. Depuis son premier départ en France en 1984, son retour en 1985 et son exil volontaire depuis 2002, beaucoup d'eau a coulé sous les ponts. Lui soutient que c'est plutôt beaucoup de trafic «d'alcool, de corruption et de prostitution» qui ont inondé le Sahara marocain. Il dit aussi qu'il y a eu utilisation «de basses méthodes de police pour tenter d'acheter les populations sahraouies». Il relate également des faits de guerre pure où l'aviation marocaine a mitraillé soldats nationaux et séparatistes du Polisario encadrés par des commissaires algériens. Il dénonce, enfin, le peu de cas réservé à nos militaires tombés sur le champ d'honneur ou faits prisonniers et embastillés à Tindouf. Et de finir par cette conclusion aux allures “d'adieu aux armes”: «Le climat de ni guerre ni paix qui prévaut au Sahara n'a servi que les intérêts d'une poignée de généraux et de colonels algériens et marocains… On a assez dit que la sécurité militaire algérienne était le véritable détenteur du pouvoir à Alger; on n'a malheureusement pas mesuré à quel point la monarchie marocaine est démunie face à sa propre hiérarchie militaire». Ces déductions, qui transpirent l'amertume, peuvent être sujet à débat tant qu'elles se réfèrent à l'homme, aux hommes. Mais pas au territoire. À ce niveau, on ne fait pas que friser l'inadmissible, on y est. Surtout de la part d'un militaire. Quelle que soit sa responsabilité dans ses propres déboires. Plus ou moins recevables.
H
31 décembre 2010 11:08
Si le logement social construit n est pas attribué aux bonnes personnes, c est a dire au personne à revenus modeste , forcément ça crée des frustrations et des révoltes.

Et c est encore plus grave si ce logement social est l objet de spéculations, c est à dire que ceux qui ont l argent et l accés au crédit bancaire en profitent pour acheter des logements afin de les revendre plus cher plus tard ou bien de les louer trés cher .

L attribution n est pas claire, les problèmes persistent , la corruption est la base de ce mal . Les fonctionnaires corrompus ne sont ni punis ni inquiété , c est ça le véritables problème.
r
31 décembre 2010 14:31
L’information s’est répandue à la vitesse de la lumière dans les allées du pouvoir algérien: depuis quelques semaines, Alger cherche un successeur à Mohammed Abdelaziz, leader du Front Polisario depuis près de 30 ans, dont le poste est menacé par des divergences au sein de la direction du mouvement. C’est suite à l’échec du congrès du Mans en Novembre dernier que la décision a semble-t-il été prise au plus haut niveau des hautes autorités militaires algériennes.
En effet, Mohammed Abdelaziz a eu du mal à mobiliser les soutiens traditionnels du Polisario au Mans malgré un « sponsoring » de près de deux millions d’euros de la part de l’Algérie, près de 200 personnes seulement ont fait le déplacement, dont près de la moitié ont reçu un « per diem » de 300 euros. Côté marocain, une manifestation géante de sujets du royaume Chérifien vivant dans la région a empêché la bonne tenue du congrès, et un concert du groupe mythique « Jil Jilala » à constitué le clou final du spectacle. De surcroit, une bonne partie de l’assistance l’ayant hué lors de son discours, Alger a estimé qu’il serait peut-être temps de changer de « leadership » pour le mouvement de guérilla.

Seulement, il semblerait que le vieux chef du Polisario fasse un peu de résistance, et refuse de se voir signifier la fin de son CDI à la tête du mouvement de guérilla sans qu’une confortable « rétribution » pour services rendus ne lui soit allouée, ainsi que le statut de Président de la RASD, qu’il souhaite conserver si le titre de Secrétaire général du Front Polisario venait à lui échapper. Selon des sources proches de la direction du front Polisario, Abdelaziz aurait même fait l’affront suprême d’annoncer lors d’une réunion privée qu’il caresserait le souhait de finir ses jours dans la ville qui l’a vu naître, Marrakech. Un message limpide aux autorités algériennes …
a
31 décembre 2010 14:38
salmones , le parallele que tu tentes de faire avec les generaux Marocains est plus que suspect , ce que tu semble oublier de signaler est qu'au sahara Marocain, ce sont les saharaouis qui jouissent des privileges envoyés du reste du maroc, double solde, habitat pratiquement gratuit, gratuité des transport pour les etudiants et primes diverses.
Il faut comparer ce qui l'est.
Pour défendre une femme , il faut commencer par la respecter Etre tolérant , c'est faire un TOLLE A L'ERRANCE
s
31 décembre 2010 18:57
Citation
azl95 a écrit:
salmones , le parallele que tu tentes de faire avec les generaux Marocains est plus que suspect , ce que tu semble oublier de signaler est qu'au sahara Marocain, ce sont les saharaouis qui jouissent des privileges envoyés du reste du maroc, double solde, habitat pratiquement gratuit, gratuité des transport pour les etudiants et primes diverses.
Il faut comparer ce qui l'est.

Salam,

Le posteur, avec son titre, charge les généraux algériens et par mon article je lui démontre que les généraux de sa majesté ne sont pas mieux. Donc la comparaison a lieu d'être et c'est toi qui est à côté de la plaque, mon pauvre.
a
31 décembre 2010 21:49
Citation
salmones a écrit:
Citation
azl95 a écrit:
salmones , le parallele que tu tentes de faire avec les generaux Marocains est plus que suspect , ce que tu semble oublier de signaler est qu'au sahara Marocain, ce sont les saharaouis qui jouissent des privileges envoyés du reste du maroc, double solde, habitat pratiquement gratuit, gratuité des transport pour les etudiants et primes diverses.
Il faut comparer ce qui l'est.

