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pétrole
a
13 septembre 2005 20:06
ALGER (AP) - La barre des 60 milliards de dollars de réserve de change sera dépassée à la fin de l'année, selon des estimations du ministère algérien des finances, embellie financière qui est due en grande partie à la flambée du pétrole.

Les recettes de la compagnie pétrolière algérienne Sonatrach franchiront le seuil des 40 milliards de dollars d'ici la fin 2005 (32 mds d'euros), a affirmé, dimanche, le PDG de Sonatrach, Mohamed Meziane, qui a précisé qu'il s'agissait d'un résultat inédit depuis les années 70.

Pour sa part, le Fonds monétaire international (FMI), à cause de nombreux facteurs structurels comme la croissance de la demande mondiale en hydrocarbure, estime que l'Algérie a toutes les chances d'en tirer, durant au minimum cinq ans, des recettes en constante hausses qui porteront ses réserves de change à un peu plus de 100 milliards à l'horizon 2010.

Cette situation financière de l'Algérie qui dépend à 97% des hydrocarbures a pour conséquence que les prélèvements supplémentaires, environ cinq milliards de dollars, qui seront effectués pour les besoins du plan de soutien à la relance et du paiement anticipé d'une partie de la dette extérieure seront largement compensés par la hausse exceptionnelle des recettes de pétrole et de gaz. AP

[fr.biz.yahoo.com]





Modifié 1 fois. Dernière modification le 13/09/05 20:26 par averoes_1.
13 septembre 2005 23:12


pétrole ou pas pétrole en algérie, une grosse partie des algériens va continuer à galérer tandis que les comptes suisses des généraux vont gonfler bhal lahjin
a
15 septembre 2005 09:53
mabrouk 3likoum messieurs les generaux;vous serez bientot les militaires les plus riches du monde
m
15 septembre 2005 12:11
averoes_1 a écrit:
-------------------------------------------------------
> ALGER (AP) - La barre des 60 milliards de dollars
> de réserve de change sera dépassée à la fin de
> l'année, selon des estimations du ministère
> algérien des finances, embellie financière qui est
> due en grande partie à la flambée du pétrole.
>
> Les recettes de la compagnie pétrolière algérienne
> Sonatrach franchiront le seuil des 40 milliards de
> dollars d'ici la fin 2005 (32 mds d'euros), a
> affirmé, dimanche, le PDG de Sonatrach, Mohamed
> Meziane, qui a précisé qu'il s'agissait d'un
> résultat inédit depuis les années 70.
>
> Pour sa part, le Fonds monétaire international
> (FMI), à cause de nombreux facteurs structurels
> comme la croissance de la demande mondiale en
> hydrocarbure, estime que l'Algérie a toutes les
> chances d'en tirer, durant au minimum cinq ans,
> des recettes en constante hausses qui porteront
> ses réserves de change à un peu plus de 100
> milliards à l'horizon 2010.
>
> Cette situation financière de l'Algérie qui dépend
> à 97% des hydrocarbures a pour conséquence que les
> prélèvements supplémentaires, environ cinq
> milliards de dollars, qui seront effectués pour
> les besoins du plan de soutien à la relance et du
> paiement anticipé d'une partie de la dette
> extérieure seront largement compensés par la
> hausse exceptionnelle des recettes de pétrole et
> de gaz. AP
>
>
>
>
>
> J'ai appris que certains généraux souhaiteraient investir les millards volés au Maroc et en tunisie. Ils semblent passer par des investisseurs étrangers. c'est une rumeur en attendant la confirmation. Je le dis bien rumeur mais crédible.

attention aux chiffres: comparons.

1983 PNB ALGERIEN 58 millards de $

1983 PNB MAROCAIN 18 millards de $


attention aux chiffres: comparons.

2004 PNB ALGERIEN 60.2 millards de $

2004 PNB MAROCAIN 39.8 millards de $


en 20 ans le Maroc a plus que doublé son pnb (de 18 à 39.8)

et l'algérie est passé de 58 à 60.22

La progression est marocaine et comment

l'Algerie tourne rond.

