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Martine Aubry, Hollande, Sarko, Hulot ou Marine Le Pen?
P
18 juin 2011 15:30
w
18 juin 2011 23:28
Salam

Que fait cet œil ici ?

Hulot serait-il fan maçon ?





Modifié 3 fois. Dernière modification le 22/06/11 19:53 par wakrim.
w
18 juin 2011 23:34
Salam


Aubry n’encourage-t-elle pas le sionisme?

Le PS infesté par les sionistes






Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/06/11 19:55 par wakrim.
c
19 juin 2011 10:59
A
19 juin 2011 16:26
Salam,

Hulot me fait rire, il est trop gentil pour faire de la politique grinning smiley
Sourate 82
f
21 juin 2011 15:46
les élections seront joués entre les trois partis, l'ump, le ps et le FN. L'un des 3 gagnera les élections présidentielles.
w
22 juin 2011 19:56
Citation
coldman a écrit:


titre faux, démago, mensonger.
Salam

Démontre que ce titre est faux.
c
22 juin 2011 20:03
bien sur que c'est faux. il n'y aura pas de purge, de personnes virées, licenciées pour l'adhesion au comité palestine du coin. tout cela est archi faux. surtout que les adhérents et sympathisants socialistes sont parmis les plus pro palestiniens apres les communistes.
voila les propos qu'on prete à François Hollande sur le site:

Il a ainsi estimé, rapporte le CRIF, « qu’il y a une tendance qui remonte à loin, ce que l’on appelle la politique arabe de la France et il n’est pas admissible qu’une administration ait une idéologie ». Il a ajouté qu’il y a un « problème de recrutement au Quai d’Orsay et à l’ENA » et que le recrutement « devrait être réorganisé ».

c'est en plus rapporté par le crif.
et toi, tu viens avec le titre "Le PS promet au CRIF de purger l’administration française de ses éléments «Arabes» s’il revient au pouvoir"
tu te fois de la g.ueule du monde. tu joues sur les amalgames outranciers et la deformation de l'info, comme l'extreme droite. ce faisant, tu discredites complétement la cause que tu sembles vouloir porter. à propos, comment va ton pote bachar? il a finit de mater son peuple?
w
22 juin 2011 20:42
Citation
coldman a écrit:
bien sur que c'est faux. il n'y aura pas de purge, de personnes virées, licenciées pour l'adhesion au comité palestine du coin. tout cela est archi faux. surtout que les adhérents et sympathisants socialistes sont parmis les plus pro palestiniens apres les communistes.
voila les propos qu'on prete à François Hollande sur le site:

Il a ainsi estimé, rapporte le CRIF, « qu’il y a une tendance qui remonte à loin, ce que l’on appelle la politique arabe de la France et il n’est pas admissible qu’une administration ait une idéologie ». Il a ajouté qu’il y a un « problème de recrutement au Quai d’Orsay et à l’ENA » et que le recrutement « devrait être réorganisé ».

c'est en plus rapporté par le crif.
et toi, tu viens avec le titre "Le PS promet au CRIF de purger l’administration française de ses éléments «Arabes» s’il revient au pouvoir"
tu te fois de la g.ueule du monde. tu joues sur les amalgames outranciers et la deformation de l'info, comme l'extreme droite. ce faisant, tu discredites complétement la cause que tu sembles vouloir porter. à propos, comment va ton pote bachar? il a finit de mater son peuple?
Salam

Que fais-tu du double langage du ps.
Un discourt pour ces compatriote d'origine maghrébine et un autre derrière son dos.
c
22 juin 2011 21:31
mais le ps a toujours fait ça. quand le ps va à la rencontre de syndicalistes en lutte, on envoie benoit hamon. pour rencontrer les patrons, on envoyait dsk. le ps a toujours plusieurs fers au feu. ils apellent cela l'unité. ils ont méme stellisé le parti communiste qui n'est plus qu'un rabatteur de voix. quitte à envoyer mélenchon pour le sauver et avoir encore un parti d'extreme gauche à leur botte. devant le crif, on tient des discours rassurant sur le conflit israelo palestinien. devant les militants de base, on réaffirme le souci de justice vis à vis des palestiniens. seule compte l'accession au pouvoir.
w
23 juin 2011 04:58
Salam

Comment la France a aidé Israël à avoir la bombe


Dans les années 1950, Paris et Tel-Aviv, mus par une hostilité commune contre l’Égypte de Nasser, ont coopéré étroitement dans la recherche atomique.

Dans le domaine de la dissuasion, cela s’appelle une politique d’ambiguïté nucléaire. Officiellement, l’État hébreu, qui fête ces jours-ci son soixantième anniversairen’a toujours pas la bombe atomique. Il n’a pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et n’est donc pas soumis au contrôle des inspecteurs de l’Agence internationale à l’énergie atomique (AIEA). Mais c’est un secret de Polichinelle, dans cette région troublée du Proche-Orient, qu’Israël dispose d’ogives atomiques, surtout depuis que le premier ministre Ehoud Olmert l’a implicitement reconnu, en décembre 2006. De fait, Israël a la bombe depuis 1967. Et c’est l’aide, décisive, de la France, qui lui a permis de devenir la sixième puissance nucléaire de la planète.

Lorsque naît l’État hébreu, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale qui a vu, pour la première fois, l’utilisation de l’arme suprême par les États-Unis contre le Japon, les responsables israéliens misent sur la bombe pour éviter qu’un second Holocauste puisse un jour être commis contre le peuple juif. L’arme nucléaire devra assurer la survie du nouveau pays sur le long terme. Plus tard, elle devra aussi le protéger des menaces représentées par l’Irak et l’Iran, soupçonnés d’avoir eux-mêmes des ambitions nucléaires militaires.

Le programme nucléaire israélien est lancé en 1949 par le premier ministre, David Ben Gourion. À l’époque, les États-Unis refusent d’y contribuer. Déjà, la perspective de voir un jour la Chine et la France rejoindre le club très fermé des puissances nucléaires ne plaît guère à Washington. Les dirigeants américains veulent à tout prix éviter la nucléarisation du Proche-Orient. Sous John F. Kennedy, l’Administration américaine n’aura de cesse d’essayer de convaincre Israël de renoncer à son programme atomique. En échange, le Pentagone offrait son parapluie nucléaire et des garanties sur la dissuasion. En vain.

En 1954, Ben Gourion se tourne vers Paris, à qui il propose une entraide mutuelle pour la mise au point de la bombe. La France possède un double avantage : elle a une longueur d’avance en matière de recherche nucléaire et veut laver la honte de la Collaboration en cajolant les victimes juives du nazisme. Le rapprochement franco-israélien se noue autour de la guerre de Suez. Les deux pays ont un ennemi commun : l’Égypte de Gamal Abdel Nasser, qui soutient d’un côté le Front de libération nationale (FLN) algérien contre la France et arme, de l’autre, les fedayins palestiniens contre Israël.

Programme clandestin

Lorsque le président égyptien ferme le canal de Suez à la navigation israélienne avant de le nationaliser en 1956, Paris et Tel-Aviv font front commun et décident d’intervenir aux côtés de la Grande-Bretagne. Ce sera un fiasco, en raison de l’hostilité américano-soviétique à l’aventure. Mais l’amitié franco-israélienne se poursuit. En octobre 1957, Paris et Tel-Aviv passent des accords diplomatiques et techniques et lancent véritablement le programme nucléaire clandestin, supervisé par Shimon Pérès et financé par des fonds secrets prélevés sur le budget du ministère israélien de la Défense.

La France avait promis de fournir la centrale nucléaire de Dimona, dans le désert du Néguev, avant la crise de Suez. Mais la coopération, qui doit permettre à Israël d’obtenir la maîtrise complète du cycle de combustible et de se hisser au rang de nouvelle puissance nucléaire, est renforcée après l’invasion du Sinaï égyptien par l’armée israélienne. Paris envoie plusieurs centaines de techniciens, livre un réacteur nucléaire de 24 mégawatts et entame les travaux à Dimona en 1958.

Le contrat prévoit également la construction d’une usine souterraine de séparation isotopique. En échange de son soutien déterminant, la France, qui cherche elle aussi à se doter de l’arme atomique ce sera chose faite en 1960 espère « bénéficier de la technologie américaine, à laquelle les scientifiques israéliens sont supposés avoir accès », explique l’historien Pierre Razoux (*).

Lorsque de Gaulle revient au pouvoir en 1958, il freine, puis ordonne l’arrêt de la coopération nucléaire avec Israël. Le général veut réorienter la politique étrangère de la France dans un sens plus favorable aux pays arabes, surtout après les accords d’Évian sur l’indépendance algérienne en 1962. Les essais nucléaires français ayant été concluants, de Gaulle estime qu’il n’a plus besoin des Israéliens pour faire progresser la recherche. « Mais surtout, il veut assurer le caractère français de la bombe, recentrer l’outil de dissuasion sur le territoire national », indique Pierre Razoux, qui occupe aujourd’hui des fonctions au Collège de défense de l’Otan à Rome.

