Citation
Melkafr a écrit:
Le tourisme est ,et doit être une politique en parallelle avec d'autres projets économiques stables et quasi nationaux, privés, sémi-étatique ou en partenariat équitable pour se préserver de la dépendance politique , économique et financière de l'extérieur.
Aucun pays à vocation touristique ne s'est cantonné exclusivement dans le tourisme sinon que pour une période donnée ( la Turquie d'hier en est un exemple parmi tant d'autres).
Le Maroc l'a apprit à son détriment est corrige de plus en plus le parcours, d'autant que le tourisme, particulièrement dans les pays arabes, s'ajuste en fonction de la conjoncture sécuritaire et la menace terroriste.
Par ailleurs, les Investissements étrangers doivent être appréciés selon l'inpact de la souveraineté et la rentabilité économique du pays et non pas aux seuls retombées de main d'oeuvre ou de la facilité pour le financement de projets .
C'est une des conclusions quasi consensuelle des économistes "visionnaires" a l'encontre de ceux qui préconnisent le soit disant "marché mondial", un leurre pour s'accaparer les richesses naturelles de pays et pas seulement que les richesses du sol.
Citation
Melkafr a écrit:
Le tourisme est ,et doit être une politique en parallelle avec d'autres projets économiques stables et quasi nationaux, privés, sémi-étatique ou en partenariat équitable pour se préserver de la dépendance politique , économique et financière de l'extérieur.
Aucun pays à vocation touristique ne s'est cantonné exclusivement dans le tourisme sinon que pour une période donnée ( la Turquie d'hier en est un exemple parmi tant d'autres).
Le Maroc l'a apprit à son détriment est corrige de plus en plus le parcours, d'autant que le tourisme, particulièrement dans les pays arabes, s'ajuste en fonction de la conjoncture sécuritaire et la menace terroriste.
Par ailleurs, les Investissements étrangers doivent être appréciés selon l'inpact de la souveraineté et la rentabilité économique du pays et non pas aux seuls retombées de main d'oeuvre ou de la facilité pour le financement de projets .
C'est une des conclusions quasi consensuelle des économistes "visionnaires" a l'encontre de ceux qui préconnisent le soit disant "marché mondial", un leurre pour s'accaparer les richesses naturelles de pays et pas seulement que les richesses du sol.
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Bengi a écrit:Citation
Melkafr a écrit:
Le tourisme est ,et doit être une politique en parallelle avec d'autres projets économiques stables et quasi nationaux, privés, sémi-étatique ou en partenariat équitable pour se préserver de la dépendance politique , économique et financière de l'extérieur.
Aucun pays à vocation touristique ne s'est cantonné exclusivement dans le tourisme sinon que pour une période donnée ( la Turquie d'hier en est un exemple parmi tant d'autres).
Le Maroc l'a apprit à son détriment est corrige de plus en plus le parcours, d'autant que le tourisme, particulièrement dans les pays arabes, s'ajuste en fonction de la conjoncture sécuritaire et la menace terroriste.
Par ailleurs, les Investissements étrangers doivent être appréciés selon l'inpact de la souveraineté et la rentabilité économique du pays et non pas aux seuls retombées de main d'oeuvre ou de la facilité pour le financement de projets .
C'est une des conclusions quasi consensuelle des économistes "visionnaires" a l'encontre de ceux qui préconnisent le soit disant "marché mondial", un leurre pour s'accaparer les richesses naturelles de pays et pas seulement que les richesses du sol.
Exactement ce que j'ai toujours pensé et écrit, sur ce forum.
Ne pas mettre ses oeufs dans le même panier.
Par contre, l'exemple de la turquie, ne me semble pas adéquat.
La turquie et le textile, c'est de la sous-enchère salariale.
Aucune technologie de pointe, pas de produits à haute valeur ajoutée.
Sauf, si tu considères que les loukoums, sont d'une technologie avancée
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axis7 a écrit:Citation
Melkafr a écrit:
Le tourisme est ,et doit être une politique en parallelle avec d'autres projets économiques stables et quasi nationaux, privés, sémi-étatique ou en partenariat équitable pour se préserver de la dépendance politique , économique et financière de l'extérieur.
Aucun pays à vocation touristique ne s'est cantonné exclusivement dans le tourisme sinon que pour une période donnée ( la Turquie d'hier en est un exemple parmi tant d'autres).
Le Maroc l'a apprit à son détriment est corrige de plus en plus le parcours, d'autant que le tourisme, particulièrement dans les pays arabes, s'ajuste en fonction de la conjoncture sécuritaire et la menace terroriste.
Par ailleurs, les Investissements étrangers doivent être appréciés selon l'inpact de la souveraineté et la rentabilité économique du pays et non pas aux seuls retombées de main d'oeuvre ou de la facilité pour le financement de projets .
C'est une des conclusions quasi consensuelle des économistes "visionnaires" a l'encontre de ceux qui préconnisent le soit disant "marché mondial", un leurre pour s'accaparer les richesses naturelles de pays et pas seulement que les richesses du sol.
Le tourisme ne represente que 7% du PIB du Maroc :
[www.lefigaro.fr]
Je sais que le FLN des decennie durant a donné une image folklorique d'un Maroc qui ne vit que de tourisme et de tomate. Le Maroc n'a jamais vecu du tourisme. Jusqu'il i y a moins de 10 ans le Maroc recevait 3 millions de touristes avec les marocains de l'etrangers inclus et ce par an. Le Maroc etant un pays de 35 millions d'habitants.... faudra me dire comment on peut vivre d'un chiffre aussi derisoire. Ces dernières années le nombre de touristes tourne autour de 8 ou 9 marocains compris.
On ne fait pas vivre un pays du poids du Maroc avec cela.
Un simple tour sur internet demontre que la part du tourisme dans le PIB du Maroc est minoritaires par rapport à l'industrie ( eh oui!!!) et les services hors tourismes. Même l'agriculture a une part moindre.
Pour un pays sans hydrocarbures avec un effort de guerre imposée quasi constant depuis 1956, je dis que c'est pas mal.
Citation
Melkafr a écrit:Citation
axis7 a écrit:Citation
Melkafr a écrit:
Le tourisme est ,et doit être une politique en parallelle avec d'autres projets économiques stables et quasi nationaux, privés, sémi-étatique ou en partenariat équitable pour se préserver de la dépendance politique , économique et financière de l'extérieur.
Aucun pays à vocation touristique ne s'est cantonné exclusivement dans le tourisme sinon que pour une période donnée ( la Turquie d'hier en est un exemple parmi tant d'autres).
Le Maroc l'a apprit à son détriment est corrige de plus en plus le parcours, d'autant que le tourisme, particulièrement dans les pays arabes, s'ajuste en fonction de la conjoncture sécuritaire et la menace terroriste.
Par ailleurs, les Investissements étrangers doivent être appréciés selon l'inpact de la souveraineté et la rentabilité économique du pays et non pas aux seuls retombées de main d'oeuvre ou de la facilité pour le financement de projets .
C'est une des conclusions quasi consensuelle des économistes "visionnaires" a l'encontre de ceux qui préconnisent le soit disant "marché mondial", un leurre pour s'accaparer les richesses naturelles de pays et pas seulement que les richesses du sol.
Le tourisme ne represente que 7% du PIB du Maroc :
[www.lefigaro.fr]
Je sais que le FLN des decennie durant a donné une image folklorique d'un Maroc qui ne vit que de tourisme et de tomate. Le Maroc n'a jamais vecu du tourisme. Jusqu'il i y a moins de 10 ans le Maroc recevait 3 millions de touristes avec les marocains de l'etrangers inclus et ce par an. Le Maroc etant un pays de 35 millions d'habitants.... faudra me dire comment on peut vivre d'un chiffre aussi derisoire. Ces dernières années le nombre de touristes tourne autour de 8 ou 9 marocains compris.
