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Penser l'amazighité, c'est comprendre le Maroc !!
p
19 juillet 2005 23:05
interview avec E. Iazzi linguiste


Quelles sont, selon vous, les conséquences des différentes politiques linguistiques adoptées par notre pays après l'indépendance, sur la langue amazighe ?

Pour comprendre les contours de la politique linguistique marocaine après l'indépendance, il faut remonter aux événements qui ont eu lieu la veille du Protectorat et durant la période de la colonisation : le poids des tribus amazighes, les stratégies d'affaiblissement de ces tribus, le débat entre les élites marocaines de l'époque et la naissance du nationalisme citadin dont la raison fondatrice est explicitement la négation de l'amazighité.

Les débats houleux de l'époque nous en disent beaucoup que ce soit sur le fameux dahir dit « berbère» qui inculpe les Imazighens, ou sur l'histoire du Maroc dont les Imazighens sont exclus, l'origine des Marocains toujours situé ailleurs, les stratifications des composantes identitaires nationales dont l'amazighe est souvent écarté, etc. Ils nous renseignent assez sur les formations de l'époque, les allégeances aux idéologies préfabriqués ailleurs, le profil de l'Etat national recherché et le statut de certaines élites et de certaines composantes. Pour l'amazighité (langue, culture et identité), c'était la négation, voire la méfiance et le mépris.

L'amazighité est devenue synonyme de «danger national ».
L'indépendance a donné l'occasion à l'élite dominante de mettre en pratique ce rêve : maximiser les droits de l'arabité et minimiser, voire annuler, ceux de l'amazighité. On préfère enseigner la préhistoire de n'importe quelle endroit du monde que d'enseigner celui de notre pays, de parler de n'importe quel personnage, même sans valeur, que de parler des hommes de ce pays.

Quand l'amazighité est évoquée, elle est abâtardie : les Amazighes sont des anciens habitants du Maroc sans aucun lien avec les Marocains actuels, ils sont venus d'ailleurs et donc cette terre ne leur appartient pas, etc. Bref, on cultivait l'idée selon laquelle il est plus valorisant de ne pas être originaire de ce pays, et que notre présence ici n'est que le résultat des aléas de l'histoire et du hasard.
Néanmoins, l'histoire a démontré que ce jeu a des effets pervers dangereux : La déculturation, le déracinement et la stratégie du no man's land, le développement d'allégeances à des pôles extérieurs, le mépris du patrimoine marocain toutes dimensions confondues. La conséquence logique en est que certains veulent quitter ce pays ou encore plus grave le détruire parce qu'il ne répond pas aux « idéaux » ( ?!) prêchés.

C'est le sort qu'on a longtemps réservé à tout ce qui est issu de cette terre, l'amazighité en premier lieu.
Quels impacts a eu cette politique sur les différents aspects de l'identité amazighe ? Et comment l'amazighophone a-t-il vécu la non reconnaissance de son identité par l'Etat national ?

Heureusement que l'être humain a un pouvoir extraordinaire d'autorégulation. Les conditions mises en place pendant la colonisation et durant les premières décennies de l'indépendance voulaient éradiquer toutes les dimensions de l'amazighité de ce pays. Mais Les Imazighens n'ont pas cédé.

A la marge du reconnu, ils ont développé des stratégies de survie qui gênaient les idéologues totalitaristes de tout bord. Un leader a même reproché à ses ancêtres de lui léguer le patrimoine lourd des Imazighens, un autre lance sa fatoua de mise à mort de l'amazighe. Dans ces conditions inhibitrices, les Imazighens n'ont jamais eu le sentiment d'être une minorité en voie de disparition. Dès que l'amazighité s'est senti menacée, des associations se sont formées, des voix commencent à réclamer haut et fort les droits des Imazighens, la société continue à utiliser l'amazighe, à produire de la littérature, à optimiser les nouvelles technologies pour faire circuler ses chants.

