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Moubarak attaque washington !
a
21 mai 2006 20:12
Ouvrant samedi le Forum économique mondial, le président égyptien a répliqué aux accusations sur la répression de l'opposition, affirmant que l'Egypte poursuivrait sa démocratisation à son rythme, en raison du risque islamiste. Et s’en est également pris aux Etats-Unis.




«Le processus de réforme se poursuit, il ne s'est pas arrêté et ne s'arrêtera pas». Ces paroles du président égyptien Hosni Moubarak sont à prendre avec précautions. Ouvrant le Forum économique mondial à Charm el-Cheikh, il a plaidé pour des réformes «émanant de l'intérieur» et basées sur une «approche graduelle prudente».

Accélérer ce processus pourrait «conduire au chaos», a-t-il ajouté lors de ce discours après les récentes critiques américaines et européennes sur sa politique à l'égard de l'opposition.

Plus d'un millier de responsables venus de 46 pays, y compris des dirigeants israéliens et palestiniens, se sont retrouvés pour trois jours dans une ville en quasi état de siège, après les attentats qui se sont produit dans cette cité balnéaire du Sinaï.

«Nous ne sommes pas pressés»

«Je n'ai recours à la force ou à la violence contre quiconque, mais nous agirons avec fermeté contre ce qui menace ou porte atteinte aux intérêts suprêmes de l'Egypte», a assumé le chef d’Etat. La police égyptienne a durement réprimé à deux reprises en quinze jours des manifestations de soutien au Caire à deux juges ayant dénoncé des fraudes aux législatives de la fin 2005. Son premier ministre, Ahmed Nazif, a lui affirmé que le «gouvernement présenterait en 2007 un projet de réforme constitutionnelle qui sera soumis à un référendum». «Nous ne sommes pas pressés, cela ne prendra pas un mois, ou deux, ou six, cela prendra des années», a-t-il prévenu.

Etats-Unis critiqués

Mais à 78 ans, Hosni Moubarak a surtout concentré les attaques sur les Etats-Unis, qu’il a implicitement accusé de pratiquer la politique du deux poids deux mesures en matière nucléaire: d'une part le silence sur l'arsenal israélien, de l'autre le branle-bas de combat sur les ambitions iraniennes. Le Raïs a aussi exhorté Washington à œuvrer pour un monde «générant le multilatéralisme, respectant la légitimité internationale, et évitant les actions unilatérales».

Klaus Schwab, fondateur et président du Forum souvent présenté comme «le Davos du Moyen-Orient», s'est voulu optimiste en début de rencontre: «je pense de que forts vents d'espoir soufflent sur la région», a-t-il lancé, jugeant notamment que la tenue du Forum en Egypte un mois après Dahab «démontre de manière éclatante la confiance qu'a la communauté internationale en la région à long terme, et tout particulièrement en l'Egypte».

Ouvrant samedi le Forum économique mondial, le président égyptien a répliqué aux accusations sur la répression de l'opposition, affirmant que l'Egypte poursuivrait sa démocratisation à son rythme, en raison du risque islamiste. Et s’en est également pris aux Etats-Unis.




«Le processus de réforme se poursuit, il ne s'est pas arrêté et ne s'arrêtera pas». Ces paroles du président égyptien Hosni Moubarak sont à prendre avec précautions. Ouvrant le Forum économique mondial à Charm el-Cheikh, il a plaidé pour des réformes «émanant de l'intérieur» et basées sur une «approche graduelle prudente».

Accélérer ce processus pourrait «conduire au chaos», a-t-il ajouté lors de ce discours après les récentes critiques américaines et européennes sur sa politique à l'égard de l'opposition.

Plus d'un millier de responsables venus de 46 pays, y compris des dirigeants israéliens et palestiniens, se sont retrouvés pour trois jours dans une ville en quasi état de siège, après les attentats qui se sont produit dans cette cité balnéaire du Sinaï.