On ne fait pas vivre un pays du poids du Maroc avec cela.
Un simple tour sur internet demontre que la part du tourisme dans le PIB du Maroc est minoritaires par rapport à l'industrie ( eh oui!!!) et les services hors tourismes. Même l'agriculture a une part moindre.
Pour un pays sans hydrocarbures avec un effort de guerre imposée quasi constant depuis 1956, je dis que c'est pas mal.
@AXIS7, je suis sur que si on discuté du sexe des anges tu trouvera toujours moyen d'inclure l'algerie dans la discussion. mais pourquoi donc cette hargne?
On va donc laisser algerie et maroc de coté et parler économie ok?
Le sujet est comment le maroc doit conquerir de nouveaux clients en terme de tourisme, donc :
avec 9 millions aujourd'hui, il projette attirer 20 millions à l'horizon 2020, mais il y'a un mais et les technocrates marocains l'ont heureusement bien compris :
Un objectif de 20 millions ( à croissance constante du PI le tourisme pesera 21% du PIB.
ce taux sera excessif d'autant que les Services se chiffrent déja à 52% du PIB.
alors que l'industrie est à 31% et que l'agriculture est a 17%..
L'industrie qui symbolise une stabilité macro-économique, sera forcément plus faible que les 31%d'aujourd'hui
Tandis que les Services (incluant le Tourisme à 21%) sera porté 63% donc excessivement risqué
D'autant que l'agriculture à 17% subit les alias de dame nature.
D'ou ajustement stratégique des investissements pour corriger le parcours.
Citation
EdwardSaid a écrit:Citation
Melkafr a écrit:Citation
axis7 a écrit:Citation
Melkafr a écrit:
Le tourisme est ,et doit être une politique en parallelle avec d'autres projets économiques stables et quasi nationaux, privés, sémi-étatique ou en partenariat équitable pour se préserver de la dépendance politique , économique et financière de l'extérieur.
Aucun pays à vocation touristique ne s'est cantonné exclusivement dans le tourisme sinon que pour une période donnée ( la Turquie d'hier en est un exemple parmi tant d'autres).
Le Maroc l'a apprit à son détriment est corrige de plus en plus le parcours, d'autant que le tourisme, particulièrement dans les pays arabes, s'ajuste en fonction de la conjoncture sécuritaire et la menace terroriste.
Par ailleurs, les Investissements étrangers doivent être appréciés selon l'inpact de la souveraineté et la rentabilité économique du pays et non pas aux seuls retombées de main d'oeuvre ou de la facilité pour le financement de projets .
C'est une des conclusions quasi consensuelle des économistes "visionnaires" a l'encontre de ceux qui préconnisent le soit disant "marché mondial", un leurre pour s'accaparer les richesses naturelles de pays et pas seulement que les richesses du sol.
Le tourisme ne represente que 7% du PIB du Maroc :
[www.lefigaro.fr]
Je sais que le FLN des decennie durant a donné une image folklorique d'un Maroc qui ne vit que de tourisme et de tomate. Le Maroc n'a jamais vecu du tourisme. Jusqu'il i y a moins de 10 ans le Maroc recevait 3 millions de touristes avec les marocains de l'etrangers inclus et ce par an. Le Maroc etant un pays de 35 millions d'habitants.... faudra me dire comment on peut vivre d'un chiffre aussi derisoire. Ces dernières années le nombre de touristes tourne autour de 8 ou 9 marocains compris.
On ne fait pas vivre un pays du poids du Maroc avec cela.
Un simple tour sur internet demontre que la part du tourisme dans le PIB du Maroc est minoritaires par rapport à l'industrie ( eh oui!!!) et les services hors tourismes. Même l'agriculture a une part moindre.
Pour un pays sans hydrocarbures avec un effort de guerre imposée quasi constant depuis 1956, je dis que c'est pas mal.