Salam,

Le posteur, avec son titre, charge les généraux algériens et par mon article je lui démontre que les généraux de sa majesté ne sont pas mieux. Donc la comparaison a lieu d'être et c'est toi qui est à côté de la plaque, mon pauvre.
Je suis loin d'être ton pauvre, et trouve des arguments sur le fond des choses à savoir le paralelle entre les deux saharas.
Pour défendre une femme , il faut commencer par la respecter Etre tolérant , c'est faire un TOLLE A L'ERRANCE
D
2 janvier 2011 14:00
Citation
azl95 a écrit:
Citation
salmones a écrit:
Citation
azl95 a écrit:
salmones , le parallele que tu tentes de faire avec les generaux Marocains est plus que suspect , ce que tu semble oublier de signaler est qu'au sahara Marocain, ce sont les saharaouis qui jouissent des privileges envoyés du reste du maroc, double solde, habitat pratiquement gratuit, gratuité des transport pour les etudiants et primes diverses.
Il faut comparer ce qui l'est.

Salam,

Le posteur, avec son titre, charge les généraux algériens et par mon article je lui démontre que les généraux de sa majesté ne sont pas mieux. Donc la comparaison a lieu d'être et c'est toi qui est à côté de la plaque, mon pauvre.
Je suis loin d'être ton pauvre, et trouve des arguments sur le fond des choses à savoir le paralelle entre les deux saharas.

Ah c'est donc ça le sujet... Et bien je trouve que ce que dit Salmones est tout à fait pertinent, c'est le seul parallèle que je vois pour ma part.

La sahara algérien est algérien depuis son indépendance, suite à un referendum qui a vu 98% de la population se reconnaître sous ce drapeau. Les richesses qui y sont exploitées le sont donc légalement, peu importe ce qui en est fait ensuite. Il n'y a donc pas "pillage" à proprement parler et aucun parallèle à faire avec le sahara occidental.
r
2 janvier 2011 14:20
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
azl95 a écrit:
Citation
salmones a écrit:
Citation
azl95 a écrit:
salmones , le parallele que tu tentes de faire avec les generaux Marocains est plus que suspect , ce que tu semble oublier de signaler est qu'au sahara Marocain, ce sont les saharaouis qui jouissent des privileges envoyés du reste du maroc, double solde, habitat pratiquement gratuit, gratuité des transport pour les etudiants et primes diverses.
Il faut comparer ce qui l'est.

Salam,

Le posteur, avec son titre, charge les généraux algériens et par mon article je lui démontre que les généraux de sa majesté ne sont pas mieux. Donc la comparaison a lieu d'être et c'est toi qui est à côté de la plaque, mon pauvre.
Je suis loin d'être ton pauvre, et trouve des arguments sur le fond des choses à savoir le paralelle entre les deux saharas.

Ah c'est donc ça le sujet... Et bien je trouve que ce que dit Salmones est tout à fait pertinent, c'est le seul parallèle que je vois pour ma part.

La sahara algérien est algérien depuis son indépendance, suite à un referendum qui a vu 98% de la population se reconnaître sous ce drapeau. Les richesses qui y sont exploitées le sont donc légalement, peu importe ce qui en est fait ensuite. Il n'y a donc pas "pillage" à proprement parler et aucun parallèle à faire avec le sahara occidental.
quand dans un pays le peuple ne profite pas des richesses du pays ,et vis sous la pensee unique n'est pas la une forme de colonialisme ?
D
2 janvier 2011 14:30
Citation
razak a écrit:
quand dans un pays le peuple ne profite pas des richesses du pays ,et vis sous la pensee unique n'est pas la une forme de colonialisme ?

Définition du colonialisme : doctrine légitimant l'occupation, la domination politique et l'exploitation économique d'un pays par un autre (État colonisateur).

Partant de là, la question se pose peut-être pour le Maroc mais pas pour l'Algérie...
r
2 janvier 2011 15:44
Citation
Djemila75 a écrit:
Citation
razak a écrit:
quand dans un pays le peuple ne profite pas des richesses du pays ,et vis sous la pensee unique n'est pas la une forme de colonialisme ?

Définition du colonialisme : doctrine légitimant l'occupation, la domination politique et l'exploitation économique d'un pays par un autre (État colonisateur).

Partant de là, la question se pose peut-être pour le Maroc mais pas pour l'Algérie...
le sahara occidentale n'est pas un etat et ne sera jamais un etat ...c'est juste une pseudo entite algerienne comme la republique fantomatique democratique d'allemagne ..rda
h
5 janvier 2011 00:10
Citation
Hamza a écrit:
Si le logement social construit n est pas attribué aux bonnes personnes, c est a dire au personne à revenus modeste , forcément ça crée des frustrations et des révoltes.

Et c est encore plus grave si ce logement social est l objet de spéculations, c est à dire que ceux qui ont l argent et l accés au crédit bancaire en profitent pour acheter des logements afin de les revendre plus cher plus tard ou bien de les louer trés cher .

L attribution n est pas claire, les problèmes persistent , la corruption est la base de ce mal . Les fonctionnaires corrompus ne sont ni punis ni inquiété , c est ça le véritables problème.

l'etat construit beaucoups de logements sociaux ..

le probléme est que dés fois les bénificiaires de ses aides..spéculent sur le logement tout en restant dans leurs bidonvilles .
K
5 janvier 2011 12:03
Salam,

Vous appelez quoi le sahara oriental ??? et pillée par qui ????

Laissez cette belle région tranquille il y'a des frontières bien tracées et chacun est chez soi, ne rentrons pas dans le paranoïa quand même !!!!!
[b][center]ما كل ما يتمنى المرء يدركه - تجري الرياح بما لا تشتهي السفن[/center][/b] [center][i]أبو الطيب المتنبي[/i][/center]
 
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