C'est une absurdité de dire que l'Islam est en contradiction avec la démocratie… J'ai toujours été et je reste opposé à toute forme de fanatisme. " Ainsi s'exprimait Massoud. Massoud est mort, victime de kamikazes, juste avant que d'autres ne s'abattent sur le Pentagone et le World Trade Center. Qui était Massoud ? En juillet et en décembre 1997, Christophe de Ponfilly était retourné en Afghanistan pour le rencontrer dans son maquis. Après avoir contribué à forger la légende du "lion du Panjshir", le réalisateur livre ici un portrait fascinant du chef de guerre afghan à l'heure de sa bataille contre les Talibans, et dresse parallèlement le bilan de son engagement de cinéaste. "J'ai aimé les Afghans et goûté leur poésie. Des individualistes, souvent grandes gueules, qui n'avaient rien de fanatiques religieux..." (Christophe de Ponfilly) En rejoignant le dernier bastion de la résistance du commandant Massoud, la vallée du Panjshir qui s'étend sur 100 kilomètres au nord-est de l'Afghanistan, Christophe de Ponfilly reprenait pied en terrain connu : depuis 1981, à travers plusieurs reportages, il s'était lié d'amitié avec Massoud, le combattant légendaire de la guerre contre les Soviétiques. Affaibli, isolé, trahi par beaucoup de ses amis, celui que l'on avait surnommé le "lion du Panjshir" livrait toutes ses forces dans la défense de sa vallée. En suivant les préparatifs d'une offensive contre les Talibans, le réalisateur demandait une nouvelle fois à Massoud de témoigner sur une histoire dont il était l'un des principaux acteurs. Entrecoupé de séquences extraites de ses précédents films, Massoud, l'Afghan rappelle quelques hauts faits du chef de guerre : comment celui-ci avait réussi à fédérer plusieurs groupes de résistants, ou encore son rôle salvateur lors d'une des plus meurtrières offensives de l'armée soviétique en 1984. Questionnant le pouvoir des médias sur le cours de l'histoire, Christophe de Ponfilly s'interrogeait alors également sur sa démarche de cinéaste : un voyage vers Massoud autant que vers lui-même, un cri d'espoir pour un Afghanistan libéré des extrémistes. PS:c'est une rediffussion en hommage au réalisateur décédé .
J'au vu ce reportage magnifique ANGELO, les obscurentistes Talaibans aidés en cela par les Americains, Saoudiens, et Pakistanais ont lachement liquidé ce visionnaire tolerant et éclairé.
C'est dommage qsu'on tue toujours les gens intélligents et les musulmans tolérés .
Une bande de laches, d'oscurentistes que sont ces talibans ont fait t regner la terreur dans ce pays si magnifiques et se sont abbatus sur ces Moujahidines .
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