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Petites histoires de rappels.
l
11 mai 2010 17:44
Selem ahleikoum,

Voici quelques petites histoires,des sortes de rappels winking smiley

Bismillah:

La Brûlure

Un jour, une princesse se promenait seule dans la forêt. La nuit commença à tomber, et elle se rendit compte alors qu'elle était loin de chez elle et se mit à pleurer car elle n'arrivait plus à retrouver son chemin.

Seule dans cette forêt, elle avait froid, faim et très peur. Elle marchait dans le but de retrouver son chemin quand soudain, elle aperçut une lumière au loin.

Elle s'en approcha et vit une petite maison ; elle toqua à la porte et un jeune homme lui répondit , il s'étonna de voir une jeune fille à cette heure tardive de la nuit et lui demanda ce qui lui était arrivé.

Elle répondit en sanglotant qu'elle s'était perdue, et il la fit donc entrer chez lui.

Il vivait seul, il se rappela cette phrase : « Quand deux personnes sont seules, Shaitane est la troisième personne ».

Il lui donna à manger, à boire ainsi que des vêtements chauds et lui présenta une chambre ou elle passerait la nuit.

Il s'assura qu'elle ne manquait de rien, puis il partit faire la prière. Shaitane lui dit de se dépêcher, car la princesse est seule dans l'autre pièce : c'est une belle fille, parfumée, séduisante.

Pour combattre Shaitane, le jeune homme enchaîna une prière à la suite d'une autre, pendant une bonne partie de la soirée.

Mais Shaitane continuait toujours à l'inciter à tenir compagnie à la princesse, et à commettre un péché.

C'est alors qu'il alluma une bougie, mit son doigt dans la flamme pendant quelques secondes jusqu'à ressentir une violente brûlure, puis retourna faire la prière jusqu'au lendemain matin.

Comme il faisait jour, il reconduisit la princesse chez elle ; celle-ci raconta tout ce qui s'était passé à son père, et lui dit qu'elle avait vu le jeune homme mettre son doigt dans la flamme d'une bougie, et avoir très mal.

Le Roi convoqua alors le jeune homme et lui demanda pourquoi il s'était volontairement brûlé le doigt. Il répondit que c'était une affaire entre lui et Allah.

Mais le Roi voulait absolument comprendre et força le jeune homme à répondre.

Alors, il expliqua :

« La punition du péché est le feu de l'Enfer : pour m'empêcher de commettre un péché, j'ai voulu ressentir la sensation du feu : c'est pour cela que j'ai mis mon doigt dans la petite flamme de la bougie, ceci m'a fait mal, même si c'était une petite flamme, alors j'ai pu imaginer un petit instant la punition du feu de l'Enfer ! »

Le pauvre jeune homme avait le doigt tout brûlé.

La princesse, qui avait tout entendu, se convertit à l'Islam et, touchée par la délicatesse de ce jeune homme, l'épousa.

forcez-vous à éviter les péchés...



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/10 17:55 par le savoir est une arme.
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11 mai 2010 17:46
Le vol de la chemise

Une nuit, alors que Junayd Baghdâdî était en train d'accomplir sa prière, un voleur se glissa dans la maison.


Junayd comprit qu'un intrus venait de pénétrer chez lui, mais il continua quand même sa prière.


Le voleur cherchait des objets de valeur, mais tout ce qu'il put trouver fut une chemise neuve. Il la prit et sortit de la maison à pas de loup.


Junayd avait bien entendu tout ce chahut, mais il n'y avait prêté aucune attention, étant profondément concentré sur sa prière.


Le bon vieux Junayd croyait vraiment que le voleur avait besoin de la chemise, et que le seul moyen de l'avoir était de la voler. C'est pourquoi il garda l'incident secret.


