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la mentalite des mec
i
29 octobre 2012 16:14
sincerement la mentalite des maghrebin a telle evolué ?
virginite :

combien de mec epouse des fille non vierge ? yen a largmeent plus quavant , beaucoup avou meme que sil ne lest pas il prendrai une fille non vierge si elle bien ( je parle pas dune fille de joie )
travail
les fille travaille telle ?

les fille en couple travaille quasiment toute elle ont la liberte de travailler ou pas

moins dur?

il faut pas le nier les maghrebin de cette generation sont largement moin dure quavant .

sont til romantique ?

honnetement je pense que oui quand il est seul a seul avec sa copine mais jamai devant les gens

professionnellement ont il changé?

les arabe ont de meilleure situation qavant , de plus en plus de diplomé, mais surtout ils kiffe etre "leur propre patron " , il rachete tous les locaux dans les centre ville , immobilier donc financierement ca roule pour pas mal dentre eux hmdl .

mariage ?
il faut etre honnete les maghrebin a la base sont communautariste mais aujourdhui cest quasiment tous qui veule epouser une fille de la meme origine que lui contrairement aux ainé .

avec seas soeur ?
je trouve quil ont bcq plus confiance quavant meme si il craint toujour pour sa soeur .

religieusement ?

ca depend !
il ya les musulman
-il y a ce qui ont un delire occidentalisé ( beur )
et puis au fur et a mesure des année tu a ceux qui etai ds le mauvai chemin et qui revienne das la religion ( yen a pas mal)
t
leur mentalite par rapport aux fille de chez nous ?
au fond en toute honneteté ils sont qd meme degouter de voir les fille de chez nous se salir et de voir les autre origine se moquer des arbiate . meme si aujourdhui ils ont quasiment divisé les arbiate en deux : les maghrebine et de lautre coté les beurette ( meme dans les site de rencontre on trouve " beurette sabstenir " )
en faite ils sentende tres bien avec les maghrebine mais pas du tout avec les beurette !!!!.

quen pensez vous de la mentalite si elle a evolué chez les maghrebin ?
-
29 octobre 2012 16:16
Citation
imaetsihemjetaime a écrit:
sincerement la mentalite des maghrebin a telle evolué ?
virginite :

combien de mec epouse des fille non vierge ? yen a largmeent plus quavant , beaucoup avou meme que sil ne lest pas il prendrai une fille non vierge si elle bien ( je parle pas dune fille de joie )
travail
les fille travaille telle ?

les fille en couple travaille quasiment toute elle ont la liberte de travailler ou pas

moins dur?

il faut pas le nier les maghrebin de cette generation sont largement moin dure quavant .

sont til romantique ?

honnetement je pense que oui quand il est seul a seul avec sa copine mais jamai devant les gens

professionnellement ont il changé?

les arabe ont de meilleure situation qavant , de plus en plus de diplomé, mais surtout ils kiffe etre "leur propre patron " , il rachete tous les locaux dans les centre ville , immobilier donc financierement ca roule pour pas mal dentre eux hmdl .

mariage ?
il faut etre honnete les maghrebin a la base sont communautariste mais aujourdhui cest quasiment tous qui veule epouser une fille de la meme origine que lui contrairement aux ainé .

avec seas soeur ?
je trouve quil ont bcq plus confiance quavant meme si il craint toujour pour sa soeur .

religieusement ?

ca depend !
il ya les musulman
-il y a ce qui ont un delire occidentalisé ( beur )
et puis au fur et a mesure des année tu a ceux qui etai ds le mauvai chemin et qui revienne das la religion ( yen a pas mal)
t
leur mentalite par rapport aux fille de chez nous ?
au fond en toute honneteté ils sont qd meme degouter de voir les fille de chez nous se salir et de voir les autre origine se moquer des arbiate . meme si aujourdhui ils ont quasiment divisé les arbiate en deux : les maghrebine et de lautre coté les beurette ( meme dans les site de rencontre on trouve " beurette sabstenir " )
en faite ils sentende tres bien avec les maghrebine mais pas du tout avec les beurette !!!!.

quen pensez vous de la mentalite si elle a evolué chez les maghrebin ?


J'aime bien la mentalité des maghrébin ...De vrais bonhomme ....

Sincèrement Faut pas que sa change....Même s'ils sont désfois dure c'est pour notre bien...
29 octobre 2012 16:17
mentalité pourrie des beurettes , moi maghrébine , je considere ceux qui traitent leur soeur de beurettes comme des idiots.
mais bon ca va il me reste les "vrai" maghrébins , euh jles kiff ils sont normaux ds leur tete.
i
29 octobre 2012 16:27
Citation
shi-fu a écrit:
mentalité pourrie des beurettes , moi maghrébine , je considere ceux qui traitent leur soeur de beurettes comme des idiots.
mais bon ca va il me reste les "vrai" maghrébins , euh jles kiff ils sont normaux ds leur tete.

shi fu je texplique mais li bien stp : les beurette sont des raciste de la communaute arabe pret a insulter tout ce qui fait parti de la communaute arabe elle a un rejet profond mais sinon sa vie elle en fait ce quelle veut .

et juste pour info ceux qui insulte le plus les fille arabe sont des non maghrebin shi fu . et qui deteste les beurette ? ce sont les maghrebine elle peuve pas les voir !
ps: je sui pas mechant je taime bien shi fu
D
29 octobre 2012 16:50
Poney-club de Melun


Un cadre agréable.
Dans la belle commune de Melun, au milieu de la verdure, des paysans, et pas très loin de Paris, se situe le fantastique Poney-club de Melun, lieu de joies et de rires pour petits et grands.
Le centre vous propose une formation équestre sur plusieurs niveaux, pour enfants âgés de six à quatorze ans, ainsi que de nombreuses activités, le tout encadré par plus de vingt professionnels diplômés et qualifiés. Nous prenons également en charge les plus âgés, grâce au centre jeunes jouxtant le club.
Sommaire [masquer]
1 Les animateurs
2 Activités
2.1 Formules et tarifs
2.2 Suppléments
3 Histoire du club
3.1 Création du Poney-club de Melun
3.2 Une rivalité éternelle
3.3 Situation actuelle
4 Activités optionnelles
4.1 Escapades
4.2 Échanges inter-clubs
5 Témoignages d'anciens membres
5.1 Christophe
5.2 Clémentin
6 Interview d'Eustache Piroulet, directeur du club
7 Voir Aussi
Les animateurs



Jean-Daniel Escalette.
Jean-Daniel : Employé cinq ans au centre hippique de Grenoble, il a rejoint Melun en 1987 et a depuis pris la responsabilité de la totalité des activités, ainsi que de l'organisation des rencontres compétitives entre poney-clubs.
Jean-Daniel est dynamique, motivé, et extrêmement pédagogue : aucun doute que vos bouts d'choux l'apprécieront à sa juste valeur ! Il est celui qui fait les discours de début d'année, et c'est à lui que vous parlerez au téléphone entre 16h et 19h. C'est aussi lui que vous rencontrerez pour les inscriptions, et qui vous proposera les formules disponibles.
Nathalie : Nathalie est animatrice chez nous depuis maintenant dix ans, et ne perd rien de sa fougue qui distrait petits et grands ! Elle s'occupe principalement des débutants en poney, mais gère aussi les repas et buffets lors des rencontres avec les parents et les remises de diplômes de poney.
Barthélémy : Arrivé en 2005 au Poney-club, Barthélémy est un pur produit du centre de formation : il a grandi à Melun et a obtenu toutes les certifications offertes par le club, et faisait partie de la quatorzième division, récompensée en mai 1996. Il s'occupe essentiellement des douze-quatorze ans, avec acrobaties, course d'obstacles, entretien des écuries et maniement de la hallebarde.
Maurice : Nouveau venu au Poney-club, Maurice a fait ses armes dans le sud de la France avant de déménager dans notre région et de rejoindre l'équipe en 2008. Maurice est en charge du matériel, et des consignes de sécurité, qu'il inculquera à vos enfants durant des journées dédiées.
Activités

Formules et tarifs
Formule "Petiot" : Pour les enfants de six à huit ans, 39,99 € par mois. Votre enfant est pris en charge les mardis et jeudis, de 16h à 18h. Au programme : circuits dans le manège, pratique du trot et du galop, apprentissage de la formation en quinconce.
Formule "Petit éperon" : De huit à dix ans, 45,49 € par mois. Les lundis et vendredis, de 16h à 18h. Au programme : ballades en nature, montée à cru, initiation aux acrobaties, initiation à la charge en formation serrée.
Formule "Apprenti cavalier" : De dix à douze ans, 50 € par mois, les mercredis et samedis, de 17h à 19h. Au programme : initiation à la course d'obstacle, ballades en nature avancées, duel à la lance.
Formule "Grand éperon" : De douze à quatorze ans, 65 € par mois, les mardis, mercredis et jeudis, de 18h à 20h. Au programme : acrobaties avancées, possibilité de concourir en course d'obstacle, début de formation sur l'entretien des chevaux et du matériel, prise de commandement d'escouades, manœuvres sur le champ de bataille, entretien des cuirasses, galops en nature.
Suppléments
En plus des formules (dont vous pouvez choisir les options), nous vous proposons un choix d'activités pour petits comme grands. Des demies-journées de jeux en plein air, pique-niques, ainsi que de simulation d'affrontement à armes réelles.
Les parents et les plus âgés peuvent aussi venir concourir aux divers jeux, et un buffet est mis à leur disposition dans le cadre de certaines soirées. Nous organisons aussi les enterrements.
Histoire du club

Création du Poney-club de Melun


Caramel, première acquisition du club.
Le club est crée en 1965 par Eugène Piroulet, ancien jockey et directeur équestre au centre hippique de Marseille. Intéressé par l'apprentissage des jeunes aux joies du contact avec les chevaux, il fera évoluer son centre de club hippique au Poney-club tel que nous le connaissons en 1981, juste avant d'en léguer les rênes à son fils, Eustache. Ce qu'Eugène et Eustache ignoraient, c'est qu'un Poney-club existait déjà à Melun... Le Poney-club d'Almont.
Une rivalité éternelle
Lorsque les deux clubs apprirent l'existence l'un de l'autre, une rivalité apparut : l'un allait empiéter sur les affaires de l'autre. Conscient de cela, Eustache mit en pratique de meilleurs tarifs et des activités diverses. Le directeur du club adverse, lui, investit dans des cimeterres et commença ses formations au combat à l'épée.
La première guerre Melune eut lieu de janvier 1981 à la fin de l'été 1983. Durant ces deux années, plus de dix mille soldats furent déployés, tous camps confondus, et de nombreuses escarmouches sanglantes prirent place. Les deux dates-clé à retenir sont celles des deux batailles décisives.
La bataille aux vingt morts fut enclenchée le 26 janvier 1981, pendant que le Poney-club d'Almont lançait une attaque nocturne surprise sur le Poney-club de Melun. Les enfants rentraient chez eux alors que débarquèrent une quarantaine de cavaliers armés de lances. Surpris, la plupart de nos soldats s'enfuirent, non préparés à un tel affrontement, alors que les moniteurs enfourchaient leurs destriers, équipés de mangeoires qu'ils faisaient tournoyer en guise de masse d'armes. La bataille fut âpre, les ennemis poursuivant nos hommes pour les embrocher jusque dans les écuries, et piétinant les pieds des parents avec les sabots de leurs poneys. Mais Almont avait fait une erreur : livrer bataille à l'endroit précis de notre QG : Eustache, connaissant les moindres recoins, envoya Matthieu et Jérémy courir sur leurs petits pieds jusque dans le manège afin d'y attirer les assaillants. Ces derniers coincés, Eustache ferma alors la porte, tandis que les braves Melunais sortaient en rampant sous les barrières. Les vingt-cinq ennemis restants ainsi piégés, le général mit le feu au manège, les forçant à descendre de leur monture, et à se faire cueillir à la sortie par les parents, armés de fourches. Le Poney-club de Melun décida alors de commencer les formations guerrières.


Eustache et son détachement chargeant (représentation).
Le massacre de la rive Sud fut la dernière bataille de la première guerre. Après deux ans de campagne, les deux camps faiblissent tragiquement. Tous deux savent que la prochaine escarmouche sera la dernière. Le général Eustache, ayant toujours à sa disposition le sixième régiment de cavalerie blindée qui fit tant de merveilles lors des derniers mois, décide de ne s'accompagner que d'eux pour lancer l'assaut sur les adversaires. Il choisit la date et l'heure : lors d'une journée portes ouvertes du Poney-club d'Almont spéciale où tous les petits cavaliers en herbe chevauchaient à cru, accompagnés de leurs petits frères et soeurs. Les coinçant sur le bord de la Seine, le sixième régiment lança la charge avec violence, poussant la plupart des poneys surpris par-dessus bord, noyant la plupart des enfants, trop jeunes pour savoir nager. Ainsi amputés de 50% de leurs forces, l'ennemi n'eut d'autre choix que de se replier. Poursuivis, ils arrivèrent au croisement de la rue Victor Hugo et de la rue Charles Baudelaire, seulement pour rencontrer le reste de l'armée de Melun, armés de piques. Ceux qui ne pouvaient freiner la course s'embrochèrent, tandis que certains se retournaient pour livrer bataille contre les blindés, en pure perte. Finalement, les défenseurs choisirent la reddition, et acceptèrent de réduire leur budget poney de 25%.
Situation actuelle
Après trois guerres (1981-1983, 1990-1997, et 2000-2002), la situation est stable, mais reste tendue. Le Poney-club d'Almont a ouvert une filière secondaire à Rantigny, et gagne en puissance. Nous devons nous préparer à chaque assaut. C'est pourquoi nous avons besoin de tous les chérubins que vous pourrez nous apporter.
Activités optionnelles

Escapades
Une fois tous les deux mois, le Poney-club organise des virées à cheval hors de la commune, afin de faire profiter aux élèves de l'expérience hippique en randonnée. Tous les membres sont invités, et peuvent participer pour 20 € par session. Elles durent une journée complète, et sont l'occasion de prendre un bon bol d'air frais tout en s'amusant avec les animaux.
Ces journées sont également l'occasion de parfaire les tactiques d'assaut sur terrain accidenté. Ceux l'ayant à leur programme pourront ainsi pratiquer la charge en descente en formation dite du "sabot". Pour les plus âgés, les moniteurs emmènent les armes respectives des conscrits inscrits afin que ces derniers pratiquent les duels. Les douze-quatorze ans sont eux séparés en plusieurs groupes, qui s'affrontent avec des armes en bois, sous forme de tournoi, avec à la clé pour les gagnants, une hospitalisation tous frais payés par le club.
Échanges inter-clubs


Le Palace Dadiani, à Zugdidi.
Tous les ans a lieu un échange avec le club de pugilat de Zugdidi (Géorgie). Un an sur deux, c'est Melun qui va là-bas afin de pratiquer l'art de la défense à mains nues, et à l'inverse, ce sont les petits géorgiens qui viennent pratiquer le maniement de l'arme blanche chez nous. L'inscription au programme est de 100 € pour deux ans, et tous les âges peuvent participer.
L'année dernière, le club est allé à Zugdidi, et les enfants ont vécu une expérience fantastique, apprenant diverses techniques de protection du visage en cas de passage à tabac, et sont même revenus avec quelques notions de la belle langue du pays de nos correspondants.
Témoignages d'anciens membres

Christophe
J'ai rejoint le club en 2000, à l'age de onze ans. Je me souviens de mon premier jour (rires), tout avait l'air si grand ! J'ai écarquillé les yeux en voyant mon premier poney, puis j'ai été charmé par les écuries, bien entretenues par M. José, qui travaillait là-bas à l'époque. Les moniteurs étaient très très sympas, je me suis tout de suite senti à l'aise, et me suis fait plein de petits camarades. Mais ce qui m'a le plus marqué, je pense que c'est d'avoir pu rentrer dans l'armurerie. Toutes ces belles armes scintillantes (rires), je ne pensais qu'au jour où j'aurais l'occasion de les manier, de les faire tournoyer, et de les enfoncer dans du cartilage sanglant.
En 2000, le club était en pleine guerre ouverte avec Almont. J'ai donc eu l'occasion au bout de seulement deux mois d'aller au combat. Je faisais partie du deuxième régiment de cavalerie épéiste, et Jean-Daniel nous plaçait sur les flancs lors des assauts. Je me souviens de l'attente qu'on nous imposait... Nous devions les laisser approcher suffisamment, et attendre que toutes les flèches aient été tirées pour charger. Ce jour-là, l'ennemi avait amené des arbalètes, et du coup, nous sommes restés sous le feu ennemi pendant plus d'une demi-heure avant que le commandant ne donne l'ordre ! Notre mission était de nous écarter alors que les premières lignes chargeaient, avant de prendre l'assaillant à revers. Cela a fonctionné, et nous avons gagné cette bataille, mais la mort de Jeannot m'a décidé à changer de division. Que de bons souvenirs.
Je parlais de l'attente... Oui, l'attente, où votre coeur bat la chamade en attendant d'être lancé à la boucherie... Chaque nuit je rêve que j'attends, et que tout à coup fondent sur moi des milliers de flèches. Ça fait trois ans que je suis alcoolique.
Clémentin
J'ai commencé les cours d'équitation au club alors que j'avais huit ans, en 1994. On m'a tout de suite dit que j'étais très doué : je savais tenir debout sur le cheval au trot, je pouvais galoper dans le manège sans quitter le tracé, et je savais esquiver les jets de pilum comme personne. J'ai donc été affecté à la célèbre quatorzième division, où se trouvait Barthélémy, qui travaille au club maintenant. Nous remportions toutes les batailles, et nos hallebardes avaient chacune un petit nom, gravé sur une plaque en acier, qui doit se trouver dans le bureau d'Eustache actuellement. La mienne, c'était Gwendoline. À nous deux, nous valions au moins un régiment d'infanterie légère.
Après que la division a été récompensée en mai 1996 pour une victoire décisive (lors de la Bataille sur l'île de Saint-Étienne), j'ai été affecté au commandement d'une escouade. Un honneur pour moi qui n'avait que dix ans. Les commandements sont habituellement donnés au-delà de douze ans, voire onze, mais j'étais le premier à dix ans. Je dirigeais le premier régiment de lanciers, et savait me faire respecter de mes soldats. Durant l'année qui suivit, et ce jusqu'à la fin de la guerre, nous n'avons subi aucune perte, et mes hommes avaient cette tradition de ramener des mains coupées en guise de trophées. Lors de l'armistice, nous les avons toutes récupérées et mises dans un un grand coffre, qui doit se trouver dans le bureau d'Eustache à l'heure actuelle.
J'ai quitté le club en 1999, et ai appris que l'année suivante, le conflit s'était rouvert. J'ai beaucoup regretté mon départ, car j'aurais adoré trancher un peu plus de mains avec ma Gwendoline !
Interview d'Eustache Piroulet, directeur du club



Eustache Piroulet.
Monsieur Piroulet, qu'est-ce qui vous a décidé à reprendre la direction du club après le départ de votre père ?
J'y allais souvent étant jeune, et j'adorais les poneys. Le contact avec les animaux et les enfants a toujours été une grande passion, sans parler de mon intérêt pour la stratégie militaire médiévale.

Comment s'est passée votre intronisation ?
J'étais très nerveux. Les premiers mois furent plutôt paisibles, puis nous avons découvert l'existence du Poney-club d'Almont.

Quel a été votre réaction face à cette découverte ?
J'étais choqué ! Mon père avait omis ce détail, ce qui a mené à la première guerre ouverte entre les deux clubs. Le premier assaut de la part d'Almont a inquiété beaucoup de monde dans le staff. Tous se sont dit que l'on n'avait pas été préparés, et ont remis en question ma direction du club. C'est pour ça que dès le lendemain, j'ai mis en place le plan de formation militaire.

Comment a-t-il fonctionné ?
Très bien. Les moniteurs étaient particulièrement motivés, et les enfants passionnés par le maniement des armes, et par la possibilité de vivre un peu d'action.

Quelle bataille vous a le plus marqué ?
Probablement celle du "soleil couchant sur la Seine", en 2000. Nous avions toutes nos forces en jeu, et l'avons perdue. J'ai eu beaucoup de mal à expliquer la défaite aux parents. Je crois qu'ils ont eu très honte de leurs enfants. Mais je pense que la faute nous revient : nous n'avons pas pensé à protéger le côté droit des troupes, ce qui a laissé une ouverture grande comme la gueule d'une baleine.

Quel est votre meilleur souvenir ?
Nous avions un élève, Toby, qui était très légèrement handicapé moteur. Nous l'avons tous aidé à monter, et au bout de trois mois, il était devenu un cavalier tout à fait correct. Parents et équipe étaient extrêmement heureux d'avoir accompli cet exploit, et le lendemain, Toby a pu partir sur le champ de bataille. Quel dommage qu'il y soit mort. Enfin, les parents étaient quand même contents.

Quels sont vos ouvrages préférés ?
La course d'obstacles, niveau trois d'Alexandra Ledermann et L'art de la guerre de Sun Tzu.

Auriez-vous un dernier mot à déclarer à vos futurs élèves ?
Que par la malepeste, vous brandissiez haut et fort glaives et lances, que soit occis l'Almont de mortecouille, et que la tripasse s'empile sous nos fers !
Voir Aussi

Un vrai poney.
Qu'avez vous pensé du Poney-club de Melun ?

Parfait
150
Poilant !
200
Inégal
60
Pas complet
11
Ressemble à un cadavre
53
HONTE DE LA TERRE ! A effacer
87
Jé rien conprit
105

Ce sondage a été créé le janvier 15, 2009 18:37 et 666 personnes ont déjà voté.
D
29 octobre 2012 16:52
Fantôme de la baleine de la Tamise

« Bouh ! Je suis un faaantôôôme ! »
~ Sacha Guitry à propos de jouer une baleine
« Les fantômes ça passe à travers les murs, mais je comprends pas comment la baleine a fait pour traverser le tamis »
~ M. Jeu de mots stupide à propos des baleines et des tamis
Le fantôme de la baleine de la Tamise terrorisa l'Angleterre de mars 2012 à décembre 2014. Le phénomène marqua un tournant dans l'historiographie anglaise. Il impulsa la dissolution des nations constitutives du Royaume-Uni et la création reconnue par l'ONU du Royaume-Uni-Uni à l'écart du Commonwealth.