N'oublions pas le poids des importations.
B
BBA
15 septembre 2005 13:06
j'en ai marre de voir des "guéguerre" maroc-algérienne, lorsque l'on voit tout la potentielle de l'algérie et les bénéfice que le maroc peuvent retirer de ce pays.
quand je vois la tunisie et d'autres pays comme la chine que gagnent comme argent en algérie et de voir nos frontière fermé ça me rend malade.



Lu dans Jeune-Afrique Intelligent:


"les entreprises tunisiennes ont vraiment à gagner à s'intéresser davantage au marché algérien.
« Pour plusieurs raisons, explique Hassen Zargouni. D'abord la conjoncture. L'Algérie enregistre des taux de croissance à la chinoise, et son PIB va dépasser 80 milliards de dollars l'année prochaine. C'est un pays solvable, inondé de produits étrangers et où les multinationales sont très offensives. Mais il y a de la place pour tout le monde, car la demande est forte et les besoins sont immenses. Une société tunisienne comme Saida, le fabricant de biscuits, vient d'y réussir une belle percée. Autre argument, la taille du marché algérien : 30 millions de consommateurs et un revenu national par habitant d'environ 2 300 dollars par an, soit à peine 550 dollars de moins que celui des Tunisiens. Et les Algériens seront 48 millions en 2050 !
la politique d'industrialisation lancée das les années 70 par boumedienne commence a porter ces fruits avec l'apport des investissement etranger
commes les coreéns les chinois je ne parle pas des americains itlaien espagnol etc ...
l'algerie est le premier benefiere des IDE avec 6 milliards d'euros en 2004.
en 2005 le gouvernement va injecter 50 millards de dollars dans l'economie sur 5 ans,les saoudiens, egyptiens etc investissent a tour de bras l'algerie est entrain de devenir le dragon de l'afrique.

en 2005 le pib algerien sera de prés de 100 milliards de dollards et donc son pib par habitant de 2950 dollards.l'algerie sera le deuxieme pays arabe a dépasser les 100 milliards de dollards après l'arabie saoudite et avant l'egypthe.
en 2004 l'algerie est devenue la deuxieme puissance economique du monde arabe et la deuxieme du continent africain apres l'afrique du sud.en 2010 les algeriens vivront mieux avec un pib par habitant de 4000 dollards soit le niveau du liban.
Born to Be Alive
m
15 septembre 2005 14:16
respect

Mais cessez le prêt à penser via le copier coller.

Je vous apprend que des marocains discrets participent à la libéralisation de l'économie algérinne. Mais la junte a peur des compétences marocaines.

Si non les marocains ont ouvert la frontière et n'attendent que ça pour travailler ensemble.

15 septembre 2005 14:16
Salam,

BBA je pense que tu as raison, l'Algérie est notre voisin et devrait être notre allié, mais une minorité pollue l'ambiance et nous écarte de nos frères algériens...
[hr][b]L’art de la guerre, c’est de soumettre l’ennemi sans combat.[/b] (Sun Tzu)
B
BBA
15 septembre 2005 15:10
mais il est là le noeud gordien du problème.

je vous jure que ma seul volonté ici et d'essayer de montrer que les bons coté marocain peuvent être bon pour les algériens et que les bons coté algérien peuvent être bon pour les marocains.

vivant la moitié de mon temps en france je peux vous dire que les français se régale de nos querelles mais ce foutent de notre gueule, ont peu crever la bouche ouverte et ils ne léveront pas le petit doigt.

maintenant je voudrai parler des atouts marocain dans dans contexte de rapprochemnt avec l'algérie.

1- main d'oeuvre qualifié dans certains domaines qui font actuellement défaut en algérie.
2- qualité et capacité de travail des marocains véritablement reconnu et qui fût jadis fort apprécié en algérie ( avant la regrettable" marche noir"winking smiley.
3- véritable expertise dans l'agriculture et bientôt dans les services.

voilà ce n'est un petit rappel mais il y en a plein d'autres, cependant il faut comprendre que le commerce péreinne repose avant tout sur le mode gagnant/gagnant, alors à nous d'oeuvrer en ce sens.

pour finir les peuples marocain et algérien comprennent de nombreuses similitudes, langues (berbère, arabe), coutumes, religion, gastronomie...ect, alors ce n'est pas le mode de gouvernance de ces deux pays qui pourront les séparer encore pour longtemps.