Mais l'impact le plus important dans cette dynamique, c'est que les Imazighens se sont initiés au jeu politique des langues et des cultures.

Qu'est-ce qui explique le « regain identitaire » et l'essor que connaît la mouvance amazighe au niveau national ?

Le regain identitaire était attendu. Ce qui explique d'un côté la colère de certains idéologues extrémistes, l'intensité et la violence des actions contre l'amazighité durant les années 1950-1980. Deux facteurs peuvent expliquer la renaissance de la mouvance amazighe : d'un côté, les effets pervers, devenus visibles depuis les années 1980, des idéologies extrémistes d'Orient dont a hérité le Maroc, de l'autre, le changement au niveau international et principalement la mondialisation des problèmes identitaires.

Le Maroc se trouve par là situé dans son contexte naturel qui est l'Afrique du Nord et où cette dimension se pose actuellement avec acuité. D'autres expériences peuvent être citées et plusieurs charte internationales ont vues le jour sur les droits linguistiques et culturels.

Ces facteurs ont renforcé les Imazighens dans leurs revendications, d'autant plus qu'ils n'ont jamais interdit ou rejeté aucune des composantes identitaires marocaines. Ils s'inscrivent par là dans la dynamique moderne de plurilinguisme et de pluriculturalisme. Cette tolérance qui a longtemps été considérée comme une défaillance et une négativité, voire un danger, de la part de ceux qui voulaient réinventer par la violence un monde à leur image, est devenue actuellement une nécessité pour la cohabitation et la paix sociale.

Dans cette perspective, on peut qu'être optimiste quand à l'avenir de l'amazighité. L'amazighité a pu survivre dans les conditions hostiles du 20ème siècle, elle ne peut que s'épanouir dans les conditions actuelles.

Comment concevez-vous la prise en charge officielle de l'amazighe : au niveau de la standardisation, de l'enseignement et de sa protection juridique ?

Une langue reconnue doit l'être à tous les niveaux et explicitement. Cette reconnaissance ne peut être que l'affaire de l'Etat. Autrement, c'est encore une fois un mensonge pour gagner du temps, en attendant le retour des déchus qui refusent que le Maroc soit le Maroc à part entière, mais une queue insignifiante d'un quelconque regroupement dont la tête est ailleurs.
Les éléments de la prise en charge des langues partout dans le monde sont :
- la codification de la langue : graphie, orthographe, morphologie, syntaxe et lexique.

- La codification du statut : langue officielle, nationale, étrangère ; le statut dans l'enseignement (obligatoire, optionnelle, le nombre de crédits) ; le statut dans le marché du travail (obligatoire, optionnelle) ; le statut dans les médias ; etc.
Tenant compte des conditions imposées à l'amazighité durant la deuxième moitié du 20ème siècle, le discours d'Ajdir et le dahir portant création de l'IRCAM constituent une révolution dans la mesure où ils nous situent dans le Maroc multidimentionnel avec une mention claire de l'amazighité comme responsabilité nationale. Mais, malheureusement, nous ne disposons sur le plan législatif que de promesses dont l'application est facilement contrecarrée, surtout si l'on prend en considération l'attitude de certains décideurs au sein des ministères qui ne manquent pas, à défaut d'une législation claire et explicite, de raisons pour refuser tout intégration de l'amazighe dans la vie quotidienne.

L'IRCAM s'est attelé à la tâche de la standardisation de la langue amazighe sur le plan graphique, orthographique, lexical et morphosyntaxique. Néanmoins, le politique ne suit pas et il n'est pas obligé de suivre à défaut de textes juridiques le forçant à le faire surtout que les intentions ne sont pas toujours bonnes. D'où le décalage entre les discours et les faits, et par conséquent la déception et la colère des militants amazighes. Et pour un mouvement qui a œuvré à la reconnaissance de l'amazighe à un moment où l'interdiction était totale, cette déception ne peut que le renvoyer au point de départ avec de nouvelles stratégies de militance.

