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Philippe valse ! Max galope !
s
19 février 2006 19:17
Les caricatures, devenues notre plat national comme si la vie française en dépendait absolument, occupent tous les champs et notamment le médiatique…


Les caricatures, devenues notre plat national comme si la vie française en dépendait absolument, occupent tous les champs et notamment le médiatique…

… surtout le médiatique !

Mais la place accordée à cet événement n’est pas innocente et la pseudo défense de la liberté d’expression qu’il suscite n’est qu’une imposture… une de plus parmi tant d’autres vilenies, les Musulmans en étant les boucs émissaires!

Après « Tout le monde en parle ! » de Thierry Ardisson c’est « Ripostes » de Serge Moaty sur France 5 qui fabrique à son tour un plateau composé bien évidemment de chantres de ce fondement républicain qu’est le libre penser comme le Français, d’origine italienne, Max Gallo et le direct heurt de Charlie Hebdo, Philippe Val.

Bien évidemment, nos deux superstars pour la circonstance, ont eu tout le loisir de fustiger les fanatiques, - entendez les Musulmans car il ne peut aucunement y en avoir dans d’autres religions, c’est connu !-, et de s’inquiéter de la montée de l’intégrisme autant que de l’incompréhension par le monde arabomusulman du principe de la liberté d’expression.

Analysons l’intervention des super génies… des « Messieurs Liberté » !

Comme nous le savons certains media ont pour vocation première d’attiser, sinon de la créer, la haine contre des groupes ciblés et l’inciter. Pour ce faire, ils utilisent les moyens mis à leur disposition par le contribuable en pratiquant la manipulation et en utilisant dans cette opération des individus ponctuels qu’ils érigent en « experts » animés par la même idéologie du « choc des civilisations » et ayant pignon sur rue !

Nos deux pourfendeurs endossent aujourd’hui ce rôle pas très catholique mais superbement cathodique…

… d’abord pour mieux vendre leurs propres camelotes (Livres, CD etc…. faut pas s’oublier surtout !)... ce qui montre que leur beau principe n’est pas aussi beau qu’ils le prétendent,

… ensuite parce qu’ils servent des maîtres de la pensée unique et des idéologies ségrégationnistes orientées pour l’heure contre Arabes, Noirs et Musulmans !

Néanmoins, on ne peut défendre un sujet et notamment celui épineux des libertés qu’à partir du moment où on y croit et seulement si on les respecte

Est-ce le cas des deux intervenants ?

Une simple enquête permet de savoir à qui nous avons à faire !

Je n’entrerai point dans la sphère de la vie privée des individus ni dans leurs secrets car j’estime que cette pratique est lâche. Je ne me baserai que sur leurs actes et leurs écrits afin de voir s’ils sont dignes de défendre cette liberté devenue subito presto si chère à leurs yeux !

Concernant Philippe Val.

Le personnage est haut en couleurs : teint hâlé, vêtements sombres, sourire jaune, carte orange pour les plateaux télévisés, réponses vertes le plus souvent, peur bleue des Arabes, colère noire contre les Musulmans, vie en rose avec Israël !

Notons, parmi d’autres, un écrit « héroïque » mais diffamatoire à l’endroit des Arabes et visant donc un groupe humain :

« Ensuite, ils ont été enlevés par des terroristes islamiques qui adorent égorger les Occidentaux, sauf les Français, parce que la politique arabe de la France a des racines profondes qui s’enfoncent jusqu’au régime de Vichy, dont la politique antijuive était déjà, par défaut, une politique arabe. »

C’est dire que le « devil » Val vole toujours au secours de l’Etat démocratiquement raciste du Moyen Orient.

Mais, outre son parti pris manifeste pour l’Apartheid et l’occupation, son engouement pour le Sionisme qu’il partage avec BHL, Adler, Finkelkrauft et les autres il est intéressant de constater que cet « homme à principes », ce ténor de la liberté d’expression, ce partisan de l’interdiction de la censure, ce chevalier des maux, n’est rien d’autre qu’un homme… sans principe !