Sommaire [masquer]
1 Contexte
2 Quelques dates
3 Investigations officielles
3.1 Brenda Thurmond
4 L'affaire du GPS
4.1 Cause potentielle de l'incident
4.2 Le GPS en Angleterre
5 Crise de l'identité nationale
5.1 Projet de bannissement du GPS
5.2 Début de crise
6 L'intervention de la famille royale
7 Le deuil du Royaume-Uni
8 Conséquences
8.1 Bouleversements du paysage géo-politique
8.2 La plus grande découverte depuis Darwin
9 Controverses
9.1 Identification
9.2 Un problème d'origine ethnique ?
10 Une nouvelle révolution en vue
11 Notes
Contexte



Énième tentative de repêchage de la baleine de la Tamise
Le 20 janvier 2006, une baleine à bec s'échouait sur les berges de la Tamise en plein cœur de Londres. Les multiples tentatives en vue de la retourner à l'océan se soldèrent chacune par le retour entêté de l'animal. Le 21, la petite baleine de 7 tonnes périt de son séjour en eau douce. L'évènement fit le tour du monde, éclipsant la mort du président du Kosovo Ibrahim Rugova à 61 ans.


Certains pensent que la Tour de l'Horloge de Big Ben a un rapport avec les apparitions.
6 ans plus tard, l'Angleterre avait affaire à son fantôme au quotidien. La pureté et l'endurance des phénomènes en font un cas unique dans les annales du paranormal, tant dans l'impression immédiate qu'ils firent sur les esprits que dans l'impact de leurs développements à court terme, la conclusion de l'enquête judiciaire entraînant des bouleversements géopolitiques majeurs dans le Royaume-Uni et le Commonwealth.
Quelques dates

18 mars 2012 ─ Harry Pilsen, 33 ans, courtier, alerte les autorités au sujet d'une baleine dans son living. Il est déclaré fou et confidentiellement interné à St. Beaver's Hospital.
Avril 2012 ─ 3 nouveaux cas indépendants se produisent en 3 jours.
La télé de Helen Wallace, 21 ans, zappe toute seule sur le reportage de NBC du 21 janvier 2006 sur la mort de la baleine de la Tamise. L'émission passe en boucle, la télé ne répond plus à la télécommande et ne veut pas s'éteindre même après avoir été débranchée.
Une baleine apparaît dans la cabine du camion Google Street conduit par Donald Thomas, 47 ans, à l'intersection de Radnor Walk et Flood Street. Surpris, celui-ci appuye violemment sur l'accélérateur. Bilan : 11 blessés, 2 morts et 1 nouveau-né prématuré. Un Hall of Remembrance est élevé en l'honneur des survivants démembrés. Google décide de flouter la zone accidentée sur Google Street, tandis que circule un nouveau mème internet autour d'un "camion Chuck Norris". Première mention est faite dans la presse de la Baleine blanche.
Chestnut Leverton, 15 ans, a un sitting de 2 heures avec la baleine au Coffee House sur Buttermarket Street. Chestnut la confond avec sa mère décédée depuis 1 an.
Mai - juillet 2012 ─ 3527 cas d'apparitions sont recensés en 3 mois. Toutes se passent indoor, c'est-à-dire dans l'intimité d'un espace intérieur.
Juillet - août 2012 ─ Les Jeux Olympiques de Londres offrent une période de répit aux apparitions. Par précaution, l'ensemble des épreuves se déroule en plein air. De mémoire, ce sont les Jeux les plus moroses et les plus délayés depuis 1896.
Octobre 2012 ─ Les évènements adoptent un tour officiel quand H. W. Timperley, 56 ans, membre du Cabinet, déclare dans The Inquirer qu'il croit le peuple. Une perquisition à son domicile permet d'établir qu'il consacrait son temps libre à des montages sur Photoshop de fantômes de baleine blanche sur fonds londonien.
Décembre 2012 ─ L'exposition universelle décennale sur le krill qui devait se tenir à Londres est annulée.
Février 2013 ─ L'archevêque de Cantorbéry met en garde contre cette émanation du mythe biblique de Jonas. L'Angleterre, berceau du paradis perdu de John Milton, nourrirait en son sein un Jonas qu'il convient de jeter par-dessus bord.
Juin 2013 ─ La résidence de Harry Pilsen est incendiée par un pyromane amoureux des baleines et membre de l'association SOS Grand Bleu.
21 septembre 2013 ─ Un membre du gouvernement, traqué par Greenpeace, se suicide.
25 septembre 2013 ─ L'Angleterre, berceau de Harry Potter, menace la baleine d'exterminer son espèce si elle ne cesse pas ses apparitions.
Octobre 2013 ─ La baleine en tant qu'espèce menacée d'extermination n'existe plus.
10 mai 2014 ─ Harry Pilsen décède d'effroi dans son lit. Le personnel de l'asile avait décidé de déguiser l'un des siens en baleine pour lui faire peur.
Investigations officielles

Scotland Yard fut mandaté sur l'affaire du fantôme de la Tamise par le Gouvernement sous pression depuis que le Comité Olympique commença à émettre des doutes sur le choix de Londres. On assembla une task force, à l'origine un binôme composé de l'inspecteur junior Frank Mason et de son assistante stagiaire polyvalente, Lisa Collins-Burger.
— L'ensemble des pouvoirs publics met tout en œuvre pour faire la lumière sur le mystère. J'ai bien dit tout. Mêmes nous, Lisa, des choux-fleurs enrhumés irrécupérables. Ça vaut quelque chose.
— Un échec, ce serait comme laisser passer un manuscrit secret de Marcel Proust sous son nez, pas vrai inspecteur ?
— Tout à fait mon enfant. Ou un volume de Camille Pschitt, ou une gravure d'Edvard van Schprrrt. Ou un portrait du Baron Splotsch.
— Oh oui, ce serait dégueulasse de laisser ça nous filer sous le nez, inspecteur.
Le premier pas de l'inspecteur Mason fut de limiter l'état de panique et d'instaurer un climat de confiance en multipliant les apparitions télé et radio :
— Il est inutile de s'inquiéter ! Il s'agit très probablement d'un gros canular de baleine ! Un peu d'humour !
— Jésus, ta chair est notre pain et ton sang est notre vin ! Amen !
— J'ai dit un peu d'humour !
— Quand une baleine occupe vos WC pendant 3 jours, vous êtes forcé de squatter chez les voisins. Comment voulez-vous vivre dans ces conditions, Mr Mason ?
— En riant comme une baleine.
— Bonjour mon nom est Fedora Stone. Mon problème est le suivant : la baleine squatte le canapé devant la télé.
— Ben éteignez le poste. Elle finira bien par s'en aller.
— C'est ce que j'ai fait, mais elle ne part pas.
— La transe télévisuelle que chacun de nous a connu est probablement active aussi chez les fantômes. Dans cet état second, les images défilent toujours dans son esprit nourri par les ondes de confort du canapé. C'est pour ça qu'il faut éteindre et rallumer la télé en rythme, dans l'espoir d'une re-synchronisation avec la réalité qui peut malheureusement ne jamais venir. On le voit au clignement des yeux. C'est un déclic, comme celui qu'a un troll de forum internet qui a essayé 30-40 fois de poster son non-sense, l'écume aux lèvres, et lève finalement les yeux sur la notice de bannissement en rouge.


Caricature de Boris Mangin publiée dans The Guardian
Sous peu, un troisième "cerveau" vint se greffer au staff bipolaire : Boris Mangin, chômeur perpétuel, dont la saillie caractéristique était de ne rien faire. Quand les apparitions se multiplièrent dans le pays, il conçut l'opportunité de la livraison dînatoire instantanée. L'idée consistait à s'attabler devant une assiette vide, couverts prêts, et attendre l'apparition du copieux repas dans son assiette. Devant l'inaction du personnage, son inclusion dans le staff de Scotland Yard confinait au miracle. Pourtant, l'inspecteur Mason avait sa thèse : « Quand l'enquête n'avance pas, on a tendance à dériver lentement et sûrement vers les choses inanimées. » De fait, son intégration ne fut pas sans heurt.



Le prince Charles essaya poliment de se retenir pendant les phases formatives de l'investigation.
— Mr Mangin, n'avez-vous rien d'autre à foutre que vivre aux frais de l'État ?
— Oh ce n'est pas plus révoltant qu'un bébé vivant au frais du congélateur. Vous croyez qu'il est mort ? Non. Il vit extrêmement en ralenti, c'est tout.
Mais même avec l'officier civil Mangin, il manquait à cette équipe une direction claire.
Brenda Thurmond


Brenda Thurmond devant un immeuble de Baker Street
Brenda Thurmond était le chaînon manquant. C'était une détective privée noire, comme on en trouve par dizaines à Baker Street, qui offrit son aide bénévole à Scotland Yard. Ci-dessous un extrait de son entretien avec l'inspecteur Mason :
Thurmond : Mon nom est Thurmond. J'ai 58 ans, et je viens car je suis veuve de mon fils orphelin.
Mason : Mort comment ?
Thurmond : À l'occasion d'un stage de plongée, il a prononcé les mots interdits.
Mason : Lesquels ?
Thurmond : Gaarrglblblrrrrbwwrrgll
Mason : Je vois... Un cri tout rabougri. Miss Thurmond, malgré ma peur de toucher à des sujets par trop sensibles... Qu'attendez-vous de la vie ?
Thurmond : N'importe quelle apparition qui me redonne espoir en elle.
Mangin : Miss, veuillez me croire, les apparitions ne se font jamais exactement à l'endroit où on les attend.
Thurmond : Peu m'importe ! Ma fortune pour une apparition !
Mason : Même celle d'un braqueur de banque du Burundi armé d'un pistolet à sperme séropositif ?
Thurmond : Même celle d'un braqueur de banque du Burundi armé d'un pistolet à sperme séropositif.
Mason : Même celle d'un branquignol du bar Chez Bundy lisant du Mallarmé en dix sonnets à mètres quantitatifs ?
Thurmond : Même celle d'un branquignol du bar Chez Bundy lisant du Mallarmé en dix sonnets à mètres quantitatifs.
Mason : Même celle de la cabriole alambiquée d'une lady arménienne à mollets de pachyderme de Ténérife ?
Thurmond : Même celle de la cabriole alambiquée d'une lady arménienne à mollets de pachyderme de Ténérife.
Mason : Même celle d'un fantôme de baleine blanche ?
Thurmond : Ah je m'y attendais pas à celle-là.
Mason : Je pense que nous pouvons nous accorder sur le fait qu'il s'agit là d'un nouvel élément à ajouter dans la longue liste des phénomènes paranormaux de date récente.
Miss Thurmond prit la tête de la délégation policière. Mais non sans avoir au préalable passé le sanity check de rigueur : « Miss Thurmond... ne seriez-vous pas... la baleine de la Tamise ? » Les Anglais sont très à cheval sur la perspective de commettre une "Frédéric Larsan", du nom du meurtrier assigné à l'affaire de son propre meurtre en tant que détective, ce qui ne manquerait pas de les ridiculiser aux yeux des autres nations policières toujours à l'affût d'un faux pas de la "patrie de Sherlock Holmes".
Le premier acte publique de Miss Thurmond fut de calmer les esprits lors d'un grand meeting à New Scotland Yard où elle galvanisa la foule :
— J'ai besoin de la collaboration de tous ! C'est avec vous, ensemble, que nous pourrons triompher des esprits malins ! Ce jour même, je veux marquer le coup et mettre les bons accents sur les E ! Succés ! Rèussite ! Ènerguméne !
— HHHURRAAYYY !!!
Cédant la parole à l'inspecteur-adjoint Mason, elle se rassit sur sa chaise et comprima un coussin péteur placé là par un malin, ce qui déclencha l'hilarité générale. D'un bond elle se redressa et revint en chaire, bluffante de continuité.
— Hier, juste avant ma prise de fonction officielle, j'ai reçu un augure ! J'étais en train de vider un poisson quand celui-ci a ouvert les yeux et s'est mis à parler ! Ceci furent ses mots : "Tu rencontreras sur ta route le fantôme de la baleine. C'est ta destinée, tu ne peux y échapper !" Non que j'en ai la moindre envie ! En aucun cas je ne veux fuir mon cauchemar ! Car j'ai la sensation viscérale qu'enfin NOUS TOUCHONS AU BUT !
— HHHURRAAYYY !!!
Elle reprit alors sa place où reposait encore le coussin péteur. Elle se mit au garde-à-vous aussitôt que la pétarade familière confirma le doux contact fessier.
— Notre capacité à rebondir sera déterminante ! Nous ne lâcherons rien ! Au NOM DE LA COURONNE DE GRANDE-BRETAGNE !
— HHHURRAAYYY !!!