Pour moi, le statut juridique de la langue amazighe ne peut pas continuer à être ignoré de cette manière. Autrement, on attise les problèmes en fournissant à ceux qui sont contre et à ceux qui sont pour, les moyens de se déclarer la guerre.



Quel statut devrait être accordé à la langue amazighe ?

Depuis le discours d'Ajdir, on admet le principe que l'amazighité (identité, langue et culture) est une dimension fondamentale du Maroc, de l'Afrique du Nord et de la Méditerranée, ajoutant à cela les principes de droits de l'homme, de démocratie et de paix sociale tant évoqués par nos politiciens. Dans les faits, et face à ces principes, la reconnaissance actuelle de l'amazighité est importante mais pas suffisante pour répondre aux attentes d'un mouvement social qui l'a longtemps réclamée. Cette situation paradoxale qui nourrit la déception risque d'être de nouveau à la base d'un problème plus complexe.

Si l'amazighité est un patrimoine national et sa défense et sa promotion doivent être un devoir national, sans ambiguïté aucune ; son statut doit être explicitement défini dans la Constitution marocaine comme langue officielle à côté de la langue arabe. Cette reconnaissance dans la Constitution doit en plus servir de base à la conception d'autres textes ad hoc portant sur son statut dans l'enseignement, les médias, l'administration, la justice, etc. Certaines personnes évoquent le fait que la langue n'est pas encore standardisée, et que cette question de statut doit attendre. Néanmoins, ce qu'on oublie, c'est que ce statut est le seul à permettre à la langue de circuler avec ses structures aménagées et d'atteindre la population de manière correcte.


Comment la langue amazighe peut-elle contribuer au développement de la société ?

La notion de développement a connu une évolution dans sa définition. Depuis l'indépendance, L'Etat providence assistait les citoyens à se civiliser, le développement était au départ limité au transfert de technologie. Qui dit transfert de technologie, dit transfert de cultures venues d'ailleurs, de pratiques exogènes, de techniciens formés ailleurs et qui détiennent les clés de la civilisation, etc. L'expérience a démontré que cette démarche est, d'une part, coûteuse pour l'Etat, et d'autre part, inefficace, dans la mesure où elle ancre davantage la dépendance, alors que les besoins augmentent.

Cette option a fait le bonheur de certains idéologues aliénés pour qui seul l'encadrement et l'injection idéologique à forte dose comptaient. L'alphabétisation par exemple est ramenée à imposer une langue ignorée par les citoyens. Les pratiques relevaient de l'endoctrinement et non du développement. Pour eux, les citoyens ne sont pas, en tout cas, dignes d'un quelconque développement, ils sont «génétiquement» condamnés.

Cette période est révolue, nous sommes actuellement et pour des raisons pragmatiques à l'ère du développement intégré et des approches participatives. Pour optimiser le savoir traditionnel dans la gestion des ressources naturelles (eau, forêt, etc.) et la gestion des affaires locales et garantir la participation de tous les citoyens, la langue des citoyens comme moyen de communication s'impose. L'apport de l'amazighe dans ce domaine est d'une très grande importance.
Mais, là encore, le statut de la langue amazighe dans les programmes d'alphabétisation n'est pas encore défini.

Quels seraient les avantages d'une société multilingue ?

Il faut d'emblée préciser que le multilinguisme est un fait, il est de facto l'état naturel de toute société. Il est même actuellement une nécessité pour la survie. Le problème se pose au niveau de sa reconnaissance, sa structuration et sa gestion officielle. Les concepteurs totalitaristes de l'Etat idéal qui ne peuvent voir le monde qu'à leur image, parlant leur langue et pratiquant leur religion n'admettent pas l'ombre d'une différence ; mais comme la multiplicité des langues et des codes est un fait, la société est stratifiée en bon citoyens et mauvais citoyens, voire en citoyens et non citoyens.

