Un bouc emissaire ! Il s'agit de montrer aux européens qu'on fait des trucs pour lutter contre le trafiquants de drogue. Pendant ce temps la, ca plante ferme dans le nord et ca exporte tout aussi ferme
une idée: Il suffit de prendre des photos satellites du nord du Maroc pour savoir ou est planté le Toshi. Les ricains doivent l'avoir deja fait.... les marocains aussi. Pourquoi on n'envoi pas l'armée prendre les choses en mains ? Pourquoi on n'agit pas a la base du probleme ?
Parceque, pendant les années 60, les trafiquants ont demontrés jusqu'ou ils etaient prets a aller: mitrailler l'avion du roi.
Parceque si l'on empeche les gens d'exploiter leur terres pour planter du Toshi, on les prive de tout et on les condamne a la pauvreté, alors qu'aujourd'hui, se sont des acteurs a part entiere de l'economie marocaine.
donc, que vaut un general, meme 5 etoiles, quand il s'agit de calmer les esprits, faire quelques actions de temps en temps histoire de montrer au monde que le gouvernement marocain est actif.
Et puis apres tout, pourquoi se priver ? la demande existe, elle est la, reelle n avec un marché de plusieurs millions de personnes ?
1- Les autorites ont deja commence a prendre les choses en main dans le nord depuis bientot 2 ans maintenant. Le probleme n'est pas si on doit "mettre le feu" aux champs ou pas, le probleme c'est comment reconvertir des milliers d'emplois et ne pas provoquer une crise sociale aigue pour une region qui est deja en reste.
2- Jamais entendu parler de trafiquants de drogue qui ont mitraille l'avion du roi. Je pensais que c'etait les militaires moi...
3- La lutte contre les barons n'est plus vraiment uniquement entre les mains de l'armee, l'armee est appellee en element de support uniquement, la section qui tient les ficelles maintenant est la Direction de la Migration et de la Surveillance du Territoire. C'est une direction dirigee par un civil.
4- La position officielle du Maroc actuelle reconnait le probleme, a des donnees chiffrees sur le nombre d'hectares affectees, sur le nombre de personnes qui y vivent et sur les rentrees d'argent generees, ce n'est plus u nsecret de polichinelle comme on essaie de le portrayer.
Le Maroc expose sa stratégie de lutte anti-drogue à Vienne Posté par Kounach le 15/3/2006
«La lutte contre le trafic de drogue représente une priorité nationale. Dans ce cadre, la nouvelle stratégie nationale de lutte anti-drogue adoptée en 2005 ambitionne d'inscrire la lutte anti-drogue dans le cadre d'une approche globale prenant en compte l'aspect multidimensionnel du problème et ses prolongements au-delà des frontières nationales», a assuré, lundi dernier, Omar Zniber, ambassadeur représentant permanent du Maroc auprès des organisations internationales à Vienne qui intervenait à la séance d'ouverture de la 49e session de la commission des stupéfiants des Nations unies, qui se tient du 13 au 17 mars dans la capitale autrichienne.
Présentant la nouvelle stratégie adoptée par le Royaume en matière d'éradication de la culture du cannabis, M. Zniber a précisé que les superficies de la culture du cannabis ont connu une réduction de 10% en 2004. Chiffre confirmé par l'office des Nations unies contre la drogue et le crime (ONUDC) et l'Organe international de contrôle des stupéfiants (OICS).
Dans un rapport publié par ce dernier, le 1er mars 2006, il a été constaté que «grâce à l'action gouvernementale, la superficie totale des cultures illicites de cannabis tout comme la production potentielle totale de résine de cannabis ont diminué de 10% en 2004 par rapport à l'année précédente».
En effet, la production potentielle totale de cannabis brut est estimée à 98.000 tonnes, en 2004, et sa conversion en résine (haschisch) à environ 2.780 tonnes, soit une diminution d'environ10%, par rapport à la production potentielle de résine de 2003 révisée à 3.060 tonnes.
Le revenu brut potentiel pour les exploitants peut être estimé à environ 3 milliards de DH, un chiffre équivalent à 0,7% du PIB de 2003, estimé à 424,6 milliards DH.
La population bénéficiant de la culture du cannabis est estimée à quelque 96.600 familles dans le Rif (800.000 personnes en 2003) ; cela représente un revenu brut d'environ 3.600 DH par personne, à comparer à un PIB par tête d'habitant de 14.106 DH en 2003 pour l'ensemble du pays.
Par contre, les superficies de culture du cannabis ont atteint environ 120.500 ha en 2004, contre 134.000 ha en 2003, soit une baisse de 10%, selon les résultats d'une enquête menée par l'Agence pour la promotion et le développement économique et social des préfectures et provinces du Nord du Royaume (APDN).
Les plus grandes diminutions ont eu lieu dans la province d'Al-Hoceïma (-54%), suivie de la province de Taounate (- 43%), et dans une moindre mesure celle de Larache (-1%).
En 2005, une vaste campagne d'éradication a concerné plus de 4000 ha de cannabis. Plusieurs provinces ont été déclarées sans culture de cannabis comme celles de Larache et Taounate, a précisé le diplomate marocain. Cette performance a été enregistrée après que les agriculteurs du cannabis s'étaient engagés à ne pas cultiver cette plante à proximité des barrages, des étangs et des espaces forestiers.
Aussi, l'APDN a-t-elle mis en place un programme alternatif, d'un montant annuel de 40 millions de DH, et qui vise à encourager les exploitants à opter pour des cultures alternatives autres que le cannabis. Ainsi et grâce aux efforts entrepris par les services concernés en vue de lutter contre le trafic des stupéfiants, la culture du cannabis a enregistré une baisse de 43 %, l'année dernière, avait annoncé Khalid Zerouali, directeur de la migration et de la surveillance des frontières au ministère de l'Intérieur.
