Les mémoriels, les appels au souvenir de la douleur, les demandes de reconnaissances, tout cela n'est il pas une excuse pour que les victimes se transforment un jour en bourreaux ?
Comment peut on se réclamer de la peine de ses ancêtres ?
Doit on pour construire l'avenir, s'appuyer sur les mauvais souvenir de l'histoire pour une reconnaissance, plutôt que de dénoncer les processus qui les ont amenés ? Surtout : Sur la terre des hommes, celui qui se revendiquent d'une ethnie (ou d'une culture) particulière et s'en faisant un principe territorial ou d'indépendance, est il préférable au nationalisme qui opte pour les mêmes critères (subjectifs) d'exclusion ?
tu sais, il y'a quelques jours, je parlais avec une amie à propos de la "violence"...
je m'étais retrouvé avec un hippie. déja, j'ai du mal a respecter ces lâches... mais quand il s'est mit a faire l'interessant en manquant de respect aux "soldats" (en général), j'ai pas pu m'empecher de lui sortir ses 4 vérités à ce moins que rien.
avec cette copine on parlait de la violence. ma réponse était simple. il existe un équilibre quelque part... et il existe des moyens pour atteindre cet équilibre.
et l'un de ces moyens pour atteindre cet objectif s'appele la violence... il existe une panoplie d'outils pour arracher un clou d'une planche. tu serais bien bete a essayer de le faire au marteau a chaque fois...
ben ma réponse sera similaire. il faut savoir quand utiliser ce qu'on a...
cette douleur existe... ces faits historiques existent... mais on sait bien qu'on ne peut pas régler tout nos problemes en se basant dessus. ainsi, on doit apprendre a reconnaitre quand on peut les utiliser, et quand on ne doit pas les utiliser.
parfois, il faut savoir dire "je m'en fous de comment c'était, voilà comment ca devrait etre..." et parfois il faut savoir doser...
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