Après lui, Georges Pompidou, Valéry Giscard d’Estaing puis Jacques Chirac mèneront une politique nucléaire beaucoup plus proliférante. Paris ira même jusqu’à fournir un réacteur nucléaire, celui d’Osirak, à l’Irak de Saddam Hussein. « Mais sous de Gaulle, la politique nucléaire de la France est vraiment recadrée. Nous ne sommes plus dans l’amitié très forte qui liait la classe politique française et les travaillistes israéliens », explique Bruno Tertrais, spécialiste du nucléaire à la Fondation pour la recherche stratégique (FRS) à Paris.

Un gilet pare-balles

L’aide française aura néanmoins été déterminante. Le programme israélien est suffisamment avancé pour pouvoir être mené jusqu’à son terme. Les principales étapes ont été franchies et l’usine de Dimona est terminée. Nasser s’en alarme, qui déclare en 1966 : « L’Égypte se lancerait dans une guerre préventive si Israël se mettait à fabriquer des armes nucléaires. » Le président égyptien multiplie les provocations envers l’État hébreu, envoie ses avions survoler Dimona. Mais il est trop tard. À la veille de la guerre des Six-Jours en 1967, les premières armes nucléaires sont quasi opérationnelles au sein de Tsahal.

Pendant tout ce temps, le secret est conservé sur le programme nucléaire israélien. Pour en avoir révélé l’ampleur dans une interview au Sunday Times, en octobre 1986, l’ancien technicien Mordechai Vanunu a été condamné à dix-huit ans de prison.

Après avoir longtemps servi de gilet pare-balles contre la menace irakienne, lorsque Saddam Hussein était au pouvoir, le programme nucléaire vise aujourd’hui en grande partie à protéger l’État hébreu de la menace iranienne. Les ambitions nucléaires de Téhéran et l’intransigeance de Mahmoud Ahmadinejad, qui estime qu’Israël devrait être « rayé de la carte », ont potentiellement rétabli la menace existentielle qui pesait contre l’État hébreu avant la guerre des Six-Jours de 1967 ou pendant la guerre de Kippour de 1973.

Selon la publication britannique spécialisée Jane’s Intelligence Review, la menace est plus sensible encore depuis la publication, en décembre 2007 à Washington, du rapport des agences de renseignements américaines, le NIE, qui, en relativisant la menace nucléaire iranienne, a rendu improbable une intervention militaire des États-Unis.

La peur de se retrouver seul face à l’Iran nourrit les rumeurs d’une intervention militaire israélienne contre les installations iraniennes. Benyamin Ben Eliezer, le ministre israélien des Infrastructures, a prévenu le mois dernier qu’une « attaque iranienne contre Israël déclenchera une riposte dure qui provoquera la destruction de la nation iranienne ».

L’État hébreu disposerait aujourd’hui, selon les spécialistes, de 100 à 200 têtes nucléaires. Son armée détient toute la gamme des vecteurs pouvant délivrer une arme atomique, notamment des bombardiers de fabrication américaine F 15 ou F 16, ainsi que des missiles.

La dissuasion israélienne s’appuierait aussi, depuis peu, sur une composante marine. Avec l’aide, non plus de la France, mais de l’Allemagne cette fois ! Au début des années 1990, Tel-Aviv a passé des accords de coopération avec Berlin, qui concernent notamment la livraison de trois sous-marins Dauphin, appartenant à la dernière génération. Selon Pierre Razoux, il est probable que des missiles nucléaires puissent être embarqués dans ces sous-marins dotés d’une technologie anaérobie. « Les Allemands sont antinucléaires chez eux, mais permettent à Israël de renforcer sa dissuasion nucléaire en lui livrant de nouveaux vecteurs », remarque le spécialiste.

(*) Pierre Razoux est l’auteur de « Tsahal, Nouvelle histoire de l’armée israélienne », Perrin 2006. [www.lefigaro.fr]...

P.S.: Les socialiste français ont aidé isra-l à avoir l'arme atomique.