Par ailleurs, les substances psychotropes continuent d'être largement consommées au Maroc. Leur abus est favorisé par des systèmes inappropriés pour l'autorisation de leur commerce et par les insuffisances enregistrées dans les mécanismes d'inspection. Les services chargés de la lutte contre la fraude saisissent souvent des quantités considérables de psychotropes.
La prohibition, c'est avant tout au plus bas 5.000 personnes incarcérées tous les ans au Maroc. Et c'est la Commission nationale des stupéfiants présidée par le ministre de la Santé qui a pour mission de rechercher les moyens permettant de lutter efficacement contre la production, le trafic illicite, la détention, la vente, la circulation et l'utilisation de drogues toxicomanogènes.
«Celle-ci a placé les pharmacies hospitalières sous la responsabilité de pharmaciens», a noté M. Zniber, cité par l'agence de presse MAP, observant que plus de 110 pharmaciens ont été recrutés et formés à cette tâche en collaboration avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la France.
· Le scandale a provoqué un raz-de-marée parmi de hauts responsables sécuritaires à Tanger
Depuis l’arrestation d’Erramach, le baron de la drogue, jamais une affaire n’a suscité autant de surprise que celle de l’interpellation du trafiquant Mohamed Kharraz, alias Cherif Louidane. Ce dernier a entraîné dans son sillon un grand nombres de responsables sécuritaires. Ainsi, de grands commis de l’Etat sont en garde à vue depuis mardi. A Tanger et dans le reste du Royaume, l’histoire est sur toutes les lèvres. Serait-ce la fin des ripoux et des protections policières? L’implication de hauts cadres de la sûreté, dont Abdelaziz Izzou, semblait évidente pour certains. Même si l’enquête en cours devra préciser le degré de leur relation avec le dénommé Cherif Bin Louidane, autre trafiquant notoire. Selon certaines sources, la complicité de Kharraz avec les forces de sécurité était telle que même le réaménagement du siège de la Sûreté régionale de Tanger aurait été financé par l’argent du trafic de drogue de Bin Louidane. Ce dernier disposerait par ailleurs de larges propriétés foncières à Tanger et dans sa région, essentiellement destinées à blanchir les revenus de son trafic. Mais l’essentiel de sa fortune aurait déjà été mis en lieu sûr, au sud de l’Espagne, repaire de bon nombre des trafiquants marocains de tous bords. La boîte de Pandore ouverte par Kharraz n’est pas prête de se refermer. La chute des Izzou, Lahlimi et compères laisse entrevoir le début d’une nouvelle ère: plus question d’impunité pour les policiers, douaniers, etc. La liste, publiée par le ministère de l’Intérieur il y a deux jours, ne serait, selon des sources proches du dossier, que le premier chapitre d’un long feuilleton (cf. www.leconomiste.com). Au total, il s’agirait de 13 autres membres des services de la police judiciaire de Tanger, 17 membres de la gendarmerie et 26 agents d’autorité - dont un ex-gouverneur. Selon d’autres sources, des élus de la Chambre de commerce de Tanger seraient eux aussi impliqués, dont un ancien président de la chambre. L’affaire risque bien de faire tâche d’huile, d’autant plus que Mohamed Kharraz avait de nombreuses entrées auprès des autorités locales. A noter qu’il a été arrêté en début de septembre à 45 kilomètres de Tanger. Il avait pris la fuite dans la foulée de l’arrestation de Mounir à Tétouan en 2003. De son exil doré sur la Costa del Sol, il a continué à gérer son trafic. Les personnes qui le connaissaient assureraient que, contrairement à Errammach, Bin Louidane était assez discret. De retour à Tanger, il aurait été arrêté en plein petit-déjeuner.
Rebondissement dans l’affaire des hauts responsables qui seraient impliqués dans le trafic de drogue au Nord (cf. notre édition d’hier et notre article d’aujourd’hui page 34). Le procureur général près la Cour d’appel de Casablanca a donné ses instructions pour transmettre l’enquête et les prévenus, qui étaient jusque-là entre les mains de la Brigade nationale de Police judiciaire, à une brigade spéciale de la Gendarmerie royale dirigée par un colonel de ce corps. Une cinquantaine de limiers de la Gendarmerie royale enquêtent sur cette affaire depuis hier. L’enquête concerne tous les responsables civiles, militaires et policiers ainsi que ceux des autorités locales de la région Tanger/Tétouan entre 1996 et 2003.
Concernant le sujet de la lutte contre la drogue (message de zaki) voici un article qui montre a quel point il faut y aller avec le plus de vigileance possible. Des problemes imprevus et que les gens souvent ignorent:
Incendies des forêts de Larache Les anciens producteurs de cannabis passent à l'acte [...]
Présent sur le terrain depuis le déclenchement des incendies, Derrou se base sur ses 25 années d'expérience dans les Eaux et Forêts pour parler avec une telle conviction. «Il n'y a pas de paramètres d'incendie accidentel», insiste-t-il. L'éradication de la culture du cannabis a poussé les producteurs vers la montagne où la plupart d'entre eux ont essayé de revenir à la charge malgré la traque acharnée des autorités. Avec leurs actes criminels, ils essayent de priver les habitants de leur première source de revenu qu'est la forêt et créer ainsi un malaise général, explique Derrou. [...]
oué mé kskizi moi mdr... mé pour moi lbléd sans les hnouche avec qui tu peut t arrange méme si tu roule sans plaque a 180 km/h de nuit tous feux eteint et ben sa seré plus le bléd. walah no hnouches y sont trop coule quand jparle avec eu on diré jparle a mon couz (bon 1 couz qui mssouss mé 1 couz quan meme ).
chargement...
+ 
