Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
N'acceptant pas que sa mère entretienne une relation de concubinage, Mohamed...
O
6 février 2007 11:28
Un matricide commis au nom de l'honneur

N'acceptant pas que sa mère entretienne une relation de concubinage, Mohamed décide de la tuer. Il l’a étranglée avec du fil électrique.


Fès. Mohamed patauge dès l'aube de son enfance dans les méandres de la misère. Durant ses vingt-huit printemps, sa vie ne fut pas des plus joyeuses. Une enfance perturbée, une adolescence en souffrance… La malédiction le poursuivait depuis le jour où il avait ouvert les yeux sur la vie.
Après sa naissance, ses parents commencèrent à se disputer pour un oui ou pour un non. Ils avaient oublié le sens de la mesure ainsi que les jours heureux qui avaient ponctué leur histoire d’amour.
À mainte reprise, leurs proches intervenaient pour mettre fin à leurs querelles et les réconcilier. En vain. Au bout de trois ans de vie conjugale, ils ont divorcé. Chacun d’entre eux a refait sa vie. Seul, Mohamed a fait les frais de leur séparation. Après le divorce de ses parents, il a été confié à son père, qui s'est remarié quelques semaines plus tard. Alors que le père baignait dans les délices du mariage, Mohamed s'enfonçait dans le gouffre de la douleur.
Sa belle-mère ne le consolait jamais. Elle ne prenait nullement soin de lui. Pire, elle ne lui adressait la parole que pour l’insulter.
Quand il se plaignait auprès de son père, ce dernier lui tournait le dos. Il ne s’intéressait qu’à sa femme et à son nouveau-né, Abdeslam. Mohamed remarquait comment son père et sa belle-mère prenaient soin de son demi-frère. Il se demandait pourquoi ils ne faisaient pas pareil avec lui. «Ne suis-je pas son enfant?», s'interrogeait-il.
Son seul refuge était l’école. Toutefois, il n'arrivait plus à supporter la maltraitance de sa belle-mère. Il décide alors de fuguer pour rejoindre sa mère également remariée.
Instable, il ne savait plus ce qu’il voulait. Il a donc tourné le dos à l’école pour rejoindre les rangs des chômeurs et des toxicomanes. Pour gagner son pain, il se débrouillait plutôt mal que bien.
Entre-temps, sa mère a été répudiée. Mohamed a décidé de la soutenir, de rester à ses côtés et de prendre soin d’elle.
Mais, sa mère se comportait de manière cruelle et violente à son endroit. Ce comportement agressif l’a poussé à quitter définitivement la capitale spirituelle vers Tétouan. Deux ans plus tard, il a rendu visite à sa mère. Une mauvaise surprise l’attendait: sa mère entretenait une relation avec un chauffeur de poids lourd, avec lequel elle a eu une petite fille. Hors de lui, il lui a demandé de rompre cette relation. Mais en vain. Elle l’a chassé de chez elle. Blessé, il est retourné à Tétouan où il travaillait dans des chantiers de construction.
De temps en temps, il lui rendait néanmoins visite pour lui réitérer sa demande de rompre sa relation avec son concubin. En vain.
La dernière semaine du mois de décembre 2006, il est venu la voir. Sa mère menait toujours sa vie comme elle l’entendait. Il l'a suppliée d'abandonner son compagnon. Il lui a même acheté le mouton de l’Aïd et lui a annoncé qu'il restera avec elle définitivement. Sa mère était têtue. Son refus fut donc catégorique. Une réponse qui n'a pas plu à Mohamed. Après la fête du sacrifice, il a décidé de la liquider.
Mardi 9 janvier 2007. il est sorti de chez lui, s’est arrêté devant le commerçant le plus proche et a acheté du fil électrique.
Il est retourné à la maison. Il trouva porte close. Sa mère n’était pas chez-elle. Il a donc reporté le jour de l’exécution de son crime au lendemain, mercredi 10 janvier.
Le jour « J ». Sa demi-soeur était déjà à l’école et sa mère sur la terrasse, lorsque Mohamed s’est réveillé vers 10 h. Il a pris son petit déjeuner et a fumé un premier joint, puis un second. Vers midi, sa mère est descendue de la terrasse pour préparer le déjeuner.
Vers midi et quart, sa petite fille est retournée de l’école. A la maison, elle découvre que sa mère est morte et que Mohamed avait disparu.
Alertée, la police judiciaire est arrivée sur les lieux et a effectué ses investigations. Elle a conclu qu’il y a eu meurtre. Elle a donc diligenté une enquête approfondie. Qui a tué la mère de Mohamed ? Par quel moyen ? Aucune réponse. Jusqu’à ce qu’une voisine accepte de témoigner.
«J’ai vu Mohamed, vers midi. Il semblait préoccupé et ne savait quoi faire …», dit-elle.
Est-il le tueur ? Il a tenté au départ de se disculper. Mais pressé de questions, il a fini par se mettre à table.
«Oui, je l’ai étouffée avec du fil électrique…», a-t-il avoué.
Il a été déféré devant la justice.




