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Le phénomène de mendicité persiste
d
10 octobre 2008 18:47
Ils ont pris gôut ces gens pour mendier , trop facile de s assoir et de mendier , surtout ceux qui sont en bonne santé :



Les chiffres sur la mendicité sont accablants. Moins d'un point de vue quantitatif que dans la sphère comportementale des protagonistes. On les retrouve partout : Feux rouges, entrée des mosquées, écoles, restaurants, bus. Certains vont même jusqu'à user du porte à porte. Les techniques, elles, sont tout aussi variées. Difficile donc dans ce contexte d'établir la part des choses, d'autant plus que les histoires de mendiants millionnaires ne manquent pas.
Mendicité : La frontière reste floue entre nécessiteux et arnaqueurs Selon l'étude du Ministère du développement social, il existerait 196.000 mendiants dont environ 120.000 « professionnels », autrement dit, qui exercent la mendicité comme un véritable métier. Pour ces deux catégories, la moyenne des gains journaliers serait de 300 DH. Un montant pouvant grimper jusqu'à 700 DH pour certains. Mieux qu'un salaire de cadre...
Sur un échantillon de 3400 mendiants sondés, 62.4% sont des mendiants professionnels. Les femmes représentent plus de 51% des mendiants au Maroc. Les régions Rabat-Salé-Zemmour-Zaer et Gharb- Chrarda- Beni Hssen apparaissent comme les plus touchées avec une part avoisinant les 22%, suivies de celle du Grand Casablanca avec près de 18%. La région de Chaouia-Ouardigha-Abda Doukala est celle où l’on mendie le moins : 7%.
Les mendiants mariés et âgés de 40 à 59 ans représentent près de 35% de cette population. Ceux âgés de 18 ans et moins représentent plus de 11%. L’enquête révèle également que plus de 66% des mendiants sont analphabètes. 70% ont déjà exercé un emploi. Même d'anciens fonctionnaires se convertissent à la mendicité. Ils seraient 1%.

Premier point noir pour l'Etat : L'exploitation des enfants

L’enquête menée par le ministère du Développement social, de la famille et de la solidarité a aussi permis de relever l’existence de trois niveaux de mendicité : la mendicité professionnelle, la mendicité exploitant autrui (enfants, personnes âgées) ou un handicap et la mendicité de nécessité. Elle a surtout pointé du doigt l’organisation des mendiants à travers des réseaux. C’est dans ce cadre qu’il a été déterminé qu’à Casablanca, par exemple, une personne dirigerait 27 équipes de mendiants : 13 à Casablanca, 8 à Rabat, 2 à Settat, 1 à El Jadida, 1 à Mohammedia et 1 à Berrechid.
La pauvreté est citée en premier dans les causes qui poussent à la mendicité pour plus de 51% des sondés. Pour le reste, ce sont plus le handicap, la maladie ou le manque d’opportunités d’emploi qui sont évoqués.

La maladie et le manque d'opportunités d'emploi sont les causes les plus évoquées

Au niveau de la population, la méfiance est palpable. « La situation diverge. Certains méritent d'être aidés, d'autres en ont fait un véritable métier. Personnellement, je préfère donner aux femmes âgées. Ce qui me rebute, ce sont celles qui trimballent avec elles des enfants », explique ce banquier casablancais. Certes, aux yeux d'une grande partie de la population, la plupart de ces enfants sont « loués » aux mendiants.
Les données révélées par le centre social de Tit Mellil montrent qu’à Casablanca, les mendiants professionnels exploitent 344 personnes. Parmi ces victimes, des bébés, des mineurs, des personnes âgées, des non voyants, des malades mentaux,… « C'est simple. Quand je vois une femme mendier avec un enfant, je sens l'arnaque », affirme cette informaticienne. De plus, il apparaît que plusieurs mendiantes s’adonnent à cette activité avec leurs enfants à l’insu de leurs maris. « C'est une question compliquée. Nous avons beaucoup d'argent ailleurs, pourquoi ne pas l'investir pour pallier à ce phénomène ? Ce que je vois surtout, c'est que c'est un problème social qui aura des conséquences économiques sur notre pays. »

Au regard de la législation, ces rebuts de la société sont considérés comme des hors la loi. Selon les articles 326 et 328 du Code pénal, toute personne qui se livre à la mendicité est punie d'une peine d'emprisonnement allant de 1 à 6 mois, et de 3 mois à 1 an si elle exploite des enfants âgés de moins de treize ans. Cependant, la division de lutte contre la pauvreté et l'exclusion essaie d'agir dans un cadre purement social. Le recours à la justice n'est envisagé qu'en cas de récidive.
a
11 octobre 2008 22:41
Le problème c'est qu'il faut instituer une sorte de catechisme musulman pour les enfants et adultes.

Le Problème c'est qu'on oublie d'enseigner les valeurs de l'islam. On pense naitre musulmans accompli. On laisse faire.

L'Islam prône la Solidarité pas la charité pernicieuse qui encourage et perennise la pauvreté et la paresse.

Il faut donner sa part de Zakat al Mal et Zakat Al Fitr à des associations d'insertions et acteurs sociaux.

Zakat al Mal c'est 2,5% de son epargne par an si elle est superieure au montant du Nissab environ 1500 euros. Le Nissab est basé sur un poids d'or. Il faut verifier le cours.

Zakat al Fitr c'est nourrir symboliquement un pauvre.
IL EST PARFAITEMENT LICITE de donner son montant à des associations d'insertion.


L'ETAT et le CIVISME doivent nous aider a eradiquer cette indignité qui consiste à tendre la main.

Mais il est vrai que pour certain la charité est infiniment moins couteuse que la solidarité.
Qu'il est facile de se donner bonne conscience avec 1 dirham.
w
12 octobre 2008 00:10
tout simplement il faut criminaliser la mendicite , beaucoup des ces mendiants sont des arnaqueurs
je ne crois pas la religion est la solution il faut des lois evilrecemment la police marocaine ont decouvert a casa des groupes terrorists qui utilisent les mendiants dans des activites de terrorisme
et meur donnent beuacôup d argents sous titre zakat sada8a No no
d
12 octobre 2008 09:25
salam ralaikoum

Récemment il y a des dames d un certain age qui se sont plaint : de ne plus avoir le courage d aller au cimetière pour se receuillir sur les tombes de leurs défunts (enfants et parents ) .Car la mendicité dépasse les bornes ,et parfois certains mendiants font pressions sur ces personnes agées , pour obtenir de l argent .

CE qui me touche le plus c est que ces personnes agées ne sont pas riches , elles ont juste de quoi subsister et encore !!!
a
13 octobre 2008 20:02
Mendicité culturelle

Ahmed R. Benchemsi
(SEBASTIEN MICKE/PARIS MATCH)


Pour des centaines de milliers de Marocains, renoncer à sa dignité est une posture facile. Parce qu’ils y sont culturellement préparés


Un nouveau chiffre vient de sortir. D’après une étude réalisée pour le ministère du Développement social de Nouzha Skalli, il y a 200 000 mendiants au Maroc, dont 120 000 “mendiants professionnels” – c’est-à-dire qui vivent la mendicité comme un métier, et non comme une extrémité à laquelle la pauvreté les a réduits. Pourquoi ? Le calcul est
vite fait : d’après la même étude, chacun d’eux gagne 300 DH par jour en moyenne, et pour certains, cela va jusqu’à 700. Même si on ne retient que le chiffre de 300 DH, cela fait, pour 6 jours de “travail” par semaine, 7800 DH de revenu mensuel, net d’impôts ! Quand on sait que le SMIG plafonne à 2000…

Comment sortir de cette impasse ? Le département de Mme Skalli dit en être encore au stade de la “réflexion”. La ministre convient déjà, en tout cas, que la loi existante (qui prévoit un mois à deux ans de prison pour ceux qui mendient tout en “ayant des moyens de subsistance ou en étant en mesure de se les procurer par le travail”, et qui exploitent des enfants dans ce but)… est tout bonnement inapplicable, sous peine de générer de graves troubles sociaux. Comment déterminer avec certitude qui “est en mesure de travailler” et qui ne l’est pas ? Selon quels critères ? Et par quelles méthodes, sur le terrain ? Parmi les nouvelles pistes de législation retenues, celle qui prévoit de “confisquer” les biens amassés par les mendiants professionnels. Là aussi, comment les différencier des autres sans causer de terribles injustices – et risquer, encore une fois, de sérieux troubles ? Laissons Mme Skalli “réfléchir” (et souhaitons-lui bon courage, parce qu’à l’appui de sa “réflexion”, elle ne dispose que de 20 malheureux millions de dirhams, et de l’espoir d’une “approche concertée avec d’autres acteurs”) et réfléchissons, nous, à ce qui nous a menés à cette situation.

J’ai personnellement eu l’occasion, à plusieurs reprises, de voyager dans des pays où le niveau de vie est comparable au nôtre (comme l’Algérie), ou nettement inférieur – notamment en Afrique subsaharienne, et particulièrement en Mauritanie, officiellement un des pays les plus pauvres de la planète. Eh bien j’y ai vu infiniment moins de mendiants qu’au Maroc, pour ne pas dire aucun. Ce n’est donc pas une question de pauvreté, mais de mentalité.

Le Marocain aurait-il une âme de mendiant ?
L’affirmer serait sans doute un peu fort. Mais on ne peut s’empêcher de penser au paradigme social qui, aujourd’hui encore, régente notre “vivre ensemble” : le bonne vieille dualité “haggar/mahgour”, ou “méprisant/méprisé”. En l’absence d’une culture de l’égalité (fortement présente en Algérie, par exemple), le Marocain lambda se définira toujours comme le “supérieur” des uns et, à contrario, “l’inférieur” des autres. Il n’y a qu’une seule personne dans ce pays qui échappe à cette dualité : le roi, à qui on fait allégeance, à qui on embrasse la main et qui, statutairement, ne peut être “l’inférieur” de personne. Une personne sur 30 millions, c’est tout de même peu. À l’autre extrémité de la pyramide sociale, on trouve des centaines de milliers, voire des millions de gens. Comment vont-ils se définir ? Forcément comme des “inférieurs”, puisqu’ils n’ont personne à qui imposer leur “supériorité”. Du coup, renoncer à sa dignité et tendre la main (même quand on n’en a pas besoin pour vivre) devient une posture facile, qu’on adopte sans blocage psychologique particulier. Parce qu’on y est culturellement préparé. Quand on ne mendie pas de l’argent dans la rue, on mendie des faveurs, des agréments, une promotion, tout et n’importe quoi, pourvu que cela passe par une posture de soumission.

Tout cela dépasse de loin les compétences de la courageuse Mme Skalli. Mais la problématique mérite d’être posée dans sa globalité. Au-delà de mesures législatives à l’efficacité discutable, c’est à une réforme globale des mentalités qu’il faut s’attaquer, et il est indispensable que l’exemple vienne de haut. Du plus haut. Vœu pieux ?
[www.telquel-online.com]
a
15 octobre 2008 16:56
Citation
dalida123 a écrit:
salam ralaikoum

Récemment il y a des dames d un certain age qui se sont plaint : de ne plus avoir le courage d aller au cimetière pour se receuillir sur les tombes de leurs défunts (enfants et parents ) .Car la mendicité dépasse les bornes ,et parfois certains mendiants font pressions sur ces personnes agées , pour obtenir de l argent .

CE qui me touche le plus c est que ces personnes agées ne sont pas riches , elles ont juste de quoi subsister et encore !!!


Cette année j'avais le projet de me rendre à un des cimetières de Casa le lendemain de la 27 nuit, ma soeur m'en a dissuadé " tu vas te faire manger!!!".

C'est la folie furieuse. L'affluence est t elle que les Taxi blanc changent d'itinéraires. Une grosse partie de la foule est constituée de mendiants rendus hysteriques par l'appât de la zakat al Fitr.

je crois qu'il faut sanctionner.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/10/08 06:33 par axis7.
z
16 octobre 2008 07:41
COMMENT FAIRE FUIRE UN MANDIANT

C'est très simple en lui mendiant à votre tours avec la même "intensité" et aussi répété les mêmes geste "mains sur la bouche"...

Si vous voulez le mettre hors de lui repeté le plusieur fois... les mendiant n'aime pas les miroirs evil
m
16 octobre 2008 14:30
nous sommes pas turques pour les enfermers,il faut de l argent d temp é de l education,mais avant tout de l argent d travaille quoiBye
16 octobre 2008 22:15
Voila un metier d'avenir, peut on avoir l'exclusivite et exporter le concept?Grrrr
a
17 octobre 2008 11:28
Je penses que beaucoup (Meme la plupart) de marocains ont perdu leurs dignité , car la pauvrauté seule n'éxplique pas l'ampleur de ce phénomène.

