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Les Marocains d'origine Arabe sont incontestablement
B
19 février 2012 13:39
@nabucho

Tu sais, j'ai pas honte d'aller lire autre chose que les faussaires écrivent pour se légitimer.

En attendant relis toi, tu verras que ce que tu reproches autre est tout aussi valable pour toi!!!

Sinon, le complexe de supériorité est beaucoup plus maladif je suis tenté de dire ... !!!
c
19 février 2012 17:35
Alah ihdikom ya had nass après tout hna ga3 khout feI IslamAngelsmiling smiley
q
20 février 2012 22:05
Salam
J'ai trouvé dans l'internet le livre Berbères Ou Arabes? Le tango des specialistes. Quelq'un a lu ce livre? J'aimerai avoir une opinion mais aucune ironie et sarcasme sur ce sujet, s'il vous plaît.

Merci










اُطْلُبُوا الْعِلْمَ مِن الْمَهْدِ إلى اللَّحْدِ
t
25 février 2012 13:59
oui bien sûr tout parle de n'import quoi car ont cherche sur l'internet j'ai trouver un écrivain qui met un sujet sur l'histoire mais quel histoire qui base sur le théme islam et la mauvaise compréhension de la religion [url=http://chatar.comyr.com/affiche_article.php?var=18 Jan 2012, 6:47:38 AM&cpt=1&img=plume1.jpg]islam et l'état[/url]

alors je pense quel faut faire une réaction pour aborder cette pensé.

merci.
r
8 avril 2015 21:58
Le Maroc n'appartient pas aux Arabes. Il appartient au Marocains.
Saviez-vous qu'une poignée d'arabe installé en Ifriqiya fut déporté en masse dans les plaines de Sraghna, Chaouia, Tadla etc ?

Leurs habitants ont une apparence, une mentalité, un dialecte, un nom qui prouve leur arabité. Alors... Ouled Hriz, Mdakra, Hyayna, Soualem c'est des Berbères ? Non.

Ils ont certes connu des mélanges mais l'élément d'origine est arabe. Ce n'est pas une poignée de sauce E1b1 qui va éliminé du J1 complètement.
[center] عن أبي هريرة رضي الله عنه قال النبي صلى الله عليه و سلم : لا يفرك مؤمن مؤمنة إن كره منها خلقا رضي منها آخر [color=#FF0000](رواه مسلم في صحيحه رقم ١٤٦٩)[/color][/center]
C
9 juillet 2015 15:39
Demandez à un algérien son origine, il vous répondra "arabe" et vous obtiendrez la même réponse de la part d'un marocain, d'un irakien, d'un saoudien ou d'un libanais.

Le problème c'est la minorité ethnique qui essaie de survivre parce qu'elle sait que bientôt sa langue disparaitra, on la classera comme langue morte comme le sumérien.
a
9 juillet 2015 21:49
Citation
ComprendreLempire a écrit:
Demandez à un algérien son origine, il vous répondra "arabe" et vous obtiendrez la même réponse de la part d'un marocain, d'un irakien, d'un saoudien ou d'un libanais.

Le problème c'est la minorité ethnique qui essaie de survivre parce qu'elle sait que bientôt sa langue disparaitra, on la classera comme langue morte comme le sumérien.
non le probleme c'est que l'islam a effacé toutes les identités pré-islamiques: berberes, egyptienne, assyrienne, etc...
et que les musulmans sunnites blancs se sentent arabes.

le vrai problème c'est que c'est une légende et ca n'a rien d'historique !

de plus, le second probleme, c'est qu'en se définissant comme arabe, on importe au maroc des problemes que nous n'avions pas avant: voile, niqab, etc... et bientot crime d'honneur !
M
11 juillet 2015 00:28
Minorité ethnique qui est chez elle et qui ne se laissera jamais remplacer . Nous les chaouis (les vrais) on dira toujours NON à l'arabisation . Les chaouis qui ont accepté l'arabisation sont des arabes , et ceux qui persistent à se dire chaoui tout en se disant arabes sont aussi des arabes , on peut pas être l'un et l'autre .
A
23 août 2015 09:27
il est important de différencié

(maghrébin) - (arabe) - (berbère) -- (nord africain)

maghrébin = arabisés
arabe = étrangers
berbère = autochtones

nord africain = habitant du nord de l'afrique

donc l'appellation (maghrébin) = (nord africain) est préférable car elle est neutre

l'ethnie jbala est maghrébine, l'ethnie sahrawi est arabe et l'ethnie rifaine est berbère mais ils font parti de l'ethnie-mère nord africaine

ne simplifions pas, ne contribuons pas à alimenté la confusion et à l'ignorance!
a
24 août 2015 19:58
Citation
wjouh a écrit:
il est important de différencié

(maghrébin) - (arabe) - (berbère) -- (nord africain)

maghrébin = arabisés
arabe = étrangers
berbère = autochtones

nord africain = habitant du nord de l'afrique

donc l'appellation (maghrébin) = (nord africain) est préférable car elle est neutre

l'ethnie jbala est maghrébine, l'ethnie sahrawi est arabe et l'ethnie rifaine est berbère mais ils font parti de l'ethnie-mère nord africaine

ne simplifions pas, ne contribuons pas à alimenté la confusion et à l'ignorance!
les sahraouis sont d'origine berbere, peut etre meme plus que les rifains.
A
24 août 2015 20:48
Citation
allami78 a écrit:
les sahraouis sont d'origine berbere, peut etre meme plus que les rifains.
ça dépend les quels alors
a
24 août 2015 23:17
Citation
wjouh a écrit:
ça dépend les quels alors

lis bien cet article:

"However, according to
our results and those of Bosh et al. [9], it seems that the E1b1b1b
haplogroup is more characteristic of Sahrawi than Berbers. "

[www.omicsonline.org]


ca veut dire que l'haplogroupe des berberes est plus fréquent chez les sahraouis que chez les berberes du maroc.
en gros, les sahraouis sont de pures berberes, moins mélangés que les berberes eux memes !
A
25 août 2015 11:27
Zones d’étendue des arabes et descendants des bédouins du XIe et XIVe siècle et des soldats arabes du VIIe siècle et du XIe siècle au Maghreb.

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Modifié 2 fois. Dernière modification le 25/08/15 11:43 par wjouh.
A
25 août 2015 11:43
Al-Idrissi (1100-1165) reviens sur les arabes de Bedja

« A peu de distance sur le chemin qui conduit de Tabarca à Tunis, on trouve Bàdja , jolie ville , bâtie dans une plaine extrêmement fertile en blé et en orge , en sorte qu’il n’est pas dans le Maghrib de ville de l’importance de Bâdja qui soit plus riche en céréales.

Le climat y est sain , les commodités de la vie abondantes et les sources des revenus productives pour celui qui la gouverne ; les Arabes sont maîtres de la campagne et de ce qu’elle produit. »

Fin de citation

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.135

Al-Bakri (1014- 1094) reviens sur la population arabe et afarik de Gabès en Tunisie :

Gabes’, grande ville ceinte par une muraille de grosses pierres et de construction antique, possède une forte citadelle, plusieurs faubourgs, bazars et caravansérails , un djamê magnifique et un grand nombre de bains.

Le tout est entouré d’un large fossé que l’on peut inonder en cas de besoin et rendre in franchissable.

Cabes a trois portes ; les faubourgs sont à l’est et au sud de la ville.

La population se compose d’Arabes et d’Afarecs«

Fin de citation

al-Bakri op cit. p44

Al-Bakri (1014- 1094) reviens sur les Qurayshite de Monastir en Tunisie :

» A six journées 1 de kairouan se trouve Monestîr- Othman , bourg gros et bien peuplé , qui renferme un djamê, plusieurs caravansérails, bazars et bains, un puits qui ne tarit jamais et un grand château construit par les anciens avec des pierres et de la chaux.

'''Les seigneurs de cette ville sont des Qoreïchides et descendent d’Er-Rebiâ ibn Soleiman , qui colonisa cette place lors de son arrivée en Ifrîkiya.