Un clown… et le mot n’est pas de moi mais de lui. Voilà pourquoi !

Lisez, cher lecteur, l’une de ses perles :

« Tout écrivain, tout acteur, tout créateur, tout journaliste qui va sur le plateau de “Tout le monde en parle” est mort. Il vend trois cent mille, certes, mais pas pour ce qu’il écrit. Parce qu’il est devenu un clown. ».

Ainsi donc, est irrémédiablement « clown » l’individu qui se rend chez Ardisson !

Pourtant, quelques semaines plus tard notre glorieux combattant était reçu sur le plateau de celui qu’il n’avait cessé de persifler… et se faisait tout petit pour le cirque en stances !

Belle leçon de dignité n’est-ce pas ?

M. Val était digne, à n’en pas douter, et… on le savait érudit puisqu’il ajoutait, faussement d’ailleurs, avec le semblant de culture qu’il donne en citant Montaigne et Spinoza :

« Tout le monde en parle » était « une usine à tuer l’intelligence beaucoup plus efficace, amusante et rentable que le grossier slogan de Primo de Rivera, fondateur de la Phalange espagnole : “A mort l’intelligence !”

Mais, pardon M. Val…l’érudit… lorsqu’on cite des paroles, même si elles ont été dites par un fasciste il faut les restituer à leur auteur. Le père des phalanges espagnoles Antonio Primo de Rivera n’a jamais prononcé cette phrase « Viva la Muerte. Muera l’intelligencia » dite à l’université de Salamanque par le Général Millian Astray, fondateur de la Légion étrangère qui inspirera le général Moshe Dayan par son bandeau sur l’œil et ressemblera au Colonel Von Staufenberg de l’Afrikakorps de Rommel par son bras manquant !

En dehors de ces petites anecdotes croustillantes lesquelles situent le personnage tant dans l’idéologie que dans la dignité et la culture, il nous faut revenir à notre sujet : la liberté d’expression.

M. Val, directeur de la publication de Charlie Hebdo, à la botte de groupes de pression malgré son côté satirique, se prévaut d’un principe qu’il est le premier à violer. En effet, l’individu n’autorise dans son journal aucun droit de réponse à ses adversaires qu’il a pastiché alors que la loi l’y oblige.

En conséquence, Val est non seulement un homme au double langage ne respectant aucunement ce qu’il prétend défendre, mais aussi un clown comme il s’est défini par retour de boomerang doublé d’un anti-Arabe et triplé non d’un anti-islamiste comme il le prétend mais d’un anti-Musulman !

En conséquence, sa défense de la liberté d’expression n’est qu’une pitrerie, une bouffonnerie, une imposture qui fait tremplin pour vomir sa haine sur tout ce qui Arabo-musulman !

Concernant Max Gallo.

L’homme est écrivain !

Agressif sur les plateaux de télévision, il n’hésita pas à insulter à l’occasion Fouad Alaoui sur le plateau de Ripostes le traitant d’hypocrite !
Lui, estime que le choc des civilisations existe déjà et oppose l’Europe « judéo-chrétienne », comme il dit, à l’Islam qu’il confond souvent par lapsus avec l’Islamisme.
Il n’en faut pas beaucoup pour juger qu’il est, lui, défenseur de la liberté d’expression comme moi du Sionisme !
Trois éléments vont illustrer mon propos !

Voici !

1- Max Gallo, historien rappelons-le, affirme « ne pas savoir si le rétablissement de l’esclavage des noirs par Napoléon Bonaparte est un crime contre l’Humanité. ».
Ah bon ?

Comment peut-on se prétendre historien et dire pareille stupidité ? Mais est-ce une insanité en fait ou Max Gallo estime-t-il que l’esclavage a apporté la civilisation ? Pourquoi pas ?