@AXIS7, je suis sur que si on discuté du sexe des anges tu trouvera toujours moyen d'inclure l'algerie dans la discussion. mais pourquoi donc cette hargne?
On va donc laisser algerie et maroc de coté et parler économie ok?
Le sujet est comment le maroc doit conquerir de nouveaux clients en terme de tourisme, donc :
avec 9 millions aujourd'hui, il projette attirer 20 millions à l'horizon 2020, mais il y'a un mais et les technocrates marocains l'ont heureusement bien compris :
Un objectif de 20 millions ( à croissance constante du PI le tourisme pesera 21% du PIB.
ce taux sera excessif d'autant que les Services se chiffrent déja à 52% du PIB.
alors que l'industrie est à 31% et que l'agriculture est a 17%..
L'industrie qui symbolise une stabilité macro-économique, sera forcément plus faible que les 31%d'aujourd'hui
Tandis que les Services (incluant le Tourisme à 21%) sera porté 63% donc excessivement risqué
D'autant que l'agriculture à 17% subit les alias de dame nature.
D'ou ajustement stratégique des investissements pour corriger le parcours.
Comment parler de macroéconomie dans le cas du Maroc, quand ce pays n'a même pas encore poser les bases ne serait-ce que d'une micro-économie? L'économie marocaine est une économie de bazar, personne paye ni taxe ni TVA ni impôt au Maroc, comment voulez-vous remplir les caisses de l'état quand l'état marocain ne ponctionne rien à ses citoyens? A part l'autoroute, tout est gratuit au Maroc. Comment inculquer au peuple un mentalité de bosseur?
Sinon pour revenir au sujet je propose au Maroc de miser sur le tourisme intermaghrébin. Les algériens et les tunisiens aiment voyager, mais c'est compliqué pour eux d'aller au Maroc. Plutôt que de viser les pays pauvre d'Europe de l'Est, pourquoi ne pas viser les classes moyennes algériennes et tunisiennes pour gagner plus de touristes au Maroc?
Citation
EdwardSaid a écrit:
[ L'économie marocaine est une économie de bazar, personne paye ni taxe ni TVA ni impôt au Maroc
Citation
tatouage a écrit:Citation
EdwardSaid a écrit:Citation
Melkafr a écrit:Citation
axis7 a écrit:Citation
Melkafr a écrit:
Le tourisme est ,et doit être une politique en parallelle avec d'autres projets économiques stables et quasi nationaux, privés, sémi-étatique ou en partenariat équitable pour se préserver de la dépendance politique , économique et financière de l'extérieur.
Aucun pays à vocation touristique ne s'est cantonné exclusivement dans le tourisme sinon que pour une période donnée ( la Turquie d'hier en est un exemple parmi tant d'autres).
Le Maroc l'a apprit à son détriment est corrige de plus en plus le parcours, d'autant que le tourisme, particulièrement dans les pays arabes, s'ajuste en fonction de la conjoncture sécuritaire et la menace terroriste.
Par ailleurs, les Investissements étrangers doivent être appréciés selon l'inpact de la souveraineté et la rentabilité économique du pays et non pas aux seuls retombées de main d'oeuvre ou de la facilité pour le financement de projets .
C'est une des conclusions quasi consensuelle des économistes "visionnaires" a l'encontre de ceux qui préconnisent le soit disant "marché mondial", un leurre pour s'accaparer les richesses naturelles de pays et pas seulement que les richesses du sol.
Le tourisme ne represente que 7% du PIB du Maroc :
[www.lefigaro.fr]
Je sais que le FLN des decennie durant a donné une image folklorique d'un Maroc qui ne vit que de tourisme et de tomate. Le Maroc n'a jamais vecu du tourisme. Jusqu'il i y a moins de 10 ans le Maroc recevait 3 millions de touristes avec les marocains de l'etrangers inclus et ce par an. Le Maroc etant un pays de 35 millions d'habitants.... faudra me dire comment on peut vivre d'un chiffre aussi derisoire. Ces dernières années le nombre de touristes tourne autour de 8 ou 9 marocains compris.