[www.protection-palestine.org]
c
23 juin 2011 06:12
« Le Parti socialiste appelle la France et l’Europe à reconnaître l’Etat palestinien pour avancer vers la paix et la réconciliation entre les peuples israéliens et palestiniens »

Le conflit israélo palestinien ensanglante le Proche Orient depuis trop longtemps. Il déstabilise la région et nourrit les extrémismes bien au delà de ses limites. Le Parti socialiste considère que la France et l’Europe doivent sans attendre, et au premier rang, œuvrer à une solution de paix juste, globale et durable dans cette région du monde. La session annuelle de l’Assemblée générale de l’ONU en septembre prochain doit en être une étape décisive.
Aujourd’hui le processus de dialogue israélo palestinien est dans une impasse dangereuse alors que la région est traversée par un profond mouvement d’aspiration à l’émancipation, à la liberté et à la démocratie qui offre de nouvelles chances pour l’avenir. Plus que jamais, la paix est la meilleure garantie de sécurité pour Israël comme la condition de la souveraineté, du développement et de la démocratie pour les palestiniens.
La France, l’Union européenne et l’ensemble de la communauté internationale, mais aussi les Israéliens et les Palestiniens eux même doivent déployer tous les efforts et être prêts à soutenir toutes les initiatives utiles qui permettront de trouver les voies de la paix.
Le Parti socialiste, conformément aux résolutions des Nations Unies et à la position constante de l’Union européenne soutient une paix fondée sur le droit international et la reconnaissance mutuelle de deux Etats. Le Parti socialiste défend l’existence d’un Etat Palestinien viable et souverain, aux côtés de l’Etat d’Israël dont le droit à l’existence et à la sécurité doit être pleinement reconnu et garanti, dans la région et au plan international.
Le Parti socialiste appelle la France à reconnaître l’Etat palestinien et à faire tous les efforts possibles pour que l’Union européenne défende cette reconnaissance à l’occasion de la prochaine Assemblée générale des Nations Unies. C’est une étape décisive pour donner une réalité à la coexistence pacifique de deux Etats, israélien et palestinien, et à la réconciliation de leurs peuples.
La communauté internationale doit convoquer au plus tôt une conférence de paix sur le Proche Orient afin de fixer les paramètres de l’accord de paix israélo-palestinien et les engagements de la communauté internationale en matière de sécurité, d’aide économique et de coopération avec la région.
Cette conférence devra régler les questions essentielles à la paix. La colonisation des territoires palestiniens doit cesser et la décolonisation doit être engagée. Sur la base des frontières de 1967, il appartiendra aux Israéliens et aux Palestiniens de procéder à des échanges égaux de territoires en vue d’établir les frontières définitives de l’Etat palestinien, de régler la question du statut de Jérusalem, qui a vocation à être la capitale des deux Etats, et la question des réfugiés.
Pour faciliter la conclusion d’un accord de paix, l’Europe et la France, avec d’autres nations, notamment les Etats-Unis, doivent proposer de s’engager à assurer les garanties de sécurité nécessaires pour Israël, en aidant en particulier au contrôle de la frontière orientale du futur Etat palestinien, dans la vallée du Jourdain, par la création d’une force de protection internationale sous mandat de l’ONU.
La France et l’Europe doivent également s’engager fortement et concrètement pour viabiliser la construction d’un Etat palestinien dont le développement sera un facteur de stabilité pour la région et de sécurité pour Israël. Depuis près de 4 ans, avec l’aide de l’Union européenne et de la communauté internationale, l’Autorité palestinienne a mis en place un gouvernement et une administration efficace des territoires palestiniens sous son contrôle. La réconciliation inter-palestinienne doit permettre dans le respect des engagements antérieurs, le renoncement à la violence et au terrorisme, d’étendre ce contrôle de l’Autorité palestinienne à Gaza. La France et l’Union Européenne doivent être prêts à accentuer leur appui au développement d’une administration palestinienne efficace, et susciter des investissements, particulièrement dans les secteurs fortement créateurs d’emploi.
L’Europe doit, plus largement, offrir à Israël et à la future Palestine des perspectives de nouvelles relations économiques avec l’UE, et appuyer des projets structurants israélo-palestiniens, dans les secteurs comme l’énergie, l’eau, la production agricole, le commerce. L’intégration économique régionale devra également être favorisée, afin que les économies palestiniennes et israéliennes puissent bénéficier de débouchés commerciaux aussi vastes que possible.
Aucune paix durable ne sera possible sans une véritable implication de tous les Etats de la région, en particulier des Etats arabes qui ont eux-mêmes présenté une importante initiative de paix. Le Parti socialiste dialoguera avec toutes les forces politiques qui recherchent une paix négociée et qui refusent la violence et le terrorisme. Il salue le courage et l’engagement du camp de la paix en Israël.
Plus que jamais, la France et ses partenaires européens ont un rôle à assumer pour faire partager au monde leurs valeurs de paix et d’émancipation. Leur action au service de la réconciliation israélo-palestinienne sera déterminante.
[www.parti-socialiste.fr]-
j
23 juin 2011 09:33
je suis ok avec toi! mais n'est pas un gaucho comunards qui veux! melenchon..comuniste franc macon ..lui sa veste est usée des deux cotés!
 
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