Pendant qu'un journaliste Israelien etait en direct par telephone avec un Medcin palestenien connu en Palestine et en Israel pour sa position de pont entre les deux comunautés ce medcin soigne les israeliens et les palesteniens et parle de vivre ensemble aux deux communautés.
pendant cette comunication le medcin commencait a creer et a pleurer, le journaliste israeliens lui demande ce qui se passe,le medcin dit en pleurant ils ont bombardé ma maison, mes deux enfants sont morts, moi je suis blessé comme le reste de la famille,un élan de solidarité a eté mis en place rapidemnt pour les localiser et amener les blessées dans un hopital israelien.
Arrivé a l'hopital, l'homme s'efondre et pleure ses enfants morts et le reste de la famille blessé.
C'est un signe peut etre ca pour que l'opinion public israelienne se desolidarise avec le TSAHAL,malgré la culpabilité et le bourage de crane exercait et le chantage sur le theme de la securité d'ISRAEL,Alors on veut entendre les voix d'israeliens pour dire HONTE a CE PEUPLE.
"...C'est un signe peut etre ca pour que l'opinion public israelienne se desolidarise avec le TSAHAL..."
Pas dut out, tu ne racontes pas l'image jusqu'au bout, car lorsque le medecin essayait de parler à la presse, des juifs (une femme et un type, se sont presque jeté sur lui de haine l'accusant de cacher des combattants terroristes, selon leurs dires. Rien à tirer de ces gens là. Il faut couper la mauvaise herbe.
Israel, un état terroriste crée par des terroristes, ne peut pas subvivre sans terroriser le peuple palestinien.. Elle a volé ses terres, elle passe au deuxième étape; elle vole leurs vies
"First they ignore you, then they laugh at you, then they fight you, then you win."
Gandhi
J'ai sauvé des vies et voilà, ô toi ange de la mort Dans ton char satanique tu as pris à trois corps La vie, tu as pris ma vie, tu as repris les sourires De Palestine, ses enfants qui venaient de dormir, Qui venaient de fermer l'œil pour oublier tous Ces cauchemars, toutes ces horreurs des infos ; Tous ces draps ensanglantés servant de civières, Les survivants qui agonisent lentement parterre, Faute de lits, médecins et surtout médicaments Devenus aussi rares que le don et poches de sang, Aussi précieux que le liquide de la vie, la source Qui s'est tarie avec les jambes coupées, la force.
Mes petites filles ! Vous avez pris la vie d'anges, Gardiens de la paix et du repos, futurs échanges Des peuples tenant le pardon entre leurs mains. Mais ce pardon, cette paix, ne sera pas demain ! Demain n'existant plus dans ma tête. Il est parti. Il est parti dans mes bras avec leurs corps sans vie, Ceux d'innocents lanceurs de pierres contre le fer, Contre les obtus de la guerre pour venger un père, Une mère, un frère ou une sœur, appelé martyr… Non ! Ce n'est pas comme ça que ça devait finir ! Car ni aucun souffle, aucune victoire ou podium Ne rendra la vie comme la paix parmi les hommes.
Ceux-là qui déclenchent des guerres pour s'asseoir Dans le fauteuil de ministre, président, vêtu de noir En héros, sur l'estrade faite de cercueils et haines Profondes qui animent les bêtes ; le monde même… Quand il croit traverser le désert pour la sérénité Et qu'il s'aperçoit qu'il est damné pour l'éternité ! Je suis simple homme, médecin, et attends l'heure Qui forme le regard, l'espoir d'un monde meilleur, Quant aujourd'hui dans celui, noir, j'ai tout perdu. J'ai perdu ma raison de vivre, de croire en l'ONU, Et que je me tourne vers le Ciel et demande justice : Un second Nuremberg pour criminels et complices.
À Izz el-Deen Aboul Aish (médecin palestinien dont l'armée israélienne a tué trois filles)
Qu'Allah accueille ces petits anges en sa demeure et soulage ta peine de ceux qui les a enfantées, élevées, vu grandir et puis mourir, impuissants.
Môh Tsu Le 17/01/2009
Modifié 1 fois. Dernière modification le 18/01/09 00:15 par Moh Tsu.
"Ecrire c'est magique, quand j'ai commencé à écrire, j'ai compris que je faisait bien plus que de raconter une histoire...ecrire c'est une arme...une arme bien plus puissante que n'importe qu'elle coup de poing" Hurricane Carter.