Je pense la meilleur solution c'est déjà erradiquer cette culture de mendicité et instaurer une culture de TRAVAIL, en plus il faudra créer des caisses de ZAKAT géré par des gens honnete digne de confiance comme ça les gens n'auront plus à donner leurs zakat à des inconnus dans la rue et ainsi encouragé ce phénomène.

J'ai passé le ramadan au maroc , moi aussi j'étais surpris par le nombre de mendiants, mais je refusais de leurs donner le moindre centime , et pour ma zakat et sadaka je la donnais à des gens qui travaillent mais qui ne gagnent pas assez pour élever leurs enfants (Gardien d'immeuble, femme de ménage , ouvrier ... ).

Pour les gens qui pensent que c'est une 'bonne action' de donner quelques dirhams à ces mendiants , à mon avis c'est le contraire car non seulement ils les encouragent mais en plus ils découragent les travailleurs qui ne gagnent que le SMIG alors qu'on mendiant ils peuvent gagner beaucoup plus et sans effort.

Enfin en europe on a aussi pas mal de mendiant mais au lieu de mendier auprès des gens ils vont chercher les aides sociales tout en refusant de travailler.
w
17 octobre 2008 12:52
Citation
ali82 a écrit:
Je penses que beaucoup (Meme la plupart) de marocains ont perdu leurs dignité , car la pauvrauté seule n'éxplique pas l'ampleur de ce phénomène.

Je pense la meilleur solution c'est déjà erradiquer cette culture de mendicité et instaurer une culture de TRAVAIL, en plus il faudra créer des caisses de ZAKAT géré par des gens honnete digne de confiance comme ça les gens n'auront plus à donner leurs zakat à des inconnus dans la rue et ainsi encouragé ce phénomène.


qui sont ces gens honnete digne de confiance??? si tu lis le media marocain seulement cet annee pas mal histoire de ces gens honnete qui ont vole l argent de zakat ou bien l investir dans des projets prives ou dans les elcetions de certain partis politiques religieux

la solution c est introduire un system social economique par le gouvernement et criminaliser la mendicite evil
a
17 octobre 2008 13:45
Citation
ali82 a écrit:
Je penses que beaucoup (Meme la plupart) de marocains ont perdu leurs dignité , car la pauvrauté seule n'éxplique pas l'ampleur de ce phénomène.

Je pense la meilleur solution c'est déjà erradiquer cette culture de mendicité et instaurer une culture de TRAVAIL, en plus il faudra créer des caisses de ZAKAT géré par des gens honnete digne de confiance comme ça les gens n'auront plus à donner leurs zakat à des inconnus dans la rue et ainsi encouragé ce phénomène.

J'ai passé le ramadan au maroc , moi aussi j'étais surpris par le nombre de mendiants, mais je refusais de leurs donner le moindre centime , et pour ma zakat et sadaka je la donnais à des gens qui travaillent mais qui ne gagnent pas assez pour élever leurs enfants (Gardien d'immeuble, femme de ménage , ouvrier ... ).

Pour les gens qui pensent que c'est une 'bonne action' de donner quelques dirhams à ces mendiants , à mon avis c'est le contraire car non seulement ils les encouragent mais en plus ils découragent les travailleurs qui ne gagnent que le SMIG alors qu'on mendiant ils peuvent gagner beaucoup plus et sans effort.

Enfin en europe on a aussi pas mal de mendiant mais au lieu de mendier auprès des gens ils vont chercher les aides sociales tout en refusant de travailler.

Un blogeur qui reprochais au roi d'entretenir cette culture de la mendicité à été mis en prison.
En effet il est dans la culture de mendier , et il est aussi dans la culture de mépriser les plus pauvres que soit , cette culture est entretenue au plus haut par le systémé mackzenien, qui n'est pas un systéme de la méritocratie, mais un systéme où on mendie à celui qui a du pouvoir, certain mendie pour avoir un travail celui qui est plus bas que nous, certain mendie au roi pour avoir une grimma, les politicien mendie pour avoir un porteufeuil, les femmes se vendent pour de l'argent ou des faveurs.
On est dans un systéme où le mot égalité n'existe pas.
on est dans un systéme de caste fonction de son pouvoir, de son argent, voir de sa nationalité, les blanc européens sont traités commes des roi pouvant même abuser des enfants avec le consentement du pouvoir, les noir d'afrique sont considéré commes des moins que rien et abandonnés en plein désert.
pour moi le systéme monarchique, et un systéme de caste responsable de la culture de mendicité au maroc
a
17 octobre 2008 13:59
Citation
whatsup a écrit:
Citation
ali82 a écrit:
Je penses que beaucoup (Meme la plupart) de marocains ont perdu leurs dignité , car la pauvrauté seule n'éxplique pas l'ampleur de ce phénomène.