Tout l'arsenal de l'Etat est mis au service de cette division, et l'Etat providence aide les citoyens de bonne volonté à franchir le cap de « l'ignorance et la jahiliya » ( !?) et d'apprendre la langue et les codes des « civilisés » ; les autres sont ignorés tant qu'ils ne dérangent pas en réclamant des droits.
Cette approche a fait ses preuves dans le développement de tous les dangers : la dictature, l'affaiblissement des sociétés, la disparition des langues et dans certains cas de groupes humains entiers qui gênent par leur existence même.
Actuellement, le monde a changé, les consciences identitaires ont connu une évolution considérable, le contact entre les cultures et les langues s'est intensifié. Toute conception totalitariste peut être fatale à l'humanité, du moment que tout le monde peut facilement devenir l'ennemi de tout le monde. Pour toutes ces raisons et bien d'autres, les orientations actuellement vont dans le sens de la tolérance des différences.

Pour les pays en voie de développement, le multilinguisme est une nécessité incontournable. La question est comment le reconnaître et le rationaliser afin de l'optimiser. Les demandes sociales dans ce domaine et les disponibilités les Etats à répondre à cette demande ne sont pas toujours les mêmes. Nous assistons ces dernières décennies à la montée d'une demande claire partout dans le monde, et à la naissance de nouvelles conditions qui obligent les Etats à ne plus ignorer, et encore moins à réprimer, cette demande.

Le Maroc a eu le Malheur de cumuler deux conceptions totalitaires convergentes qui ne reconnaissent aucune différence à tel point qu'en parler est déjà un danger : la conception panarabiste et la conception jacobine française. Il a fallu plusieurs chocs pour que ces modèles soient revus à la baisse.
Tolérer, structurer et rationaliser le multilinguisme garantissent la paix linguistique et sociale en garantissant à tout le monde le droit à la dignité (rappelons le mépris des citoyens amazighophones face à l'administration et la justice) et la possibilité d'acquérir d'autres langues et d'autres savoirs sans perdre sa personnalité.

L'intégration de l'amazighe permettra également de relativiser la conception classique qui considérait tout citoyen qui n'a pas fréquenté l'école comme un analphabète, un ignorant et par conséquent un citoyen non opérationnel. Pour garantir la participation de tous ces citoyens, tout savoir acquis doit être valorisé ; tout citoyen a quelque chose à apporter à ce pays.

Où se situerait, selon vous, l'avenir de l'amazighité?

Sur le plan identitaire, l'avenir de l'amazighité est tributaire de l'avenir des citoyens qui la portent. La force d'une langue, d'une culture et d'une identité dépend de la force du citoyen qui les assume. L'amazighité a participé à la mise en forme de ce pays et à son développement, elle a toujours permet le don et la tolérance sans rien perdre de sa dignité. Elle est capable d'assumer les valeurs modernes. L'avenir de l'amazighité est contenu dans les valeurs qu'elle a toujours véhiculées. Il faut éviter de traduire en amazighe les valeurs totalitaristes exogènes.

Sur le plan linguistique, et tenant compte des contraintes de développement et non de la capacité de l'amazighe à exprimer les faits actuels, la langue amazighe est à approfondir comme langue de culture et d'identité. La situation de dépendance économique dans laquelle nous sommes nous oblige à s'ouvrir, à acquérir les nouveaux savoirs et à les adapter tout en permettant à la langue de développer son espace d'épanouissement et d'expressivité conviviale.
Votre dernier mot.

Poser la question de l'amazighité, c'est poser la question de l'avenir de notre pays comme citoyens d'ici, et comme fruit de notre propre histoire et l'histoire de nos contacts avec les autres. Penser l'amazighité, c'est apprendre à lire le Maroc de l'intérieur à travers le regard et les codes des personnes qui l'ont fait et le travail des personnages anonymes qui nous ont légué ce patrimoine. Respecter l'esprit de l'amazighité, c'est s'ouvrir sur l'autre pour apprendre ce qu'il peut bien nous apporter comme bien être. Il est temps de lui donner la parole, de la promouvoir et de la protéger contre le totalitarisme ambiant.



