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Le PAM :le parti et le pari du roi ?
m
22 mai 2009 11:42
Le parti authenticité et modernité créé par Fouad Ali El Himma un proche du roi pour bouleverser le paysage politique marocain est en passation d’être mis en orbite par le régime. Avec l’élection de son président Mohamed Cheikh Biadillah en février , il a eu droit à une audience de Mohamed VI au palais royal de Fes . Il s’agit là d’adresser un signe fort à la classe politique et lui signifier que ce parti a le soutient de Mahamed VI. Depuis la moindre parole de Biadillah est retranscrite dans les dépêches et les organes de presse officiel du régime. Une transhumance a lieu, de nombreux hommes et femmes politiques rejoignent ce parti au vu des élections communales de juin 2009. Pour essayer de mettre un terme à l’hémorragie, Chakib Benmoussa est accusé d’avoir émis une circulaire qui demande au wali et gouverneur d’annuler la participation aux élections tous ceux qui ont changé de parti politique comme le stipule un article de loi. Le Pam réagit violement et le ministre de l’intérieur est obligé de faire marche arrière. Et surtout avec une rapidité qu'on ne lui connaissait pas la justice de Rabat et de Tanger viennent d’annuler décisions administratives relatives au rejet de la candidature de deux députés du parti aux prochaines élections communales.
On peut se demander alors si le PAM n’est-il pas le parti du roi ?
Et quels sont les objectifs de ce parti?



Modifié 2 fois. Dernière modification le 22/05/09 13:52 par massouach.
l
22 mai 2009 13:36
"Pam ? ramassis de bâtards". Ismael Alaoui (SG du PPS )


la citation du 21 ème siècle pour moi !

Tel parti ,tel parti ,tel roi.................
e
22 mai 2009 13:57
C’est encore mieux si Mohamed 6 adhère à ce parti ou devient son secrétaire général ou même son trésorier, ça fera avancer le maroc.

Mais si ce parti devient un service postal des députés du PAM pour remettre des lettres au roi, ça risque de donner l’image d’un maroc sans politique
22 mai 2009 14:33
lol .. bien fait pour les gueules ces "Fassistes", Communistes et socialistes à la noix.

A force de faire le chien du roi .. On voit pas l'os passer tellement on a occupé à la recherche de la baballe ..


Ne votez pas!
K
22 mai 2009 14:54
Citation
massouach a écrit:
On peut se demander alors si le PAM n’est-il pas le parti du roi ?

Mais non voyons ! Lui c'est le roi des partis ! Nuance

Citation
massouach a écrit:
Et quels sont les objectifs de ce parti?

Bon pour commencer disons, exterminer les autres partis pour n'en garder que 2..un système bipolaire et binaire qui nous ira si bien..et dans le long terme ce parti servirait peut etre de faire la transition vers une monarchie parlementaire mais tjrs élitiste
H
22 mai 2009 20:04
La politique au Maroc est une vraie mascarade . Le PAM est passé en l'espace de quelques mois de rien au premier parti politique du Maroc. Cela prouve une chose: Un pays régi par le clientèlisme. Toute la classe politique a sauté sous les pieds de Ssi Fouad. Si chakib Benmoussa met cette idée d'interdiction en pratique, le PAM deveindrait le dernier parti politique du pays!!!!!! Preuve que c'est du foutage de gueule et qu'on nous prend vraiment pour des moutons...
H
23 mai 2009 07:02
El Himma voulait détourner les élections comme on détourne un avion : par la force et la menace. Mais le pilote lui a envoyé un coup d’extincteur dans la tête…


Dans un pays où les idéologies et les programmes, quand ils existent, n’ont aucune importance, le seul moyen pour un parti politique de remporter des élections est d’investir des candidats “sûrs de gagner” : ces fameux notables locaux qui contrôlent les terres, les emplois et les revenus des votants. Et s’il faut pour cela les débaucher d’autres partis,

même s’ils portent leurs couleurs au Parlement, qu’à cela ne tienne. Fouad Ali El Himma, le célèbre “ami du roi” et chef officieux du Parti authenticité et modernité (PAM), a largement eu recours à cette méthode. Force d’attraction “royale” aidant, il a fait une véritable razzia dans le mercato des transhumants, privant quasiment tous les autres partis de leurs principaux notables. C’est ainsi que le pourfendeur des “pratiques immorales” s’est retrouvé le premier à en user, que l’apôtre du “renouveau” de la vie politique est devenu la tête de pont de sa fossilisation.

Sauf que le débauchage des politiciens est une pratique illégale. Le week-end dernier, ceux qu’El Himma a particulièrement saignés se sont opportunément souvenus de l’article 5 de la loi sur les partis, qui stipule clairement : “Le titulaire d’un mandat électoral en cours au sein de l’une des deux chambres du Parlement, élu sur accréditation d’un parti politique en activité, ne peut adhérer à un autre parti politique qu’au terme de son mandat”. Autrement dit : aucun élu au Parlement en 2007 ne peut changer d’étiquette avant les législatives de 2012. C’est fâcheux pour le PAM, qui entend présenter aux communales du 12 juin un bon paquet de députés transfuges. Mis au pied du mur, l’ami du roi a tonné contre l’“interprétation tendancieuse” de l’article 5 (sans blague ?!), menaçant en réaction… de faire tomber le gouvernement (il en a le pouvoir, puisque ses députés forment le groupe le plus important du Parlement.) C’est manifeste : Fouad Ali El Himma cherche à détourner les prochaines élections comme on détourne un avion, par la force et la menace. C’est de la piraterie – estampillée Makhzen, vu le CV du pirate.

Etonnamment, la riposte est venue du ministère de l’Intérieur, département à la tête duquel co-officiait El Himma avant de se lancer dans les détournements d’avion. Mardi dernier, en effet, des candidatures déposées par le PAM ont été refusées ça et là par les agents de l’Intérieur, en application du fameux article 5 ! Que s’est-il passé?? Chakib Benmoussa a-t-il reçu un feu vert du Palais pour se dresser contre l’ami du roi ? Ou mieux : le ministre de l’Intérieur s’est-il dressé contre son ancien collègue tout seul, au nom de l’Etat de droit ? En tout cas, le pilote de l’avion électoral, quel qu’il soit, a envoyé au pirate un coup d’extincteur dans la tête – ce qui mérite tous nos applaudissements. Si ce retournement de situation se confirme, ce serait un coup dur pour l’ami du roi vu que sans transfuges, son parti ne pèse plus rien et risque de faire de la figuration le 12 juin. Pire encore : largement due aux retournements de vestes des députés, sa suprématie au sein du Parlement (donc le socle de sa menace de faire tomber le gouvernement) serait elle aussi en péril ! Et ce ne serait que justice.

La justice, justement, reste le dernier recours pour El Himma et ses amis, s’ils veulent éviter la débandade. A l’heure où ce magazine passe sous presse, on ne sait pas encore si des recours ont été déposés, ni quelle sera leur issue le cas échéant. Il ne serait pas étonnant, quand on connaît le système judiciaire marocain, qu’un juge accrédite la théorie de l’“interprétation tendancieuse” de l’article 5, ouvrant ainsi un boulevard aux transfuges. Mais si, au contraire, le justice enfonce le clou et barre définitivement la route aux amis de Si Fouad… eh bien ce sera la confirmation qu’un ordre est tombé d’“en haut”. On veut bien être optimistes, mais de là à croire à l’indépendance de la justice, surtout sur ce genre de questions… Enfin, ne boudons pas notre plaisir, saluons cette victoire inespérée de la démocratie… et croisons les doigts pour la suite.