Quelques jours plus tard, tout en flânant au marché, Junayd rencontra deux hommes qui se disputaient. « Pourquoi tout ce bruit ? » demanda Junayd qui était toujours soucieux de calmer les disputes. « Hé bien, expliqua le client, je veux acheter cette chemise à cet homme, et je veux être sûr qu'elle n'a pas été volée. Je veux qu'il me présente un témoin prouvant que cette chemise lui appartienne vraiment.


Mais il refuse d'amener un témoin ! » Junayd reconnut sa chemise et pensa : « Quelle coïncidence ! » Mais il décida de ne rien dire. Il s'offrit même d'être le témoin et, plus encore, il proposa d'acheter lui-même la chemise.


Le client, impressionné par l'enthousiasme de Junayd, acheta immédiatement la chemise. Peu de temps après, le voleur apprit toute l'histoire. Il se souvint que Junayd n'avait rien chez lui présentant une quelconque valeur. Il se rappela comment Junayd n'avait jamais rien dit à propos du vol et comment il s'était porté témoin pour prouver que la chemise n'avait pas été volée.


Son cœur se serra et il se sentit affreusement mal à cause de ce qu'il avait fait.


Il courut chez Junayd et tout en pleurant et implorant son pardon, il avoua son crime.


Il décida sur le champ de devenir un bon musulman et de ne plus jamais voler.


Et, d'après ce que racontent les gens, il tint sa promesse. Le vieux Junayd n'était pas un saint réputé, mais par son acte, un frère musulman changea sa façon de vivre : de mauvais qu'il était, il passa au droit chemin.


Cette petite histoire nous apprend beaucoup de belles choses : trouver une excuse à quelqu'un qui nous cause un tort, lui pardonner, lui venir en aide, ne pas être attaché aux biens matériels de ce monde…


C'est ce que le comportement de Junayd nous enseigne. Mais le comportement du voleur nous apprend aussi qu'on peut commettre des péchés puis revenir sur le droit chemin.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/10 17:56 par le savoir est une arme.
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11 mai 2010 17:47
Il était une fois un homme très pauvre qui vivait avec son épouse. Un jour, son épouse, qui avait de longs cheveux, lui demanda de lui acheter un peigne pour parvenir à se coiffer. L’homme, très désolé, lui dit qu’il n’avait même pas assez d’argent pour réparer le bracelet de sa montre qu’il venait de casser. Emue elle aussi, elle n’insista pas pour sa demande.


L’homme alla à son travail en passant chez l’horloger. Il lui revendit sa montre abîmée à bas prix et s’en alla acheter un peigne pour son épouse.


Le soir, il revint à la maison, le peigne dans la main, prêt à l’offrir. Quelle fut sa surprise lorsqu’il vit que son épouse s’était coupée les cheveux très courts, les avait vendus et tenait en main un nouveau bracelet de montre.

Des larmes coulèrent simultanément de leurs yeux, non pas pour l’inutilité de leur acte, mais pour la réciprocité de leur amour.
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11 mai 2010 17:48
Le Prophète Mohammed (saws) avait pour habitude de s'appuyer sur un tronc de palmier pendant qu'il faisait le sermon du vendredi à la mosquée de Médine.

Un jour, on lui proposa de lui construire un minbar où il se tiendrait pour faire ce sermon et il accepta.
Quand la chaire fut installée et que le vendredi vint, le Prophète (saws) monta sur la chaire pour débuter son sermon. C'est alors que le tronc de palmier émit un gémissement de douleur: il ne suppportait plus la séparation du prophète (saws)!

Le Prophète (saws) accourut vers lui et passa sa main sur le tronc, alors le tronc se calma.

Ce miracle a été attesté par plusieurs témoins parmi les compagnons du Prophète.

An-Nasâ'î raconte: "Les gens se mirent à pleurer quand ils entendirent le tronc gémir jusqu'à ce que le Prophète l'eut consolé en passant sa main dessus".

Le Prophète (saws) dit:
"Par Celui qui possède mon âme, si je ne l'avais pas consolé, il aurait continué ainsi jusqu'au jour du jugement dernier".
l
11 mai 2010 17:50
A mon petit Frère...


