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joliedounia a écrit:
salam andi espoir
tu parles bcp de ça en ce moment!!!!
tu ne devrais pas etre en manque normalement etant donné que t'es jeune marié d'apres ce que j'ai compris....
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andi espoir a écrit:Citation
joliedounia a écrit:
salam andi espoir
tu parles bcp de ça en ce moment!!!!
tu ne devrais pas etre en manque normalement etant donné que t'es jeune marié d'apres ce que j'ai compris....
Salam Joliedounia,
Je note que d'après toi, il faut-être en manque pour parler de sexe
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joliedounia a écrit:
non mais t'en fais trop en ce moment... c'est comme le poste que tu as posté dernierement où tu voulais des idées de positions hacha sami3ine
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andi espoir a écrit:
6 août 2007
Les jeunes n’hésitent plus à s’exprimer librement sur un sujet encore considéré comme tabou par leurs aînés. Mais derrière les discours, quelle réalité ?
C’est l’histoire d’une journaliste qui, pour les besoins d’une enquête sur la sexualité, demande à des inconnus dans les rues d’une capitale du Maghreb s’ils accepteraient de répondre à quelques questions. Sous le couvert de l’anonymat bien sûr. Manque de chance, elle tombe sur un policier en civil qui, outré de son audace, veut l’emmener au poste. Motif ? « Atteinte à l’ordre public. » Même dans les pays considérés comme les plus avancés du monde arabe sur le plan des mœurs, la h’chouma (pudeur, pudibonderie, ce qui ne se fait pas) règne sur la sexualité des hommes et des femmes. Ou, à tout le moins, sur le discours qui l’accompagne. D’Alger à Tunis, en passant par Casablanca et Nouakchott, le silence sur les pratiques sexuelles, particulièrement celles réputées « déviantes » (rapports hors mariage, homosexualité, etc.), renforce la position des conservateurs, qui ont tendance à confondre la liberté sexuelle et la pornographie qui régnerait en Occident. Mais une partie de la population, fortement influencée par la présence accrue du sexe dans la publicité, n’hésite plus à s’exprimer sans fard. Les médias qui se veulent modernes s’y mettent également. L’hebdomadaire marocain Tel Quel, certains forums Internet spécialisés ou encore les sites de rencontre évoquent ouvertement les enjeux de l’amour charnel : virginité, mariage, homosexualité, orgasme…
Assiste-t-on pour autant à une libération des mœurs ? Doit-on se réjouir de la fin des interdits liés au rigorisme moral, aux traditions et à une certaine conception de la religion ? Les langues se sont certes déliées, mais qu’en est-il réellement des comportements intimes ?
Les études sur le sujet sont rares. Pendant longtemps, les tabous et les pressions sociales ont découragé toute recherche sérieuse en la matière. Mais les choses commencent à changer. Des enquêtes sociologiques et psychologiques menées au Maroc, en Tunisie et dans une moindre mesure en Algérie et en Mauritanie apportent des éclairages précieux sur l’évolution des mœurs.
Des adolescents sans complexe
« Une grande partie de notre jeunesse s’inspire de ce qui se passe en Occident. Il existe une nette tendance à l’uniformisation des valeurs et des comportements », explique le professeur Abdelmajid Zahaf, président de l’Association tunisienne de lutte contre le sida et les autresmaladies sexuellement transmissibles (MST). De l’avis de nombreux spécialistes, les nouveaux médias comme Internet ont sensiblement influencé la perception de la sexualité parmi les jeunes Maghrébins et les ont même familiarisés avec l’univers de la pornographie. « L’âge du premier rapport sexuel a nettement diminué en Tunisie, affirme Zahaf. Je rencontre énormément de jeunes qui ont leur premier rapport à l’âge de 16 ans pour les garçons et, aussi étonnant que cela puisse paraître, à 17 ans pour les filles. Lesquelles se soucient moins de leur virginité que leurs aînées. » « Aujourd’hui, les adolescents se posent beaucoup de questions et parlent de sexualité entre eux sans h’chouma », constate le docteur Madani, gynécologue à Alger.
Interrogée sur l’influence de la pornographie chez les jeunes, Lamia, une lycéenne tunisienne de 17 ans, répond crânement : « Du porno ? Bien sûr, avec mes copines on a déjà visité des sites sur le Web. » Quant à sa propre sexualité, elle affirme la vivre sans complexe : « J’ai attendu d’être prête pour ma première fois. J’avais 15 ans. » D’autres, qui préfèrent encore attendre avant de passer à l’acte, reconnaissent pratiquer la fellation pour « satisfaire » leur partenaire sans perdre leur virginité.
Cette relative précocité des relations sexuelles chez les adolescents traduit parfois une carence affective du milieu parental ou un besoin de se valoriser. D’après les chercheurs, les adolescentes actives sexuellement avant l’âge de 16 ans, présentent davantage de symptômes dépressifs et sont moins motivées à l’école que celles n’ayant pas encore découvert l’amour. Un diagnostic qui fait sourire Karima et Myriam, deux lycéennes marocaines. « Ils n’ont rien trouvé de mieux pour nous faire peur ! J’ai eu mon premier rapport sexuel l’année dernière, et je me porte très bien », répond Myriam, 16 ans. « De toute façon, je vais me faire recoudre l’hymen avant mon mariage. Mon futur mari n’y verra que du feu », fanfaronne Karima, jeune fille issue d’une famille de Fès. eh ben dis donc au maroc cest chaud, dsl cela me choque !!!!!!!!!!
Chez les jeunes hommes, les pratiques restent les mêmes. On vit encore souvent sa première fois avec une employée de maison (pour les plus aisés) ou une prostituée. Bien que moins répandue qu’auparavant, le second mode d’initiation concernerait aujourd’hui près d’un homme sur cinq1 dans le royaume chérifien.
A suivre...[/quote
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andi espoir a écrit:Citation
joliedounia a écrit:
non mais t'en fais trop en ce moment... c'est comme le poste que tu as posté dernierement où tu voulais des idées de positions hacha sami3ine
Parler de sexe ne devrait pas être un tabou, même pour toi Joliedounia
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tini a écrit:
Mais comme on dit c'est ceux qui en parle le plus qui en font le moins et inversement
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salma84 a écrit:
d'ailleurs je fais partis de celle qui n'en parle pas très facilement, mais je comprends les gens qui ont en le besoin d'en parler
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andi espoir a écrit:Citation
salma84 a écrit:
d'ailleurs je fais partis de celle qui n'en parle pas très facilement, mais je comprends les gens qui ont en le besoin d'en parler
Je vous signale que cet article parle d'un sujet de société, se basant sur une étude.Donc merci de ne pas tout ramener à ma personne
Je pense que vous êtes suffisamment intelligent pour faire une étude de texte et d'en dégager quelques enseignements, utiles au débat du moins j'ose espérer.
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malika_malika a écrit:Citation
andi espoir a écrit:Citation
salma84 a écrit:
d'ailleurs je fais partis de celle qui n'en parle pas très facilement, mais je comprends les gens qui ont en le besoin d'en parler
Je vous signale que cet article parle d'un sujet de société, se basant sur une étude.Donc merci de ne pas tout ramener à ma personne
Je pense que vous êtes suffisamment intelligent pour faire une étude de texte et d'en dégager quelques enseignements, utiles au débat du moins j'ose espérer.
Et en quoi cette étude est credible??? Y'a rien de concret, aucun chiffre
Honnetement je ne crois pas que la sexualité est la preoccupation principale des jeunes marocains... C'est pas leur quotidien, ils ont autre chose à penser (sauf pour les gosses de riches , ce qui represente une minorité)
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andi espoir a écrit:Citation
malika_malika a écrit:
Et en quoi cette étude est credible??? Y'a rien de concret, aucun chiffre
Honnetement je ne crois pas que la sexualité est la preoccupation principale des jeunes marocains... C'est pas leur quotidien, ils ont autre chose à penser (sauf pour les gosses de riches , ce qui represente une minorité)
- "Pour les Tunisiens, la partenaire du premier rapport reste, dans 47 % des cas², une « professionnelle »
- Selon une enquête1, 70 % des Marocains et 77 % des Marocaines se disent insatisfaits au lit. Seulement 23 % des Marocaines interrogées disent avoir de bons rapports sexuels avec leurs conjoints et connaître l’orgasme.
-Un discours qui dérange encore dans le royaume. Seuls 55 % des hommes et 46 % des femmes ayant participé au sondage se sont exprimés spontanément sur le sujet
La sexualité est un réel problème dans nos sociétés, c'est un fait.
De tout cela découle bcp de frustrations.
Refuser d'en parler n'arrange pas les choses.
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malika_malika a écrit:
Sinon en quoi la sexualité est un probleme dans nos societés???
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andi espoir a écrit:Citation
malika_malika a écrit:
Sinon en quoi la sexualité est un probleme dans nos societés???
La sexualité est indispensable à l'équilibre d'une personne.
Dans nos sociétés, il n'y a quasiment pas d'éducation sexuelle.
Les relations sexuelles sont interdites hors mariage.
C'est déjà dur de tenir jusqu'à 20 ans sans rapports sexuels, imagines pour ceux qui se marient à 30 ou 40 ans !!
Et encore, tout le monde n'a pas la chance de se marier.
Aller voir des "professionnelles" permet de se soulager sur l'instant mais le côté affectif est inexistant. Le rapport sexuel n'est pas seulement un acte bestial.
Tout cela engendre des frustrations, poussant certains à avoir des relations sexuelles avec des partenaires de même sexe !!!
Les relations hommes-femmes sont également un problème, les frustrés n'ayant aucun respect pour la femme. Tu n'as qu'à voir au Maroc le comportement de certains hommes vis-à-vis de la gent féminine, aucun respect ni hchouma
Pour se soigner, il faut déjà accepter d'en parler, c'est pas toujours évident mais il faut persévérer, il en va de l'équilibre de nos sociétés.