Présent incognito au meeting, le prince Charles ne put réprimer une franche hilarité.
Rebelote le coup du coussin péteur, et rebelote les exhortations à la foule pliée en deux et roulée par terre :
— PROUTE !!!
— HAHAHAHA !!!!!
Puis soudain un crescendo parcourut l'échine de la foule, irrésistible, vibrante de l'adhésion inconditionnelle de tout un peuple :
— LA POUFFE !!! LA POUFFE !!! LA POUFFE !!! LA POUFFE !!!

Miss Thurmond saluant la foule acquise à sa cause
L'affaire du GPS

Cause potentielle de l'incident
Les causes du naufrage de Wally restaient muettes, puisqu'on ne retrouva jamais la boîte noire au fond de la Tamise. L'expertise était cependant encline à motiver l'incident par une erreur de navigation d'autant plus probable que la baleine à bec avait plus de chance d'être une femelle que si c'était un cachalot, qui est un type de baleine avec du sperme dans le cerveau[1].
L'impact des signaux électromagnétiques sur les animaux migrateurs est bien documenté, que ce soit au niveau de la navigation[2], ou dans l'usage par les satellites GPS américains des fréquences micro-ondes qui font fondre le cerveau des cachalots. Or les récepteurs GPS ré-émettent 10 fois plus de signaux électro-magnétiques qu'ils n'en reçoivent. Dans un contexte où la qualité des signaux est au plus bas par le jeu des dépressions climatologiques, l'effet sur un organisme magnéto-sensible est suffisant pour affecter de seulement quelques degrés le cap de la baleine vers l'océan Atlantique et la faire emprunter l'embouchure de la Tamise plutôt que le détroit du Pas de Calais.

Les données GPS s'affinent au cours du trajet. Vers le 50e parallèle nord (approximativement la latitude de Londres), le GPS devait déjà fournir des mesures significatives sur l'erreur de trajectoire. Mais c'était déjà trop tard pour la baleine, qui, entraînée par l'inertie de son énorme masse, dériva sur le reste du trajet en se laissant mourir.

Ironiquement, les instruments qui guidaient l'Homme étaient les responsables des déficiences navigationnelles de la baleine.
Le GPS en Angleterre
L'explosion de l'usage civil du GPS eut des effets adverses conséquents. Le GPS était à la base un système de géo-localisation militaire mis en place par les États-Unis. L'armée américaine ne garantissait pas la qualité de service en-deça de 500 mètres de précision. Le Royaume-Uni, plus exposé que d'autres par son temps de dimanche-un-jour-de-finale-de-Wimbledon, le confirmait à ses dépens à travers ses entreprises de démolition qui, depuis des années, faisaient sauter des bâtiments parfois à 200 mètres de la cible initiale, parfois même encore habités. Les équipes de démolition, imbues d'une confiance aveugle dans le GPS, ne se souciaient même pas de confirmer leur location sur les plaques de rue[3] avant de procéder au minage.


Il neige de la cocaïne à Londres.
Le 12 juin 2012, la tour Ronde du château de Windsor fut traitée à la boule de démolition. Pulvérisée dans sa partie supérieure, elle libéra un nuage de poudre blanche qui s'avéra être de la cocaïne. Le nuage, estimé à 10 tonnes, se propagea à plus de 30 km alentour. Après 3 mois, il en restait encore des traces en suspension, avant que les gens ne fument les murs. En peu de temps, le peuple anglais se retrouva dans la rue, sur les voies roulables, la tête sous un plot orange de circulation. L'extase religieuse des touristes de l'époque devant les ruines et les décombres confirment les présomptions d'inhalation illicite de drogue.

Le peuple anglais dans la rue
Ce qui se passait entre les murs, séquelles du baby splosh, affluait maintenant dans la rue, terrassant au passage la façade lisse d'une société sénile hypocritement icônifiée par le couple de William de Galles et Kate Middleton. Splosh, telle est l'onomatopée d'un étron affleurant l'eau de la cuvette, qui se traduit socialement par des vioques à leur tricot recalées du casting de Britain's Got Talent, et des vétérans de guerre dont les seules sorties au grand air sont d'aller cueillir des fraises dans le grand jardin de Buckingham Palace, et dont le plus grand accomplissement fut sans doute de briser accidentellement un vase de 10 000 €.
L'historien David Smith dit :
L'Angleterre doit en grande partie sa décadence aux États-Unis. Le GPS politiquement dégradé n'est que l'icing on the pudding. LA FUMÉE QUI TUE, c'est eux aussi. Les années 70, marquées par l'alunissage et le film 2001 : L'odyssée de l'espace de Stanley Kubrick, virent le basculement de la vocation des jeunes vers le métier d'hôtesse de l'air pour les filles, et celui de spationaute pour les garçons. Cette génération mâle de la relève post-colonialiste subit fatalement le décalage de la dure réalité économique par rapport au rêve américain sublimé dans les images de la Nasa[4], le Royaume-Uni n'ayant eu à proprement parler aucun programme ou budget spatial pour les vols habités avant la création du Centre des Spationautes européens dans les années 90. La génération de plomb dut alors charogner, se contenter des miettes de fierté, comme en 2011 lors de la commande de 180 avions par le transporteur low-cost IndiGo auprès d'Airbus, un consortium européen. Et ce n'est pas comme si le peuple anglais pouvait se rabattre sur une identité religieuse forte, la communion spirituelle d'un anglicanisme périclitant n'étant plus qu'un concept constitutionnel, avec une tradition liturgique remise en question par les différentes sous-confessions, et au secours de laquelle on aurait bien voulu voir Élisabeth II, qui devait certainement pouvoir aider en matière de "sacrements", en tout cas en tant que Reine du Canada et du Québec.


Le label des viocs, for England
Crise de l'identité nationale

Projet de bannissement du GPS
Au vu du non-respect par la baleine de la législation pour les mongolfières, et pour éviter la répétition du drame de la Tamise, le Gouvernement, conforté dans sa décision par la thèse de l'erreur de navigation, soumit un projet de loi portant sur le bannissement de tout appareil GPS du sol anglais. Tous les propriétaires de cette catégorie d'appareils auraient reçu une boussole et une carte de l'Angleterre en compensation.
Début de crise
Or, les parlements d'Écosse et du Pays de Galles s'unifièrent pour nullifier ce projet de loi en vertu de la West Lothian Question, une particularité du système parlementaire anglais qui, suite à la dévolution du Parlement de Westminster en parlements nationaux, permet aux nations celtes de statuer sur des propositions de loi ne concernant que l'Angleterre. L'opposition souleva l'ire d'Anglais trop mauvais martyrs pour ne pas y voir l'acte de trolls parlementaires.
Or, depuis les allégations de l'archevêque de Canterbéry, les britanniques se regardaient entre eux avec suspicion. Les membres d'une nation accusaient ceux des autres, les qualifiant de "croyants ignares"[5], ce qui ne s'était pas ouï depuis Cromwell. L'incident de la cocainomania avait accéléré la décadence du peuple anglais, et l'on avait monté tout un scandale autour de la méthode Scotland Yard pour sauver les meubles. Selon Scotland On Sunday, il fallait entendre Miss Thurmond assurant à qui voulait l'entendre que l'investigation avançait "à pas de géant" en vertu de l'accumulation des effets psychotropes d'après la nouvelle charte de l'intoxication à la cocaïne :
Les degrés d'intoxication à la cocaïne
Très faible Effet récréatif
Faible Prise de contact avec la baleine
Moyen Capture de la baleine
Fort Conversion en prison de la baleine à l'anglicanisme
Très fort Réinsertion réussie de la baleine dans la société
Overdose Capture, conversion et réinsertion réussies et totales de toutes les baleines de la planète et de l'univers
L'affaire du GPS se régla au sein de la Chambre des communes.
— Qu'est-ce qui vous prend de vous ingérer dans les affaires des autres pour lesquelles vous n'avez aucune compétence ? Est-ce qu'on a voté des lois pour tripler les frais de scolarité dans vos universités ?!
— Ben... comme on avait le droit de veto......... et pas vous....
— Je crie au scandale !
— Soyez logique. À la base, personne vous a demandé de faire usage du GPS. Sans GPS, point besoin de loi, et sans loi, point besoin de veto.
— C'est anticonstitutionnel !
— Pas du tout, il est marqué dans la Constitution : « Le parlement de Galles a le droit de s'ingérer dans les affaires des autres pour lesquelles il n'a aucune compétence. »
— Oh ? Et où c'est que ça parle de trous du cul ?
— Oh c'était compris dans les "les affaires des autres".
— On va le dire à la Reine !

Prince Charles n'en crut pas ses oreilles !
L'intervention de la famille royale

Devant l'impasse parlementaire et l'impuissance de pouvoirs publics, c'est au souverain du Royaume-Uni que revint la responsabilité de débloquer la situation. Le 11 novembre 2014, le prince Charles fit une harangue à la Chambre des Communes au nom de la Couronne, en duplex depuis son bureau dans le palace de Westminster, lors d'un évènement médiatisé par 127 pays.

Qui rit le dernier ? C'est qui qui rit le dernier ?