Pardonne moi si je n'ai pas été le frère que j'aurais dû être.

Au lieu de t'enseigner le Coran, je t'ai enseigné les derniers raps à la mode.

Au lieu de t'apprendre à respecter nos parents, je t'ai appris à leur répondre.

Au lieu de t'emmener prier à la mosquée, je t'emmenais traîner dans les rues des banlieues.

Au lieu de te parler de notre bien-aimé Prophète Mouhammad (saws), je te parlais de Tupac et de Eminem.

Au lieu de t'encourager à économiser pour aider nos pauvres frères et soeurs dans le monde, je te disais d'économiser pour t'acheter une nouvelle paire de Nike ou de Lacoste.

Au lieu de t'apprendre l'arabe pour comprendre le Coran, je t'apprenais le verlan pour comprendre les crapules du quartier.

Au lieu d'être fier de toi pour tes notes à l'école et à l'école coranique, j'étais fier de toi pour tes scores a Donkey Kong 2.

Je t'ai appris combien il est important d'être habillé à la mode et non combien il est important de suivre la Sounna de notre bien-aimé prophète (pbsl).

Durant des heures, je t'ai parlé de moi alors que j'aurais dû te parler d'Allah.

Demande à Allah swt de me pardonner pour ne pas avoir été un frère pour toi.

Et demande à Allah swt de te guider car moi je n'ai pas su le faire.

J'espère avoir appris pour ne pas faire la même erreur avec mes enfants.

Et J'espère que toi, tu ne feras pas la même chose avec ton petit frère.



Il n'y a de Puissance ni de Force qu'en Allah.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 11/05/10 17:56 par le savoir est une arme.
l
11 mai 2010 17:51
La cage

Il était une fois un Imam, nommé Haselhoef. Un matin il arriva a la mosquée avec une vielle cage d'oiseau rouillée et la posa sur une chaise. De nombreux sourcils furent froncés.

L'imam Haselhoef commenca a raconter :

"Hier, alors que je marchais dans la ville, je vis un petit garcon avec cette cage à la main. Au fond de la cage, trois petits oiseaux grelotaient de peur.

Je me suis arrêté et je lui ai demandé : "Qu'as-tu là mon enfant?"

Le petit garçon repondit : "Deux vieux oiseaux".

Et que vas-tu en faire?"

Il repondit : "Je vais les prendre à la maison et m'amuser avec. je vais leur retirer les plumes et les laisser se battre ensemble, c est tellement amusant!"

"Et quand tu auras assez de ces oiseaux, que comptes-tu en faire?", demandais-je.

"Oh, j'ai deux chats qui aiment beaucoup les oiseaux", dit le petit garçon.

J'en étais bouche bée. Je lui demandai : "Combien veux-tu pour ces oiseaux?"

Il demanda : "Pourquoi voulez-vous ces oiseaux monsieur?, ils sont laids, vieux et ne chantent plus".

A nouveau, je lui demandai : "Combien en veux-tu?".

Il me regarda en pensant, sans doute, "Il est fou!" et dit "Cinq Euros".

Je lui remis 5 Euros et parti immediatement.

Je suis allé jusqu'au jardin se trouvant au bout de la rue, j ai posé la cage sur le sol et j'ai libéré les oiseaux. Voila pourquoi cette cage est vide...

L'imam continua :

On peut comparer cette histoire à une éventuelle conversation entre un prophète et Satan! Satan rentre d'une visite sur terre et se vante :

"Je viens juste d acheter la terre et tous ses habitants. J ai un piège auquel aucun d'eux ne résistera!"

"Mais que vas-tu faire d eux?" demanda le prophète.

Satan répond : "Oh, je vais m'amuser avec eux! Je vais m'amuser avec eux! Je vais leur apprendre comment se marier et ensuite divorcer, comment se haïr, comment abuser des autres, comment boire et fumer. Je vais leur apprendre comment faire des armes et des bombes et comment s'entretuer! Je vais vraiment m'amuser avec eux!!!"

