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Le Maroc était bien dans ses frontières dans l'actuel "ouest...
S
20 mars 2015 01:50
En 1900, la Grande-Bretagne reconnaissait officiellement la souveraineté marocaine sur le Touat. Le Touat est cette région de l'actuel "ouest algérien" qui s'étend jusque Ain Salah.

L'article qui suit décrit avec une précision étonnante comment la France a annexé les territoires de l'Est marocain à partir de 1900. Au-delà de la frontière non déterminée, il était reconnu que les tribus berbères et arabes du Sahara étaient sous influence du Sultan du Maroc à qui ces derniers prêtaient allégeance. De plus, pour mettre en garde la France sur ses ambitions d'expansion en Afrique, et notamment au sud-est marocain, la Grande-Bretagne avait formellement reconnu la souveraineté de cette vaste région qui comprend toutes les oasis qui s'y trouvent, jusqu'à Ain Salah, dans le Touat.

Pour parvenir à annexer ces territoires marocains, la France a eu recours aux Spahis algériens, au Goums (tirailleurs algériens, et à la Légion Etrangère composée de mercenaires venus de toute l'Europe. Les combats ont été farouches jusqu'en 1914.


Citation
a écrit:
Britain recognized Moroccan sovereignty of the Tuat. France was concerned that seizing the frontier oases this far west on the frontier would spark an intolerable diplomatic crisis with Britain.


Source:

[www.warflag.com] Region
S
20 mars 2015 02:26
L'article montre avec habileté que les raids menés par les tribus du Touat et du Tidikelt l'étaient par des tribus marocaines. Celles-ci étaient soutenues et fournies en armes, notamment des fusils américains Remington, par le Sultan et défendaient le territoire marocain contre les incursions françaises. Les escarmouches opposaient donc bien des Marocains dans leur territoire aux troupes françaises.
20 mars 2015 19:24
Merci pour ce super document qui démontre une fois de plus la réalité de l'impérialisme algérien, sa traîtrise et sa hantise pour un leadership qui doit se gagner à la sueur du front et non aux pétrodollars.
La mémoire permet d’immuniser le passé pour mieux regarder l’avenir / Le temps est le meilleur moyen qu’a trouvé la nature pour que tout ne se passe pas d’un seul coup.
i
20 mars 2015 20:22
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Chabat n'a rien dit de mal
Il a dit qu'il faut libérer les terres marocaines : Tindouf, Colomb Bechar, Hassi Baida et Elknadssa.
Qu'il faut faut faire un dossier bien ficelé et le présenter à l'ONU
Les conventions entre le roi et Boumediene sur les frontières étaient établi sans consultations du parlement et de surcroît cette convention prévoyait la renonciation par l’Algérie à toute revendication sur le Sahara marocain occidental.

[www.mesdebats.com]

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20 mars 2015 23:30
Bonjour,




Au début de son règne, le sultan Moulay El Hassan maintint au Touat la relative autonomie,devenue une tradition depuis Moulay Sliman. Et à en croire une lettre des habitants de Ain Saleh aux voyageurs européens, le sultan envoyait régulièrement des émissaires pour régler leurs affaires. Mais la crainte de voir arriver les troupes françaises grandissait, en 1887 une délégation importante des habitants du Hoggar et de Ain Saleh, conduite par Moulay Ali Ben Ismail se rendit auprès du sultan à Fès. Elle lui fait part de son inquiétude et fut accompagnée à son retour par un secrétaire de la cour chérifienne muni d’une lettre sultanienne pour les tranquilliser. D’autres délégués escortés se succèdent à la Saoura, au Touat tandis qu’en 1890, le premier gouverneur (khalifa du sultan) fut nommé à la tête des territoires de Touat et la Saoura réunis. Une année plus tard le sultan Moulay El Hassan informa les habitants de Touat et la région de l’arrivée prochaine chez eux de son délégué qui devait s’entretenir avec eux au sujet de la nouvelle formule administrative. Le contenu de la lettre est significatif :



«A nom de Dieu seul. Nos serviteurs bénis gens de Gourara et de l’ensemble des ksour, des gens de Touat…Et ensuite nous vous avons envoyé, parmi les notables de notre cour chérifienne des délégations et des émissaires, et nous vous avons réservé parmi nos provinces et sujets un intérêt particulier sachant que vous êtes de bien et de religion, remplissant constamment votre devoir d’obéissance selon les prescriptions de Dieu. Vos actions étaient faciles et affaires entièrement fructueuses. Aussi nos ancêtres, que Dieu les sanctifie, se contentaient-ils, vu la solidarité de votre foi et votre fraternité en Dieu, de vous laisser faire selon votre choix.