Dans son esprit, donc, il n’y a pas crime lorsqu’on asservit des hommes ! Mais peut-être pense-t-il qu’il n’y en a pas seulement parce qu’il est commis en direction des Noirs ? Et, comme certains tarés estiment que Noirs et tous les autres non-blancs ne sont pas… « humains ».. alors on peut comprendre le sens de la phrase de Gallo!

2- L’historien estime que la France ne doit pas faire repentance pour les crimes commis par le passé ! Entendez absence de contrition seulement lorsqu’il s’agit de demander pardon aux Africains et aux Maghrébins !
Deux poids, deux mesures !

3- Dans une autre circonstance, notre ami était épouvanté par le fait que des Français s’étaient opposés à la représentation de « Mahomet », la seule pièce écrite par notre écrivain des lumières qu’est Voltaire.
Oui… Max Gallo vantait le fleuron de la littérature française et subitement cette pièce pratiquement inconnue du public devenait une œuvre de génie. Il oubliait dans le même temps de dire la grande hypocrisie de Voltaire puisque l’athée qu’il prétendait être n’avait pas hésité à dédier la pièce au pape Benoît XIV afin d’échapper aux inquisiteurs !

Mais, par une seule phrase, nous comprendrons mieux pourquoi Max Gallo aime Voltaire qui dans son traité de métaphysique a écrit entre autres gentillesses :

"Je suspecte les nègres et en général les autres espèces humaines d'être naturellement inférieurs à la race blanche."

Ainsi donc, Max Gallo refuse de qualifier Napoléon de scélérat alors qu’il a rétabli un crime contre l’humanité et admire Voltaire l’esclavagiste, raciste et négrier par-dessus le marché !
Est-ce à dire que notre ami partagerait la même idéologie que ces deux figures de l’histoire ?
Ce n’est pas impossible… mais aura-t-il seulement le courage de l’avouer ?
Toutefois, nous comprenons mieux dès lors pourquoi Gallo estime que l’esclavage n’est qu’un détail de l’histoire !
Nous pouvons donc affirmer que l’homme n’est rien d’autre qu’un révisionniste qui admire les racistes !
Mais peut-on punir un révisionniste lorsqu’il revoit l’histoire des Noirs ?
Non ! Ce mot n’est utilisé que pour qualifier la remise en cause de certains faits de l’histoire !
Pas d’autres !

Ainsi donc, on comprend parfaitement bien pourquoi Max Gallo défend la liberté d’expression ! Il le fait seulement parce qu’elle injurie les Musulmans ! Dans d’autres circonstances … le Chevalier au Gallo ne se serait même pas mis au trot !

En outre, notre historien juge que l’Islam n’a pas sa place en Europe parce que le vieux continent est de tradition judéo-chrétienne !

Ah ?

Encore une légèreté et un raccourci comme seul Max Gallo sait les négocier !!
Tradition judéo-chrétienne ?
Non ! Seulement tradition chrétienne puisqu’on sait que les Européens ont persécuté les Juifs ! A moins que pour la circonstance, Max Gallo essaie de créer une alliance contre les Musulmans afin de rendre évident et crédible le choc des civilisations qu’il affectionne.

Pour sa gouverne notre historien devrait savoir que l’Islam a existé en Europe depuis sa naissance et pour qu’il s’en convainque je l’invite à visiter l’Andalousie… et pas seulement !

Pour achever mon réquisitoire contre ces défenseurs de ce en quoi ils ne croient pas, je dirai :
Où étiez vous Messieurs lorsqu’on empêchait Dieudonné de s’exprimer ?
Où étiez vous Messieurs lorsqu’on interdisait à Tarik Ramadan de parler?
Où êtes vous aujourd’hui alors qu’en France on fustige Noirs Arabes et Musulmans ?
Où êtes vous alors qu’on massacre des innocents et qu’on empéche de le dire dans cette terre qui a connu les Prophètes ?

Non… ce n’est pas la liberté d’expression que vous défendez mais seulement celle de cracher votre venin sur ce que vous abhorrez : Arabes, Noirs et Islam !