"Et que feras-tu d'eux quand tu en aurras assez?", demanda le prophète.

"Oh, je vais les tuer!", dit satan fier.

"Combien demandes-tu pour eux?", demanda le prophète.

Que veux-tu en faire?", demande satan. ils sont mauvais. Ils te détestent et te crachent à la figure. Ils te maudissent et te tuent. Tu ne veux pas de ces gens!!!".

"Combiens?" demanda à nouveau le prophète.

Satan regarda le prophète en souriant. "Toutes tes larmes et ton sang", lui dit-il.

Le prophète répondit : "Marché conclus" et paya le prix.

Ensuite l'imam prit la cage et s'en alla. N'est-il pas naïf de penser qu'Allah est la cause de la dégradation de ce monde? N'est-il pas triste de croire à tout ce que les journaux disent tandis que l'on se pose des questions sur ce qui est écrit dans le Coran?

N'est-il pas triste de voir que tout le monde desire aller au paradis, alors que nous n'avons pas la foi et que nous n'y pensons pas et que nous ne faisons pas ce que Allah nous demande?

N'est il pas triste d'entendre certaine personne dire : "je crois en Allah", pendant qu'ils suivent le chemin de satan, le mème satan qui croit en ALLAH!!

Il est aussi triste de constater qu'il est simple d'envoyer des milliers de blagues par e-mail et qu'ils seront transférés par tous mais que lorsqu'il s'agit de la parole d'Allah, peu d'entre nous les transmetteront.

N'est-il pas triste de constater que les vulgarites, les grossiertés, les choses ordinaires et le porno passent facilement alors qu'une discution sur Mohamed, au travail ou a l'école, est si difficile?

N'est-il pas triste que tu te preoccupes plus de ce que les gens vont penser que de ce qu'Allah pense de toi?

Qu'ALLAH nous guide
l
11 mai 2010 17:53
*deux grandes jarres*

Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres, suspendues
aux 2 extrémités d'une pièce de bois qui épousait la forme de ses épaules.
L'une des jarres avait un éclat, et, alors que l'autre jarre
conservait parfaitement toute son eau de source jusqu'à la maison
du maître, l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse
> cargaison en cours de route.
>
> Cela dura 2 ans, pendant lesquels, chaque jour, le porteur d'eau
> ne livrait qu'une jarre et demi d'eau à chacun de ses voyages.
>
> Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle, puisqu'elle
> parvenait à remplir sa fonction du début à la fin sans faille.
>
> Mais la jarre abîmée avait honte de son imperfection et se
> sentait déprimée parce qu'elle ne parvenait à accomplir que la
> moitié de ce dont elle était censée être capable.
>
> Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait comme un échec
> permanent, la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau,
> au moment où celui-ci la remplissait à la source.
>
> "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser."
>
> "Pourquoi ?" demanda le porteur d'eau. "De quoi as-tu honte ?"
>
> "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de ma cargaison d'eau
> à notre maître, pendant ces 2 ans, à cause de cet éclat qui
> fait fuire l'eau. Par ma faute, tu fais tous ces efforts, et,
> à la fin, tu ne livres à notre maître que la moitié de l'eau.
> Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète de tes efforts",
> lui dit la jarre abîmée.
>
> Le porteur d'eau fut touché par cette confession, et, plein
> de compassion, répondit: "Pemndant que nous retournons à
> la maison du maître, je veux que tu regardes les fleurs
> magnifiques qu'il y a au bord du chemin".
>
> Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin, au long
> de la colline, la vieille jarre vit de magnifiques fleurs
> baignées de soleil sur les bords du chemin, et cela lui mit
> du baume au coeur. Mais à la fin du parcours, elle se sentait
> toujours aussi mal parce qu'elle avait encore perdu la moitié
> de son eau.
>
> Le porteur d'eau dit à la jarre "T'es-tu rendu compte qu'il
> n'y avait de belles fleurs que de TON côté, et presque aucune
> du côté de la jarre parfaite? C'est parce que j'ai toujours su
> que tu perdais de l'eau, et j'en ai tiré parti.
>
> J'ai planté des semences de fleurs de ton coté du chemin, et,
> chaque jour, tu les as arrosées tout au long du chemin.
>
> Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir de magnifiques
> fleurs qui ont décoré la table du maître. Sans toi, jamais
je n'aurais pu trouver des fleurs aussi fraîches et gracieuses."

