La fleure jadis solitaire Aux rythmes des vents dansa Et chanta l’adieu au champ vierge Ou jamais, étranger de ses pieds ne frôla
La fleure pleura Elle pleura les jacinthes Et les roses qu’il quittera Pour son prince des milles et une nuits
Son cœur qui était si sauvage De sensualité, il garde courage Et tomba dans l’amour avec rage Et comme les cigognes, elle part en voyage Vers le bonheur, et les joies du mariage