Citation
abdourapih a écrit:
Salam
Le Recteur de l'Académie de La Réunion, M. Mostafa Fourar, est d'origine marocaine
Le comble est que ce soit un rectorat dirigé par un marocain, (bénéficiant de la discrimination positive de N. Sarcosy) qui fait subir une discrimination négative allant jusqu'au licenciement abusif, à un autre marocain de sa génération.
Lettre ouverte à monsieur le Recteur.
Le loup, l'agneau et le lion.
Monsieur le Recteur,
j'ai eu l'honneur de vous solliciter par plusieurs courriers électroniques et deux lettres recommandées, au sujet de mon licenciement abusif -qui prive une famille de 6 personnes de ressources-, après plus de 26 ans de loyaux services, sans obtenir la moindre réponse de votre part.
Pourtant on m'a dit du bien de vous. J'en ai conclu que votre entourage leur a surement fait barrage.
En effet, je suis convaincu que, si vous aviez pu bien étudier mon dossier, vous-vous rendriez compte que cette « mise à mort », n'est que la conséquence logique du harcèlement moral, de l'acharnement administratif (je suis le seul professeur, dans toute la France, qui fut inspecté, systématiquement, chaque année, les inspecteurs « se passant le témoin » d'où l'effet domino qui a passé sous silence tous les bons résultats que j'ai obtenus), puis du lynchage bureaucratique.
Et le loup, à court d'argument, agacé par les réponses pertinentes de l'agneau, finit par lui annoncer: « ...Euh, .... De toute façon, je veux te manger, et je te mangerai ».... Et il le mangea.
C'est pourquoi j'ai jeté cette bouteille à la mer, espérant qu'elle tombe entre de bonnes mains qui vous la feront parvenir.
La loi dit que la résiliation de contrat doit être motivée par une faute grave ou une insuffisance professionnelle, bien établies.
Le code du travail dit : (art.122-14-3) « (…) le licenciement doit obligatoirement reposer sur une cause réelle et sérieuse. (…) Ce sont donc les conseils de prud’hommes qui en apprécient l’existence en cas de litige, au vu des éléments fournis par les parties et au besoin par des mesures d’instruction. La loi précise seulement que « si un doute subsiste, il profite au salarié ».
La cause est réelle si elle repose sur des faits objectifs et incontestables. Elle doit encore être exacte, c’est-à-dire que le licenciement ne doit pas avoir pour origine un autre motif (avouable ou non).
La cause doit également être sérieuse, c’est-à-dire être suffisante pour justifier un licenciement. » Fin de citation.
Les responsables de votre rectorat ne m'accusent pas de faute grave, et pour cause.
Quant à la prétendue « Insuffisance professionnelle », si vous aviez pu lire mon dossier de défense, qu'on m'a empêché d'exposer pleinement -comme la loi l'exige- lors de la CCMA, et que je vous ai adressé, où je démontre, preuves à l’appui, la légèreté de cette accusation, vous-vous rendriez compte du ridicule de cette situation Kafkaïenne.
En effet, j'y ai:
*réfuté, point par point, toutes les allégations de mes adversaires. Je citerai, pour l'exemple, un point concret que personne ne peut contester. Parmi les reproches qu'on me fait, se trouve : "Absence de devoir maison"
Or le relevé de notes dans le site officiel "SCOLINFO", quon ne peut trafiquer, montre bien que je donnais un devoir par chapitre.
*présenté mes bons résultats que personne ne peut contester et qui sont faciles à vérifier. J’en citerai, à titre d’exemple: les moyennes de mes classes de l’an passé aux contrôles communs préparés par d’autres collègues : 14,6/20. 15,5/20 et 15,6 /20. Taux de réussite de mes élèves en cours de soutien au bac S et ES, l’an dernier : 100%,
*et cité des témoignages favorables d’élèves et de parents d’élèves…J'en citerai, à titre d'exemple,
*Celui qui m'est venu de Boston aux USA, de M. N. Degauque, actuellement chercheur dans un laboratoire affilié à l'université de Harvard -excusez du peu-, à qui j'ai donné des cours particuliers en 1995, qui lui ont permis d'avoir 18/20 au bac S et son père M. Philippe Degauque, ancien président de la chambre d'industrie des pays de La Loire, qui confirme l'efficacité de ces cours dont son fils avait besoin.
* et celui que j'ai reçu de Vannes, de la part d'une ancienne parent délégué de l'une de mes classes à St Michel, Mme Bucas qui écrit que sa fille était nulle en maths, et que grâce à m Régragui, elle est devenue première de sa classe d'élites, dans un bon collège.
J'espère, monsieur le recteur que vous allez réparer cette injustice flagrante et inhumaine qui prive de ressource, une famille de 6 personnes.
Un noyé ne craint pas de se mouiller
Sinon, je me trouverais dans l’obligation d'attaquer le rectorat en justice.Je suis disposé à aller jusqu'au bout. Je suis prêt à investir une partie de mon capital que j'ai obtenu grâce à la vente de ma maison en métropole. Si par malheur je ne gagne pas en premières instances, je ferais appel avec un ténor des barreaux (maître Vergès par exemple). Et dans le cas improbable d'un second échec, j'irais jusqu'à la cour européenne de justice.
Ma détermination n’a d’égale que l’ampleur de l’injustice dont je suis victime et la gravité de la catastrophe que je subis avec ma femme et nos quatre enfants.
Si le lion montre ses canines, ne crois pas qu’il te sourit
Tout ce que je demande, c’est qu’on me laisse exercer ce métier avec l’amour, la passion et le dévouement que j’y ai mis, depuis plus de 35ans. En effet, lycéen déjà, je donnais des cours de soutien à mes petits frères et sœur.