«Nous ne sommes pas pressés»

«Je n'ai recours à la force ou à la violence contre quiconque, mais nous agirons avec fermeté contre ce qui menace ou porte atteinte aux intérêts suprêmes de l'Egypte», a assumé le chef d’Etat. La police égyptienne a durement réprimé à deux reprises en quinze jours des manifestations de soutien au Caire à deux juges ayant dénoncé des fraudes aux législatives de la fin 2005. Son premier ministre, Ahmed Nazif, a lui affirmé que le «gouvernement présenterait en 2007 un projet de réforme constitutionnelle qui sera soumis à un référendum». «Nous ne sommes pas pressés, cela ne prendra pas un mois, ou deux, ou six, cela prendra des années», a-t-il prévenu.

Etats-Unis critiqués

Mais à 78 ans, Hosni Moubarak a surtout concentré les attaques sur les Etats-Unis, qu’il a implicitement accusé de pratiquer la politique du deux poids deux mesures en matière nucléaire: d'une part le silence sur l'arsenal israélien, de l'autre le branle-bas de combat sur les ambitions iraniennes. Le Raïs a aussi exhorté Washington à œuvrer pour un monde «générant le multilatéralisme, respectant la légitimité internationale, et évitant les actions unilatérales».

Klaus Schwab, fondateur et président du Forum souvent présenté comme «le Davos du Moyen-Orient», s'est voulu optimiste en début de rencontre: «je pense de que forts vents d'espoir soufflent sur la région», a-t-il lancé, jugeant notamment que la tenue du Forum en Egypte un mois après Dahab «démontre de manière éclatante la confiance qu'a la communauté internationale en la région à long terme, et tout particulièrement en l'Egypte».

Ouvrant samedi le Forum économique mondial, le président égyptien a répliqué aux accusations sur la répression de l'opposition, affirmant que l'Egypte poursuivrait sa démocratisation à son rythme, en raison du risque islamiste. Et s’en est également pris aux Etats-Unis.




«Le processus de réforme se poursuit, il ne s'est pas arrêté et ne s'arrêtera pas». Ces paroles du président égyptien Hosni Moubarak sont à prendre avec précautions. Ouvrant le Forum économique mondial à Charm el-Cheikh, il a plaidé pour des réformes «émanant de l'intérieur» et basées sur une «approche graduelle prudente».

Accélérer ce processus pourrait «conduire au chaos», a-t-il ajouté lors de ce discours après les récentes critiques américaines et européennes sur sa politique à l'égard de l'opposition.

Plus d'un millier de responsables venus de 46 pays, y compris des dirigeants israéliens et palestiniens, se sont retrouvés pour trois jours dans une ville en quasi état de siège, après les attentats qui se sont produit dans cette cité balnéaire du Sinaï.

«Nous ne sommes pas pressés»

«Je n'ai recours à la force ou à la violence contre quiconque, mais nous agirons avec fermeté contre ce qui menace ou porte atteinte aux intérêts suprêmes de l'Egypte», a assumé le chef d’Etat. La police égyptienne a durement réprimé à deux reprises en quinze jours des manifestations de soutien au Caire à deux juges ayant dénoncé des fraudes aux législatives de la fin 2005. Son premier ministre, Ahmed Nazif, a lui affirmé que le «gouvernement présenterait en 2007 un projet de réforme constitutionnelle qui sera soumis à un référendum». «Nous ne sommes pas pressés, cela ne prendra pas un mois, ou deux, ou six, cela prendra des années», a-t-il prévenu.

Etats-Unis critiqués

Mais à 78 ans, Hosni Moubarak a surtout concentré les attaques sur les Etats-Unis, qu’il a implicitement accusé de pratiquer la politique du deux poids deux mesures en matière nucléaire: d'une part le silence sur l'arsenal israélien, de l'autre le branle-bas de combat sur les ambitions iraniennes. Le Raïs a aussi exhorté Washington à œuvrer pour un monde «générant le multilatéralisme, respectant la légitimité internationale, et évitant les actions unilatérales».

Klaus Schwab, fondateur et président du Forum souvent présenté comme «le Davos du Moyen-Orient», s'est voulu optimiste en début de rencontre: «je pense de que forts vents d'espoir soufflent sur la région», a-t-il lancé, jugeant notamment que la tenue du Forum en Egypte un mois après Dahab «démontre de manière éclatante la confiance qu'a la communauté internationale en la région à long terme, et tout particulièrement en égypte".
a
21 mai 2006 23:01
bravo a moubarak
w
22 mai 2006 01:22
il sort de son coma moubarak
I
22 mai 2006 12:23
Citation
andi espoir a écrit:
«Le processus de réforme se poursuit, il ne s'est pas arrêté et ne s'arrêtera pas». Ces paroles du président égyptien Hosni Moubarak ".





ce type est un dictateur,ni musulman ni arabe,je ne sait pas d ou il sort.



Il doit avoir chaud au Q pour retourner sa veste comme ça!
s
22 mai 2006 12:39
Citation
Iron-man a écrit:
Citation
andi espoir a écrit:
«Le processus de réforme se poursuit, il ne s'est pas arrêté et ne s'arrêtera pas». Ces paroles du président égyptien Hosni Moubarak ".





ce type est un dictateur,ni musulman ni arabe,je ne sait pas d ou il sort.



Il doit avoir chaud au Q pour retourner sa veste comme ça!

On a pas le droit de dire qu'il n'est pas musulman.
Pour dictateur, je suis d'accord.
Pour le reste, c'est un pantin entre les mains de Washington.
a
22 mai 2006 12:45
il paraît qu'il prépare son fils à lui succéder, pourquoi nos dirigeants arabes ne rencontrent aucune réaction de leur peuple (excepté l'égypte).
I
22 mai 2006 12:46
Citation
srnit a écrit:
On a pas le droit de dire qu'il n'est pas musulman.
.



Et bien !il ne l est pas!!!!!!



je l avais vu sur rtm pour je ne sait plus quelle cérémonie,au moment de la priére il a eu du mal à se


plier les genoux,les articulations et autres muscles etaient loin d étre habitués aux postures


quotidiennes de la priére.


Et qu est ce qu un musulman?>>>>>>celui qui fait la priére.
a
22 mai 2006 15:27
de toute facon il n y a pas le choix ce seras housni moubarak avec une egypte unis telle que l on connais maintenant ou bien ce seras un senario democratique comme gaza,le liban ou l irak.
si housni moubarak tombe le monde entier feras connaissance des qobts,des freres musulmans,des arabistes (..........et je ne sais qui d autres)

et leurs luttes pour le pouvoir feras la une de l actualité comme en irak comme au liban et comme a gaza et comme l algerie post boumedienne.

alors bon spectacle les amoureux de la democratie.
I
22 mai 2006 16:00
Citation
antitout a écrit:
et leurs luttes pour le pouvoir feras la une de l actualité comme en irak comme au liban et comme a gaza et comme l algerie post boumedienne.

.



C est un mal nécéssaire.
I
22 mai 2006 17:02
Citation
andi espoir a écrit:
, le président égyptien s’en est également pris aux Etats-Unis.




.




il vont lui mettre un suppositoire ca va le calmer.
b
22 mai 2006 21:55
Bien que je suis assez d'accord avec lui, je ne peus m'enpécher de penser que ce type est un oportuniste et un menteur.

Il a demandé l'accord des usa pour les critiquer, afin d'avoir plus de légitimiter envers son peuple, mais je pense que les égyptiens et les arabes en géneral ont compris ce petit jeu entre amis.
m
23 mai 2006 00:50
Attention à la poudre aux yeux égyptiennes !

Comment Moubarak peut-il s'en prendre à son papa, à son ton SAM qui le défend et le nourrit ?

Il reçoit des millions de dollars pour qu'il entretienne de bonnes relastions avec Israel, se taire mais faire taire son peuple.

La politique Ah quand tu nous tient.

Pour ce qui est de son fils. Quoi de plus légitime ? Assad a bien légué à son fils le trône. Gaddafi se prépare à faire la même chose. Ben Ali s'éternise. Il vaut mieux qu'ils proclament la monarchie comme cela nous serons tranquilles. Ce jeu de dupes fait rire le monde occidental.

mag3
t
ted
23 mai 2006 05:40
Hosni Mubarak ou “la vache qui rit” selon l’humour marocain…cet agent de la CIA n’a ni la morale, ni l’ethique d’attaquer son maitre…il doit re-faire son stage chez m6./
 
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