salam à tous y compris le diviseur maison de ce site, mais le chétane ne peut l'emporter sur le divin.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 15/09/05 15:22 par BBA.
Born to Be Alive
b
15 septembre 2005 15:33
bba si tu continues ce dialogue je pense que tu auras bcp de gens qui t'ecouteront. des deux cotes. et ce ne t'empechera point de parler meme du roi, du sahara ou autre.

tout est la question d'une intelligence qui quand elle n'est pas existente des deux cotes au moins elle n'est pas existente et les choses vont comme elles vont actuellement.

donc je te propose de prendre cette voie dans ta communication, ici comme sur les autres forums marocains. c'est bcp plus fort, et c'est bcp mieux.


BBA a écrit:
-------------------------------------------------------
> mais il est là le noeud gordien du problème.
>
> je vous jure que ma seul volonté ici et d'essayer
> de montrer que les bons coté marocain peuvent être
> bon pour les algériens et que les bons coté
> algérien peuvent être bon pour les marocains.
>
> vivant la moitié de mon temps en france je peux
> vous dire que les français se régale de nos
> querelles mais ce foutent de notre gueule, ont peu
> crever la bouche ouverte et ils ne léveront pas le
> petit doigt.
>
> maintenant je voudrai parler des atouts marocain
> dans dans contexte de rapprochemnt avec
> l'algérie.
>
> 1- main d'oeuvre qualifié dans certains domaines
> qui font actuellement défaut en algérie.
> 2- qualité et capacité de travail des marocains
> véritablement reconnu et qui fût jadis fort
> apprécié en algérie ( avant la regrettable" marche
> noir"winking smiley.
> 3- véritable expertise dans l'agriculture et
> bientôt dans les services.
>
> voilà ce n'est un petit rappel mais il y en a
> plein d'autres, cependant il faut comprendre que
> le commerce péreinne repose avant tout sur le mode
> gagnant/gagnant, alors à nous d'oeuvrer en ce
> sens.
>
> pour finir les peuples marocain et algérien
> comprennent de nombreuses similitudes, langues
> (berbère, arabe), coutumes, religion,
> gastronomie...ect, alors ce n'est pas le mode de
> gouvernance de ces deux pays qui pourront les
> séparer encore pour longtemps.
>
> salam à tous y compris le diviseur maison de ce
> site, mais le chétane ne peut l'emporter sur le
> divin.
>
> Born to Be Alive
>
>
>
> Edité 2 fois. Dernière modification
> le 15-09-05 14h22.


b
15 septembre 2005 16:33
bonjour,

je ne crois pas qu'on peut croire a la sincerite de ce mec.
l'article en bas est totalement bidouille, falscifie.

BBA a écrit:
-------------------------------------------------------
> j'en ai marre de voir des "guéguerre"
> maroc-algérienne, lorsque l'on voit tout la
> potentielle de l'algérie et les bénéfice que le
> maroc peuvent retirer de ce pays.
> quand je vois la tunisie et d'autres pays comme la
> chine que gagnent comme argent en algérie et de
> voir nos frontière fermé ça me rend malade.
>
>
>
> Lu dans Jeune-Afrique Intelligent:
>
>
> "les entreprises tunisiennes ont vraiment à gagner
> à s'intéresser davantage au marché algérien.
> « Pour plusieurs raisons, explique Hassen
> Zargouni. D'abord la conjoncture. L'Algérie
> enregistre des taux de croissance à la chinoise,
> et son PIB va dépasser 80 milliards de dollars
> l'année prochaine. C'est un pays solvable, inondé
> de produits étrangers et où les multinationales
> sont très offensives. Mais il y a de la place pour
> tout le monde, car la demande est forte et les
> besoins sont immenses. Une société tunisienne
> comme Saida, le fabricant de biscuits, vient d'y
> réussir une belle percée. Autre argument, la
> taille du marché algérien : 30 millions de
> consommateurs et un revenu national par habitant
> d'environ 2 300 dollars par an, soit à peine 550
> dollars de moins que celui des Tunisiens. Et les
> Algériens seront 48 millions en 2050 !
> la politique d'industrialisation lancée das les
> années 70 par boumedienne commence a porter ces
> fruits avec l'apport des investissement etranger
> commes les coreéns les chinois je ne parle pas des
> americains itlaien espagnol etc ...
> l'algerie est le premier benefiere des IDE avec 6
> milliards d'euros en 2004.
> en 2005 le gouvernement va injecter 50 millards de
> dollars dans l'economie sur 5 ans,les saoudiens,
> egyptiens etc investissent a tour de bras
> l'algerie est entrain de devenir le dragon de
> l'afrique.
>
> en 2005 le pib algerien sera de prés de 100
> milliards de dollards et donc son pib par habitant
> de 2950 dollards.l'algerie sera le deuxieme pays
> arabe a dépasser les 100 milliards de dollards
> après l'arabie saoudite et avant l'egypthe.
> en 2004 l'algerie est devenue la deuxieme
> puissance economique du monde arabe et la deuxieme
> du continent africain apres l'afrique du sud.en
> 2010 les algeriens vivront mieux avec un pib par
> habitant de 4000 dollards soit le niveau du liban.
>
> Born to Be Alive