Morale de l'histoire: Nous avons tous des éclats, des blessures,
des défauts. Nous sommes tous des jarres abîmées.
Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse, d'autres
ne brillent pas par leur intelligence, d'autres trop grands, trop
gros ou trop maigres, certains sont chauves, d'autres sont diminués
physiquement, mais ce sont les éclats, les défauts en nous
qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

Ilvaut mieux prendre les autres tels qu'ils sont, et voir ce qu'il
y a de bien et de bon en eux. Il y a beaucoup de positif partout.
Il y a beaucoup de bon en vous, Christian!

Ceux qui sont flexibles ont la chance de ne pas pouvoir être
déformés. Souvenez-vous d'apprécier tous les gens si différents
qui peuplent votre vie ! Sans eux, la vie serait bien triste.

Merci d'apprécier amicalement mes imperfections - et, plus
important pour vous - d'apprendre à aimer les vôtres,
l
11 mai 2010 17:53
Les prisonniers de la grotte

Trois hommes marchaient lorsqu’un orage les surprit. Ils se réfugièrent dans une grotte. Un rocher se détacha de la montagne et boucha l’entrée.

L’un d’entre eux dit : " Que chacun de vous invoque Allah en Lui indiquant la meilleure action qu’il a faite pour obtenir Son amour ; invoquez-le et priez Allah, peut-être seriez vous délivrés de cette grotte ".

L’un d’eux commença par dire :

" Ô Seigneur ! j’avais un père et une mère, tous deux très âgés et des jeunes enfants. J’étais berger et tous les jours, je sortais faire paître le troupeau ; puis, aussitôt rentré, je trayais les brebis et donnais à boire à mes parents avant mes enfants. Un jour, j’ai mené paître mes bêtes un peu loin, et je rentrai si tard que je trouvai mon père et ma mère endormis. Je ne voulais les déranger dans leur sommeil pour leur servir le lait, et il m’était désagréable de commencer par les enfants bien que ceux-ci pleuraient de faim à mes pieds. Je restai ainsi pendant toute la nuit jusqu’à l’aube. Ô Seigneur ! Si Tu sais que j’ai fait ça pour Ton amour, pratique-nous une ouverture qui nous permette de voir le ciel ".

Allah, le Très-Haut, ordonna alors de leur pratiquer une ouverture leur permettant de voir le ciel.

" Ô Seigneur ! J’avais une cousine que j’aimais très fort, aussi fort qu’un homme peut aimer une femme. Je me suis mis à la séduire, elle refusa à moins que je ne lui donne cent dinars. J’ai travaillé et ramassé cette somme. Je suis allé la trouver avec l’argent et alors que nous étions enlacés, elle me dit : "Ô Serviteur d’Allah ! Crains Dieu et respecte moi ! ". Aussitôt, je me levai et la laissai. Si Tu sais, Seigneur, que j’ai agi ainsi, seulement pour Ton amour, écarte nous cette roche ".

Et la roche s’écarta encore un peu.



