Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
Maroc - Cinquantenaire de son Indépendance - Un constat accablant dû pour...
s
30 mai 2006 22:45
Maroc - Cinquantenaire de son Indépendance - Un constat accablant dû pour partie au néo colonialisme


Le constat de ces 50 ans est accablant. D'abord, pour les anciennes puissances coloniales, elles n'ont fait que reculer pour mieux perpétuer leur domination. Comme l'avait exprimé, autrefois, Ahmed Ben Bella : « le colonialisme est sorti par la porte, pour revenir par la fenêtre ». Pour continuer à garantir des bénéfices juteux à leurs entreprises, les anciennes puissances coloniales nous maintiennent sous tutelle, et soutiennent des régimes anti-démocratiques, pourvu qu'ils soient serviles. Passé sous silence les centaines de milliers de morts et de familles détruites, le pillage en règle des ressources, le renforcement du pouvoir arbitraire de la féodalité au détriment des pouvoirs de la jama'a ; oubliée la longue nuit coloniale, dont nous continuons, à ce jour, à en subir les affres.



Colonisation à la pointe des baïonnettes


Commémoration du cinquantenaire de l'indépendance du Maroc
« On peut facilement comprendre que les enfants aient peur du noir, la vraie tragédie de la vie c'est quand les hommes ont peur de la lumière. » Platon

Le 2 mars 1956, le Maroc accédait à l'indépendance, après 44 ans de protectorat et des décennies de lutte pour la liberté. Une ferveur immense soulevait le pays et promettait enfin de transformer en réalité les aspirations pour lesquelles le peuple s'était battu contre le colonialisme.

Les marocains en liesse, s'emparaient de la rue, reprenaient possession de leurs pays, pourchassaient, sans merci, les dignitaires du protectorat, caïds, pachas et autres mouchards, jusque dans l'enceinte du Méchouar, le Palais royal de Rabat. Pour mon père qui a dévoué sa vie pour cette cause et qui ne pensait pas, dans sa prime jeunesse, qu'il allait en vivre le dénouement, la joie était immense.

Une ère de liberté, de développement et de justice sociale était annoncée …50 ans sont passés et cette ère est toujours attendue…

Mon père est mort, en laissant inachevé son rêve d'un Maroc libre et prospère. La soixantaine passée, il a repris avec courage et dignité le chemin des prisons, quand en 1972, j'ai été enlevé, sauvagement torturé pendant deux semaines au centre de Derb Moulay Chérif et incarcéré pendant 6 ans. Il a connu les brimades à l'entrée des prisons et dans les parloirs à double grille ; et fréquenta assidûment la salle de tribunal pour suivre de bout en bout mon procès. Il en tirait un motif de fierté.

50 ans après, notre pays ne s'est toujours pas engagé dans les réformes constitutionnelles, politiques, économiques et sociales, pourtant inscrites dans le pacte scellé entre Mohamed V et les dirigeants du Parti de l'Istiqlal, dans le Manifeste de l'Indépendance du 11 Janvier 1944. Mohamed V s'était engagé solennellement et dès l'indépendance retrouvée à mener à bien ces réformes qu'il a qualifiées, à son retour d'exil, de « jihad akbar ». Il est mort prématurément et son héritier n'a pas repris l'engagement tenu par son père. Car, en 1961, lorsque Hassan II monta sur le trône, le paysage politique était « normalisé » et la désillusion avait succédé à la ferveur populaire.

La première force politique du pays, celle qui avait conduit le peuple à l'indépendance et reconduit Mohamed V sur le Trône, le Parti de l'Istiqlal, venait de se briser en deux, le 11 janvier 1959, soit 15 ans jour pour jour après l'annonce officielle de sa création. Les années qui ont suivi l'indépendance ont constitué des années charnières de l'Histoire contemporaine du Maroc. Ce sont aussi les années où les acquis les plus importants de souveraineté et de liberté ont été réalisés. Pourtant, très peu de recherches ont concerné cette période et nos historiens se contentent de stéréotypes, de raccourcis, de silence, pour ne pas dire de falsification des faits.