On trouve dans Monestîr des Arabes , des Berbcrs et des Afarec'''. »

Fin de citation

Al-Bakri (1014- 1094) op cit. p.135-6

Ibn Khaldoun al-Hadrami (1332- 1406) reviens sur les qahtanites Lakhmides de Benzert Bizerte et les Hilaliens :

« A l’époque où El-Moëzz le Ziride quitta Kairouan pour se réfugier dans El-Mehdïa, tout le pays fut embrasé par la guerre que les Arabes (hilaliens et sulaylmite) avaient allumée.

Un membre de la tribu de Lakhm, appelé El- Ouerd, se tenait alors dans Carîcha, château situé sur le Mont- Chaîb.

Cet aventurier rassembla une troupe de gens sans aveu et força les habitants des villages aux environs de Benzert à lui payer tribut pour se garantir contre ses incursions.

Pendant un temps considérable, on eut à subir sa domination ; on avait même perdu tout espoir de délivrance quand les habitants de Benzert, qui s’étaient partagés en deux factions dont l’une se composait de Lakhmides, membres de la même tribu qu’El-Ouerd, résolurent de mettre fin à leurs dissentions. Ils prirent donc le parti de confier le commandement à ce chef, l’admirent dans la ville et le reconnurent pour souverain.

El-Ouerd les protégea, eux et leur territoire, contre les Arabes ‘(bédouins) et, comme les (arabes) Mocaddem, branche des Athbedj, et les Dehman, fraction de la tribu arabe rîahide des Beni-Ali, s’étaient emparés des plaines qui avoisinaient la ville, il fit la paix avec eux moyennant tribut et mit ainsi un terme à leurs brigandages.

Ayant raffermi sa puis sance dans Benzert, il prit le titre d’émir et s’occupa, jusqu’à sa mort, à élever des bâtiments d’utilité publique et à faire croître la prospérité de la ville. »

Fin de sitation

Ibn Khaldoun al-Hadrami (1332- 1406) op cit 39

al-Bakri (1014- 1094) reviens sur les arabes hadramites et Sehmites de Ouaddan (waddan) en Libye dans le Fezzan ver la Tripolitaine :

« La ville de Holl contient une nombreuse population ; elle possède une grande quantité de dattiers et plusieurs sources d’eau vive.

Dans l’espace d’une journée l’on se transporte de Holl à Oueddan, ville qui a un château fort et plusieurs rues qui se ferment au moyen de portes.

Elle est composée de deux quartiers séparés et a pour habitants deux tribus arabes : l’une sehmide et l’autre originaire du Hadramaut.

La ville des Sehmides se nomme Dilbak et celle des Hadramites Bousa.

Ils n’ont qu’un seul djamê , lequel est situé entre les deux villes. La jalousie et l’inimitié que chacune de ces tribus ressent pour l’autre les portent très-souvent à des actes de violence et à la guerre.

Les habitants de Oueddan ont chez eux des docteurs de la loi , des hommes habiles dans la lecture du Coran (..).

Les dattes font leur principale nourriture; le peu de grains qu’ils cultivent devant être arrosés par le moyen de chameaux. »

Fin de citation

al-Bakri op cit. p.30

Le géographe al-Idrissi (1100-1165) parle de la main mise totale des arabes Hilaliens entre la Qala des Banu Hamad et Bejaia

« De Tāwurt jusqu’à al-Bāb (« la porte »), qui correspond à des montagnes traversées par une rivière salée dans un défilé dangereux. C’est là que parviennent les incursions et les méfaits des Arabes.(..).

Ce dernier est un fort pourvu d’eau courante, au sommet d’une montagne, si bien défendu que les Arabes ne peuvent l’atteindre, mais ses terres de culture et ses ressources sont infimes.

Tout ce territoire est parcouru par les Arabes dont les déprédations nuisent aux habitants.
Et de là jusqu’à Ṭamāma qui est une plaine située sur les hauteurs d’une montagne, jusqu’au Sūq al-itnayn(« marché du lundi »), qui est un relais.

Il y a un site fortifié autour duquel rôdent continuellement les Arabes mais qui est défendu par des hommes (..) .

Tous ces forts sont occupés par des garnisons qui vivent en état de trêve avec les Arabes. Mais des méfaits sont souvent commis, de part et d’autre, avec la différence que les troupes de la garnison ont les mains liées tandis que les Arabes se livrent, impunément, aux pires exactions en vertu d’une règle qui veut qu’ils ont le droit au prix du sang des leurs, mais qu’ils ne sont pas tenus de payer celui de leurs victimes. »

Fin de Citation .

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.. 262

L’ouest de l’Ifriqiya, le Constantinois selon l’historien arabe maghrébin Ibn Khaldoun al-Hadrami (1332- 1406) :

Lorsque Ibn Khaldoun nous décris le Maghreb et ses habitants au 14eme siècle, il nous indique que la province de Bougie et de Constantine « appartenaient autrefois au tribus Zwawa, Kutama, Adjissa et Huwara, mais elles sont maintenant toute habitées par les Arabes, qui en occupent toutes les parties à l’exception de quelques montagnes d’accès difficile ou l’on trouve encore plusieurs fractions de ces tribus ».

Fin de citation

Ibn Khaldoun, (1332- 1406) op cit, p147

Le géographe et Historien arabe andalous al-Bakri (1014- 1094) dans sa Description de l’Afrique septentrionale reviens sur les deux communautés arabes pré-hilalienne venu lors des Futuhat Omeyyade, Qahtanites et Qaysite-Adnanites de Tolga dans la wilaya de Biskra

» Tolga située au nord de Bentious, ce compose de trois villes, entourées chacune d’une muraille de briques, et d’un fossé.

Au alentours on remarque plusieurs ruisseaux et un grand nombre de jardins remplis d’oliviers, de vignes, de dattiers et de toute les autres espèce d’arbres fruitiers .

Une de ces villes est habitée par des gens de sang mêlé, l’autre par des Arabes d’origine yéménite, et la troisième par une peuplade appartenant à la tribu arabe de Qais »

Fin de citation.

Al-Bakri op. cit p.170

La suprématie des Arabes Hilaliens dans la région de Annaba par le géographe arabe maghrébin al-Idrissi (1100-1165):

Entre Marsâ ‘l‑Kharaz et Bone (Bouna), on compte 1 journée faible ; et par mer, 24 milles en ligne directe.

Bone est une ville de médiocre étendue. Elle est comparable sous le rapport de la grandeur à Laribus (Alorbos). Elle est située sur les bords de la mer. Il y avait autrefois de beaux bazars et son commerce était florissant. On y trouvait beaucoup de bois d’excellente qualité, quelques jardins, 117 et diverses espèces de fruits destinés à la consommation locale, mais la majeure partie des fruits provenait des campagnes environnantes.

Le blé y est abondant, ainsi que l’orge, quand les récoltes sont favorables, comme nous l’avons dit. Il s’y trouve des mines de très bon fer, et le pays produit du lin, du mil, du beurre ; les troupeaux consistent principalement en boeufs. Cette ville a diverses dépendances et un territoire considérable où les Arabes dominent.

Bone fut conquise par un des lieutenants du grand roi Roger, en 548 (1153) ; elle est actuellement pauvre, médiocrement peuplée, et administrée par un agent du grand roi Roger, issu de la famille des Hammâdites.

Cette ville est dominée par la Djabal Yadough, montagne dont les cimes sont très élevées, et où se trouvent les mines de fer dont nous venons de parler. «

Fin de citation

Al-Idrīsī (1100-1165) op cit. p.262
A
25 août 2015 11:46
Ibn Khaldoun al-Hadrami (1332- 1406) reviens sur les hilaliens du Maroc :

" Il les déporta dans le Maghreb-el-Acsa où il établit la première (Djochem) dans la province de Temsna, et la seconde dans le canton d'El-Hebet et dans les régions maritimes d'Azghar, province située entre Tanger et Salé. "

