Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Pendant que l'autre confond avec Ouarzazate...
m
9 avril 2006 22:45
Pendant qu'un journaleux algérien confond entre Tazmamaght et Ouarzazate LE HOLLYWOODE MARCOAIN voilà ce que fait le cinéma africain



Source l'opinion

Le Festival du Cinéma Africain de Khouribga)


Sous le signe du renouveau

C’est à l’initiative de la Fédération Nationale des Cinés-Clubs du Maroc (F.N.C.C.M.), avec la collaboration locale de l’Association Culturelle de Khouribga (A.C.K.) et l’Office Chérifien des Phosphates (O.C.P.) que la première rencontre internationale du cinéma africain a eu lieu à Khouribga en mars 1977. Une trentaine d’années nous séparent de cette rencontre qui devint vite un forum important d’un cinéma qui nous est proche tant par sa position géographique, que par ses approches thématiques.
Et c’est pour annoncer la dixième édition qu’un point de presse fut tenu le 5 avril courant, initié par les nouveaux organisateurs : l’Association du Festival du Cinéma Africain de Khouribga, la Commune urbaine de la ville, le Centre Cinématographique Marocain et la Fédération.

Cette dixième édition, placée sous le thème du cinéma et du développement, se tiendra du 3 au 10 juin et se veut une édition originale avec ses spécificités purement africaines. Un président du jury guinéen hors pair, acteur et cinéaste de profession, en l’occurrence Cheikh Doukoure, secondé dans ses fonctions par des membres tout aussi crédibles : Ousseynou Diop, Rokaya Niang, Serge Issa Coello, Olivier Barlet et Pedro Pimenta. Une éminente personnalité marocaine viendra compléter ce jury à la composition fort symbolique.

Cette année, où l’on compte renouer avec l’esprit de Khouribga tel qu’il a été agencé en 1977, à savoir donner à voir les films africains de qualité et côtoyer les cinéastes soucieux du développement du cinéma dans le continent africain, la compétition se veut un panel des différentes productions africaines, couvrant de larges régions du continent... Le Sénégal sera représenté par « Moolaade » du pionnier Sembene Ousmane, un film d’un haut niveau artistique et technique qui n’est pas passé inaperçu au Festival de Marrakech. Ce film concourt avec « Delwende » du Burkinabé Pierre Yameogo, « Les saignantes » du Camerounais Jean-Pierre Bekolo, de « Caramel » de l’Ivoirien Henri Duparc, de « Un héros » de l’Angolais Zeze Gamboa, de « Les habits neufs du gouverneur » du Congolais Mweze Dieudonne. Quant au Maghreb, il participe à la compétition avec des films tout aussi récents notamment : « Le prince » de Mohamed Zran, « Douar des femmes » de Mohamed Chouikh, en plus des oeuvres marocaines : « La symphonie marocaine » de Kamal Kamal et « Réveil » de Mohamed Zineddine. Le cinéaste égyptien Mohamed Khan sera également de la course avec son dernier produit « Les filles du centre ville ».

Parallèlement à la compétition officielle se tiendra la table-ronde habituelle axée cette année sur le cinéma et le développement. Deux axes composent les thèmes abordés : « Le cinéma composante du projet du développement » et « Le film africain face aux enjeux du développement ». Ce colloque, premier dans son genre au Maroc, verra la participation d’éminents spécialistes du cinéma et de l’Afrique venus de tous les coins du monde.

En activités annexes, le programme s’annonce aussi riche : une exposition d’appareils de projection et affiches de films, des ateliers destinés aux animateurs et étudiants de sections audiovisuelles, des signatures de publication, des projections dans les localités avoisinantes, un écran géant, des débats sur les films projetés, des visites guidées au profit des écoliers, autant d’activités permettant d’associer tous publics.

Enfin, un hommage particulier sera consacré au cinéaste marocain Mustapha Derkaoui, le citoyen d’honneur de Khouribga qui y tourna « Fiction première » et qui fut président du jury lors d’une précédente édition.

Un autre hommage sera rendu à un éminent personnage du cinéma africain, hommage gardé en surprise entre plusieurs autres.


Edité le: samedi 8 avril 2006.
f
10 avril 2006 02:14
K
10 avril 2006 02:25
Ca fait plaisir de parler de Khouribga,In love
a
10 avril 2006 14:57
Je suis d'accord Khouribga a toujours été une ville dynamique, et un moment une des plus propres du Maroc.
je ne sais si c'est toujours le cas.

Avec ce festival qui commence à être connu un peu partout , j'espere que cette ville reprendra une place de choix au Maroc.
K
10 avril 2006 15:21
Elle a été trois fois de suite ville la plus propre du Maroc. Je n'ai pas les années. franchement pour avoir visité beaucoup de ville au Maroc, c'est l'une des plus propre méme s'il reste beaucoup à faire.
m
10 avril 2006 16:24
Merci azl95 et kadero,

J'ai habité cette ville où j'ai joué pendant une saison au basket-ball avec les deux Zouhair Mouhcine et Bajoudi...

Ce fut une ville exemple avec des habitants dévoués et charmant.

L'équipe de hand-ball daisait fureur comme l'OCK actuellement au foot. Je me rappelle d'un slogan que disaient ceux qui aimaient l'OCK et s'adonnaient aux boissons alcoolisées.

Si l'OCK perdait ils disaient haut et fort DRAK MIKA ALA L'OCK...

Maintenant nous consiellons au gouvernement de na pas faire AIN MIKA sur cette chaleureuse ville et de continuer à la traiter comme SETTAT le fut à une certaine époque. Vous avez suivi mon regard...

Pour revenir à ce festival il est intrantionalement connu et draine de nombreux africains...à encourager

mag3
10 avril 2006 16:35
Attention au radar sur la grande ligne droite à l'entrée de la ville smiling smiley
"Avec un H majuscule"
T
10 avril 2006 23:02
RV a 7h30 du mat'devant le portail du consulat d'ITALIE a Khouribga, ça c'est du festivale comme on en trouve nul part ailleurs, j'éspere que c'est pas de ce festivale dont on parle ici ? moody smiley
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook