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La Palestine a été officiellement rayée de la carte
j
30 décembre 2006 14:03
La Palestine a été officiellement rayée de la carte depuis les accords du Camp David et plus encore depuis l'annonce de la caducité de la Charte Nationale Palestinienne par Yasser Arafat en novembre 1989. Si le sionisme avait réussi cette prouesse l'élaboration du texte de Balfour, faisant disposer d'une terre sur laquelle le gouvernement britannique n'avait nulle autorité au profit d'une communauté religieuse entièrement étrangère à cette terre, c'est bien en raison du racisme constitutif des puissances occidentales enivrées de leur réussite technologique et pas encore fracassées de leur compétition des deux guerres qu'elles ont mondialisées.

Le Liban a été choisi pour sa proximité avec l'entité qui a effacé la Nation et le Peuple Palestiniens, convergeant avec les intérêts énergétiques et stratégiques des différents impérialismes, et sa porosité aux tendances centrifuges impulsées de l'extérieur en raison de son extrême diversité ethnique et confessionnelle, pour exprimer le déchirement et la fragmentation du monde arabe. Les minorités dissidentes de cette sphère culturelle ont toujours trouvé refuge dans les monts du Liban. Elles sont farouchement jalouses de leurs spécificités. Les puissances européennes se sont jouées de la diversité des communautés, favorisant les unes contre les autres pour faciliter leur pénétration. Les manoeuvres françaises visaient à la création d'un état libanais chrétien dataient du milieu du 19ème siècle détruisant l'ancienne aristocratie maronite et faisant prospérer une bourgeoisie occidentalisée. Cependant, les hérauts et les défenseurs les plus acharnés de l'arabité se comptèrent au 19 et 20ème siècle parmi les chrétiens maronites libanais. Le Liban vit de façon manifeste depuis la grande déchirure de 1975 sous tutorat de la Syrie d'Israël, des USA et de l'Arabie Séoudite conjointement ou selon des combinaisons variables.

Sa dernière destruction par l'aviation de l'entité sioniste correspondait à une attaque par procuration de la Syrie. Les "stratèges" israéliens ont préféré anéantir d'abord le petit pays sans armée situé à leur frontière nord écartant la demande de Bush de liquider en premier le dernier régime baathiste.
Cette partie du calcul sioniste s'est révélée être une spéculation désastreuse car la Syrie n'est pas entrée en guerre, et le Hezbollah a repoussé héroïquement l'ennemi.

L'Irak s'était épuisé à complaire aux Occidentaux dans sa confrontation avec la Révolution iranienne, et endetté pour leur rendre ce service d'inactiver la possibilité d'une dissémination de cette révolution. Il a été puni d'avoir cru être autorisé se payer sur le Koweit qui maintenait le prix du baril de pétrole à un niveau incompatible trop bas décidé par les banquiers de la City avec une reconstruction de ses infrastructures laminées par une guerre de 8 ans.
500 000 victimes entre 1980 et 1988
200 000 en 1991 entre janvier et mars
plus d'un million entre 1991 et 2003
plus de 650 000 depuis mars 2003 et des morts par centaines, tous les jours depuis de nombreuses semaines en raison d'une occupation par plusieurs armées et de centaines de milliers de mercenaires qu'aucun état ne comptabilise comme des soldats ressortissants de sa nationalité.
La résistance accroît le nombre de ses attaques quotidiennes rendant illusoire la pacification du pays.
Grâce à elle, l'empire étasunien a démontré son incapacité une fois de plus à gagner une guerre à moyenne distance de son centre. L'épopée de la guerre de 1991, annonciatrice de la nouvelle ère de la domination étasunienne sans partage avec la fin de la guerre froide, n'avait duré qu'une quarantaine de jours en mobilisant un demi million d'hommes , des milliers d'avions, totalisant 109 000 raids aériens.

Grâce à cette résistance qui fait échec à la première puissance mondiale et la désorganise, les pays d'Amérique latine s'émancipent sans se voir opposer des coups d'états, les puissances émergentes comme la Chine ou réémergentes comme la Russie renâclent et contestent les ordres donnés.
La cible prochaine a été annoncée depuis quelque temps déjà.
La méthode aussi a été exposée , une attaque par des mini-bombes nucléaires à forte capacité de pénétration dans des structures souterraines de plusieurs dizaines de mètres. Ces bombes ont été livrées par les US(a) à leur factotum israélien il y a quelques mois.

Si elles venaient à être utilisées contre les centaines de sites prétendument répertoriés par les espions israéliens, les répercussions en terme de modification du climat et les radiations ionisantes ne seraient pas limitées aux frontières iraniennes, mais se feraient ressentir dans tout le Moyen et Proche Orient.* Les prédateurs sont donc dans une certaine expectative, mais les bureaux de recrutement d' "opposants" crédibles aux régimes destinés à être abattus ne sont pas resté inactifs. Ils ont réussi à organiser une petite manifestation d'étudiants hostiles à Ahmadinejad lors de sa visite à l'Université Amirkabir au sud de Téhéran. Le New York Times fait état ce 12 décembre de cette mise en scène maintenant archi-jouée et appartenant au déjà vu déjà entendu. La société globalisée des téléspectateurs en a été saturée, elle a été dressée au zapping et à réclamer des informations qui soient des nouveautés en terme de distraction

*(http://www.livescience.com/forcesofnature/061211_nuclear_climate.html)

13 décembre 2006,
Convergence des Causes
w
30 décembre 2006 14:12
30 000 juifs sioniste vont etre installer dans une nouvelle construction de colonie en cisjordanie.
l accord de cette nouvelle implantation a été officialisé par le gouvernement israelien. les nouveaux colons viennent de............................................... gaza
C
30 décembre 2006 14:42
Chassez-les par la porte,ils reviennent par la cheminée euh..par la fenêtre.
 
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