Dans ces années, une lutte sans merci opposa les partisans d'une simple marocanisation du système mis en place par le Protectorat et ceux pour qui l'indépendance devait nécessairement conduire aux réformes du pouvoir politique et à la justice économique et sociale. L'ancienne puissance coloniale a pesé de tout son poids en faveur des premiers. Peu lui importait que les marocains s'émancipent et prennent leur destin en main. Ce qu'elle voulait coûte que coûte c'était préserver ses intérêts économiques immédiats et empêcher le Maroc de se transformer en base arrière de la résistance algérienne.

Cette lutte connut son apogée en 1958, au moment où Mohamed V fut acquis à l'idée de confier le gouvernement au Parti de l'Istiqlal, après l'échec des deux premiers gouvernements de coalition entre l'Istiqlal, le PDI et les notables profrançais de la « troisième force » devenu plus tard « le Mouvement populaire ». Il désigna à la présidence Ahmed Balafrej, Secrétaire Général du Parti de l'istiqlal et lui demanda de former le gouvernement. Celui-ci était composé de ministres du Parti de l'Istiqlal. Son programme a été élaboré par la Commission politique, la plus haute instance de direction du parti. Il disposait, pour la première fois, de larges prérogatives de pouvoir, en politique intérieure et des affaires étrangères. Mais dès son investiture, la France et ses alliés locaux s'efforcèrent par tous les moyens d'entraver son action.

Ainsi, le gouvernement français refusa le retrait de ses troupes du Maroc et exigea, au préalable, la conclusion d'une alliance militaire franco-marocaine, ce que Balafrej dénonça comme une atteinte à la souveraineté nationale. Sur le front économique, le gouvernement français exerça des pressions sur ses alliés pour qu'ils s'abstiennent d'aider ou d'investir au Maroc « de peur que le Maroc puisse se passer de l'aide française et qu'elle perde ainsi un moyen de pression sur nous » comme le déclara Balafrej devant l'Assemblée Consultative, lors d'un débat sur le programme de son gouvernement, programme axé sur la mise en œuvre des réformes réclamées par le Parti de l'Istiqlal, depuis 1944.

Les thèmes principaux en étaient l'instauration de la démocratie, la séparation des pouvoirs, l'indépendance de la justice, les libertés publiques, la généralisation de l'enseignement, la réforme agraire, la planification de l'indépendance économique, le retrait de toutes les troupes étrangères, la libération des territoires marocains encore occupés et le règlement du problème des frontières, le soutien à l'indépendance de l'Algérie et la construction du Maghreb arabe.

Une alliance contre-nature composée des notables de la « troisième force », du lobby colonial et d'une fraction dissidente du Parti de l'Istiqlal précipita la chute du gouvernement de l'Istiqlal, après 6 mois. Pendant cette période, se multiplièrent les appels de l'UMT à la grève, les campagnes de presse calomnieuses, les provocations des agents de la France et enfin le soulèvement du Rif, voulu et manipulé par les ennemis de l'Istiqlal. Balafrej démissionna, comme ultime tentative pour éviter la scission du Parti, et pour marquer sa désapprobation de la répression militaire du soulèvement du Rif que préparait le Prince héritier et qu'il déclencha en janvier 1959, sous le gouvernement Ibrahim.

L'Histoire brève de la mobilisation populaire qui a marqué l'indépendance en 1956 s'achève en décembre 1958, avec la fin annoncée du Parti de l'Istiqlal. Le Parti qui comptait un million et demi d'adhérents et dont le Secrétaire général avait voulu en faire un Parti moderne et démocratique, une école politique, doté d'une direction collégiale et d'instances élues. Le Parti pour lequel des dizaines de milliers de marocains s'étaient sacrifiés et avaient donné leur vie ; le Parti qui devait à tout prix rester uni pour asseoir un Etat démocratique moderne au Maroc à la place du Maroc de Lyautey, n'a pas résisté aux intrigues du lobby colonial, qui a su mettre à profit la soif de pouvoir de politiciens et de syndicalistes sans vision et d'opportunistes de tout bord, pour réaliser son dessein.

Le constat de ces 50 ans est accablant.