Citation
abdourapih a écrit:
Salam
Le Recteur de l'Académie de La Réunion, M. Mostafa Fourar, est d'origine marocaine
Le comble est que ce soit un rectorat dirigé par un marocain, (bénéficiant de la discrimination positive de N. Sarcosy) qui fait subir une discrimination négative allant jusqu'au licenciement abusif, à un autre marocain de sa génération.
Lettre ouverte à monsieur le Recteur.
Le loup, l'agneau et le lion.
Monsieur le Recteur,
j'ai eu l'honneur de vous solliciter par plusieurs courriers électroniques et deux lettres recommandées, au sujet de mon licenciement abusif -qui prive une famille de 6 personnes de ressources-, après plus de 26 ans de loyaux services, sans obtenir la moindre réponse de votre part.
Pourtant on m'a dit du bien de vous. J'en ai conclu que votre entourage leur a surement fait barrage.
En effet, je suis convaincu que, si vous aviez pu bien étudier mon dossier, vous-vous rendriez compte que cette « mise à mort », n'est que la conséquence logique du harcèlement moral, de l'acharnement administratif (je suis le seul professeur, dans toute la France, qui fut inspecté, systématiquement, chaque année, les inspecteurs « se passant le témoin » d'où l'effet domino qui a passé sous silence tous les bons résultats que j'ai obtenus), puis du lynchage bureaucratique.
Et le loup, à court d'argument, agacé par les réponses pertinentes de l'agneau, finit par lui annoncer: « ...Euh, .... De toute façon, je veux te manger, et je te mangerai ».... Et il le mangea.
C'est pourquoi j'ai jeté cette bouteille à la mer, espérant qu'elle tombe entre de bonnes mains qui vous la feront parvenir.
La loi dit que la résiliation de contrat doit être motivée par une faute grave ou une insuffisance professionnelle, bien établies.
Le code du travail dit : (art.122-14-3) « (…) le licenciement doit obligatoirement reposer sur une cause réelle et sérieuse. (…) Ce sont donc les conseils de prud’hommes qui en apprécient l’existence en cas de litige, au vu des éléments fournis par les parties et au besoin par des mesures d’instruction. La loi précise seulement que « si un doute subsiste, il profite au salarié ».
La cause est réelle si elle repose sur des faits objectifs et incontestables. Elle doit encore être exacte, c’est-à-dire que le licenciement ne doit pas avoir pour origine un autre motif (avouable ou non).
La cause doit également être sérieuse, c’est-à-dire être suffisante pour justifier un licenciement. » Fin de citation.
Les responsables de votre rectorat ne m'accusent pas de faute grave, et pour cause.
Quant à la prétendue « Insuffisance professionnelle », si vous aviez pu lire mon dossier de défense, qu'on m'a empêché d'exposer pleinement -comme la loi l'exige- lors de la CCMA, et que je vous ai adressé, où je démontre, preuves à l’appui, la légèreté de cette accusation, vous-vous rendriez compte du ridicule de cette situation Kafkaïenne.
En effet, j'y ai:
*réfuté, point par point, toutes les allégations de mes adversaires. Je citerai, pour l'exemple, un point concret que personne ne peut contester. Parmi les reproches qu'on me fait, se trouve : "Absence de devoir maison"
Or le relevé de notes dans le site officiel "SCOLINFO", quon ne peut trafiquer, montre bien que je donnais un devoir par chapitre.
*présenté mes bons résultats que personne ne peut contester et qui sont faciles à vérifier. J’en citerai, à titre d’exemple: les moyennes de mes classes de l’an passé aux contrôles communs préparés par d’autres collègues : 14,6/20. 15,5/20 et 15,6 /20. Taux de réussite de mes élèves en cours de soutien au bac S et ES, l’an dernier : 100%,
*et cité des témoignages favorables d’élèves et de parents d’élèves…J'en citerai, à titre d'exemple,
*Celui qui m'est venu de Boston aux USA, de M. N. Degauque, actuellement chercheur dans un laboratoire affilié à l'université de Harvard -excusez du peu-, à qui j'ai donné des cours particuliers en 1995, qui lui ont permis d'avoir 18/20 au bac S et son père M. Philippe Degauque, ancien président de la chambre d'industrie des pays de La Loire, qui confirme l'efficacité de ces cours dont son fils avait besoin.
* et celui que j'ai reçu de Vannes, de la part d'une ancienne parent délégué de l'une de mes classes à St Michel, Mme Bucas qui écrit que sa fille était nulle en maths, et que grâce à m Régragui, elle est devenue première de sa classe d'élites, dans un bon collège.
J'espère, monsieur le recteur que vous allez réparer cette injustice flagrante et inhumaine qui prive de ressource, une famille de 6 personnes.
Un noyé ne craint pas de se mouiller
Sinon, je me trouverais dans l’obligation d'attaquer le rectorat en justice.Je suis disposé à aller jusqu'au bout. Je suis prêt à investir une partie de mon capital que j'ai obtenu grâce à la vente de ma maison en métropole. Si par malheur je ne gagne pas en premières instances, je ferais appel avec un ténor des barreaux (maître Vergès par exemple). Et dans le cas improbable d'un second échec, j'irais jusqu'à la cour européenne de justice.
Ma détermination n’a d’égale que l’ampleur de l’injustice dont je suis victime et la gravité de la catastrophe que je subis avec ma femme et nos quatre enfants.
Si le lion montre ses canines, ne crois pas qu’il te sourit
Tout ce que je demande, c’est qu’on me laisse exercer ce métier avec l’amour, la passion et le dévouement que j’y ai mis, depuis plus de 35ans. En effet, lycéen déjà, je donnais des cours de soutien à mes petits frères et sœur.