Telquel
A
23 mai 2009 11:15
Le roi, peut il abolir cette fameuse loi ?
"Pas de guerre entre les races, pas de paix entre les classes" !
m
26 mai 2009 12:03
Ce qui est très grave et dangereux pour la classe politique, c’est ces politiciens escrocs et affairistes qui changent de parti comme ils changent de chemises. Ils bafouent la confiance des électeurs et nuisent à l’image de leur profession. Ces politiciens n’ont pas de conviction, ne défendent pas des idées. Alors qu’une démocratie n’est pas encore instaurée, ils détruisent et affaiblissent l’image du parlement.
On dira qu'ils sont tous pourris et un régime autoritaire est meilleur pour le Maroc.
N’est-il pas l’objectif du roi avec ce parti le PAM ?
s
30 mai 2009 18:35
30/05/2009 17:47:11 - AFP -


Le Parti Authenticité et Modernité passe dans l'opposition


La "surprenante" décision du Parti Authenticité et Modernité (PAM) de retirer son soutien à la majorité gouvernementale au Maroc constitue un "séisme" pour le Premier ministre Abbas El Fassi, estime samedi la presse marocaine.


"La surprenante décision du PAM est un séisme pour le gouvernement d'Abbas El Fassi", écrit le journal arabophone Assabah (indépendant).

Le PAM, formation politique influente créée en 2008 par un proche du Palais royal, Fouad Ali El Himma, a annoncé vendredi qu'il ne soutiendrait plus la majorité gouvernementale et qu'il se positionnerait désormais dans l'opposition. Ce parti compte 46 députés à la Chambre des représentants (sur 325).

Sous le titre "El Himma renverse la table sur le gouvernement", un autre quotidien arabophone indépendant, Akbar Al Yaoum, estime que le Premier ministre est "devant deux options: convaincre un parti de l'opposition d'entrer au gouvernement ou bien démissionner et demander au roi de former un nouveau gouvernement".

Se "refaire une virginité politique"

Pour Libération, un journal de l'Union socialiste des forces populaires (USFP, membre de la coalition gouvernementale), "Abbas El Fassi est confronté à sa première vraie crise" depuis la formation de son gouvernement en 2007.

Quant à Al Bayane, organe du Parti du progrès et du socialisme (PPS, autre membre de la coalition gouvernementale), il estime que le PAM a "rejoint le Parti Justice et Développement (PJD, islamiste) dans l'opposition".

Selon ce journal, la formation de Fouad Ali El Himma a choisi le démarrage de la campagne électorale pour les municipales du 12 juin "pour se refaire une virginité politique en apparaissant comme une alternative au gouvernement".

Le PAM était la deuxième formation de la majorité gouvernementale, également composée du parti nationaliste de l'Istiqlal du Premier ministre (PI, 50 députés), du Rassemblement national des indépendants (RNI, 42), de l'USFP (37 députés) et du PPS (27 députés).

Selon certains analystes, le chef du gouvernement pourrait entamer dans les semaines qui viennent des pourparlers avec d'autres partis politiques pour s'assurer une nouvelle majorité à la Chambre des représentants.


Jeune Afrique.com
D
30 mai 2009 20:03
La semaine dernière sur cette même page, je me réjouissais du fait que le ministre de l’Intérieur Chakib Benmoussa ait fait preuve d’un légalisme ferme, contre les intérêts de son ancien collègue et “ami du roi” Fouad Ali El Himma. Pour rappel, Benmoussa avait fait appliquer l’article 5 de la loi sur les partis qui interdit clairement la “transhumance”, cette pratique consistant à débaucher des politiciens
élus sous d’autres couleurs que les leurs, et à laquelle le Parti authenticité et modernité (PAM) avait largement eu recours. Mais El Himma, le chef du PAM, est allé en justice… et la justice lui a donné raison, invalidant l’article 5 à coups d’arguties juridico-techniques que je vous épargnerai. Aujourd’hui, le PAM peut se servir tant qu’il veut dans les autres partis. C’est du moins ce qu’a retenu Benmoussa, qui semblait n’attendre que ce signal pour jeter l’éponge et se coucher devant son maître. Quelle misère…
Foin de juridisme, allons à l’essentiel : l’ami du roi entend faire main basse sur la politique marocaine, et rien, pas même la loi, ne saurait s’y opposer. C’est aussi bête que ça. Au début de son aventure, on avait eu la faiblesse de croire El Himma quand il affichait son intention de renouveler la classe politique en y injectant du sang neuf, des cadres jeunes et compétents, vivier d’idées nouvelles pour le Maroc de demain… Las ! Après une toute petite expérience ratée (une poignée de scrutins partiels perdus en 2008), l’ami du roi a conclu que pour gagner, il fallait adouber les sempiternels notables locaux, “pièges à voix” richissimes et incultes, quitte à les débaucher massivement. Il est vrai que ça a toujours marché comme ça. El Himma n’a donc pas tort… à court terme. Mais s’il s’était tenu à son idée première en pariant sur le long terme, il aurait peut-être réalisé un petit score aux communales de 2009, puis un score moins petit aux législatives de 2012, puis, de scrutin en scrutin, de meilleurs scores, jusqu’à imposer ses méthodes, figures et idées neuves, et réaliser enfin ce “changement de culture politique” que Mohammed VI a tant appelé de ses vœux. Il faut croire que le roi et son ami sont pressés, et tant pis pour leur grandiose vision initiale. Finalement, le Palais considère la politique marocaine comme un jeu à somme nulle : ce sont toujours les mêmes qui gagnent, alors autant les avoir avec soi. Exit le renouvellement… et en fin de compte, l’espoir.
Quand Hassan II créait des partis fantoches via Driss Basri et truquait massivement les élections en leur faveur, ce n’était pas démocratique pour deux dirhams mais au moins, il y avait un but : faire pièce à une opposition qui n’était pas encore tout à fait laminée, faire voter des mesures impopulaires mais nécessaires, comme le Programme d’ajustement structurel dicté par le FMI dans les années 1980… Mohammed VI a fait le choix de ne plus truquer les élections. Tant mieux. Mais à quoi bon, si elles sont vidées de leur sens à l’avance ? Dans quel but a-t-il lancé son ami intime dans l’arène électorale, si ce dernier se contente de dépouiller ses adversaires pour les supplanter ? Qu’offre-t-il de plus que les autres ? Un soutien sans faille à la monarchie et à ses réformes ? Comme si les autres partis, islamistes inclus, nourrissaient encore la moindre velléité d’opposition…
La vision politique de la monarchie se résume aujourd’hui au bon vieux “ôte toi de là que je m’y mette”. Ce n’est rien de plus que de l’instinct de domination – dont l’assouvissement, une fin en soi, justifie les moyens les plus éculés. Les partis étaient déjà à terre ? La monarchie creuse pour mieux les enfoncer. En marocain, on appelle ça “l’hogra” – le mépris et l’abus de pouvoir envers moins fort que soi. Après 10 ans de “nouvelle ère”, voilà la vision royale qui, finalement, s’impose… Condoléances à tous.

-- A. Benchemsi
a
30 mai 2009 23:09
n importe qui aurait ete a la place de al hima meilleur ami du roi aurait abuse de ce pouvoir. j aurai fait pareil aussi il ne faut deconner.
D
31 mai 2009 11:07
Citation
alhadra a écrit:
n importe qui aurait ete a la place de al hima meilleur ami du roi aurait abuse de ce pouvoir. j aurai fait pareil aussi il ne faut deconner.

Donc, tu ne vaut pas mieux qu'Al Himma. Ca peut te choquer, mais nous ne sommes pas tous des hypocrites en puissance, et certains d'entre nous on des principes.

Un systeme politique ou il suffit d'etre l'ami d'une personne pour abuser du pouvoir de cette facon, est medieval!
m
2 juin 2009 09:19
La justice, le gouvernement et le ministère de l'Intérieur ont donné satisfaction à ce nouveau parti en lui accordant le droit à la non-application de l'article 5 du Code électoral, permettant ainsi aux députés qui l'ont rejoint de se porter candidats alors que la majorité des partis y étaient hostiles"

Le chef du gouvernement, Abbas El Fassi, sur Al Oula.

source:[www.aufaitmaroc.com]

Et voilà , le nouveau Maroc, un état de droit(nous dit-on) qui ne respecte pas ses propres lois.
Qui peut douter maintenant après l'aveu du premier ministre que le PAM n'est pas le parti du roi?