La preuve, vous mettez en avant la violence des réactions mais sans jamais citer les mesures racistes mises en place au Danemark par un gouvernement d’extrême droite lequel affirme en outre : « l'islam est un cancer et un mouvement terroriste » et rajoute : « il n'y a qu'une civilisation, c'est la notre !»

Bande d’hypocrites !!!

Après avoir chanté et dansé avec tous les courants Philippe Val…se !
Et voilà qu’il est rattrapé au galop par Max !


PS : Puisque nous en sommes à l’ère de l’expression artistique, je fais appel à des caricaturistes « bénévoles » afin de pouvoir
illustrer nos propos !!

Makhlouk .
siryne
s
24 février 2006 12:03
L’opinion du Patron, par Olivier Cyran
La liberté d’expression selon Charlie Hebdo

Pour un coup de pub, c’est un coup de maître : en consacrant un numéro « spécial liberté d’expression » à l’affaire des crobards danois, Charlie Hebdo a battu tous ses records de vente. Quatre cent mille exemplaires se seraient arrachés durant la seule journée du 8 février, mieux que pour les attentats du 11 septembre ou la mort du pape. Une semaine plus tôt, le moribond France-Soir s’était déjà refait une santé en balançant les fameux dessins sous gros titre à la Une, façon « J’accuse ». Du jour au lendemain, une poignée de vignettes assimilant les musulmans à des terroristes devenaient l’étendard des plus hautes vertus démocratiques...

Tu en as dans le froc, question amour de la liberté d’expression ? Prouve-le si t’es un homme, et reproduis-les illico, sinon t’es une mauviette. Quand Charlie s’y est mis à son tour, tout le monde les avait déjà vu dix fois, ces foutus dessins. Pas grave, on en presserait le jus jusqu’à la dernière goutte. Ça ne coûtait rien : leurs auteurs, roulés en boule quelque part au Danemark, ne penseraient certainement pas à réclamer leur copyright.

Le droit à la caricature est une liberté fondamentale et Charlie a bien raison de la défendre bec et ongles. Plus discutable est la posture qui consiste à se faire mousser en rempart contre le péril sarrasin. Depuis le 11 Septembre, l’hebdomadaire ne cesse de rhabiller le vieux tropisme anti-arabe aux couleurs plus tendance de l’islamophobie. Ses deux spécialistes en capillo-détection, Fiammetta Vener et Caroline Fourest, martèlent semaine après semaine que les barbus sont partout, chez les banlieusards, les altermondialistes, les pacifistes... Un jour, elles ont même cru dénicher un poil à barbe islamique dans la tonsure de la Ligue des droits de l’Homme.

Mais le plus prompt à se poser en héros de la résistance anti-terroriste, c’est le patron, Philippe Val. Ses fulminations incessantes contre quiconque s’écarte de l’axe du bien ont découragé jusqu’à ses lecteurs les plus fidèles. Même Pascal Boniface, directeur du très « expert » Institut de relations internationales et stratégiques, et à ce titre peu suspect de ben-ladisme, en est tombé de sa chaise. Philippe Val est un « vendeur de l’idéologie néo-conservatrice américaine », constate-t-il :

« Sharon et Bush sont ses héros positifs, ceux qui osent les critiquer sont selon lui complaisants avec les terroristes. Dans la grande bataille des idées à laquelle nous assistons, Val constitue un élément important. La tonalité ironique du journal, les dessins humoristiques lui permettent de vendre l’idéologie néo-conservatrice contenue dans ses éditoriaux à un électorat qui n’aurait pas naturellement penché de ce côté. » [1]

Il est vrai qu’on ne saurait faire grief à « l’ami Val », comme l’appelle Serge July [2], de bomber le torse contre les forces du mal. La liberté d’expression réside précisément dans le droit reconnu à chacun de l’accommoder à sa propre sauce, fût-elle pleine de grumeaux. L’ennui, c’est que ce droit si abondamment étalé par le directeur de Charlie Hebdo ne vaut que pour lui-même et ceux qui pensent comme lui. Ses ex-collaborateurs à Charlie en savent quelque chose : en cas de divergence, l’esprit des Lumières vire subitement au despotisme pas du tout éclairé.