Hihihihi... Vous ne comprenez toujours pas ? Depuis le début vous vous trompez de question. Il n'est question ni de l'Union, ni de système de législation, mais de communion fraternaire ! Je vais juste me servir d'un exemple. Vous, les scientifiques, avez conjecturé que l'instinct de navigation de Wally avait été détraqué par l'envolée de l'usage civil du GPS. Hihihi... Je dis non ! Au contraire ! Le GPS servait justement l'objectif de Wally qui était de revenir parmi les siens. Et elle avait failli y réussir par 2 fois ! Les opérations soi-disant de sauvetage étaient une bouffonnesque rebuffade, une tentative arlequine de refouler l'enfant retournant à son berceau de naissance et de droit ! Wally lançait un appel à l'aide. Pourquoi croyez-vous qu'elle s'invitait chez vous ? Comment expliquez-vous qu'elle n'a jamais été aperçue dehors ? Elle ne s'était pas égarée dans la Tamise. Au contraire, elle recherchait la chaleur de la compagnie de ses congénères. Et lorsque ceux-ci la déportèrent de barge en barge, elle vécut cela comme la trahison d'un être cher !

—Allocution du prince Charles pour ITV
Le prince Charles fit alors une pause devant l'audience sous le choc, et but directement dans la carafe d'eau sur son bureau. Dans le même temps, un chroniqueur du Daily Telegraph faxait à son journal un brûlot révélant que les Anglais sont en fait des descendants de baleines. La baleine, mourante, serait donc revenue pour mourir parmi les siens qui le savaient et auraient alors tout fait pour la rejeter à la mer. Des élus de la London Assembly votèrent le maquillage de la manœuvre comme une faveur d'hôte, au nom de l'autocéphalisme londonien[6].

Hihihi... Et cette baleine, à votre avis, c'est qui, hein ? C'est tout simplement le bébé de Diana avec son compagnon du jour Dodi Al-Fayed ! Il avait échappé à l'accident du Pont de l'Alma, mais pas à son Destin apparemment. C'est pour cela que j'ai décidé de l'adoption post-mortem de Wally, Third Prince of Whales[7], comme une faveur faite à mon ex-épouse, Princess of Whales.

—Allocution du prince Charles pour ITV
La mention de la princesse Diana fit bondir l'Angleterre de joie, qui savait qu'au fond le prince Charles était toujours amoureux d'elle et qu'il savait qu'elle avait été une admirable épouse et une bonne mère pour ses enfants.

Et quant à vous, mes chers frères anglais, cessez tout ce venin. Comme vous le réalisez, nous ne sommes pas différents de vous, nous les "Celt-acés". Hihihi ! La Grande-Bretagne s'élève sur un cimetière de baleines qui sont nos ancêtres communs. N'est-il pas approprié qu'il fallut justement que la paix sociale sur nos terres nous vienne par une baleine à la recherche d'une famille saine et unie ? La politique c'est bien quand elle se met au service de la fratrie et pas l'inverse ! Hihihi !

—Allocution du prince Charles pour ITV
Le deuil du Royaume-Uni

Le lendemain de l'allocution royale, le remords profond des gens qui ne purent empêcher le drame de la Tamise fit surface. Ce remords était doublé par l'échec des politiques dans leur incapacité de réaction face aux phénomènes, ce qui se traduisit par l'extermination des baleines de la planète dans un étrange contrepied du mythe de Jonas. Un fait divers cimenta particulièrement la désorientation des pouvoirs publics.


Bulldog possédé par le fantôme de la baleine
Le 24 août 2014, un habitant de West End clama que la baleine avait pris possession de son bulldog anglais. Malheureusement une erreur de manipulation lors de la cure condamna le chien.
Prêtre Dickson : Au nom de Jésus Christ, sauveur de l'humanité, et de la Vierge Marie, Sainte parmi les Saintes, Marraine des Sept Vertus rédemptrices[8], je vais faire sur cette bête une tentative d'exorcisme.
Cordon de policiers : Arrière ! Arrière ! Vous voyez pas bordel ?? Le prêtre a besoin d'espace !
Bulldog : (jappements plaintifs) wwiifff wiiifff
Policier : Mais que faites-vous prêtre Dickson ? Vous êtes en train de violer cette pauvre bête !
Prêtre Dickson : Je suis désolé, han han, la prochaine fois je ferai plutôt un essai d'exorcisme, HAN !
Suite à cet accident, le Musée d’histoire naturelle de Londres compte un squelette de Dondonus Boulis (bulldog anglais) sans valeur scientifique particulière, si ce n'est l'histoire derrière son introduction et le nom peu couru chez les chiens (Wally).
Les vrais os de la baleine avaient été vendus par lots en 2006 sur eBay. Or, le désœuvrement spirituel de Wally a souvent été expliqué par le perpétuel tourment d'une âme en quête de fusion avec son corps.
Pour calmer l'esprit, une grande cérémonie commémorative se tint le 25 novembre 2014, sur Westminster Bridge, l'un des ponts de la Tamise. Des cyber-enquêteurs remontèrent jusqu'aux propriétaires des os, que la municipalité invita à ses frais.

Les trois invités, venus tout spécialement de Liverpool, Blackburn et Manchester, furent installés sur une plateforme surplombant la Tamise.


Pendant que l'hymne God Save Wally était en train d'être joué, un mécanisme de trappe fut actionné et les précipita à l'eau en sacrifice expiatoire.

Le peuple anglais se repent et regrette profondément l'extermination de la baleine. Nous honorons l'espèce des cétacés comme nous honorerions des proches qui nous sont chers.

—Prince Charles lors de la cérémonie


Il n'y a pas de quoi rire.
Conséquences

Bouleversements du paysage géo-politique
Le 18 novembre 2014, la reine Élisabeth II ratifia l'Acte d'Union unifié qui posa les bases du Royaume-Uni-Uni, un nouvel État fondé sur :
une souche ethnique commune : les baleines
une nouvelle boisson nationale : le thé à la crevette à déguster en aspirant ostensiblement entre les fanons
De ce fait, le Royaume-Uni-Uni sortit du Commonwealth dont le défaut est qu'il n'avait rien d'assez common et trop de wealth. L'État était officieusement connu comme le Commonwhales.


Le symbole du prince de Galles conservé par le Royaume-Uni-Uni
Le motto attaché à l'insigne du prince de Galles, Ich dien (allemand de "Je sers"winking smiley, devait maintenant être compris dans le sens Ich dien Wally. À l'opposé, les protestants à la réforme[9] adoptèrent pour motto anticonstitutionnel Ich haße ("Je hais Wally"winking smiley, ou Ich ficke ("I fuck Wally"winking smiley.
Le droit de regard des anciennes nations celtes (Irlande du Nord, Écosse et pays de Galles) sur les lois anglaises, exprimé par la West-Lothian Question, ne put jamais être vraiment réglé. Dû à l'interaction entre l'Acte d'Union et les Actes de Gouvernement local, ce droit resta inattaquable à moins d'une guerre civile[10].
En 2015, une extension de la Tamise, baptisée le Canal de la Tamise, fut bâtie depuis la source à Thames Head jusqu'à la baie de Cardigan en mer d'Irlande où se côtoient grands dauphins et phoques gris. La nage y fut autorisée, et un pavillon réflecteur de signaux GPS géant fut installé au sommet de la tour de Big Ben. Un tel dispositif aurait théoriquement permis à la baleine de la Tamise de pénétrer loin à l'intérieur des terres et de trouver la paix parmi ses pairs au cœur du pays des Baleines.
La plus grande découverte depuis Darwin
Le National Board of Natural Sciences reconnut le phénomène comme la plus grande découverte depuis celle de Darwin[11]. Il contribua à fixer les idées sur la forme de la baleine : pas plate comme une limande, mais ronde comme une limande gonflée, et finie en queue de poisson. Combinée au fait qu'elle n'était ni muette comme une carpe ni aussi marteau que le requin, cette découverte enclencha la jonction à la fois avec le naturaliste suédois Carl von Linné[12] et le grand Aristote dont les réflexions dans l'Organon sur la "chose" aboutirent dans la Génération des animaux à la "chose gonflée" qu'il dépeint comme un animal de sagesse aux yeux pas plus gros que le ventre.
Mais les marins étaient unanimes : c'est plat. Alors, plat ou rond ? L'article The art of migration des Philosophical Transactions of the Royal Society montre qu'on peut très bien marier tradition et innovation comme cela se fait si souvent en sciences : un corps rond aplati aux pôles. Il s'agit de la forme optimale à la fois pour la Terre et les grands animaux marins migrateurs.

Avec leur partie supérieure plate, les baleines passent sous les banquises et les terres pour gagner tous les points du globe selon une ligne droite.
Controverses

Identification


« Vite les gars, érigeons un cordon humain autour d'elle. Personne pourra bien la voir comme ça ! »
Était-ce vraiment la baleine de la Tamise ? Personne n'avait vu la baleine de près, à l'exception de privilégiés ayant eu main dans les tentatives de sauvetage en échec, ce qui revient à poser le problème ainsi : peut-on se fier aux témoignages de losers ? Généralement, peu de personnes savent faire la différence entre une baleine blanche et une baleine à bec. Les journalistes la surnommèrent la Baleine blanche. H. W. Timperley utilisait des baleines blanches dans ses montages photographiques. Le cas de Chestnut Leverton qui confondit la baleine avec sa mère défunte chaque minute de 2 heures de conversation, cristallise bien le problème de la santé mentale des témoins.
Reconnaître un fantôme de baleine nécessite un recul à plus de 5 mètres, sinon l'observateur ne voit qu'une buée spectrale générant sa propre lumière, ce qui correspond au point de vue à l'intérieur d'un large fantôme. Or un tel recul est impossible dans une pièce d'appartement londonien typique. Les Anglais passaient largement pour des dupes de ce phénomène, même s'ils sont gouvernés depuis 1952 par un spectre, la reine Élisabeth II. Pour la première fois, ils faisaient face à un phénomène dont la macroscopie constituait un handicap cognitif pour eux dont la connaissance tenait tant à la loupe de Sherlock Holmes qu'au microscope de Louis Pasteur pour l'étude de la bière, et ils ne surent faire qu'en se calfeutrant dans le déni collectif.
Un problème d'origine ethnique ?
Dans la sagesse populaire galloise du XIIe siècle, l'Anglais mord dans les conclusions hâtives de l'école du sensationnalisme qui passe pour son soleil adoré sous la grisaille [13]. Coupez cette dilution éthique avec l'arrogance innée, et vous obtenez l'anglo-saxonisme sous-tendu par la propension à se prendre pour la reine d'Angleterre, comme lorsque John Lennon estima Jésus Christ sous les Beatles sur l'échelle de popularité[14], ou quand l'average joe reprend la parole officielle :
Élisabeth II : Ah ces affreux américains qui ne veulent pas de nos jeunes ! Très peu de citoyens britanniques méritants ont réussi à entrer dans la Nasa.
John : Oh ces afro-américains ! Si la Reine apprit en son jeune âge à conduire des camions militaires, si le prince William a acquis une licence de pilote d'hélicoptère à la Royal Air Force, soyez-en certain, c'est en prévision de la fuite de Varennes devant la Grande Invasion des Noirs.
Plus tard, quand Élisabeth II outrepassa le protocole royal en posant enlacée avec Miss Thurmond, le monde fut choqué que la reine d'Angleterre se prît pour la reine d'Angleterre.