Modifié 1 fois. Dernière modification le 02/06/09 09:23 par massouach.
m
3 juin 2009 10:14
Il est temps de s’interroger sur une telle manœuvre politique. Pourquoi la justice, le gouvernement et le ministère de l’intérieur (en réalité le roi) ont-ils accordé au PAM la non application de l’article 5 de la loi électoral sur les partis comme l’a précisé le Premier Ministre Abass El fassi sur Al Oula ? Un coup d’état politique en somme.

On ne peut comprendre cette décision qu’à la lumière des objectifs du parti. Il a été crée par Fouad Ali Elhimma pour laminer le PJD (parti justice et développement) de Abdelillah Benkirane. Récemment Fouad Ali Elhimma a changé de stratégie,lors d’un meeting, il a désigné le PJD comme un parti adversaire et non plus comme un parti ennemi. Ce changement de stratégie s’explique par la volonté du PAM et du roi de ne pas laisser l’opposition incarner par le PJD qui attireraient à lui tous les mécontents de la politique du gouvernement actuel.Le PAM rentre donc dans l'opposition.

Il n’est plus question de diaboliser le PJD mais d’essayer d’attirer au PAM son électorat.
Fouad Ali Elhimma s’est donc inspiré de la tactique de Sarkosy qui a attiré l’électorat du Fn de Lepen dans son parti l'UMP.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 03/06/09 10:17 par massouach.
m
3 juin 2009 15:18
Citation
massouach a écrit:
Il est temps de s’interroger sur une telle manœuvre politique. Pourquoi la justice, le gouvernement et le ministère de l’intérieur (en réalité le roi) ont-ils accordé au PAM la non application de l’article 5 de la loi électoral sur les partis comme l’a précisé le Premier Ministre Abass El fassi sur Al Oula ? Un coup d’état politique en somme.

On ne peut comprendre cette décision qu’à la lumière des objectifs du parti. Il a été crée par Fouad Ali Elhimma pour laminer le PJD (parti justice et développement) de Abdelillah Benkirane. Récemment Fouad Ali Elhimma a changé de stratégie,lors d’un meeting, il a désigné le PJD comme un parti adversaire et non plus comme un parti ennemi. Ce changement de stratégie s’explique par la volonté du PAM et du roi de ne pas laisser l’opposition incarner par le PJD qui attireraient à lui tous les mécontents de la politique du gouvernement actuel.Le PAM rentre donc dans l'opposition.

Il n’est plus question de diaboliser le PJD mais d’essayer d’attirer au PAM son électorat.
Fouad Ali Elhimma s’est donc inspiré de la tactique de Sarkosy qui a attiré l’électorat du Fn de Lepen dans son parti l'UMP.

J'espere de tout mon coeur que tu as raison. En tout cas c'est la premiere fois que j'entends cette analyse, et j'espere vraiment qu'elle est juste. Parce qu'il faut reconnaitre que tout laisse penser qu'il s'agit d'une véritable mascarade. Moi ca me rappelle ces partis artificiellement crées (UC, MP, RNI) par Feu Hassan II pour contrecarrer les traditionnels partis (Istiqlal, USFP, PPS).

D'aileurs, par rapport a ton analyse, que penses-tu du fait que le PAM pourrait finalement frapper fort, obtenir des scores tres élevés aux prochaines municipales, et devenir, non pas le parti d'opposition, mais a terme le parti numéro 1 ? On vient de voir déja que c'est le parti qui présentera le plus grand nombre de candidats (ce qui est assez hallucinant pour un parti crée il y a quelques mois). De plus ce parti a débauché un grand nombre d'élus, présidents de communes, députés, tres influents, et a meme d'attirer avec eux de nombreux électeurs. Du gros n'importe quoi ...
 
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