D'abord, pour les anciennes puissances coloniales, elles n'ont fait que reculer pour mieux perpétuer leur domination. Comme l'avait exprimé, autrefois, Ahmed Ben Bella : « le colonialisme est sorti par la porte, pour revenir par la fenêtre ». Pour continuer à garantir des bénéfices juteux à leurs entreprises, les anciennes puissances coloniales nous maintiennent sous tutelle, et soutiennent des régimes anti-démocratiques, pourvu qu'ils soient serviles. Leur comportement est toujours marqué par la conviction de leur supériorité civilisationnelle, culturelle et religieuse. Le racisme latent de ses dirigeants continuent à entretenir toutes sortes de mythes, comme le fait que la démocratie n'est pas faite pour nous. L'éloge du colonialisme se fait au grand jour et fait même l'objet d'un texte de loi du Parlement français.

Passé sous silence les centaines de milliers de morts et de familles détruites, le pillage en règle des ressources, le renforcement du pouvoir arbitraire de la féodalité au détriment des pouvoirs de la jama'a ; oubliée la longue nuit coloniale, dont nous continuons, à ce jour, à en subir les affres.

Serait-on condamné à vivre dans l'absolutisme et l'arbitraire dans nos pays, alors que chez vous, vous défendez les règles de droit ? Alors, ne vous étonnez pas de la forte demande d'émigration dans vos pays et ouvrez les portes à ces jeunes que vous affamez chez eux.

Cette politique néocoloniale ne serait-elle pas, du moins en partie, responsable de l'impasse actuelle dans nos pays ?

Le Maroc, pays prometteur il y 50 ans, se retrouve classé vers les 120ème de l'indice de développement humain des Nations Unies. Un autre pays, autrefois très pauvre, devenu indépendant un an après le Maroc, la Malaisie, se hisse, aujourd'hui, dans les 50 pays les plus développés. L'exemple est à méditer…

Au Maroc, un marocain sur six vit en dessous du seuil de pauvreté. Certains salaires de Hauts Cadres dépassent 150 ou 200 fois le SMIG. L'administration marocaine, comme autrefois l'administration du protectorat, est là pour compliquer la vie des gens et les maintenir dans la servitude. La corruption se banalise et atteint des proportions alarmantes. L'impunité des responsables reste la règle. L'enseignement, la santé publique, la justice sont défaillants. Le taux important de l'exode rural est dû aux difficultés des petits fellahs, laissés pour compte de la politique agraire de Hassan II; les paysans ruinés sont venus s'entasser dans les bidonvilles des faubourgs de Casablanca et des grandes villes ou sont partis chercher du travail à l'étranger.

Malgré l'effort de l'Etat et l'apport important en financement extérieur pour accélérer la réalisation de grands projets d'infrastructures - électrification rurale, adduction d'eau potable, routes de désenclavement, création de zones franches, aménagement portuaire et autoroutier – les écarts entre riches et pauvres, entre Maroc « utile » et Maroc « inutile », se creusent.

En conclusion, le système de pouvoir mis en place par Lyautey dans les années 20, a fini par prévaloir après les premières années de l'indépendance. Une des raisons majeures en fut l'éclatement du Parti de l'Istiqlal, seule force qui aurait pu constituer une alternative moderne et démocratique au pouvoir archaïque des caïds et des anciens officiers marocains de l'Armée française. Les dirigeants historiques du Parti, pour quelques-uns de double culture, étaient influencés par la philosophie des Lumières et les valeurs démocratiques. Ils se sont identifiés à un Islam moderne, dépouillé des traditions et du maraboutisme. Car, pour eux, c'est l'Islam qui a forgé la nation et l'identité marocaines, plus que l'arabité ou la berbérité. Ils ont été rejoints dans le combat anti-colonial par des militants, beaucoup plus attentifs aux idéologies panarabes de Nasser et du Baath ou du marxisme. Ces derniers ont pris la lourde responsabilité de briser le front uni de l'Istiqlal, dont la mission, au lendemain de l'indépendance, était de consolider la souveraineté nationale et de construire un Etat moderne et démocratique.

Le résultat en fut la main mise néocoloniale sur le pays et la consolidation d'un Etat archaïque, fondé sur le pouvoir personnel. Le Parti du néo Istiqlal, connut la même dérive sous l'autorité absolu du zaïm, Allal Fassi, qui après avoir éliminé Balafrej lors du Congrès du Parti, en janvier 1960, s'est emparé des pleins pouvoirs. Ce fut le début de la chute.