Je pense la meilleur solution c'est déjà erradiquer cette culture de mendicité et instaurer une culture de TRAVAIL, en plus il faudra créer des caisses de ZAKAT géré par des gens honnete digne de confiance comme ça les gens n'auront plus à donner leurs zakat à des inconnus dans la rue et ainsi encouragé ce phénomène.


qui sont ces gens honnete digne de confiance??? si tu lis le media marocain seulement cet annee pas mal histoire de ces gens honnete qui ont vole l argent de zakat ou bien l investir dans des projets prives ou dans les elcetions de certain partis politiques religieux

la solution c est introduire un system social economique par le gouvernement et criminaliser la mendicite evil


Que veux tu dire par systeme social economique? Si tu veux dire un systeme d'assistance sociale à la française , tu peux etre sure que dans ce cas 90% des marocains voudront en profiter meme s'ils n'en ont pas besoin car c'est culturel chez nous la mendicité, pour preuve il suffit de voir l'opération 'cartable gratuit' qui a déclanché des manifs un peu partout.

Pour la criminalisation de la mendicite c'est déjà le cas d'ailleurs la loi prévoit jusqu'à 2 ans de prisons ferme pour les mendiants mais ce n'est pas appliqué car on a pas assez de prison pour mettre des milliers voir des millions de mendiants!!.

Je suis d'accord avec toi les gens digne de confiance sont rare, mais on peut trés bien concevoir des petit organisme dans chaque quartier où tout le monde se connait.

Je ne sais pas si ca se fait encore mais quand quelqu'un dans un quartier perdait un proche tous les voisins cotisent et lui donnent une somme d'argent pour couvrir les frais d'enterrements..., on peut faire pareil pour la zakat les gens au niveau du quartier cotisent et donnent l'argent soit aux necessiteux soit aux orphelinat ou meme l'utiliser pour rénover l'école du quartier ou la mosquée.

En plus il faut savoir qu'avec la zakat si elle est bien exploitée on peut éradiquer la pauvrauté au maroc.
18 octobre 2008 16:32
Très souvent la police organise des opérations de ramassage de mendiants pour les placer, avec l'accord du procureur du roi, dans les sociétés de bienfaisance. Mais une fois placés là, ces mendiants s'évadent et reprennent leur '' noble métier '' ! un jeu en quelque sorte du chat et de la souris.
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
b
18 octobre 2008 16:49
Salam

c un phénomène dangereux des fois il ya des voleur et non ps des mendiant il suffit d'ouvrir ton sac pour donner une sadaka et voilà les autres qui vient avec leur syoufa Oups

kayne aussi qui le trouve une métier pour avoir bp d'argent yefi9e hatte ygoulha lihe rassou bache yesware plus que 200dh ce sont aussi des voleur

les gens qui ont besoin ne tend ps la main donc il faut les chercher c sûr dans la famille il ya des gens qui soufre en silence

Moi je donne ps c ps par peur mais ladrte fihoume rassi en va ps finir ou kansahme fe ntichare se3ya dans notre pays et c honteux
sdate madameLes douleurs légères s'expriment ; les grandes douleurs sont muettes.
18 octobre 2008 18:04
Vaut mieux '' aider '' les personnes démunies, dans le besoin, qui se trouvent dans notre entourage et qu'on connait bien,

au lieu de donner qq cts à des inconnu(e)s qui pourraient fort bien être des ''millionnaires '' !
la vie est éphémère, mieux vaut bien la vivre avant de la perdre.
t
22 octobre 2008 10:28
Pour combattre ce phenomène, Vaut mieux aider les personnes démunies, dans le besoin, qui se trouvent dans notre entourage et qu'on connait bien.
 
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