Le 2-2-2007
o
6 février 2007 13:50
allah i ster ya rabbi ya rabbi te rahma
v
6 février 2007 15:45
Honneur ou pas, tuer sa propre mère fait quand même partie du top 10 des crimes les plus ignobles.

De bonnes années de prison lui feront du bien.
j
6 février 2007 16:03
salut!

franchement, j'y crois pas une seconde à cet article, qui j'en suis sûre, est tirée d'"Aujourd'hui le Maroc"! leurs histoires sont trop grosses, mais bon, ça rapporte puisque les marocains adorent lire ce grned e'histoires...

franchement,les flics ne verraient pas les traces autour du cou s'il l'avait étranglée avec du fil de fer? il avait fumé plusieurs joints: il a quand même eu le force de venir à bout de sa mère? et vous connaissea beaucoup de femmes qui restent fi stah pendant toute la matinée? et l'âge de la petite, si on calcule un peu, ne lui permet pas d'aller à l'école, je crois.

Donc moi j'y crois pas, à ce papier.
H
6 février 2007 18:18
Monsieur le modérateur effacez nous cette histoire effroyable svp . Je suis une a^me sensible quand il s agit de paricide ou matricide ...


Quel sale histoire .
v
6 février 2007 18:55
Citation
jihane1978 a écrit:
salut!

franchement, j'y crois pas une seconde à cet article, qui j'en suis sûre, est tirée d'"Aujourd'hui le Maroc"! leurs histoires sont trop grosses, mais bon, ça rapporte puisque les marocains adorent lire ce grned e'histoires...

franchement,les flics ne verraient pas les traces autour du cou s'il l'avait étranglée avec du fil de fer? il avait fumé plusieurs joints: il a quand même eu le force de venir à bout de sa mère? et vous connaissea beaucoup de femmes qui restent fi stah pendant toute la matinée? et l'âge de la petite, si on calcule un peu, ne lui permet pas d'aller à l'école, je crois.

Donc moi j'y crois pas, à ce papier.

Aucun journal n'a interet a inventé de faux fait-divers, car c'est facilement vérifiable comme info.
Après si tu prefère ne pas y croire c'est ton droit.
Le Maroc c'est pas le pays des bisounours, comme tout les pays du monde il y a des histoires de meutres, viols, aggresions et autres vols...

Certains jounaux n'en parle jamais car ils ne parlent pas des faits-divers, d'autres au contraire leurs accordent une large place (aujourd'hui le Maroc est un bon exemple)
k
6 février 2007 20:55
Quelle mère.....et quel fils.....Allah yastar
M
6 février 2007 21:50
Pourquoi au Maroc les gens n'ont pas d'émotions, les faits divers c'est universels, parce que c'est notre pays donc il faut à tout prix nier la vérité, non, le malheur est partout, des malades aussi, quand on part en vacances on en apprend des choses, des histoires dignes de séries policières: adultère, pédophilie, inceste ...et oui tout cela existe bel et bien au Maroc comme ailleurs dailleurs.

En tout cas moi j'en ai eu des frissons dans le dos.
j
8 février 2007 10:58
salut!

je ne disais pas ça parce que je veux nier les réalités du Maroc! des histoires sordides, on en connaît tous,et le Maroc n'est pas exempt de ces drames! je disais juste que souvent les histoires rapportées dans des journaux style "aujourd'hui le Maroc" ne sont pas très crédibles, c'est tout! un journaliste qui rapporte un fait divers ne le fait pas comme ça, je vous promets! il fait parler les enquêteurs, les proches des victimes, des gens qui les connaissaient!

ça reste mon opinion: je suis très prudente sur ce genre d'articles
V
8 février 2007 13:24
faut le jeter dans un trou , et l'oublier , c'est le mieux qu'on puisse faire ....
a
10 février 2007 23:09
Citation
venid1 a écrit:
Honneur ou pas, tuer sa propre mère fait quand même partie du top 10 des crimes les plus ignobles.

De bonnes années de prison lui feront du bien.


Il arrrive même au numéro 1 du top 10 des crimes les plus ignobles !!
a
10 février 2007 23:15
J'oubliais ausssi de dire que dans cette histoire, le père s'est rapidement remarié. Il n'avait pas perdu son temps à l'époque.

Pourquoi la mère, elle doit se sacrifié et vivre seule ??

C'est un message à toutes les femmes ici. Si vous divorcez , refaites vote vie avec un homme.

Si votre mari décède, REMARIER au LENDEMAIN du 40jour de deuil. Comme les hommes le font

Les Femmes sacrifient leurs vies pour des hommes qui les considèrent comme un kleenex .

C'est la triste réalitée !!
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook