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a écrit:
Enfin,tout ça pour vous dire que si les Muslim ou autres anti NOW suivent cette @#$%& de régime a la con, dans 10 ans, les Marocains du Bled voudrons a 55% faire sauter nos belles Mosquées... et y faire pousser a la place des Supermarchés,des Mac Do et des Buffalo Grill ou des centres de chirurgie esthétique pour Travelos (Lah ister 3lina)
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a écrit:
Zaama França "fille ainée de l'église" (Yekh, hakak li kaykoulou)...Twinigh!,Izane i miniane Ouais! Environ 55% de a population est hostile à ce représentant de l'Église...
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Tamassint' a écrit:
... anti NOW ... régime a la con ...
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Tamassint' a écrit:
Des infos sur le nouveau Pape?
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Tamassint' a écrit:
...(Pourquoi dis tu Américain?)..........
Croyant: Oui (c'est quand même un minimum quand on veut discuter au sujet de religion)Citation
Tamassint' a écrit:
Tu es Croyant et Pratiquant Suggestion?
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a écrit:
Le passé trouble de l'Église argentine
"L'Église d'Argentine est l'une des plus contestées d'Amérique latine pour sa passivité, voire sa complicité, à l'égard de la dernière dictature militaire de 1976-1983", rappelle la spécialiste Paula Paranagua. "Le national-catholicisme était l'idéologie dominante des forces armées, qui comptaient avec la bénédiction de la hiérarchie de l'Église. Contrairement aux Églises du Brésil et du Chili, qui ont joué un rôle capital dans la défense des victimes de la répression et dans la lutte pour les libertés, le clergé argentin a montré une indifférence coupable face aux horreurs commises. Les religieux et religieuses solidaires des Mères de la place de Mai n'étaient pas soutenus par leurs supérieurs, et ont payé parfois de leur vie leur fraternité", analyse-t-il.
Or, les adversaires argentins de Jorge Mario Bergoglio ne manquent pas d'évoquer son rôle trouble durant la dictature : on l'accuse de ne pas s'être assez opposé à la répression. À l'époque, il était le "provincial" des jésuites, c'est-à-dire le responsable d'un ordre dont la priorité a toujours été l'éducation, très respecté pour ses lycées et universités.
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blagueur l a écrit:
Pas de femme, ni de bonne sœur, ni de mére papabilable ...
On nous bassine avec les droits de la femme ...
Pour le Vatican, c'est dans l'ordre des choses ... C'est naturel, cela n'étonne même pas ...
Une bonne sœur, franciscaine, dominicaine, curé, évêque, cardinal, Mame ou Pape ? ...
Les bonnes sœurs ont-elles le droit de vote ? Ou se contentent-t-elles de dire Amen ? ...
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abde12 a écrit:
Salam,
Un Jésuite ! Donc un hypocrite de talent.... Le Vatican nostalgique de la discipline à la Franco. Le "Saint-Francois d'Assise", c'est pour le déguisement, pour la séduction. Mais on est en 2013 et la rhétorique religieuse ne fonctionne plus comme il y a encore 30-40 ans dans les pays latins.