b
15 septembre 2005 16:40
je viens de recevoir cet article qui parait etre la veritable source. clickez sur le link pour verfier.

"bba" melange tout. il redige a sa guise et balance sur internet. vous pouvez comparer. par exemple cette phrase:

"la politique d'industrialisation lancée das les années 70 par boumedienne commence a porter ces fruits avec l'apport des investissement etranger "

ne se trouve pas dans l'original. autres choses aussi. elle correspond plutot a de la propagande gouvernementale. il faut vraiment faire quelque chose contre l'intoxe sur ce site.


link: [www.webmanagercenter.com]

Opportunités algériennes


Proximité géographique et culturelle, complémentarité économique, croissance... Les entreprises tunisiennes gagneraient beaucoup à

s'intéresser de plus près au marché de leur grand voisin de l'Ouest. Depuis l'arrivée au pouvoir d'Abdelaziz Bouteflika, en 1999, Tunis et Alger entretiennent des relations assez bonnes, et qui s'améliorent d'année en année. Les deux gouvernements viennent d'ailleurs de s'entendre sur la relance de leur coopération bilatérale. Mais, réunis à Alger le 30 septembre 2004 pour la quatorzième session de la Haute Commission mixte, les premiers ministres algérien et tunisien avaient regretté que leurs relations économiques ne soient pas à la hauteur de leurs rapports politiques.



Les échanges entre les deux pays ne représentent que 250 millions de dollars, soit à peine plus de 1 % des commerces extérieurs respectifs*. Pourtant, les opportunités d'affaires ne manquent pas. « Au contraire, relève Hassen Zargouni, consultant international et directeur du cabinet Sigma Conseil, leader maghrébin des études marketing et médias, la structure des deux économies est beaucoup plus complémentaire qu'on l'imagine. »



L'économie tunisienne est nettement plus diversifiée que celle de son grand voisin de l'Ouest et possède un tissu très dense d'industries manufacturières et agroalimentaires, ainsi que des sociétés de services performantes. Alors que l'économie algérienne repose essentiellement sur les hydrocarbures (97 % des exportations) et l'industrie lourde. Le pays est un gros importateur de biens d'équipements et de produits agroalimentaires



Rien n'est fait d'ailleurs pour décourager les importations puisque entre 35% et 40 % des crédits bancaires sont attribués aux importateurs, au détriment, là encore, de la production locale. Au cours des onze premiers mois de 2004, l'Algérie a vendu à la Tunisie pour l'équivalent de 85,873 millions de dinars tunisiens (1 DT = 0,62 euro). Le gaz (43,9 %), l'acier (32,6 %) et l'ammonite - un engrais chimique - (10,8%) composent le tiercé de tête de ses exportations, constituées de 268 types de produits différents. Sur la même période, la Tunisie lui a vendu pour 119,055 millions de DT. La typologie des exportations tunisiennes vers l'Algérie, plus complexe, se compose de 892 produits différents. Le ciment est, avec 18 % de la valeur totale, le premier poste d'exportation, mais ce chiffre est à relativiser dans la mesure où les deux pays possèdent une cimenterie en commun, implantée en Tunisie, et dont les ventes sur le marché algérien sont comptabilisées au titre des exportations tunisiennes.



Les produits chimiques (8,4 %), les machines-outils (7,9 %), les ouvrages en acier (6,9 %), les couches pour bébé (5,8 %), les composants automobiles (5,6 %), les composants électroniques (5,1 %) et les plastiques (4,5 %) complètent le top 7 des exportations tunisiennes. Jusqu'en 2003, la balance commerciale de l'Algérie avec la Tunisie était excédentaire (167,5 millions de DT d'exportations, contre 133,4 millions d'importations). Aujourd'hui, du moins pour les onze premiers mois de 2004, cette tendance s'est complètement inversée.



Quels enseignements tirer de ces statistiques ? Que les entreprises tunisiennes ont vraiment à gagner à s'intéresser davantage au marché

algérien. « Pour plusieurs raisons, explique Hassen Zargouni. D'abord la conjoncture. L'Algérie enregistre des taux de croissance à la chinoise, et son PIB va dépasser 80 milliards de dollars l'année prochaine. C'est un pays solvable, inondé de produits étrangers et où les multinationales sont très offensives. Mais il y a de la place pour tout le monde, car la demande est forte et les besoins sont immenses. Une société tunisienne comme Saida, le fabricant de biscuits, vient d'y réussir une belle percée. Autre argument, la taille du marché algérien : 30 millions de consommateurs et un revenu national par habitant d'environ 2 300 dollars par an, soit à peine 550 dollars de moins que celui des Tunisiens. Et les Algériens seront 48 millions en 2050 ! L'étroitesse du marché tunisien (10 millions de consommateurs, 13 millions en 2050), est un frein à l'expansion des entreprises nationales. Pour se développer, elles devront chercher des relais croissance à l'étranger. Elles ont beaucoup - voire trop - misé sur l'Europe. L'Algérie leur offre une chance de diversification à ne pas négliger. » Bien sûr, les obstacles ne manquent pas. Juridiques : la législation algérienne n'est pas toujours très accommodante pour le rapatriement des bénéfices. Commerciaux : la chaîne de distribution n'est pas encore très structurée en Algérie, il faut trouver le bon partenaire, le bon réseau de vente. Trop de grossistes se contentent d'acheter et d'écouler les produits sans se soucier ni de politique commerciale, ni d'image de marque, ni de positionnement du produit. Pour une société qui souhaite s'inscrire sur le long terme, c'est fâcheux. Mais les torts sont partagés, car, dans le passé, le comportement des exportateurs tunisiens n'a pas toujours été exemplaire.



Loin de là. Enfin - cet aspect est plus vrai dans le secteur des services -, le chef d'entreprise algérien peut se montrer « culturellement réticent » à s'adresser à une société ou à un consultant tunisien. « Sa première réaction sera de se tourner vers des Français, des Allemands ou des Américains », déplore un chef d'entreprise tunisien. Mais, malgré les freins et les pesanteurs institutionnelles, les entreprises tunisiennes qui ont tenté l'expérience en Algérie n'ont pas eu à le regretter. C'est le cas du laboratoire Jasminal, ou du fabricant de biscuits Sotubi. Le groupe familial Bayahi (distribution) est lui aussi un précurseur. Il a apporté son savoir-faire pour le lancement de Djezzy, le premier réseau de téléphonie mobile (2,8 millions de clients), et il gère actuellement 20 % des boutiques de vente. Toujours dans le négoce, on peut également citer le groupe El-Arem ou encore Loukil, qui écoule une gamme très large de produits, allant des poids lourds aux machines-outils. Le bureau d'études Dirasset, spécialisé dans l'ingénierie et l'urbanisme, s'est imposé sur le créneau des marchés publics. Il a su valoriser une expérience acquise en Tunisie dans l'aménagement des zones littorales et touristiques. Autre success story, celle de la société Oxia, spécialisée dans l'analyse des systèmes d'information et la gestion intégrée de l'entreprise, des domaines dans lesquels les firmes algériennes accusent un réel retard.



Enfin, quelques industriels du textile, l'un des secteurs phares de l'économie tunisienne (2 050 entreprises, 240 000 emplois), commencent aussi à regarder vers l'Ouest. Le démantèlement des accords multifibres qui garantissaient un accès privilégié sur le marché européen - le débouché naturel des exportations textiles tunisiennes -, pousse en effet à la diversification. Aramys Group commence à s'intéresser à l'Algérie et Megastone vient d'ouvrir une boutique sur Didouche-Mourad, l'une des principales artères commerciales d'Alger, l'ont compris avant les autres. En revanche, les professionnels du tourisme, eux, ont su davantage exploiter les complémentarités entre les deux pays : 800 000 Algériens viennent chaque année passer leurs vacances du côté de Tabarka, Hammamet ou Sousse, ce qui a largement compensé la crise du marché allemand, traditionnel émetteur de touristes. Et, aujourd'hui, les relations se développent rapidement entre opérateurs des deux pays, car les synergies existent. Un partenariat structuré permettrait d'imaginer et de commercialiser en Europe des circuits sahariens tuniso-algériens, et les hôteliers tunisiens pourraient faire profiter leurs homologues algériens de leur savoir-faire dans ce domaine.





* Chiffre qui ne tient pas compte des échanges « informels » (la contrebande des régions frontalières), estimés à environ 40 % de ce total.




(Source : par SAMY GHORBAL JEUNE AFRIQUE L'INTELLIGENT - 17 janvier 2005)
m
15 septembre 2005 16:56
BBA a écrit:
-------------------------------------------------------
> mais il est là le noeud gordien du problème.
>
> je vous jure que ma seul volonté ici et d'essayer
> de montrer que les bons coté marocain peuvent être
> bon pour les algériens et que les bons coté
> algérien peuvent être bon pour les marocains.
>
> vivant la moitié de mon temps en france je peux
> vous dire que les français se régale de nos
> querelles mais ce foutent de notre gueule, ont peu
> crever la bouche ouverte et ils ne léveront pas le
> petit doigt.
>
> maintenant je voudrai parler des atouts marocain
> dans dans contexte de rapprochemnt avec
> l'algérie.
>
> 1- main d'oeuvre qualifié dans certains domaines
> qui font actuellement défaut en algérie.
> 2- qualité et capacité de travail des marocains
> véritablement reconnu et qui fût jadis fort
> apprécié en algérie ( avant la regrettable" marche
> noir"winking smiley.
> 3- véritable expertise dans l'agriculture et
> bientôt dans les services.
>
> voilà ce n'est un petit rappel mais il y en a
> plein d'autres, cependant il faut comprendre que
> le commerce péreinne repose avant tout sur le mode
> gagnant/gagnant, alors à nous d'oeuvrer en ce
> sens.
>
> pour finir les peuples marocain et algérien
> comprennent de nombreuses similitudes, langues
> (berbère, arabe), coutumes, religion,
> gastronomie...ect, alors ce n'est pas le mode de
> gouvernance de ces deux pays qui pourront les
> séparer encore pour longtemps.
>
> salam à tous y compris le diviseur maison de ce
> site, mais le chétane ne peut l'emporter sur le
> divin.
>
>

Il ya dans ce que vous écrivez un amas d'idées reçues sur les marocains .

les marocains peuvent plus apporter un savoir faire dans la gestion, le marketing, médias, entereprenariat, mise à niveau... les services et bien entendu l'agriculture.

ceci dit, c'est vrais qu'algériens et marocains se ressemblent tellement qu'ils ont du mal à s'accepter tels qu'ils sont . Le marocain est autre que celui que Boumed voulait absolument voir. il n'est pas seulement travailleur dans le sens de bon ouvrier ou bon agriculteur mais bon manageur, createur, dynamique,.. c'est dans ce sens qu'il peut apporter à l'Algérie.