Élisabeth II, en compagnie de Brenda Thurmond, prenait des libertés avec la tradition royale. Les détracteurs de la monarchie la fustigèrent en annonçant que la reine avait officieusement fait sien le motto indépendantiste Ich ficke (I fuck the protocol)
Une nouvelle révolution en vue

En 2016, les tensions nationalistes dans le Royaume-Uni-Uni et l'opinion internationale aidant, le Premier Ministre britannique donna une nouvelle orientation politique à l'État :

Les fantômes de baleine, c'est trop gonflé, même pour nous. Ce que je prône, c'est un retour aux fondamentaux, aux petites bêtes. Ça vous dirait une coccinelle fantôme, en hommage aux Beatles[15] ? On presse des doigts ─ comme ça ─ les coins des yeux, et on regarde les points noirs sur un fond rouge.

—David Cameron
Notes


↑ Minske, Le suicide collectif chez les baleines, rapport de la Commission baleinière internationale, 1999.
↑ Lequelles plaques de rue, suite au décret du 27 février 2011 sur le renouvellement de toutes les plaques de rue du Royaume-Uni, sont de toute façon posées aléatoirement par un génie urbain complètement paumé sur les indications du GPS.
↑ En contraste, les filles se tapaient une transition facile d'hôtesse de l'air à pute.
↑ "Croyards" dans le jargon politique.
↑ Cette information fut confirmée par la suite par les Services Secrets de la Couronne dans l'affaire de corruption de Greenpeace.
↑ NdT : Le pays de Galles se dit Wales outre-Manche, et whale veut dire "baleine". Le prince of Wales serait donc en fait le prince des baleines.
↑ Formule d'invocation officielle de la liturgie anglicane.
↑ Le temps du réformisme protestant de Martin Luther était bien révolu.
↑ Keith Blanchard, De la guerre des lois à la guerre civile : les raisons de la débâcle du Royaume-Uni-Uni, 2018
↑ À savoir que Sigmund Freud est un singe.
↑ Dans Systema Naturæ, il écrit : « La baleine n'est pas un poisson à mamelles mais un mammifère à nageoires. »
↑ The Sun n'est que l'un des innombrables corps de leur constellation d'astrotabloïdes.
↑ De toute évidence, personne ne confondit ses propos avec des paroles d'Évangile, à part Mark David Chapman.
↑ NdT : "Beatles" veut dire "coccinelles" en sciences naturelles.
M
29 octobre 2012 16:57
ptdr dame pipi lol
[color=#6633FF][b][center] ------------------ ♥♥♥ Rien n'est égal ni comparable à l'amour d'une maman ♥♥♥-----------------[/center][/b][/color]
29 octobre 2012 17:00
lala bwala ptdrptdr
[center][b]« Tout le monde pense à changer le monde mais personne ne songe à se changer lui-même. »[/b][/center] اكتُب مبادئك بقلمٍ جاف حيث الرسوخ و الثبات •• و اكتب آرائك بقلمِ رصاص حيث التعديل و التصحيح
29 octobre 2012 20:37
Citation
Dame_Pipi a écrit:
Poney-club de Melun


Un cadre agréable.
Dans la belle commune de Melun, au milieu de la verdure, des paysans, et pas très loin de Paris, se situe le fantastique Poney-club de Melun, lieu de joies et de rires pour petits et grands.
Le centre vous propose une formation équestre sur plusieurs niveaux, pour enfants âgés de six à quatorze ans, ainsi que de nombreuses activités, le tout encadré par plus de vingt professionnels diplômés et qualifiés. Nous prenons également en charge les plus âgés, grâce au centre jeunes jouxtant le club.
Sommaire [masquer]
1 Les animateurs
2 Activités
2.1 Formules et tarifs
2.2 Suppléments
3 Histoire du club
3.1 Création du Poney-club de Melun
3.2 Une rivalité éternelle
3.3 Situation actuelle
4 Activités optionnelles
4.1 Escapades
4.2 Échanges inter-clubs
5 Témoignages d'anciens membres
5.1 Christophe
5.2 Clémentin
6 Interview d'Eustache Piroulet, directeur du club
7 Voir Aussi
Les animateurs



Jean-Daniel Escalette.
Jean-Daniel : Employé cinq ans au centre hippique de Grenoble, il a rejoint Melun en 1987 et a depuis pris la responsabilité de la totalité des activités, ainsi que de l'organisation des rencontres compétitives entre poney-clubs.
Jean-Daniel est dynamique, motivé, et extrêmement pédagogue : aucun doute que vos bouts d'choux l'apprécieront à sa juste valeur ! Il est celui qui fait les discours de début d'année, et c'est à lui que vous parlerez au téléphone entre 16h et 19h. C'est aussi lui que vous rencontrerez pour les inscriptions, et qui vous proposera les formules disponibles.
Nathalie : Nathalie est animatrice chez nous depuis maintenant dix ans, et ne perd rien de sa fougue qui distrait petits et grands ! Elle s'occupe principalement des débutants en poney, mais gère aussi les repas et buffets lors des rencontres avec les parents et les remises de diplômes de poney.
Barthélémy : Arrivé en 2005 au Poney-club, Barthélémy est un pur produit du centre de formation : il a grandi à Melun et a obtenu toutes les certifications offertes par le club, et faisait partie de la quatorzième division, récompensée en mai 1996. Il s'occupe essentiellement des douze-quatorze ans, avec acrobaties, course d'obstacles, entretien des écuries et maniement de la hallebarde.
Maurice : Nouveau venu au Poney-club, Maurice a fait ses armes dans le sud de la France avant de déménager dans notre région et de rejoindre l'équipe en 2008. Maurice est en charge du matériel, et des consignes de sécurité, qu'il inculquera à vos enfants durant des journées dédiées.
Activités

Formules et tarifs
Formule "Petiot" : Pour les enfants de six à huit ans, 39,99 € par mois. Votre enfant est pris en charge les mardis et jeudis, de 16h à 18h. Au programme : circuits dans le manège, pratique du trot et du galop, apprentissage de la formation en quinconce.
Formule "Petit éperon" : De huit à dix ans, 45,49 € par mois. Les lundis et vendredis, de 16h à 18h. Au programme : ballades en nature, montée à cru, initiation aux acrobaties, initiation à la charge en formation serrée.
Formule "Apprenti cavalier" : De dix à douze ans, 50 € par mois, les mercredis et samedis, de 17h à 19h. Au programme : initiation à la course d'obstacle, ballades en nature avancées, duel à la lance.
Formule "Grand éperon" : De douze à quatorze ans, 65 € par mois, les mardis, mercredis et jeudis, de 18h à 20h. Au programme : acrobaties avancées, possibilité de concourir en course d'obstacle, début de formation sur l'entretien des chevaux et du matériel, prise de commandement d'escouades, manœuvres sur le champ de bataille, entretien des cuirasses, galops en nature.
Suppléments
En plus des formules (dont vous pouvez choisir les options), nous vous proposons un choix d'activités pour petits comme grands. Des demies-journées de jeux en plein air, pique-niques, ainsi que de simulation d'affrontement à armes réelles.
Les parents et les plus âgés peuvent aussi venir concourir aux divers jeux, et un buffet est mis à leur disposition dans le cadre de certaines soirées. Nous organisons aussi les enterrements.
Histoire du club

Création du Poney-club de Melun


Caramel, première acquisition du club.
Le club est crée en 1965 par Eugène Piroulet, ancien jockey et directeur équestre au centre hippique de Marseille. Intéressé par l'apprentissage des jeunes aux joies du contact avec les chevaux, il fera évoluer son centre de club hippique au Poney-club tel que nous le connaissons en 1981, juste avant d'en léguer les rênes à son fils, Eustache. Ce qu'Eugène et Eustache ignoraient, c'est qu'un Poney-club existait déjà à Melun... Le Poney-club d'Almont.
Une rivalité éternelle
Lorsque les deux clubs apprirent l'existence l'un de l'autre, une rivalité apparut : l'un allait empiéter sur les affaires de l'autre. Conscient de cela, Eustache mit en pratique de meilleurs tarifs et des activités diverses. Le directeur du club adverse, lui, investit dans des cimeterres et commença ses formations au combat à l'épée.
La première guerre Melune eut lieu de janvier 1981 à la fin de l'été 1983. Durant ces deux années, plus de dix mille soldats furent déployés, tous camps confondus, et de nombreuses escarmouches sanglantes prirent place. Les deux dates-clé à retenir sont celles des deux batailles décisives.
La bataille aux vingt morts fut enclenchée le 26 janvier 1981, pendant que le Poney-club d'Almont lançait une attaque nocturne surprise sur le Poney-club de Melun. Les enfants rentraient chez eux alors que débarquèrent une quarantaine de cavaliers armés de lances. Surpris, la plupart de nos soldats s'enfuirent, non préparés à un tel affrontement, alors que les moniteurs enfourchaient leurs destriers, équipés de mangeoires qu'ils faisaient tournoyer en guise de masse d'armes. La bataille fut âpre, les ennemis poursuivant nos hommes pour les embrocher jusque dans les écuries, et piétinant les pieds des parents avec les sabots de leurs poneys. Mais Almont avait fait une erreur : livrer bataille à l'endroit précis de notre QG : Eustache, connaissant les moindres recoins, envoya Matthieu et Jérémy courir sur leurs petits pieds jusque dans le manège afin d'y attirer les assaillants. Ces derniers coincés, Eustache ferma alors la porte, tandis que les braves Melunais sortaient en rampant sous les barrières. Les vingt-cinq ennemis restants ainsi piégés, le général mit le feu au manège, les forçant à descendre de leur monture, et à se faire cueillir à la sortie par les parents, armés de fourches. Le Poney-club de Melun décida alors de commencer les formations guerrières.


Eustache et son détachement chargeant (représentation).
Le massacre de la rive Sud fut la dernière bataille de la première guerre. Après deux ans de campagne, les deux camps faiblissent tragiquement. Tous deux savent que la prochaine escarmouche sera la dernière. Le général Eustache, ayant toujours à sa disposition le sixième régiment de cavalerie blindée qui fit tant de merveilles lors des derniers mois, décide de ne s'accompagner que d'eux pour lancer l'assaut sur les adversaires. Il choisit la date et l'heure : lors d'une journée portes ouvertes du Poney-club d'Almont spéciale où tous les petits cavaliers en herbe chevauchaient à cru, accompagnés de leurs petits frères et soeurs. Les coinçant sur le bord de la Seine, le sixième régiment lança la charge avec violence, poussant la plupart des poneys surpris par-dessus bord, noyant la plupart des enfants, trop jeunes pour savoir nager. Ainsi amputés de 50% de leurs forces, l'ennemi n'eut d'autre choix que de se replier. Poursuivis, ils arrivèrent au croisement de la rue Victor Hugo et de la rue Charles Baudelaire, seulement pour rencontrer le reste de l'armée de Melun, armés de piques. Ceux qui ne pouvaient freiner la course s'embrochèrent, tandis que certains se retournaient pour livrer bataille contre les blindés, en pure perte. Finalement, les défenseurs choisirent la reddition, et acceptèrent de réduire leur budget poney de 25%.
Situation actuelle
Après trois guerres (1981-1983, 1990-1997, et 2000-2002), la situation est stable, mais reste tendue. Le Poney-club d'Almont a ouvert une filière secondaire à Rantigny, et gagne en puissance. Nous devons nous préparer à chaque assaut. C'est pourquoi nous avons besoin de tous les chérubins que vous pourrez nous apporter.
Activités optionnelles

Escapades
Une fois tous les deux mois, le Poney-club organise des virées à cheval hors de la commune, afin de faire profiter aux élèves de l'expérience hippique en randonnée. Tous les membres sont invités, et peuvent participer pour 20 € par session. Elles durent une journée complète, et sont l'occasion de prendre un bon bol d'air frais tout en s'amusant avec les animaux.
Ces journées sont également l'occasion de parfaire les tactiques d'assaut sur terrain accidenté. Ceux l'ayant à leur programme pourront ainsi pratiquer la charge en descente en formation dite du "sabot". Pour les plus âgés, les moniteurs emmènent les armes respectives des conscrits inscrits afin que ces derniers pratiquent les duels. Les douze-quatorze ans sont eux séparés en plusieurs groupes, qui s'affrontent avec des armes en bois, sous forme de tournoi, avec à la clé pour les gagnants, une hospitalisation tous frais payés par le club.
Échanges inter-clubs


Le Palace Dadiani, à Zugdidi.
Tous les ans a lieu un échange avec le club de pugilat de Zugdidi (Géorgie). Un an sur deux, c'est Melun qui va là-bas afin de pratiquer l'art de la défense à mains nues, et à l'inverse, ce sont les petits géorgiens qui viennent pratiquer le maniement de l'arme blanche chez nous. L'inscription au programme est de 100 € pour deux ans, et tous les âges peuvent participer.
L'année dernière, le club est allé à Zugdidi, et les enfants ont vécu une expérience fantastique, apprenant diverses techniques de protection du visage en cas de passage à tabac, et sont même revenus avec quelques notions de la belle langue du pays de nos correspondants.
Témoignages d'anciens membres

Christophe
J'ai rejoint le club en 2000, à l'age de onze ans. Je me souviens de mon premier jour (rires), tout avait l'air si grand ! J'ai écarquillé les yeux en voyant mon premier poney, puis j'ai été charmé par les écuries, bien entretenues par M. José, qui travaillait là-bas à l'époque. Les moniteurs étaient très très sympas, je me suis tout de suite senti à l'aise, et me suis fait plein de petits camarades. Mais ce qui m'a le plus marqué, je pense que c'est d'avoir pu rentrer dans l'armurerie. Toutes ces belles armes scintillantes (rires), je ne pensais qu'au jour où j'aurais l'occasion de les manier, de les faire tournoyer, et de les enfoncer dans du cartilage sanglant.
En 2000, le club était en pleine guerre ouverte avec Almont. J'ai donc eu l'occasion au bout de seulement deux mois d'aller au combat. Je faisais partie du deuxième régiment de cavalerie épéiste, et Jean-Daniel nous plaçait sur les flancs lors des assauts. Je me souviens de l'attente qu'on nous imposait... Nous devions les laisser approcher suffisamment, et attendre que toutes les flèches aient été tirées pour charger. Ce jour-là, l'ennemi avait amené des arbalètes, et du coup, nous sommes restés sous le feu ennemi pendant plus d'une demi-heure avant que le commandant ne donne l'ordre ! Notre mission était de nous écarter alors que les premières lignes chargeaient, avant de prendre l'assaillant à revers. Cela a fonctionné, et nous avons gagné cette bataille, mais la mort de Jeannot m'a décidé à changer de division. Que de bons souvenirs.
Je parlais de l'attente... Oui, l'attente, où votre coeur bat la chamade en attendant d'être lancé à la boucherie... Chaque nuit je rêve que j'attends, et que tout à coup fondent sur moi des milliers de flèches. Ça fait trois ans que je suis alcoolique.
Clémentin
J'ai commencé les cours d'équitation au club alors que j'avais huit ans, en 1994. On m'a tout de suite dit que j'étais très doué : je savais tenir debout sur le cheval au trot, je pouvais galoper dans le manège sans quitter le tracé, et je savais esquiver les jets de pilum comme personne. J'ai donc été affecté à la célèbre quatorzième division, où se trouvait Barthélémy, qui travaille au club maintenant. Nous remportions toutes les batailles, et nos hallebardes avaient chacune un petit nom, gravé sur une plaque en acier, qui doit se trouver dans le bureau d'Eustache actuellement. La mienne, c'était Gwendoline. À nous deux, nous valions au moins un régiment d'infanterie légère.
Après que la division a été récompensée en mai 1996 pour une victoire décisive (lors de la Bataille sur l'île de Saint-Étienne), j'ai été affecté au commandement d'une escouade. Un honneur pour moi qui n'avait que dix ans. Les commandements sont habituellement donnés au-delà de douze ans, voire onze, mais j'étais le premier à dix ans. Je dirigeais le premier régiment de lanciers, et savait me faire respecter de mes soldats. Durant l'année qui suivit, et ce jusqu'à la fin de la guerre, nous n'avons subi aucune perte, et mes hommes avaient cette tradition de ramener des mains coupées en guise de trophées. Lors de l'armistice, nous les avons toutes récupérées et mises dans un un grand coffre, qui doit se trouver dans le bureau d'Eustache à l'heure actuelle.
J'ai quitté le club en 1999, et ai appris que l'année suivante, le conflit s'était rouvert. J'ai beaucoup regretté mon départ, car j'aurais adoré trancher un peu plus de mains avec ma Gwendoline !
Interview d'Eustache Piroulet, directeur du club



Eustache Piroulet.
Monsieur Piroulet, qu'est-ce qui vous a décidé à reprendre la direction du club après le départ de votre père ?
J'y allais souvent étant jeune, et j'adorais les poneys. Le contact avec les animaux et les enfants a toujours été une grande passion, sans parler de mon intérêt pour la stratégie militaire médiévale.

Comment s'est passée votre intronisation ?
J'étais très nerveux. Les premiers mois furent plutôt paisibles, puis nous avons découvert l'existence du Poney-club d'Almont.

Quel a été votre réaction face à cette découverte ?
J'étais choqué ! Mon père avait omis ce détail, ce qui a mené à la première guerre ouverte entre les deux clubs. Le premier assaut de la part d'Almont a inquiété beaucoup de monde dans le staff. Tous se sont dit que l'on n'avait pas été préparés, et ont remis en question ma direction du club. C'est pour ça que dès le lendemain, j'ai mis en place le plan de formation militaire.

Comment a-t-il fonctionné ?
Très bien. Les moniteurs étaient particulièrement motivés, et les enfants passionnés par le maniement des armes, et par la possibilité de vivre un peu d'action.

Quelle bataille vous a le plus marqué ?
Probablement celle du "soleil couchant sur la Seine", en 2000. Nous avions toutes nos forces en jeu, et l'avons perdue. J'ai eu beaucoup de mal à expliquer la défaite aux parents. Je crois qu'ils ont eu très honte de leurs enfants. Mais je pense que la faute nous revient : nous n'avons pas pensé à protéger le côté droit des troupes, ce qui a laissé une ouverture grande comme la gueule d'une baleine.

Quel est votre meilleur souvenir ?
Nous avions un élève, Toby, qui était très légèrement handicapé moteur. Nous l'avons tous aidé à monter, et au bout de trois mois, il était devenu un cavalier tout à fait correct. Parents et équipe étaient extrêmement heureux d'avoir accompli cet exploit, et le lendemain, Toby a pu partir sur le champ de bataille. Quel dommage qu'il y soit mort. Enfin, les parents étaient quand même contents.

Quels sont vos ouvrages préférés ?
La course d'obstacles, niveau trois d'Alexandra Ledermann et L'art de la guerre de Sun Tzu.

Auriez-vous un dernier mot à déclarer à vos futurs élèves ?
Que par la malepeste, vous brandissiez haut et fort glaives et lances, que soit occis l'Almont de mortecouille, et que la tripasse s'empile sous nos fers !
Voir Aussi

Un vrai poney.
Qu'avez vous pensé du Poney-club de Melun ?

Parfait
150

Poilant !
200
Inégal
60
Pas complet
11
Ressemble à un cadavre
53
HONTE DE LA TERRE ! A effacer
87
Jé rien conprit
105

Ce sondage a été créé le janvier 15, 2009 18:37 et 666 personnes ont déjà voté.

+10000
Pourquoi ne pas avoir ouvert un post dédié exclusivement à ces magnifiques articles?!

Il faudrait aussi accorder plus de place à des témoignages édifiants semblables à ceux d'Eustache
Si tu veux j'ai même vu une série d'articles plus que passionnants sur la morphologie, l’anatomie, la croissance et la mue des crevettes rose Oups
D
29 octobre 2012 21:35
Lolotte69 mais amaziiiing je pensais pas qu'un seul yabi allait lire ces articles spam lol


ptdr


tu as raison l'heure est grave pour les crevettes roses, ça mérite amplement un article warning dessus



d'ailleurs flash info spécial :


Légitime défense : un père et son fils de deux ans s’affrontent à l’arme blanche

De notre envoyé spécial χⵃςmith ⇒ - ‎le 22 octobre 2012
Grenoble, FRANCE — Ils se connaissaient depuis deux ans et semblaient pourtant s’apprécier : le petit Lucas et son père ont tenté ce week-end de s’entretuer à l’aide d’un couteau. Les premiers éléments de l’enquête sont éloquents.
Fabrice Craitain était jusqu’à hier matin un vosgien normal : une ex-femme, deux 205 GTI qu’il s’apprêtait à combiner pour n’en faire qu’une et un petit pavillon en banlieue d’Épinal acheté à crédit sur 130 ans. Tout allait pour lui le plus normalement du monde, jusqu’à ce que.
Lucas Craitain, surnommé « lapin » par sa maman, était un enfant d’une paire d’année sans histoire, tout juste sorti de crèche, que ses instituteurs voyaient déjà astronaute ou président tant il était éveillé. Tout aurait pu pour lui se passer encore ainsi pendant 15 ans, jusqu’à ce qu’il essaie le crack ou rentre au lycée comme tout jeune Lorrain, mais voilà.

La vie est facétieuse et les deux Craitain l’apprirent à leurs dépens.

Dans l’après-midi de dimanche, deux hommes firent irruption au domicile de Sylvie, l’ex-compagne de Fabrice, dont un ne fit pas fait irruption car l’autre était tout seul : c’était Fabrice lui-même. À peine avait-il enfoncé la porte d’entrée qu’il hurla à Sylvie de « revenir, grosse pute », en promettant de lui pardonner les bleus qu’elle prenait un malin plaisir à disséminer sur son corps. Devant le refus catégorique de celle-ci, qui esquissa un non emporté de la tête, Fabrice s’empara de leur fils et s’enferma dans la salle de bain, menaçant de le tuer si elle ne revenait pas former un couple avec lui comme si de rien n’était.
La situation se détendait donc, mais alors tout bascula : dans une seconde d’inattention Lucas, plaqué au sol en position de pliage par son père, la tête dans la flaque d’urine que sa mère pétrifiée alimentait de derrière la porte, se releva par une pirouette improbable en assenant un violent coup de pied à son géniteur dans les génitales. Il ramassa ensuite le couteau que ce dernier avait laissé tomber de sa poche, et d’un axel millimétré le planta dans l’intérieur de son genou gauche. Un uppercut dans sa mâchoire inférieure suffit ensuite à faire tomber Fabrice sur le sol.
Toisant son père et selon les témoignages, il aurait ensuite adressé sèchement à son endroit : « tu tapes plus ma mère, enfoiré, où la prochaine fois je repeins la pièce avec ta cervelle », avant de se détourner pour sortir de la pièce et regagner son siège à rehausseur. À peine avait-il remis en bouche sa tétine que Fabrice, qui s’était péniblement relevé mais était maintenant suffisamment remonté pour ne plus sentir la douleur lancinante dans son genou, lui éclata sa propre chaise sur la nuque. « C’est qui l’enfoiré, maintenant connard ? » lança-t-il. Il en profita également pour assener quelques coups de pied dans les cotes de son fils tombé à terre, en brisant au moins quatre. Ce dernier perdit instantanément connaissance.

Quand il se réveilla, Lucas était au sous-sol, pendu par ses petits pieds aux conduites de gaz de l’immeuble. L’eau perlait à travers les lézardes de la paroi et le boucan de la chaufferie couvrait les bruits de l’extérieur. Il se demanda combien de temps il avait pu rester dans les pommes, mais il n’eut pas plus le temps de réfléchir à une manière de s’en sortir que son père émergea des fumées s’échappant de la machinerie de l’immeuble. Il portait un masque de cuir suturé de toute part, à la bouche cousue et tordue de coté.

— Je suis sûr que tu te demandes où est ta mère, hein, petite merde. Crois moi, elle n’aura plus l’occasion de se plaindre à qui que ce soit !

Ce disant, il sorti de sa poche ce qui semblait être un mouchoir couvert de sang et enveloppant quelque chose de mou. En écartant les coins du mouchoir, il laissa apparaître ce qui avait dû être une langue : 20 cm de chaire sanguinolente ayant appartenu à la pauvre Sylvie, sûrement en train de pourrir dans un ou plusieurs sacs quelque part.


Lucas aurait pu abandonner, mais il s’y refusa. Bandant ses muscles, il se redressa et assena un coup de tête sonore à son père, dont le masque laissa échapper une dent et quelques gouttes de sang. Sonné, Fabrice tomba en s’adossant à la paroi, manquant de peu de s’empaler sur une tige en métal rouillé, oubliée et émergeant des fondations. Lucas profita de cette courte accalmie pour effectuer un seau périlleux et ainsi se défaire du crochet pendant aux canalisations. À peine redressé il bondit ensuite sur son père. Fabrice eut juste le temps de se relever pour lui faire face : les deux hommes allaient pouvoir en finir.
Avec le couteau, qui malgré l’étourdissement n’avait pas quitté sa main, Fabrice tenta dans un réflexe vain de planter son assaillant au visage. Mais c’était sans compter sur la rapidité de Lucas qui, parant le coup avec sa main droite, projeta son père contre le mur opposé par une simple prise de Ju-jitsu et lui fracassa le crâne. Fabrice ne se releva pas.


Depuis, les enquêteurs tentent de comprendre ce qui avait pu pousser Sylvie à quitter Fabrice, « d’autant que c’est quelqu’un de très calme, d’habitude ». Lucas quant à lui va enfin pouvoir grandir dans un environnement sain.
29 octobre 2012 22:02
Citation
Dame_Pipi a écrit:
Lolotte69 mais amaziiiing je pensais pas qu'un seul yabi allait lire ces articles spam lol


ptdr


tu as raison l'heure est grave pour les crevettes roses, ça mérite amplement un article warning dessus



d'ailleurs flash info spécial :


Légitime défense : un père et son fils de deux ans s’affrontent à l’arme blanche

De notre envoyé spécial χⵃςmith ⇒ - ‎le 22 octobre 2012
Grenoble, FRANCE — Ils se connaissaient depuis deux ans et semblaient pourtant s’apprécier : le petit Lucas et son père ont tenté ce week-end de s’entretuer à l’aide d’un couteau. Les premiers éléments de l’enquête sont éloquents.

Attend tu veux rire ou quoi?! j'imagine l'effort que ça a du te prendre, la moindre des choses c'est d'y accorder l'importance que ton post mérite...

allez hop j'apporte également ma contribution avec un super Flash actualité tiré d'une vraie affaire qui m'a fais bien rire
ptdr

Un chinois attaque sa femme en justice pour lui avoir caché qu'elle était laide

JUSTICE – Le divorce, c'est moche. C'est d'autant plus vrai quand il est causé par la "laideur" de l'un des époux.

Jian Feng et sa très belle femme étaient heureux. Si heureux, qu'après s'être mariés ils eurent rapidement un enfant. Mais le bonheur s'arrêta là. En découvrant les traits, qu'il juge ingrats, de son enfant, Jian Feng croit d'abord que sa femme a eu une relation extra conjugale et pense ne pas être le père du petit. Quelle autre explication pourrait-il y avoir? Sa femme est si belle et lui estime ne pas être trop mal.

La mère dément toute accusation d'adultère mais se voit forcée d'avouer son terrible secret: le visage qu'elle présente n'est pas celui avec lequel elle est née! Elle admet alors avoir fait de la chirurgie esthétique. Et pas à petite dose. Elle aurait dépensé au total l'équivalent de 75.000 euros.

Dépité, Jian Feng demande donc le divorce et l'obtient. Non content, il attaque aussi son ex-femme en justice et remporte le procès. Il empoche au passage l'équivalent de 100.000 euros en compensation. Pour la Cour, sa femme l'a épousé sous des faux-semblants et aurait dû l'informer de son physique.

Et la beauté intérieure dans tout ça ?
D
29 octobre 2012 22:20
MDRRRRRRRRRRRRR meskina !! Mais la pauvre , ça aurait passer inaperçu si elle n'avait pas pondu un bébé tout moche ( le pauvre !).


sans transitiongrinning smiley


Moi par contre je déteste les gens qui ont des chiens et je sais pourquoi maintenant !

Incroyable : Elle allaite son chien depuis deux ans !
Publié le 20 octobre 2012



Terri Graham n’a jamais allaité ses enfants. Le chien de la famille, par contre, est nourri au sein de la maman.

Maman de deux enfants, Terri Graham se considère également comme la maman du chien de sa fille, Spider. La dame de 44 ans, qui n’est jamais parvenue à nourrir ses enfants au sein, satisfait aujourd’hui complètement son désir maternel… en allaitant l’animal.
Dans Closer UK, Terri raconte qu’elle nourrit Spider de cette façon depuis deux ans et que, bien que certains la considèrent comme une folle, « avoir Spider tétant le sein » signifie que Terri a « finalement l’impression d’avoir accompli entièrement son devoir maternel ».

La Californienne, qui fait le buzz avec son histoire, déclenche des réactions mitigées mais s’en moque: le principal pour elle est de se sentir à présent bien dans son rôle de mère.
29 octobre 2012 22:24
Citation
Dame_Pipi a écrit:
MDRRRRRRRRRRRRR meskina !! Mais la pauvre , ça aurait passer inaperçu si elle n'avait pas pondu un bébé tout moche ( le pauvre !).


sans transitiongrinning smiley


Moi par contre je déteste les gens qui ont des chiens et je sais pourquoi maintenant !

Incroyable : Elle allaite son chien depuis deux ans !
Publié le 20 octobre 2012



Terri Graham n’a jamais allaité ses enfants. Le chien de la famille, par contre, est nourri au sein de la maman.

Maman de deux enfants, Terri Graham se considère également comme la maman du chien de sa fille, Spider. La dame de 44 ans, qui n’est jamais parvenue à nourrir ses enfants au sein, satisfait aujourd’hui complètement son désir maternel… en allaitant l’animal.
Dans Closer UK, Terri raconte qu’elle nourrit Spider de cette façon depuis deux ans et que, bien que certains la considèrent comme une folle, « avoir Spider tétant le sein » signifie que Terri a « finalement l’impression d’avoir accompli entièrement son devoir maternel ».

La Californienne, qui fait le buzz avec son histoire, déclenche des réactions mitigées mais s’en moque: le principal pour elle est de se sentir à présent bien dans son rôle de mère.


ptdr


Are you crazy Mais ils sont tarés les gens
I
29 octobre 2012 22:28
ton constat ne représente pas la majorité des maghrébins, je dirai meme que seulement une minorité est concernée mais bon ce n'est que mon avis que je me suis construis avec mon vécu et mon entourage

ceci dit, si c'est bien le cas, je suis trés contente pour eux, il est bien temps de changer et d'évoluer positivement parlant
D
29 octobre 2012 22:30
J'te jure BrendaStrong , elle m'a écoeuré cette dame ...irrrrrrrrrrrrkhIll


Bon allez une dernière avant que j'aille dodo, ça fera jaser grinning smiley


Selon une étude, plus un homme participe aux tâches ménagères, plus il risque de divorcer

Publié le 28 septembre 2012


Selon une étude norvégienne, la proportion de divorce est 50% plus élevée pour les couples modernes quand ils partagent les taches ménagères

Au risque de faire jaser dans les chaumières, une étude norvégienne révèle que plus les tâches ménagères sont reparties équitablement dans un couple, plus les risques de divorce sont élevés. Ainsi, la proportion de divorces parmi les couples qui partagent les tâches domestiques est d’environ 50% plus élevé que chez les couples où l’essentiel des tâches sont accomplies par la femme. L’étude, financée par le conseil norvégien de la recherche, a été menée dans un premier temps sur un échantillon de 15 000 personnes âgées de 18 à 84 ans, puis sur un panel de 4000 personnes, cette fois-ci âgées de 40 à 79 ans.

« Plus un homme en fait à la maison, plus la proportion de divorces augmente. Les couples modernes le sont à la fois pour ce qui est de la répartition des tâches et dans leur perception du mariage », moins sacralisée, a expliqué Thomas Hansen, chef de projet et co-auteur d’une vaste étude intitulée « L’égalité à la maison ». Il souligne qu’il s’agissait d’une question de « valeurs ». Pour les chercheurs, il n’y a aucun lien ou presque de causalité et cette corrélation est plutôt un signe de la « modernité » des couples.

« On a le sentiment que l’autre ne fait pas sa part »

« Dans les couples ‘modernes’, les femmes ont aussi souvent un niveau d’éducation élevé et un emploi bien rémunéré. Ce qui les rend moins dépendantes économiquement de leur mari. Elles peuvent donc s’en sortir plus facilement en cas de divorce », a-t-il ajouté. « Peut-être est-ce parfois vécu comme positif d’avoir des rôles bien répartis avec beaucoup de prévisibilité (…) où l’un n’empiète pas sur les plate-bandes de l’autre. Ça peut générer moins de querelles alors qu’on peut plus facilement se chamailler si on a les mêmes rôles et si on a le sentiment que l’autre ne fait pas sa part », a-t-il estimé.

D’après M. Hansen, dans un pays comme la Norvège où la parité règne, l’éducation est généralement partagée de manière équitable entre le père et la mère dans environ sept couples sur dix. Concernant les tâches ménagères, ce sont plutôt les femmes qui s’y attellent dans sept cas sur dix. Plus important, l’étude montre que les femmes sont heureuses de leur situation, et leur niveau de bonheur est proche de celui des femmes de couples « modernes ».
 
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