Source : Le Matin
Y
19 juillet 2005 23:31
Salam

Je ne comprends pas pourquoi depuis quelques temps il y a beaucoup de débats sur l'amazighité. On croirait presque que c'est une nouvelle race qui vient de naitre et que personne n'en veut !
J'aimerai bien qu'on m'explique pourquoi autant de tapage là-dessus ?
La guerre est-elle déclarée entre marocains et chleuh ?

Amicalement
Yazz winking smiley
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
A
19 juillet 2005 23:44
Je comprends pas pourquoi depuis 50 ans on nous appéle Arabes du yeméne, pourquoi autant de pub autour de ce mythe ?? On croirait presque que personne ne veut plus être originaire de notre si beau pays !

J'aimerai bien que l'on m'explique ce qu'il c'est passé, pourquoi autant de bruits autour de cette blague ???

La guerre est-elle déclarée entre la raison des uns et les phantasmes des autres ?





Qui connait son passé ne doit jamais l'oublier !
f
19 juillet 2005 23:52

salut yazzsmiling smiley

Ana b3da je ne cherche pas à comprendre, alli galha le Matin hia alli kayna.
Petite pluie abat grand vent
Y
19 juillet 2005 23:57
Salam fatema ben smiling smiley

sa3datek toi si tu cherches pas à comprendre, moi je suis têtue et curieuse c'est pour ça lool smiling smiley

Yazz winking smiley



Modifié 1 fois. Dernière modification le 19/07/05 23:58 par Yazz.
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
A
19 juillet 2005 23:59
mdrrrrrrrrrr
I
20 juillet 2005 00:00
On a un "bruce lee" au maroc?

Ouaouhh!


En plus du nunchako il doit aussi maitriser le lancer de caillouxgrinning smiley
Y
20 juillet 2005 00:01
Amar du sous a écrit:
-------------------------------------------------------
> mdrrrrrrrrrr


Mailek nta ? smiling smiley
Entre nous, t'as écris presque la même chose que moi et même que ta signature elle ressemble presque à la mienne loool smiling smiley

Yazz winking smiley
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
f
20 juillet 2005 00:02
Yazz a écrit:
-------------------------------------------------------
> Salam fatema ben
>
> sa3datek toi si tu cherches pas à comprendre, moi
> je suis têtue et curieuse c'est pour ça lool
>
> Yazz
>
> Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit
> ne doit jamais oublier.


Je ne te le conseille pas,c'est juste parceque je t'aime bien que je te le dis soeursmiling smiley
et je peu te dire que j'ai eu affaire a ce genre de sujet sur ce site, allah yster ça se termine tjs malwinking smiley
( j'ai un secret, je suis aussi-apparemnt -bérbere) et si je ne dis pas améne, 3aoud on va dire que je suis une traitre à la nation.*
la la had chi mabghinahch.

lol
Petite pluie abat grand vent
Y
20 juillet 2005 00:04
fatéma.ben a écrit:
-------------------------------------------------------

> Petite pluie abat grand vent


Ca ressemble à un dicton indien lool tongue sticking out smiley

Yazz winking smiley


Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
f
20 juillet 2005 00:06
Yazz a écrit:
-------------------------------------------------------
> fatéma.ben a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
>
> > Petite pluie abat grand vent
>
>
> Ca ressemble à un dicton indien lool
>

non non non c'est de la difamation yazz, khellik zwina winking smiley winking smiley winking smiley
c'est un proverbe Bérbere
Y
20 juillet 2005 00:08
fatéma.ben a écrit:
-------------------------------------------------------
> Yazz a écrit:
> --------------------------------------------------
> -----
> > Salam fatema ben
> >
> > sa3datek toi si tu cherches pas à comprendre,
> moi
> > je suis têtue et curieuse c'est pour ça lool
>
> >
> > Yazz
> >
> > Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui
> reçoit
> > ne doit jamais oublier.
>
>
> Je ne te le conseille pas,c'est juste parceque je
> t'aime bien que je te le dis soeur
> et je peu te dire que j'ai eu affaire a ce genre
> de sujet sur ce site, allah yster ça se termine
> tjs mal
> ( j'ai un secret, je suis aussi-apparemnt
> -bérbere) et si je ne dis pas améne, 3aoud on va
> dire que je suis une traitre à la nation.*
> la la had chi mabghinahch.
>
> lol
>
>
> Petite pluie abat grand vent



Oui j'ai bien vu que ça finissait généralement mal, chacun prêche pour sa paroisse ou plutôt chacun accuse l'autre smiling smiley

Yazz winking smiley
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
f
20 juillet 2005 00:12
Yazz a écrit:

> Oui j'ai bien vu que ça finissait généralement
> mal, chacun prêche pour sa paroisse ou plutôt
> chacun accuse l'autre
>


donc mnt on fait attention winking smiley hna m3a jiha al ghalba, mabghinach sda3.
ah lala smiling smiley je me reconnais pas, je suis devenu pacifiste moody smiley moody smiley ça me vas pas.
on reprends?
lol


Petite pluie abat grand vent
Y
20 juillet 2005 00:13
D'après toi fatéma, est-ce que les marocains sont injustes envers les "amazighs" ? confused smiley

Yazz winking smiley
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
p
20 juillet 2005 00:14
Yazz et Fatema bent hdiddan brdiddannnn!!!!smiling smiley sad smiley
merci de ne pas tchatter sur le sujet, si vous voulez participez vous etes les bienvenus mais pas de hors sujet.
Y
20 juillet 2005 00:15
pilotedechasse a écrit:
-------------------------------------------------------
> Yazz et Fatema bent hdiddan brdiddannnn!!!!
> merci de ne pas tchatter sur le sujet, si vous
> voulez participez vous etes les bienvenus mais pas
> de hors sujet.


Wollah on fait pas hors sujet, pourquoi tu réponds pas à ma question ? confused smiley La toute première là haut ? smiling smiley

Yazz winking smiley
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
B
20 juillet 2005 00:18
pkoi ces debats et cette rivalité

je la vois qu'en france!!

et je le ressens jamais au pays?? confused smiley (hamdoullah au passage)
[b]Plus rien ne m'étonne[/b]
f
20 juillet 2005 00:19
pilotedechasse a écrit:
-------------------------------------------------------
> Yazz et Fatema bent hdiddan brdiddannnn!!!!
> merci de ne pas tchatter sur le sujet, si vous
> voulez participez vous etes les bienvenus mais pas
> de hors sujet.


je ne sais pas pourquoi le fait que je sois une BEN derange certains, c'est la 2eme remarques a si pilote de chasse moody smiley est ce normal??
c'est toi qui sors du sujet, nous on ne la pas fais.
Petite pluie abat grand vent
A
20 juillet 2005 00:23
"Mailek nta ?
Entre nous, t'as écris presque la même chose que moi et même que ta signature elle ressemble presque à la mienne loool

Yazz

Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier"



Ana ??? wallo ghir nelaab el afritte !

Toute ressemblance avec le texte de yazz, ne peut être que voulu par l'auteur dans un esprit taquin mais serain !



Modifié 1 fois. Dernière modification le 20/07/05 00:29 par Amar du sous.
Y
20 juillet 2005 00:28
Cool Amar smiling smiley

Yazz winking smiley
Qui donne ne doit jamais s'en souvenir. Qui reçoit ne doit jamais oublier.
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