Le premier numéro d'une publication satirique marocaine où la caricature occupe une place importante, doit voir le jour le 3 février à l'initiative du journaliste Abdellah Chankou. "Le Canard Libéré", un tabloïd de 12 pages, se présente sous la forme d'un journal original et novateur dans le traitement de l'actualité, avec comme objectif l'introduction d'une note de fraîcheur et d'humour dans le paysage médiatique.
Le responsable du journal souligne, dans une note de présentation, que sa publication "a naturellement sa place sur la scène médiatique nationale", que "la dérision" sera l'un de ses atouts majeurs, que le recoupement de l'information sa "religion" et qu'on n'y trouvera "ni injure, ni diffamation".
A propos du contenu, Abdellah Chankou précise que les articles seront volontairement courts et rédigés dans un style simple qui tutoie le burlesque sans sombrer dans le grotesque, l'objectif étant de ne pas lasser le lecteur qui trouvera dans le journal toute l'information de la semaine traitée sous un angle différent mais aussi des dossiers et des enquêtes croustillantes.
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