" Ô Seigneur ! s’écria le troisième, j’avais employé un ouvrier moyennant un fariq de riz (c’est une mesure médinoise équivalente à huit kilos de riz). Quand il termina son travail, je lui présentai son salaire qu’il refusa de prendre le jugeant trop bas et s’en alla. Je pris alors le riz, le semai et plus tard je pus acheter, grâce au produit, des bœufs et employa des bergers. Quelque temps après, le même homme vint me trouver et me dit : " Crains Allah et donne-moi mon salaire et ne me lèse pas ".
- " Va prendre ces bœufs avec leurs bergers ", lui répondis-je.
- " Crains Allah et ne te moque pas de moi ! " me répliqua-t-il.
- " Mais non, je ne me moque pas de toi, lui dis-je, prends ces bœufs et leurs bergers ".
Seigneur ! Si Tu sais que j’ai fait cela pour Te plaire, délivre-nous ".
l
11 mai 2010 17:55
Rembourser la dette que l'on a auprès de sa mère

Un homme se dirigeait vers la Mecque pour le Pèlerinage et il portait sa
maman durant le pélerinage sur son dos. Il demanda alors au Prophète :
« Ô Messager d’Allah, est-ce que j’ai rendu son droit à ma maman ? »
alors il répondit : « Même pas d’un cri qu’elle a poussé lorsqu’elle t’a porté et mis au monde ! ».
L’homme, étonné, s’est écrié « Comment cela se fait-il ô Messager d’Allah ? ». Le Messager répondit : « Tu la portes en attendant sa mort alors qu’elle t’a porté en attendant ta vie ! »
l
11 mai 2010 17:59
Hamdoullah,

Qu'Allah nous éloigne de cheytan,et nous rapproche de lui.smiling smiley
l
11 mai 2010 18:27
Ce ne sont pas des histoires dédiés aux petits enfants contrairement à ce que certains pourraient penser à première vuperplexe
I
11 mai 2010 18:41
pourquoi les croyants doivent toujours se faire des rappels alors que ce n'est pas nécessaire pour les athées? Avoir la foi provoquerait-il des oublis?
a
11 mai 2010 21:03
Citation
Itoshiki a écrit:
pourquoi les croyants doivent toujours se faire des rappels alors que ce n'est pas nécessaire pour les athées? Avoir la foi provoquerait-il des oublis?

Regarde autour de toi, des athées qui ont une ligne de conduite irréprochable sont plutot rares, à moisn que tu n'évolues dans un milieu particulièrement cultivé
Le monde qui est clairement dominé par le matérilaiste n'a aucune leçon à nous donner dans ce domaine. Et donc ce type de rappels fait du bien nous suelment aux musulmans, mais pourrait faire du bien en termes d'enseigments qu'il recèle, te faire du bien également.
I
11 mai 2010 22:16
Citation
as300 a écrit:
Citation
Itoshiki a écrit:
pourquoi les croyants doivent toujours se faire des rappels alors que ce n'est pas nécessaire pour les athées? Avoir la foi provoquerait-il des oublis?

Regarde autour de toi, des athées qui ont une ligne de conduite irréprochable sont plutot rares, à moisn que tu n'évolues dans un milieu particulièrement cultivé
Le monde qui est clairement dominé par le matérilaiste n'a aucune leçon à nous donner dans ce domaine. Et donc ce type de rappels fait du bien nous suelment aux musulmans, mais pourrait faire du bien en termes d'enseigments qu'il recèle, te faire du bien également.
ça reste à prouver
l
12 mai 2010 09:38
Citation
Itoshiki a écrit:
pourquoi les croyants doivent toujours se faire des rappels alors que ce n'est pas nécessaire pour les athées? Avoir la foi provoquerait-il des oublis?

Nous nous faisons des rappels afin de nous éviter les pêchés le maximum possible.
Vous autres athées le faites aussi,prends l'exemple simple des morales contenues dans les fables,c'est une sorte de rappel non?

Tu as raison,ce n'est pas nécessaire pour les athées,mais ça l'est à l'échelle humanitaire.
Donc en bref,tout Homme confondu a "besoin" de rappels.
Tout commence dès que nous sommes enfants,tes parents ne t'ont jamais rappeler de manger avec la fourchette,ou alors de mettre ta capuche lorsqu'il pleuvait?

