Vous aurez remarqué ces derniers temps qu'un journal rigolo avait insulté une personne cher à une communauté qui s'élève à plus de 1.6 milliards, la question que je pose et elle assez simple ( peut être que je suis bête) : pourquoi au nom de la liberté d'expression avec laquelle on peut dire ce qu'on pense d'une religion ou d'un fait , on peut insulter ou bruler des symboles religieux et de l'autre côté si on brule un drapeau national ou qu'ose critiqué un fait tel que la Shoah ou même se montré critique positive avec une personne tel que Hitler, cela bascule vers de la provocation et la haine, et le risque encourue est même pénal?
J'aimerai bien qu'on m'explique la liberté d''expression à quel moment elle commence et à quelle moment elle passe vers la provocation ?
Comment un ministre de l'intérieur d'un pays qui a pour principe la liberté d'expression donne un discours juste après ces provocations dans un jour d'inauguration d'une mosquée : "Il est temps que l'islam de France prenne pleinement ses responsabilités et s'organise" et cela peu de temps après les insultes commise par ce journal en récidive.
Bien sûr je pars du principe que l'état est de bonne foi et qu'elle défend ses principes .
ben c'est simple: quand tu minimises un massacre ou que tu encenses le boucher responsable, tu touches à une chose concréte, la douleur des victimes que tu veux provoquer. un dieu, des choses sacrées, c'est du virtuel. ça n'a que la valeur qu'on veut bien y donner. c'est pas méme chose de carricaturer un prophéte et de tourner en derision le massacre de sabra et chatila.
Cette personne n'a t il pas existé dans le temps, vu que la caricature a visé un personne qui était bien vivante, en parlant de concret ?
Donc si je comprend bien ton raisonnement ,cela dépend du degré de la douleur que peut engendré ce degré de liberté d'expression ,alors comment concrètement peut on évaluer le degré de l'offense ou de la douleur ? y a t il un baromètre ?
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