je la reposerais un de ces 4 pour voir si tu as bien retenu la leçon
[b]"Quand le dernier arbre aura été abattu - Quand la dernière rivière aura été empoisonnée - Quand le dernier poisson aura été péché - Alors on saura que l'argent ne se mange pas."[/b] [i]Géronimo[/i]
je ne comprends pas! Je n'ai jamais dis ou sous entendu cela, je ne te connais pas. Je suis nouveau. Je voulais juste savoir envers qui était tournée ta question "c qui? ya loussetade"
Je vois qu'il y a des cracks en orthographe sur yabiladi, j'en profite pour demander conseil au sujet d'un différend qui m'oppose à une intervenante
Le problème est que j'ai une orthographe intuitive donc je ne peux jamais avoir la certitude d'avoir raison et ça m'énerve (en l'occurrence j'ai sûrement tort mais j'aimerais savoir pourquoi).
J'aimerais connaître notamment les exceptions à la règle qui veut que le participe passé de l'auxiliaire "être" s'accorde avec le sujet (s'il y en a, mais bon en français presque toute règle a une exception).
Par exemple je pensais qu'il existait une subtilité concernant les verbes employés à la forme pronominale (à supposer que ce soit la bonne appellation): Ex.: "Elise est coincée" mais "Elise s'est coincé la main dans la porte" et non pas: "Elise s'est coincée la main dans la porte".
D'ailleurs c'est étrange mais avec cet exemple l'accord me choque moins que pour la phrase qui fait vraiment l'objet du différend...
En attendant la livraison de mon nouveau Bled, merci par avance de m'éclairer sur le sujet
Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/12/05 13:48 par sfenj.
Avec un verbe pronominal (se déshabiller, se coiffer, se coincer (les doigts ou autre chose), se plaindre, etc...) le participe passé employé avec "être" s'accorde en genre et en nombre avec le sujet
exemple : elles se sont rencontrées sur Yabiladi
Mais, mais...
Quand il y a un COD... ca se complique juste un tout petit peu
dans ce cas on utilise les memes regles qu'avec l'auxiliaire 'avoir'
Elles se sont coincé les doigts dans la portière Les doigts qu'elles se sont coincés dans la portière
Pour les exceptions (car il y en a !) qui ne valent que pour l'emploi d'un COI 'supposé' comme par exemple : 'elles se sont écrit'...attends ton Bled il sera plus clair que moi !
Je viens d'ailleurs de rectifier une erreur dans mon propre énoncé de la règle en la matière (pfff jusqu'où va se nicher la nullité)
Merci Assulil pour ta réponse, ça me confirme que j'avais raison (ça fait plaisir )
Et honte à celle qui m'a fait douter
assulil a écrit: ------------------------------------------------------- > Salut Sfenj > > > Je peux juste te rappeler la règle générale : > > Avec un verbe pronominal (se déshabiller, se > coiffer, se coincer (les doigts ou autre chose), > se plaindre, etc...) le participe passé employé > avec "être" s'accorde en genre et en nombre avec > le sujet > > exemple : elles se sont rencontrées sur Yabiladi > > Mais, mais... > > Quand il y a un COD... ca se complique juste un > tout petit peu > > dans ce cas on utilise les memes regles qu'avec > l'auxiliaire 'avoir' > > Elles se sont coincé les doigts dans la portière > Les doigts qu'elles se sont coincés dans la > portière > > > > Pour les exceptions (car il y en a !) qui ne > valent que pour l'emploi d'un COI 'supposé' comme > par exemple : 'elles se sont écrit'...attends ton > Bled il sera plus clair que moi ! > >
Modifié 1 fois. Dernière modification le 27/12/05 13:51 par sfenj.
Verbes pronominaux : cas particuliers Quelques cas particuliers viennent, naturellement, embrouiller la règle ou les variantes à la règle...
« Faire » et « laisser » suivis d'un infinitif
« Faire » et « Laisser » (ce dernier, depuis les rectifications de 1990) sont invariables lorsqu'ils sont suivis d'un infinitif. Josette Rey-Debove et Béatrice Le Beau-Pensa (La réforme de l'orthographe au banc d'essai du Robert, éd. Dictionnaires Le Robert, juillet 1991), si elles témoignent d'une très grande réserve contre tout bouleversement des règles d'accord du participe passé employé avec « avoir » ou dans le cas des verbes pronominaux, regrettaient - dans ce cas particulier - que la règle d'invariabilité lorsque le participe est suivi d'un infinitif n'eût pas été étendue à des verbes tels que voir, entendre, envoyer, croire, penser.
Se rire, se plaire, se déplaire, se complaire
Le participe passé de ces quatre verbes est invariable quand ils sont employés avec le sens qui suit :
« se rire » : se moquer de... « se plaire » : trouver du plaisir à... « se déplaire » : ne pas trouver de plaisir à... « se complaire » : se délecter de... S'écrier, se récrier, s'exclamer
Il y a accord avec le sujet même lorsqu'il y a un complément. Ces verbes, nous dit Grevisse (Le Bon Usage, 13e édition, 1993 - § 916 - remarques, 2) « servent à présenter un discours rapporté ». Ce discours rapporté (« elle s'est exclamée que son ordinateur était bon à jeter ») n'a pas le sens « d'un véritable objet. direct ».
une question: Omar m'a tuée.. ou Omar m'a tué ????