Sans rappel,les scientifiques ne seraient pas.
Sans rappel,les milliaires n'existeraient pas.
etc...

Le monde ne serait pas ce qu'il est sans rappel.winking smiley
h
12 mai 2010 09:58
Salem^aleykoum
Merci pour tes histoires que Dieu te récompense pour cela.Welcome
z
12 mai 2010 10:18
Citation
le savoir est une arme a écrit:
Il était une fois un homme très pauvre qui vivait avec son épouse. Un jour, son épouse, qui avait de longs cheveux, lui demanda de lui acheter un peigne pour parvenir à se coiffer. L’homme, très désolé, lui dit qu’il n’avait même pas assez d’argent pour réparer le bracelet de sa montre qu’il venait de casser. Emue elle aussi, elle n’insista pas pour sa demande.


L’homme alla à son travail en passant chez l’horloger. Il lui revendit sa montre abîmée à bas prix et s’en alla acheter un peigne pour son épouse.


Le soir, il revint à la maison, le peigne dans la main, prêt à l’offrir. Quelle fut sa surprise lorsqu’il vit que son épouse s’était coupée les cheveux très courts, les avait vendus et tenait en main un nouveau bracelet de montre.

Des larmes coulèrent simultanément de leurs yeux, non pas pour l’inutilité de leur acte, mais pour la réciprocité de leur amour.

Salam,

Barakallah o fik pour ses histoires qui comporte chacun un message.

Moi celui que j'ai le plus apprécié est celui que j'ai cité je le trouve beau.
l
12 mai 2010 10:25
Citation
zz95 a écrit:
Citation
le savoir est une arme a écrit:
Il était une fois un homme très pauvre qui vivait avec son épouse. Un jour, son épouse, qui avait de longs cheveux, lui demanda de lui acheter un peigne pour parvenir à se coiffer. L’homme, très désolé, lui dit qu’il n’avait même pas assez d’argent pour réparer le bracelet de sa montre qu’il venait de casser. Emue elle aussi, elle n’insista pas pour sa demande.


L’homme alla à son travail en passant chez l’horloger. Il lui revendit sa montre abîmée à bas prix et s’en alla acheter un peigne pour son épouse.


Le soir, il revint à la maison, le peigne dans la main, prêt à l’offrir. Quelle fut sa surprise lorsqu’il vit que son épouse s’était coupée les cheveux très courts, les avait vendus et tenait en main un nouveau bracelet de montre.

Des larmes coulèrent simultanément de leurs yeux, non pas pour l’inutilité de leur acte, mais pour la réciprocité de leur amour.

Salam,

Barakallah o fik pour ses histoires qui comporte chacun un message.

Moi celui que j'ai le plus apprécié est celui que j'ai cité je le trouve beau.

Fiki l-baraka ma sœur ,je te remercie,moi celui que j'ai préféré c'est celui sur la mère.smiling smiley
Parfois ce sont les choses les plus simples qu'on trouve les meilleurs.winking smiley
h
12 mai 2010 12:55
Salem^aleykoum
Parmi toute les belles histoires que tu a cité celle qui m'a le plus touché c'et l'histoire de la vielle jarre, Merci encore et n'hésite pas si tu connais d'autres histoire de ce genre,merci encore.
Que Dieu nous guide dans le droit chemin.
l
12 mai 2010 12:59
Citation
hendi a écrit:
Salem^aleykoum
Parmi toute les belles histoires que tu a cité celle qui m'a le plus touché c'et l'histoire de la vielle jarre, Merci encore et n'hésite pas si tu connais d'autres histoire de ce genre,merci encore.
Que Dieu nous guide dans le droit chemin.

Ahleikoum selem,

Amine
De rien,si elles vous plaisent je suis d'accord pour en ajouterwinking smiley
Que Dieu vous protège.
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