mais il est aussi investisseur potentiel en Algérie
o
15 septembre 2005 17:14
mourabett a écrit:
-------------------------------------------------------
> BBA a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
> > mais il est là le noeud gordien du problème.
> >
> > je vous jure que ma seul volonté ici et
> d'essayer
> > de montrer que les bons coté marocain peuvent
> être
> > bon pour les algériens et que les bons coté
> > algérien peuvent être bon pour les
> marocains.
> >
> > vivant la moitié de mon temps en france je
> peux
> > vous dire que les français se régale de nos
> > querelles mais ce foutent de notre gueule,
> ont peu
> > crever la bouche ouverte et ils ne léveront
> pas le
> > petit doigt.
> >
> > maintenant je voudrai parler des atouts
> marocain
> > dans dans contexte de rapprochemnt avec
> > l'algérie.
> >
> > 1- main d'oeuvre qualifié dans certains
> domaines
> > qui font actuellement défaut en algérie.
> > 2- qualité et capacité de travail des
> marocains
> > véritablement reconnu et qui fût jadis fort
> > apprécié en algérie ( avant la regrettable"
> marche
> > noir"winking smiley.
> > 3- véritable expertise dans l'agriculture et
> > bientôt dans les services.
> >
> > voilà ce n'est un petit rappel mais il y en
> a
> > plein d'autres, cependant il faut comprendre
> que
> > le commerce péreinne repose avant tout sur le
> mode
> > gagnant/gagnant, alors à nous d'oeuvrer en
> ce
> > sens.
> >
> > pour finir les peuples marocain et algérien
> > comprennent de nombreuses similitudes,
> langues
> > (berbère, arabe), coutumes, religion,
> > gastronomie...ect, alors ce n'est pas le mode
> de
> > gouvernance de ces deux pays qui pourront
> les
> > séparer encore pour longtemps.
> >
> > salam à tous y compris le diviseur maison de
> ce
> > site, mais le chétane ne peut l'emporter sur
> le
> > divin.
> >
> >
>
> Il ya dans ce que vous écrivez un amas d'idées
> reçues sur les marocains .
>
> les marocains peuvent plus apporter un savoir
> faire dans la gestion, le marketing, médias,
> entereprenariat, mise à niveau... les services et
> bien entendu l'agriculture.
>
> ceci dit, c'est vrais qu'algériens et marocains se
> ressemblent tellement qu'ils ont du mal à
> s'accepter tels qu'ils sont . Le marocain est
> autre que celui que Boumed voulait absolument
> voir. il n'est pas seulement travailleur dans le
> sens de bon ouvrier ou bon agriculteur mais bon
> manageur, createur, dynamique,.. c'est dans ce
> sens qu'il peut apporter à l'Algérie.
>
> mais il est aussi investisseur potentiel en
> Algérie


j'ai comme en dirais senti un brain de complexe d'inferiorité dans ton discour l'ami.

tu reproche au autre de voir en toi un étre trop simple,alors que tu devrais te sousier de l'image que toi tu veux donner au autre.
m
15 septembre 2005 18:16
mes excuses je n'ai pas bien compris le message qui n'est adressé.
a
15 septembre 2005 19:30
l'économie algérienne dépend en totalité du pétrole
c'est comme si au Maroc on ne dépendait que des phosphates
si ça flêchit tout s'éffondre

le Maroc a tellement diversifié ses dérivés qu'il est bien
protégé contre les aléas de certains secteurs

le Maroc sans pétrole, dispose de 10 mois d'importation (devises)
s'il aura son pérole, il sera dix fois mieux
continuons à faire notre chemin, nous sommes sur la bonne voie.
p
15 septembre 2005 21:08
Si les algeriens veulent profiter de leurs richesses les arabs algeriens doivent s'associer avec les kabyles et faire une revolution passifique contre les généraux. Sinon ils resteront tjs ds le kaka

Ce n'est que mon avis.
a
15 septembre 2005 21:56
amazigh l'arabe a écrit:
-------------------------------------------------------
> le Maroc sans pétrole, dispose de 10 mois
> d'importation (devises)
> s'il aura son pérole, il sera dix fois mieux
> continuons à faire notre chemin, nous sommes sur
> la bonne voie.



Bonsoir amazigh l'arabe

Le Maroc a dépensé des milliards de $ dans le Sahara occidentale et continue encore a depenser l'argent du contribuable marocain.

Imagine si tout cet Argent avait été utilisé dans l'exploration pétrolière ou dans des projets économiques, je pense le résultat aurait été formidable et tout le peuple marocain vivrait dans la prospérité.

Quel gâchis ....




Modifié 1 fois. Dernière modification le 15/09/05 22:30 par averoes_1.
z
16 septembre 2005 05:11
Averroes, imagines si l'argent collecte actuellement en algerie ne financait pas la suisse, imagines...

Le maroc ne vend pas sa terre pour diviser les ethnies pour qu'une vive mieux que l'autre, si c'est la politique d'alger vis a vis de la kabylie, on n'est pas comme ca au Maroc...
 
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