On ne fait pas vivre un pays du poids du Maroc avec cela.
Un simple tour sur internet demontre que la part du tourisme dans le PIB du Maroc est minoritaires par rapport à l'industrie ( eh oui!!!) et les services hors tourismes. Même l'agriculture a une part moindre.
Pour un pays sans hydrocarbures avec un effort de guerre imposée quasi constant depuis 1956, je dis que c'est pas mal.
@AXIS7, je suis sur que si on discuté du sexe des anges tu trouvera toujours moyen d'inclure l'algerie dans la discussion. mais pourquoi donc cette hargne?
On va donc laisser algerie et maroc de coté et parler économie ok?
Le sujet est comment le maroc doit conquerir de nouveaux clients en terme de tourisme, donc :
avec 9 millions aujourd'hui, il projette attirer 20 millions à l'horizon 2020, mais il y'a un mais et les technocrates marocains l'ont heureusement bien compris :
Un objectif de 20 millions ( à croissance constante du PI le tourisme pesera 21% du PIB.
ce taux sera excessif d'autant que les Services se chiffrent déja à 52% du PIB.
alors que l'industrie est à 31% et que l'agriculture est a 17%..
L'industrie qui symbolise une stabilité macro-économique, sera forcément plus faible que les 31%d'aujourd'hui
Tandis que les Services (incluant le Tourisme à 21%) sera porté 63% donc excessivement risqué
D'autant que l'agriculture à 17% subit les alias de dame nature.
D'ou ajustement stratégique des investissements pour corriger le parcours.
Comment parler de macroéconomie dans le cas du Maroc, quand ce pays n'a même pas encore poser les bases ne serait-ce que d'une micro-économie? L'économie marocaine est une économie de bazar, personne paye ni taxe ni TVA ni impôt au Maroc, comment voulez-vous remplir les caisses de l'état quand l'état marocain ne ponctionne rien à ses citoyens? A part l'autoroute, tout est gratuit au Maroc. Comment inculquer au peuple un mentalité de bosseur?
Sinon pour revenir au sujet je propose au Maroc de miser sur le tourisme intermaghrébin. Les algériens et les tunisiens aiment voyager, mais c'est compliqué pour eux d'aller au Maroc. Plutôt que de viser les pays pauvre d'Europe de l'Est, pourquoi ne pas viser les classes moyennes algériennes et tunisiennes pour gagner plus de touristes au Maroc?
J ' ai presque envie d' éclater de rire .
Il me semble qu ' a une époque ou la frontière était ouverte, les soit disant touristes Algériens ,dormaient la nuit sur les places du grand boulevard à Oujda avec ça on peux gagner avec ce genre de tourisme , de plus ça fait pas propre ces gens étalés sur les grandes places , on peux deviner le reste ,s ils ne trouvent pas de toilette à proximité
Citation
Bengi a écrit:Citation
EdwardSaid a écrit:
[ L'économie marocaine est une économie de bazar, personne paye ni taxe ni TVA ni impôt au Maroc
Quel clown!
Aveuglé par ta bêtise, tu racontes des mensonges grossiers.
Au Maroc, la taxe sur la valeur ajoutée est un impôt indirect qui s’applique à la consommation des biens et services fournis à titre onéreux.
Elle représente, de loin, la plus importante source fiscale pour le budget de l'État. Selon les statistiques du Trésor en 2010, elle équivaut à 65 % des recettes fiscales de l'État
La TVA a été promulguée par la loi 30/85 du 20 décembre 1985 publiée au B.O N° 38182 du 1er janvier 1986 en remplacement de la taxe sur les produits et les services (T.P.S) en vigueur depuis 1961. La TVA a été modifiée à plusieurs reprises par les différentes lois de finances qui se sont succédé depuis 1987 et les décrets d’application de 1991, 1994, 1996, 1997, 1998, 1999/2000, 2000/2001, 2002, 2003, 2004, 2005 et 2006 qui les ont complétés.
Citation
Melkafr a écrit:
Mr Edouard faut pas exagérer non plus.
La gratuité au maroc j'en doute et l'absence de macroéconomie surement pas.
En terme fiscal, le maroc a réformé progressivement sa fiscalité sur l'instigation de la CE
et, combien même, elle s'est faite, sur le moyen terme, au détriment des recettes fiscales par le jeu des dégrèvements fiscaux et des franchises douanières en faveur des investisseurs nationaux et étrangers, on connaitra des retombées bénéfiques dans le long terme.
Fiscalement, le mal le plus inquiétant, et non seulement pour le maroc mais pour les 3 pays du maghreb, c'est l'informel.
Ce phénomène et comme un serpent à 2 têtes :
- L'une nourrie une catégorie sociale importante en permettant aux gens de gagner un salaire fusse- t'il modeste et également un prix accessible pour le consommateur.
- L'autre évapore toutes les recettes fiscale ( Tva et impots sociétés) donc un manque de recettes.
Citation
EdwardSaid a écrit:Citation
Bengi a écrit:Citation
EdwardSaid a écrit:
[ L'économie marocaine est une économie de bazar, personne paye ni taxe ni TVA ni impôt au Maroc
Quel clown!
Aveuglé par ta bêtise, tu racontes des mensonges grossiers.
Au Maroc, la taxe sur la valeur ajoutée est un impôt indirect qui s’applique à la consommation des biens et services fournis à titre onéreux.
Elle représente, de loin, la plus importante source fiscale pour le budget de l'État. Selon les statistiques du Trésor en 2010, elle équivaut à 65 % des recettes fiscales de l'État
La TVA a été promulguée par la loi 30/85 du 20 décembre 1985 publiée au B.O N° 38182 du 1er janvier 1986 en remplacement de la taxe sur les produits et les services (T.P.S) en vigueur depuis 1961. La TVA a été modifiée à plusieurs reprises par les différentes lois de finances qui se sont succédé depuis 1987 et les décrets d’application de 1991, 1994, 1996, 1997, 1998, 1999/2000, 2000/2001, 2002, 2003, 2004, 2005 et 2006 qui les ont complétés.
Pourrais-tu nous donner les chiffres du budget marocain et sa répartition STP?
Moi je peux te dire que votre budget est d'un montant inférieur à celui de la Côte d'Ivoire.
Tu veux qu'on aille toi et moi dans un commerce marocain, pour voir si les prix sont affichés correctement, et si on reçoit un ticket de caisse à l'encaissement du produit?
Ce n'est pas le tout d'édicter des lois, encore faut-il les appliquer.
Citation
Melkafr a écrit:
[...]
Le sujet est comment le Maroc doit conquérir de nouveaux clients en terme de tourisme, donc :
avec 9 millions aujourd'hui, il projette attirer 20 millions à l'horizon 2020, mais il y'a un mais et les technocrates marocains l'ont heureusement bien compris :
Un objectif de 20 millions ( à croissance constante du PIB ) le tourisme pèsera 21% du PIB.
ce taux sera excessif d'autant que les Services se chiffrent déjà à 52% du PIB.
alors que l'industrie est à 31% et que l'agriculture est a 17%..
L'industrie qui symbolise une stabilité macro-économique, sera forcément plus faible que les 31%d'aujourd'hui
Tandis que les Services (incluant le Tourisme à 21%) sera porté 63% donc excessivement risqué
D'autant que l'agriculture à 17% subit les alias de dame nature.
D’où ajustement stratégique des investissements pour corriger le parcours.
Citation
Unesuggestion a écrit:Citation
Melkafr a écrit:
[...]
Le sujet est comment le Maroc doit conquérir de nouveaux clients en terme de tourisme, donc :
avec 9 millions aujourd'hui, il projette attirer 20 millions à l'horizon 2020, mais il y'a un mais et les technocrates marocains l'ont heureusement bien compris :
Un objectif de 20 millions ( à croissance constante du PIB ) le tourisme pèsera 21% du PIB.
ce taux sera excessif d'autant que les Services se chiffrent déjà à 52% du PIB.
alors que l'industrie est à 31% et que l'agriculture est a 17%..
L'industrie qui symbolise une stabilité macro-économique, sera forcément plus faible que les 31%d'aujourd'hui
Tandis que les Services (incluant le Tourisme à 21%) sera porté 63% donc excessivement risqué
D'autant que l'agriculture à 17% subit les alias de dame nature.
D’où ajustement stratégique des investissements pour corriger le parcours.
Il ne faut pas oublier les effets multiplicateurs:
Il se greffe tout un tas de métiers sur le tourisme et pas seulement les activités de service.
Si on enlève les Marocains de l'extérieur, qui ont des besoins différents et moindres, dans pratiquement tous les domaines, on a des touristes qui ont une demande en confort similaire à celle de leur pays d'origine.
Construire et entretenir toute cette infrastructure induit tout un tas d'activités artisanales. Si la demande est suffisante, des objets peuvent être produits industriellement au Maroc.
Dans ce deuxième cas, l'État peut intervenir, en contraignant les producteurs à respecter des normes de niveau international.
Prenons un exemple: Pour chaque appartement de vacance, il faut une ou plusieurs salles d'eau, chacune équipée de lavabo, baignoire et cuvette de WC (et, éventuellement, bidet).
Les Chinois, dont l'hygiène était désastreuse et dont les WC se limit(ai)ent souvent à un seau ou un trou dans une planche, ont commencé à installer des cuvettes de WC.
Les premières cuvettes de WC ont été importées d'Europe. Après ça, certains ont lancé une fabrication locale, pour couvrir les besoins locaux.
Malheureusement pour eux, la qualité de leurs objets n'est pas de niveau international. Comme souvent en Asie, "ça a l'air de", mais ça n'en est pas.
Certains commerçants malhonnêtes cherchent à refiler de ce type de produits chinois, mais l'escroquerie n'a pas tardé à se révéler. La combine est donc connue et seuls les pigeons se font encore avoir.
Le Maroc peut faire mieux que les autres: Les cuvettes de WC, c'est de la terre cuite (je simplifie) émaillée.
Or, l'artisanat marocain est capable de produire des céramiques de haute qualité.
On voit immédiatement que le Maroc est donc très bien placé pour fabriquer industriellement des WC de qualité internationale et de les exporter. Pareil pour les lavabos et les bidets.
Ça, c'est clairement un effet induit par le tourisme qui se transforme en activité pérenne.
L'exemple de la salle d'eau est une constante dans presque tous les pays chauds.
Catelles et planelles qui se décollent, lavabos et WC félés, joints éclatés, moisissure partout etc sont des grands classiques.
Inutile de préciser que c'est un des points dont parlent immanquablement les touristes à leur retour.
À l'inverse, lorsque les salles d'eau sont 100% en ordre, le commentaire fait de la publicité au pays.
Au Maroc, pays où on est traditionnellement capable de fabriquer d'admirables céramiques, fabriquer des salles d'eau aux normes européennes dans tous les lieux d'hébergement est loin d'être impossible.
On peut même affirmer qu'étant donné que l’artisanat traditionnel est remarquable. elles devraient même être d'un niveau supérieur à la moyenne.
Là aussi, l'État peut imposer des normes minimales, de niveau international.
J'ai pris un exemple dans lequel il y a une continuité entre la tradition, l'industrialisation et l'exportation, juste pour montrer que le Maroc possède, dans sa tradition artisanale de haute qualité, des ressources qui permettent de fournir des emplois modernes, relativement stables et correctement rémunérés.