" Les Acem et les Mocaddem, branche de la tribu d'Athbedj, s'établirent dans les plaines de Temsna [...] Sous les Almohades, pendant le règne d'El-Mamoun, les Acem eurent pour chef un de leurs parents appelé Hacen-Ibn-Zeid. "

" Les plaines d'Azghar, Temsna, Tedla et Dokkala on rencontre des peuplades nomades, les unes berbères, les autres arabes. Ces dernières, qui appartiennent toutes aux tribus de Djochem et de Rîah, y sont entrées à une époque assez récente. "

Ibn Khaldoun (1332- 1406) op cit 60-69-194
a
25 août 2015 16:49
Citation
wjouh a écrit:
Zones d’étendue des arabes et descendants des bédouins du XIe et XIVe siècle et des soldats arabes du VIIe siècle et du XIe siècle au Maghreb.

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ces cartes n'ont aucune réalité historique, elles se contentent de répertorier les régions ou on parle arabe.
encore une fois, parler arabe est une chose, etre d'origine arabe en est une autre;
la génétique des populations est la seule science qui nous permettent de déterminer les origines des uns et des autres. Les mythologies et autres arbres généalogiques bidons ne sont d'aucun intérêt !
a
25 août 2015 16:58
Citation
ra7ou naili a écrit:
Le Maroc n'appartient pas aux Arabes. Il appartient au Marocains.
Saviez-vous qu'une poignée d'arabe installé en Ifriqiya fut déporté en masse dans les plaines de Sraghna, Chaouia, Tadla etc ?

Leurs habitants ont une apparence, une mentalité, un dialecte, un nom qui prouve leur arabité. Alors... Ouled Hriz, Mdakra, Hyayna, Soualem c'est des Berbères ? Non.

Ils ont certes connu des mélanges mais l'élément d'origine est arabe. Ce n'est pas une poignée de sauce E1b1 qui va éliminé du J1 complètement.

1. Autant l'ahplogroupe E1B1 est représentatif des populations berbères, autant l'haplogroupe J1 n'est pas représentatif des populations arabes.
Pour une raison simple, les populations du moyen orient ont migré dès le néolithique (les arabes n'existaient pas encore). La langue berbere elle meme a été apporté au Maghreb par des populations qui portaient l'haplogroupe J1, a tel point que cet haplogroupe est présent a hauteur de 15 à 20% chez les berbères des canaries qui n'ont jamais été en contact avec les arabes.

2. L'haplogroupe E1B1 est majoritaire chez les arabophones du Maghreb (y compris les régions dont du parles: oulad Hriz, Mdakara, hyana, etc...)

Conclusion: les arabes du maroc ont pour ancêtres majoritairement des berbères arabisés.
Si tu le souhaites, tu peux faire un test génétique sur ta famille et je serais ravi que tu partages tes résultats avec nous.
A
25 août 2015 19:51
Citation
allami78 a écrit:
ces cartes n'ont aucune réalité historique, elles se contentent de répertorier les régions ou on parle arabe.
encore une fois, parler arabe est une chose, etre d'origine arabe en est une autre;
la génétique des populations est la seule science qui nous permettent de déterminer les origines des uns et des autres. Les mythologies et autres arbres généalogiques bidons ne sont d'aucun intérêt !
ça veut dire que les descendants des hilaliens sont maintenant plus berbère que arabe selon les études génétiques ?
a
25 août 2015 20:02
Citation
wjouh a écrit:
ça veut dire que les descendants des hilaliens sont maintenant plus berbère que arabe selon les études génétiques ?
exact
A
25 août 2015 20:07
Citation
allami78 a écrit:
exact
pourqui "ashkenazi" est intégré à "eastern european" et pas à "middle eastern" ?

"middle eastern" désigne seulement les sémites ou c'est géographique et ça englobe les iraniens ?

"north african" désigne seulement les berbères ou c'est géographique et ça englobe les arabes ?

comment se fait-il que des marocains ont des ancêtres amérindiens ?



Modifié 2 fois. Dernière modification le 25/08/15 20:15 par wjouh.
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