Il ne sert à rien d'épiloguer aujourd'hui sur l'émiettement du champ politique, qui compte plus d'une quarantaine de partis, ni sur l'essor des mouvements dits « islamistes », ni sur le désenchantement et les taux record d'abstention. Le pouvoir absolu, même derrière une façade « démocratique » ne peut rien enfanter de bon. Proche de nous, l'Espagne s'est d'abord débarrassée de la dictature pour pouvoir relever le pari du développement. Il lui a suffi 30 ans pour se hisser au niveau des nations les plus riches. Pour cela, il a fallu faire une révolution douce pour abolir l'Etat franquiste et instaurer un Etat démocratique.

Jusqu'à quand refusera-t-on de voir la vérité en face et de faire un vrai bilan du cinquantenaire. Non pas le bilan des salons « bien pensants », où on saupoudre quelques critiques sur une pléthore de verbiage creux, qui servira d'instrument de propagande pour continuer sur la même voie. Mais le bilan qui indique les causes de l'échec et les voies de sortie pour un véritable élan de liberté et de développement. Pour cela, il nous faut le courage qui a animé les pionniers du mouvement National.

Intervention de Anis Balafrej (19 Mai 2006) dans le cadre de la Commémoration du cinquantenaire des indépendances du Maroc et de la Tunisie à l' Institut du Monde Arabe 19 – 20 Mai 2006 - Paris

Source: www.andalous.ma

Note

Le Maroc a été sous protectorat français de 1923 à 1956
siryne
F
30 mai 2006 22:57
merci.

France.
a
30 mai 2006 23:18
Bien joué Siryne, je croyais que tu t'intéressais qu'à la Palestine, tu viens de me prouver le contraire, et de quelle manière !!
J'espère que des gens comme temsamane et consorts, adeptes du "hich al malik" et "tout va bien, tout est beau" prendront conscience de la triste réalité.
s
31 mai 2006 10:16
France .


De rien , j'ai trouvée que c'etait une bonne annalyse .



Andi espoir .


Merci , hihi

Je m'interesse à tout , pour le maroc il y'a beaucoup des choses à dire , et sur sa politique et sur meme le peuple marocain , mais certains refuseront toujours de voir certaines réalités et c'est domage , car la colonisation n'est pas seulement d'un pays , mais aussi de l'esprit d'un peuple , et c'est là ou il doit y'avoir la vraie independance , celle de l'esprit .
siryne
l
31 mai 2006 10:25
moi aussi je trouve que c'est un bon ane et meme une insidieuse lyse ,mais vois tu nous, nous croyons nos yeux et ce que nous voyons tous les jours;la musique des nihilistes nous la connaissons c'est un peu comme celui qui n'a aucune demeure et qui implore le Dieu de provoquer un séisme.Un discours qui manque d'objectivité ne peut tromper que les myopes et encore.
b
31 mai 2006 10:59
lunik, tres bien dit. Des ecrits a la reseau voltaire.

En plus il y a un rapport impitoyablement objectif et qui emane des plus hautes spheres officiel sur les 50 ans apres l'independance: [www.rdh50.ma]
s
31 mai 2006 14:28
Bikhir .

Toujours au garde à vous ? Esseye de lire et comprendre et non juste à etre sur la defense du "tout va bien , dormez tranquille"


La décolonisation culturelle,
un défi majeur pour le 21e siècle

Mahdi Elmandjra

A Meknès, en 1953, un vieil homme demanda à être
reçu par le Résident général de France. Le pays était alors en
pleine effervescence car la France venait d'exiler Sa Majesté
le Roi Mohamed V et d'importantes mesures de sécurité
étaient prises à l'occasion des déplacements des autorités du
Protectorat. L'insistance de notre Meknassi était telle qu'il
parvint à rencontrer le Résident général et à lui transmettre le
message suivant:

"Monsieur le Résident général, je suis venu vous
dire que vous pouvez partir car la France n'a
plus rien à faire au Maroc. Vous avez préparé
une génération entière qui saura défendre vos
intérêts mieux que vous-mêmes."