«Notre maître et ancêtre Moulay Slimane,que Dieu sanctifie son âme, s’était limité à envoyer des Oumana pour recueillir vos Zakat et A’chour, par pitié envers vous quand il a apprit les exactions par les gouverneurs à notre encontre. Cette démarche fut maintenue, du vivant de notre ancêtre et maître Moulay Abderrahmane, que Dieu sanctifie son âme, et poursuivie, du vivant de notre maître et père Dieu inonde ses reliques de sa miséricorde.

«Lorsque Dieu nous a chargé de vos affaires, nous avons suivi la même voie, et votre situation continuera comme le désirons.
«Maintenant pour que votre engagement se renouvelle, nous vous envoyons notre secrétaire, le sage conseiller Taleb el-arbi ben el-Moqdem el-Meniai, l’un des notables et brillants savants de notre cour chérifienne. Nous lui avons donné des instructions verbales qui feront votre bonheur. N’épargnez point d’effort à vos conformer aux recommandations de notre messager chérifien afin que vous gagniez la bénédiction de Dieu, de son prophète et la notre. Seuls réussissent ceux qui obéissent à Dieu et à son prophète et craignent Dieu. Salut (wa assalamou a’alaikoum,wa rahmatou Allah)…le 24 choual 1308. »



Le Taleb el-arbi el Meniai état chargé de la même mission auprès des Doui Meniai, Ouled Jerir et de la Zaouia de Kenadsa. Une fois sa tourné de Touat terminée, il prit le chemin de retour accompagné de Ba-Hassoun Touati et de cadeaux pour le sultan Celui-ci nommait les caïds, les cadis, et les nakib des chorfas de tous les districts des oasis, et envoya les insignes de l’investiture avec Ba-Hassoun, qui fut lui-même nommé caïd avec pour charge extraordinaire, de centraliser les impôts de toutes les oasis de la Saoura. Cette reprise en main, rendue nécessaire pour éviter les complications diplomatiques, ne manquera pas de provoquer des protestations du gouvernement français.



Les mesures politiques :



La réorganisation administrative et judiciaire opérée par le sultan Moulay El Hassan, fut sans doute dans les circonstances exceptionnelles qui l’entouraient, un acte politique dont le but était d’enrayer la pénétration française au Sahara Marocain oriental. Mais il se devait aussi, de tenir en échec l’influence du Chérif d’Ouezzan, qui s’était mis depuis longtemps au service de cette pénétration, de redonner davantage d’assurance aux Touatas inquiets, et en outre de mener une action diplomatique qui aboutirait à une reconnaissance internationale de ses droits souverains sur le Touat.



Tout d’abord le voyage de Chérif d’Ouezzan aux oasis, préparés par les Français à Alger, aboutit à un échec. Les ksouriens avaient porté plainte contre lui au sultan qui les félicita par la suite, d’avoir refusé de l’accueillir. Mêle le caïd de Timmi, fidèle au Chérif, se démarqua de lui, se qui ne manqua pas de causer une déception à Alger.



Prise d’Ain Salah :



L’équipage du professeur français Flamand, escorté par 100 goumiers commandés par le capitaine Pein, partit d’Ouargla vers la mi-décembre 1899 et arriva aux environs de Ain Salah le 28 du même mois. Quelques jours auparavant, les habitants du ksar prévenus de l’arrivée de la troupe écrivirent au chef de la troupe une lettre qu’ils placèrent à Hassi el-Moungar. La lettre était une mise en garde : « La limite à parti r de Hassi el-Moungar et de la région environnante formée par le Sahara. Ne la dépassez point car vous empiéteriez sur le territoire appartenant à la souveraineté du sultan, notre seigneur et maître Moulay Abdelaziz que Dieu lui accorde la victoire. Si vous empiétez sur ce pays ne blâmez que vous-même ». La confrontation était inévitable.



Elle eut lieu le jour même, et le lendemain la colonne française vint camper à l’intérieur de Ain Salah dont le caïd el-Haj el-Mehdi ould Ba-jouda était parmi les victimes. Le 5 janvier 1900 eut lieu un combat meurtrier à Deghamcha, ce qui décida le 19° corps à envoyer en renfort 150 tirailleurs sahariens et 150 goumiers commandés par un capitaine français. Cependant, l’autorisation d’envoyer cette colonne ne fut demandée au département de la guerre d’Alger que le 6 janvier 1900. Vers la fin du moi, le capitaine français Baumgarten donna un premier assaut à Ain Lghar en dépit de l’ordre du ministère de la guerre de la métropole de limiter l’occupation à Ain Salah. Entre-temps, à Alger les messages de félicitations se succédaient au gouvernement général. Les premiers furent ceux de la chambre de commerce d’Alger, le Syndicat commercial algérien et de la Société de géographie et d’archéologie d’Oran. Le professeur Flamand, quand lui, était parti vers El-Goléa d’où il adressa un message au ministère de l’Instruction Publique que sa mission « ne suivait plus les raisons d’ordre scientifique »






















. La réalité, c’est que le Sahara Marocain oriental,dont nous parlions est constitué de :la Saoura avec ses capitales Colomb-Béchar et Kenadsa – Le Touat – Tidikelt – Ain Salah – Timimoune, et de Tindouf. Dont la superficie approximative s’élève à environ un million de kilomètres carrés.



Ce Sahara n’a jamais était que Marocain, et les algériens savent bien remuer cette vérité.puisqu'ils n’ont pas pu avoir accès aux archives turcs,comme ils l’ont fait avec la France pour en déformer l'histoire à leur guise. Les turcs qui étaient les anciens colonisateurs de l'Algérie, et qui devaient eux aussi êtres conviés à l’assemblée de l'ONU , ont une histoire riche , et ils savent plus que d’autres, la marocanité de ce Sahara conformément leurs archives qui ,sans aucune équivoque parlent de ça, de façon à constituer une preuve à l’appui, que les algériens ne parvenaient guère à en défigurer,après avoir échoué d'obtenir gain de cause, auprès des Turcs,chez qui le pétro-dinars algérien ne vaut rien devant leur authenticité historique







1)Traité Maroco-Algérien du 6 juillet 1961 signé à Rabat par le G.P.R.A. de Ferhat Abass(Gouvernement Provisoire de la Révolution Algérienne).considéré par Boumédiane, comme un chiffon de papier et pas un engagement d'état.et pourtant, il a sa valeur juridique,il fut homologué, par ceux qui ont même négocié avec la France et signé le traité d'Evian sur la fin de la guerre de l'Algérie et de son indépendance .



2)La déclaration Algéro-Marocaine du 25 juin 1972 sur le traité d’Ifrane de 1969.Non encore approuvé par le parlement Marocain! et fut pris unilatéralement ,comme officiel par l'Algérie qui le matérialisait à sa façon sur terrain.



C'est ces deux actes-accords qui font mal aux dirigeants algérienset qui leur en font aussi goutte d'acide acétique dans leur gorge.L'homme le plus raisonnable de l'Algérie qui était présent lors de l'élaboration de ces traités est bien Mr.Abdelhamid MEHRI, homme politique algérien,ex-ministre, ex-secrétaire général du F.L.N.A. (Front de Libération Nationale Algérien) qui se trouve hélas en asile politique en France,et qui n'a pas pu encore en témoigner ouvertement ,comme d'autres,sur la légitimité des frontières Ouest de l'Algérie avec le Maroc,qui constitue le point de blocage éminent de toute entente avec nos voisins de l'est.






Pour bien comprendre la problématique du Sahara marocain oriental occupé par l’Algérie, il faut bien revenir un plus loin sur l’historique de cette région du royaume chérifien du Maroc. C’est-à-dire au-delà de 1903, date de l’occupation définitive de la ville de Colomb-Béchar, capitale de ce territoire qui, fut hélas amputé par la France coloniale, pour être ajouté à l’Algérie éternellement Française, durant ses perspectives et ses intentions d'enquérir après, le reste du royaume, selon l’accord de Berlin de 1845, passé entre la France et l’Allemagne sur la répartition de l’Afrique






Devenue par sa colonie Algérienne, une puissance déterminante du grand Maghreb ; la France se devait d’acquérir une positon privilégiée au Maroc. Mais les frontières Maroco-Algériennes , mal définies par le traité de Lalla Maghnia en 1845, se révèleront un important enjeu dans la politique marocaine de la France.

Devait-on respecter l’esprit ou la lettre des accords ? Fallait-il jouer la carte du sultan ou celle des tribus. Cette note disant un peu longue, étouffée d’une importante documentation, apporte des éléments de réponses et aborde sous un jour nouveau les problèmes actuels des frontières avec l’Algérie.






















Doit-on souligner que les liens spirituels, l’entretien des bons rapports,les contacts permanents,le payement des impôts canoniques entre, Dar l Makhzen et les tribus de ces territoires,sont des moyens qui confirmaient, et confirment toujours l’appartenance du Sahara marocain oriental au royaume chérifien du Maroc.



La légitimité des frontières Marocaines :



La «Dahra» qui veut dire les hauts plateaux, prolongeant le « tell Oranais » vers le sud jusqu’au bordures du Sahara, et à l’ouest la vallée de la Moulouya séparant le tout du reste du pays. Humainement, elle groupait des tribus d’origines diverses représentées essentiellement par les Arabes de Beni Maâqal et le Berbers Zénètes. L’importance stratégique de cette zone s’était affirmée depuis l’époque romaine. Les luttes incessantes entre les différentes dynasties maghrébines ne firent que la confirmer. Ce n’est qu’après l’occupation de l’Algérie par le Turcs que s’établit une démarcation assez nette entre les domaines marocain et algérien.



En 1647 un accord était conclu entre le sultan Alaouite Moulay M’hammed et les turcs de la régence d’Alger fixant à la « Tafna » la limite entre les deux souverainetés. Cette même limite sera prise par les Français lors du traité portant le même nom entre le Maréchal Bugeaud du côté français et l’Emir Abdelkader du côté Algérien en 1837.



Oujda, secondé par les Kasbah de Saidia et celle d’El-Aioune-Sidi-Mellouk (sidi Makhokh d'autrefois),devint le centre autour duquel s’articulaient les activités des populations restées attachées à l’autorité chérifienne. Aussi acquit-elle un rôle important économiquement, d’abord en tant que marché régional,puis en tant qu’étape de l’itinéraire suivie par les pèlerins et les commerçants vers la Mecque, et enfin comme débouché de commerce de Melilla.
S
21 mars 2015 00:28
Ce qui est remarquable, c'est de constater que des historiens se sont penchés et se penchent encore sur la question de manière complètement désintéressée et objective.

Cet article, qui fait au passage référence à des ouvrages, met en évidence la difficulté de la France à s'imposer dans la région comme force coloniale face à la Grande-Bretagne. Si la France n'osait pas tenter d'occuper le Maroc par la force dès la fin du 19ème siècle, c'est essentiellement parce qu'elle faisait face à un état souverain doté d'une force politique et militaire encore capable de lui résister. Et également parce que d'autres puissances la mettaient en garde, eu égard aux différents traités signés entre eux, mais aussi avec le Maroc et dans lesquels il était question de respecter l'intégrité territoriale historique et reconnue du pays, à l'époque encore sultanat.

Pourquoi avoir attendu le 20ème siècle, et précisément 1912? La France dut attendre que le Maroc soit affaibli financièrement. En effet les caisses de l'état se vidaient à cause de l'exonération des droits de douane que le Maroc appliquait jusqu'aux années 1850. Ce qui eut pour conséquence un état d'endettement presque impossible à régler face à ses débiteurs Européens. Mais pas seulement, puisque, désormais très endetté, le pays ne pouvait plus acquérir d'armes capables de rivaliser avec l'armement moderne dont se dotait la France à l'aube de la 1ère guerre mondiale.

Ces deux variables ont conduit inexorablement à l'affaiblissement du Maroc, sur le plan politique et militaire, accentué par l'intronisation du sultan Abdulaziz dont l'inexpérience du pouvoir conduira le Maroc droit vers l'occupation par la France. Entouré de conseillers anglais, il entrepris même de supprimer la Zakât en 1901. Détrôné en 1908 par son frère Abdul Hafiz, ce dernier sera contraint de lui livrer le Maroc sur un plateau en 1912.

Le Maroc était le "dernier Etat Musulman indépendant" à l'ouest de Constantinople.

Citation
a écrit:
At the end of the 19th century, France’s attentions in Algeria were turning south and westwards. The northern tribes had been mostly subdued and the last of the great resisters, Bou Amama had moved to Figuig across the uncharted border into Morocco, the last free Muslim State west of Constantinople.
S
21 mars 2015 00:48
Merci Derbsultan. Je ne sais pas si c'est un effort de traduction, mais ton développement reprend bien, en français, le contenu de l'article en anglais. J'avais pensé tout traduire mais j'ai trouvé cela un peu fastidieux vue la longueur de l'article. De plus cela permet aux anglophones de lire le texte à la source. Nice one...

Welcome
S
21 mars 2015 02:20
Bajouda était le caid nommé par le sultan du Maroc à Ain Salah (pour le Tidikelt). La famille existe encore.
Ba Hassoun quant a lui était le caid de Timmi (du Touat).
Ba Hassoun a été assassiné par un membre de la tribu des Ghenanma, des errants de la Saoura qui ont acceuillis les francais.
Ba Hassoun était le seul caid qui s'était rendu au Tafilalet lors de la grande tournée de Hassan 1er pour aller parler directement au sultan et lui donner les nouvelles du pays.

Les gens du touat, du gourara et du tidikelt sont des gens trés pieux, fidels et trés bons.

Les mécréants nous ont séparés de nos fréres et leur ont donnés un nouveau pays dans lequelle ils vivent trés mal (Ain Salah fait la une dans l'actualité algerienne en ce moment).

Allah nous réunira peut être un jour qui sait ? En tout cas ca doit être le but de chaque marocain, surtout aprés toute cette ingratitude et acharnement algerien.

En tout cas sachez que ces gens meme s'ils ont changés de pays sont encore marocains, plus de territoire, plus de papier, mais dans leur sang, notre culture ils l'ont dans le sang. Regardez.










Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/03/15 02:22 par Skaykima.
21 mars 2015 21:22
Citation
Skaykima a écrit:
Bajouda était le caid nommé par le sultan du Maroc à Ain Salah (pour le Tidikelt). La famille existe encore.
Ba Hassoun quant a lui était le caid de Timmi (du Touat).
Ba Hassoun a été assassiné par un membre de la tribu des Ghenanma, des errants de la Saoura qui ont acceuillis les francais.
Ba Hassoun était le seul caid qui s'était rendu au Tafilalet lors de la grande tournée de Hassan 1er pour aller parler directement au sultan et lui donner les nouvelles du pays.

Les gens du touat, du gourara et du tidikelt sont des gens trés pieux, fidels et trés bons.

Les mécréants nous ont séparés de nos fréres et leur ont donnés un nouveau pays dans lequelle ils vivent trés mal (Ain Salah fait la une dans l'actualité algerienne en ce moment).

Allah nous réunira peut être un jour qui sait ? En tout cas ca doit être le but de chaque marocain, surtout aprés toute cette ingratitude et acharnement algerien.

En tout cas sachez que ces gens meme s'ils ont changés de pays sont encore marocains, plus de territoire, plus de papier, mais dans leur sang, notre culture ils l'ont dans le sang. Regardez.











Merci pour ces superbes vidéo qui nous rappellent la musique purement marocaine et qui n'a rien à voir avec la musique algérienne. Entre le groupe qui nous rappelle Lamcha3éle, et Da99a L'marrakchia ainsi que L'3ita, tout est marocain dans cette musique. Sans oublier 'Awéhna Ta7 L'wize ...
La mémoire permet d’immuniser le passé pour mieux regarder l’avenir / Le temps est le meilleur moyen qu’a trouvé la nature pour que tout ne se passe pas d’un seul coup.
S
22 mars 2015 01:38
Mariage à Beni Ounif. Remarquez les couleurs de la tente...