Exemple : le chroniqueur Philippe Corcuff, « poussé vers la porte de sortie » après trois ans de loyaux services. Bien que partageant l’essentiel des lubies valiennes, et en dépit d’une élasticité idéologique qui lui permet d’aller de Bayrou à Krivine sans se déchirer un tendon, Corcuff a en effet fini - un comble ! - par passer pour extrémiste aux yeux de son employeur. Dans un communiqué publié le 3 décembre 2004, le sociologue revient sur l’un des désaccords qui ont motivé son départ :

« Recourant à des amalgames répétés entre l’islam comme religion, les différents courants de l’islam politique, l’intégrisme et le terrorisme, Charlie Hebdo - hormis quelques courageux résistants de la nuance et de la complication - s’est inscrit dans une croisade de la Civilisation (“européenne”) contre la Barbarie (“musulmane”). Dans cette perspective, on a été jusqu’à publiciser une fausse rumeur à propos du Forum Social Européen de Londres, où on a fait de ceux qui ne participaient pas à la nouvelle croisade (comme la LDH) des “alliés objectifs” des intégristes islamistes, en remettant ainsi à l’honneur une formule d’origine stalinienne. »

Pas d’accord ? Dehors !

Un an plus tôt, c’était le critique ciné Michel Boujut qui mangeait le bouillon pour cause d’hérésie. Dans un texte diffusé en mars 2003, il s’interroge :

« Opération épuration. Pfuitt... à la trappe ! [...] Je me pose une seule question, naïve comme toutes les vraies questions : peut-on être à la fois homme de morale (exigeante) dans ses éditos et homme de pouvoir (discrétionnaire) dans son “traitement des ressources humaines” ? Faire la leçon aux autres et se comporter comme ceux à qui on fait la leçon à longueur de colonnes ? Toujours cette foutue histoire de la paille et de la poutre. »

Fin 2000, Mona Chollet avait été virée elle aussi pour délit d’opinion : lors d’une réunion interne, elle avait osé contester un édito de Val qui qualifiait les Palestiniens de « non-civilisés ». « Il est tellement ignorant des autres cultures qu’il n’imagine pas qu’on puisse être “civilisé” autrement qu’en lisant Spinoza avec ses chats sur les genoux », dit-elle :

« Quelques jours après, il m’a convoquée, et il m’a annoncé qu’il arrêtait mon CDI après le mois d’essai, alors que j’étais pigiste depuis un an. Ça m’a sidérée. Il ne m’a pas dit pourquoi, mais ça crevait les yeux. Finalement il m’a dit : “je ne suis pas sûr que tu sois en accord avec la ligne que je veux donner au journal”. Je suis encore restée à Charlie quelque temps, mais en tant que pigiste, c’est-à-dire moins en position d’ouvrir ma gueule. »

Dans la ligne, le maquettiste Pierre-Yves Marteau-Saladin l’était lors de son embauche à Charlie. Croyant détecter en lui un serviteur de confiance, Val lui confie la mission secrète de moucharder les salariés suspects de dissidence et de lui rapporter leurs propos. C’est du moins ce que racontera le maquettiste une fois viré, écœuré par « l’état d’autocratie que Val a instauré ». Apparemment, l’indic n’a pas donné satisfaction.

« La liberté d’expression n’est pas négociable », bonimente Val à la télé. C’est vrai, à quoi bon négocier avec ses contradicteurs quand il suffit de s’en débarrasser ?

Olivier Cyran

(Ce texte est paru dans CQFD n°31 (en kiosque depuis le 17 février 2006). )

Notes


[1] Analyse publiée le 7 décembre 2005 sur le site oumma.com.

[2] Libération, 09/02/06
siryne
 
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