Citation
olfette216 a écrit:
Salam Alikom,
je souhaiterai vous raconter ce soucis afin d'avoir vos impressions, cela concerne une jeune femme que je considéré comme une sœur.
Nous partions en voyage ensemble, elle est venue chez moi au bled, a même été mon témoin de mariage.
Nous n'avons jamais eut de soucis ni de disputes particulières. J'acceptais ses défauts car quand on aime une personne on l'accepte comme elle est.
Elle disparait des fois de la circulation, ne réponds pas au message... Un jour, j'ai reçu un message d'elle disant qu'elle partait le lendemain en voyage et elle demandait si je voulais qlqchose.
J'avoue j'étais un peu vexée de le savoir la veille, du coup j'ai juste répondu "bon voyage"... Elle a tout de réagi en me demandant si jetais énervée, j'ai répondu que non.
A son retour, elle ne m'a pas contacté. Le jour de son anniversaire environ un mois plus tard, je lui ai envoyé un message cordiale.
et là, la cata, je ne m'attendais pas du tout à sa réponse... En tout rien de sert de continuer dans la cordialité sil n'y a plus d'amitié.
Un point important c'est qu'elle allait se marier...
Je me suis excusé au près d'elle si jamais j'avais fais qlqchose de mal... Et après une explication elle m'a dis qu'à l'avenir il valait mieux parler de nos peines...
J'étais soulagée, et pensais qu'on avait zappé cette histoire... Elle me prévient de la date de son mariage (environ 4mois après)...
Le soir même, je lui envois un texto pour lui demandé se que je pouvais faire pour l'aider dans ses préparatifs.
Elle ne me réponds pas...
Le lendemain je la relance, elle me dit "Oui c'est bon j'ai tout fais"...
Je me suis excusée encore une fois...
Ensuite elle ne répondait plus à mes textos ou très brièvement presque froidement...
J'ai laissée le temps au temps, peut-être pour qu'elle encaisse cette histoire bidon?
Puis un jour je lui envoi un sms pour lui demander qi je la dérange... Elle me réponds que non mais que ca ne sera plus comme avant...
J'ai donc répondu à ça la phrase qu'elle m'avait dite "rien ne sert de continuer dans la cordialité).
Ca me fait beaucoup de peine encore maintenant... Pour son mariage j'ai envoyé un recommandé avec de l'argent car j'ai toujours dit que je voulais lui offrir la coiffeuse.
Elle ne l'a même pas accepté... Je trouve cela dommage.
Je pars In sh'Allah cette année au hajj avec mes parents et c'est une des personnes avec qui j'aurai souhaiter être en bon terme.
M'étant déjà excusé en toute sincérité je ne vois pas quoi faire de plus.
A part la laisser faire sa vie.
Rabby heniha en tout cas je lui souhaite le meilleurs.
Merci de m'avoir lu.
Olfette216
Citation
pouletrotii a écrit:Citation
olfette216 a écrit:
Salam Alikom,
je souhaiterai vous raconter ce soucis afin d'avoir vos impressions, cela concerne une jeune femme que je considéré comme une sœur.
Nous partions en voyage ensemble, elle est venue chez moi au bled, a même été mon témoin de mariage.
Nous n'avons jamais eut de soucis ni de disputes particulières. J'acceptais ses défauts car quand on aime une personne on l'accepte comme elle est.
Elle disparait des fois de la circulation, ne réponds pas au message... Un jour, j'ai reçu un message d'elle disant qu'elle partait le lendemain en voyage et elle demandait si je voulais qlqchose.
J'avoue j'étais un peu vexée de le savoir la veille, du coup j'ai juste répondu "bon voyage"... Elle a tout de réagi en me demandant si jetais énervée, j'ai répondu que non.
A son retour, elle ne m'a pas contacté. Le jour de son anniversaire environ un mois plus tard, je lui ai envoyé un message cordiale.
et là, la cata, je ne m'attendais pas du tout à sa réponse... En tout rien de sert de continuer dans la cordialité sil n'y a plus d'amitié.
Un point important c'est qu'elle allait se marier...
Je me suis excusé au près d'elle si jamais j'avais fais qlqchose de mal... Et après une explication elle m'a dis qu'à l'avenir il valait mieux parler de nos peines...
J'étais soulagée, et pensais qu'on avait zappé cette histoire... Elle me prévient de la date de son mariage (environ 4mois après)...
Le soir même, je lui envois un texto pour lui demandé se que je pouvais faire pour l'aider dans ses préparatifs.
Elle ne me réponds pas...
Le lendemain je la relance, elle me dit "Oui c'est bon j'ai tout fais"...
Je me suis excusée encore une fois...
Ensuite elle ne répondait plus à mes textos ou très brièvement presque froidement...
J'ai laissée le temps au temps, peut-être pour qu'elle encaisse cette histoire bidon?
Puis un jour je lui envoi un sms pour lui demander qi je la dérange... Elle me réponds que non mais que ca ne sera plus comme avant...
J'ai donc répondu à ça la phrase qu'elle m'avait dite "rien ne sert de continuer dans la cordialité).
Ca me fait beaucoup de peine encore maintenant... Pour son mariage j'ai envoyé un recommandé avec de l'argent car j'ai toujours dit que je voulais lui offrir la coiffeuse.
Elle ne l'a même pas accepté... Je trouve cela dommage.
Je pars In sh'Allah cette année au hajj avec mes parents et c'est une des personnes avec qui j'aurai souhaiter être en bon terme.
M'étant déjà excusé en toute sincérité je ne vois pas quoi faire de plus.
A part la laisser faire sa vie.
Rabby heniha en tout cas je lui souhaite le meilleurs.
Merci de m'avoir lu.
Olfette216
Pour moi l'amitié ça n'existe pas.
J'ai coupé l'amitié avec un de mes meilleurs amis, la veille de son mariage et lui mentant sur le fait que je ne pouvais pas aller à son mariage. Je n'aime pas les gens heureux, je les répugne.
Ses parents me considèrent comme leur fils, mais mon pote un peu rapia j'ai coupé avec lui. Comme cela, sans raisons particulière.
Je suis un dictateur, et j'aime cela.
Faire du mal aux gens qui m'aiment ne me dérange absolument pas, juste parce qu'une chose me déplaît j'aime ça.
Je n'accorde aucune valeur aux sentiments humains; je les méprise.
Je m'aime, c'est le principal.
Ainsi est faite la vie.
Pour répondre à ton post:
J'aurais été content, et bon débarras.
De toutes façons un jour tu mourras et elle aussi et vous serez séparées l'une de l'autre.
Tout est éphémère dans cette vie; faut pas s'attacher.
Tu n'as pas le droit.