S
22 mars 2015 16:39
Cette tente est trés presente dans le sud ouest algerien, c'est la tente caidale des alaouites.
Même en Mauritanie certains la mettent encore.
Il n'y a pas qu'a Beni Ounif pour la tente caidale aussi dans d'autres regions comme Mecheria ou Boussemghoun (voir une carte), on ne parle pas de la musique grinning smiley



Les frontiéres du Maroc sont en réalité beaucoup plus a l'est, les frontiéres coloniales c'est juste le mur de berlin, c'est comme la partie de Berlin des communistes russes avec de la propagande ils ont reussi a faire accepter a la population le fait accompli de la presence de l'état algerien dans ces regions marocaines
23 mars 2015 00:23
Citation
imtiyaz a écrit:
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Chabat n'a rien dit de mal
Il a dit qu'il faut libérer les terres marocaines : Tindouf, Colomb Bechar, Hassi Baida et Elknadssa.
Qu'il faut faut faire un dossier bien ficelé et le présenter à l'ONU
Les conventions entre le roi et Boumediene sur les frontières étaient établi sans consultations du parlement et de surcroît cette convention prévoyait la renonciation par l’Algérie à toute revendication sur le Sahara marocain occidental.

[www.mesdebats.com]
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Le document ne stipulait pas seulement la renonciation de l'Algérie à toute revendication sur le Sahara marocain occidental, mais le soutien au Maroc pour ses revendications sur toutes ses terres prises par l'Espagne en plus de l'exploitation commune de la mine de Fer de Gara-Jbilat. Rien de tout cela n'a été fait. Pire en 2002, quand tous les états islamiques et tous les états arabes soutenaient le Maroc dans son conflit contre l'Espagne au sujet des îles Persils (Leila), le seul état qui était du côté espagnol, c'était l'Algérie.
La mémoire permet d’immuniser le passé pour mieux regarder l’avenir / Le temps est le meilleur moyen qu’a trouvé la nature pour que tout ne se passe pas d’un seul coup.
j
23 septembre 2019 19:41
Bonjour à tous,
Le Sahara de Ain Sefra à Tindouf et bien d'autres villes ou village de cette zone appartenaient au Royaume Chérifien du Maroc et la monnaie qui avait cours bien avant le protectorat était le falus (de 1289 à 1872 puis est venu le Dirham) sur ses deux pièces de monnaie que je possède, l'étoile de David y sont gravé. Cela ne veut en aucun cas dire que le judaisme dominé, bien au contraire. Mais l'Islam le catholicisme et le judaisme y prospéraient harmonieusement.
Ensuite vint le temps de l'occupation coloniale sous forme de protectorat ou autres; protectorat américain sur une partie du territoire, française et espagnole sur d'autres parties.
(sauf erreur de ma part et je m'en excuse)
Le général Liautey étaient d'après ce que j'ai lu (je ne vivait pas à cet époque pour le certifier) était antisémite et incita le roi à modifier la monnaie d'où dans un premier temps, la naissance d'une nouvelle pièce avec l'étoile de David et en son centre une étoile à cinq branches.
J'en reviens au territoire: le Général eut l'ordre avant de proclamer le Maroc indépendant, de transférer le Sahara à l' Algérie Française.
ça n'a pas été fait sans raison, le Sahara est un territoire riche avec une zone d'essai militaire (nucléaire et autres)
En 1962 lorsque l'Algérie a été et à juste titre déclaré indépendante (tant de sang innocents versés de parts et d'autres pour le bien être d'une minorité) On à laissé ce territoire Saharien avec accord de laisser la France continuer ses essais quelques années supplémentaires et qui serviront les deux parties (pardon pour les fautes d'orthographes)
Je me considère comme Marocain par ma mère, mais je suis Français de naissance et d'origine paternel.
Maintenant, je pense qu'il est temps de donner le choix aux peuples de ce Sahara de décider si ils veulent appartenir au royaume Chérifien, à l'Algérie où de vivre libre. Sans aucun racisme, haine et sans avoir à verser le sang d'un être humain.
Protégeons nos enfants de cela.
Pour ceux qui ne comprennent pas cela: vous avez également le droit d'être d'un avis contraire, mais gardez-vous des insultes et des propos sans valeurs.
JMC
 
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