Il s'agit là d'une histoire véridique d'une grande valeur
pour la compréhension du processus de la décolonisation.
Trois ans plus tard, en 1956, année de l'indépendance du
Maroc, au cours d'un vol qui me ramenait à Londres où je
terminais mes études, un diplomate Syrien m'apporta un utile
complément à cette précieuse leçon. Il m'expliqua que
l'indépendance politique ne requierait en fin de compte que
quelques minutes - le temps de signer un document juridique.
Quant à l'indépendance économique, disait-il, elle nécessite
plusieurs mois sinon quelques années selon le rythme des
nationalisations et compensations financières. Le plus
difficile par contre, insistait-il, c'était l'indépendance
culturelle qui est l'affaire de plusieurs générations.
siryne
b
31 mai 2006 14:50
Ce que je trouve toujours dommage c'est que d'un cote il y a une icompetence hillarante dans la critique et d'un autre on timbre quiconque voulant equilibrer de "tout va bien ..."

Entre les deux il y a tout un monde.

J'ai lu l'article et je pourrais ecrire pareil les yeux fermes. Mais malheureusement ca ne mene a rien.
Que dit l'article au juste?

- Qu'apres 50 ans d'independance il y a un debacle? So waht puisque le roi lui-meme le dit et que le palais a supervise le rapport dont je donne le link en haut et qui presente ce debacle en details, chiffres et toutes données a l'appui. Dans cette mesure l'article est une lamentation qui ne sert a rien.

- Qu'il faut passer vers un edemocratie? En suivant l'exemple de l'Espagne? Qui dit qu'on n'est pas sur le chemin? C'est bien a discuter, et voila apres quelques annees apres la mort de Hassan 2 un debat, public, commence deja sur le role de la monarchie prennant comme pretexte la reforme de la consitution.

Puis se limiter a cela, a dire "regardez l'Espagne", est parfaitement sterile, car tout le monde pourrait dire regardez le Japon, et le reste du monde.

Une analyse est celle qui va au fond des choses, avec toutes les nuances et les lucidités qu'il faut. Ce genre de discours comme en haut, pardon, c'est out.
a
31 mai 2006 16:34
Tu as raison siryne, y'en a qui sont vraiment bornés.
Mr Bikhir, comment veut-tu aller de l'avant quand tu refuses d'accepter cette critique du Maroc, qui est à mon avis, un préalable ?
b
31 mai 2006 17:36
La critique tout le monde la connait. Meme le palais en a fait un rapport, solide et ficelé de dizaines de pages. Cet article au style poussiereux vient donc en retard. Le temps dial "t3bia'a" et taou3ya" si tu comprends l'arabe et le contexte politique marocain c'est revolu il y a deja longtemps.


Citation
andi espoir a écrit:
Tu as raison siryne, y'en a qui sont vraiment bornés.
Mr Bikhir, comment veut-tu aller de l'avant quand tu refuses d'accepter cette critique du Maroc, qui est à mon avis, un préalable ?
a
31 mai 2006 18:31
j'aimerai bien etre d'accord avec cette article mais c'est pas la verite dutous, le francais c'est comme l'arabe des langues etrangere personelment c'est des gens comme notre amis qui a ecris l'article qui m'a oblige de quite le pays , ces istiklalien qui etaient pour l'arabisation, il nous parlent de colonisateur... et apres ils envoient leur enfants etudier dans des ecoles francaises au maroc, le maroc change et le pouvoir changes, il y a tous ce que tu veus les ex comuniste au pouvoir (beacoup d'entre eux ne crois meme pas en dieu) les istiklaliens et les islamiste tous le monde et la, pour essayer de trouver des solutions a ce qui c'est passer dans les 50 derniere annes.

moi je suis d'accord avec les critiques mais je veus a la fin des propositions et des nouvelles idee et de ce qu'il faut faire ce qu'a fait le rapport de 50 ans is perfect exemple of what we shoud do, il a enleve l'herbe devant ces (gens qui critique sans rien faire ) .

ptetre notre amis qui ecrit l'article puicequ'il est communiste non pardon socialiste, il veut qu'ont rejoint le nouveau bloc de cuba et chavez.

merci monsieur pour le conseille, tu es le bien venue avec tes idee, et si tu peus convaincre et t'es sure de tes idee tu n'as qu'a te representer dans votres region et c'est pas comme avant si tu es bon tu gagnera et tu nous montrera ce que tu sais faire mais cretiquer il y a pas plus facille que sa.

excuser mon francais parceque tous simplement je suis pas francais/.



Modifié 2 fois. Dernière modification le 31/05/06 18:57 par auscasa.
s
31 mai 2006 18:36
ah le bon vieux bikhir et son masque sur les yeux revient!
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook