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Lettre ouverte au recteur marocain de La Réunion
a
11 septembre 2010 12:19
Salam
Le Recteur de l'Académie de La Réunion, M. Mostafa Fourar, est d'origine marocaine
Le comble est que ce soit un rectorat dirigé par un marocain, (bénéficiant de la discrimination positive de N. Sarcosy) qui fait subir une discrimination négative allant jusqu'au licenciement abusif, à un autre marocain de sa génération.

Lettre ouverte à monsieur le Recteur.

Le loup, l'agneau et le lion.


Monsieur le Recteur,

j'ai eu l'honneur de vous solliciter par plusieurs courriers électroniques et deux lettres recommandées, au sujet de mon licenciement abusif -qui prive une famille de 6 personnes de ressources-, après plus de 26 ans de loyaux services, sans obtenir la moindre réponse de votre part.
Pourtant on m'a dit du bien de vous. J'en ai conclu que votre entourage leur a surement fait barrage.
En effet, je suis convaincu que, si vous aviez pu bien étudier mon dossier, vous-vous rendriez compte que cette « mise à mort », n'est que la conséquence logique du harcèlement moral, de l'acharnement administratif (je suis le seul professeur, dans toute la France, qui fut inspecté, systématiquement, chaque année, les inspecteurs « se passant le témoin » d'où l'effet domino qui a passé sous silence tous les bons résultats que j'ai obtenus), puis du lynchage bureaucratique.
Et le loup, à court d'argument, agacé par les réponses pertinentes de l'agneau, finit par lui annoncer: « ...Euh, .... De toute façon, je veux te manger, et je te mangerai ».... Et il le mangea.
C'est pourquoi j'ai jeté cette bouteille à la mer, espérant qu'elle tombe entre de bonnes mains qui vous la feront parvenir.

La loi dit que la résiliation de contrat doit être motivée par une faute grave ou une insuffisance professionnelle, bien établies.
Le code du travail dit : (art.122-14-3) « (…) le licenciement doit obligatoirement reposer sur une cause réelle et sérieuse. (…) Ce sont donc les conseils de prud’hommes qui en apprécient l’existence en cas de litige, au vu des éléments fournis par les parties et au besoin par des mesures d’instruction. La loi précise seulement que « si un doute subsiste, il profite au salarié ».
La cause est réelle si elle repose sur des faits objectifs et incontestables. Elle doit encore être exacte, c’est-à-dire que le licenciement ne doit pas avoir pour origine un autre motif (avouable ou non).
La cause doit également être sérieuse, c’est-à-dire être suffisante pour justifier un licenciement. » Fin de citation.
Les responsables de votre rectorat ne m'accusent pas de faute grave, et pour cause.
Quant à la prétendue « Insuffisance professionnelle », si vous aviez pu lire mon dossier de défense, qu'on m'a empêché d'exposer pleinement -comme la loi l'exige- lors de la CCMA, et que je vous ai adressé, où je démontre, preuves à l’appui, la légèreté de cette accusation, vous-vous rendriez compte du ridicule de cette situation Kafkaïenne.
En effet, j'y ai:
*réfuté, point par point, toutes les allégations de mes adversaires. Je citerai, pour l'exemple, un point concret que personne ne peut contester. Parmi les reproches qu'on me fait, se trouve : "Absence de devoir maison"
Or le relevé de notes dans le site officiel "SCOLINFO", quon ne peut trafiquer, montre bien que je donnais un devoir par chapitre.
*présenté mes bons résultats que personne ne peut contester et qui sont faciles à vérifier. J’en citerai, à titre d’exemple: les moyennes de mes classes de l’an passé aux contrôles communs préparés par d’autres collègues : 14,6/20. 15,5/20 et 15,6 /20. Taux de réussite de mes élèves en cours de soutien au bac S et ES, l’an dernier : 100%,
*et cité des témoignages favorables d’élèves et de parents d’élèves…J'en citerai, à titre d'exemple,
*Celui qui m'est venu de Boston aux USA, de M. N. Degauque, actuellement chercheur dans un laboratoire affilié à l'université de Harvard -excusez du peu-, à qui j'ai donné des cours particuliers en 1995, qui lui ont permis d'avoir 18/20 au bac S et son père M. Philippe Degauque, ancien président de la chambre d'industrie des pays de La Loire, qui confirme l'efficacité de ces cours dont son fils avait besoin.
* et celui que j'ai reçu de Vannes, de la part d'une ancienne parent délégué de l'une de mes classes à St Michel, Mme Bucas qui écrit que sa fille était nulle en maths, et que grâce à m Régragui, elle est devenue première de sa classe d'élites, dans un bon collège.
J'espère, monsieur le recteur que vous allez réparer cette injustice flagrante et inhumaine qui prive de ressource, une famille de 6 personnes.


Un noyé ne craint pas de se mouiller

Sinon, je me trouverais dans l’obligation d'attaquer le rectorat en justice.Je suis disposé à aller jusqu'au bout. Je suis prêt à investir une partie de mon capital que j'ai obtenu grâce à la vente de ma maison en métropole. Si par malheur je ne gagne pas en premières instances, je ferais appel avec un ténor des barreaux (maître Vergès par exemple). Et dans le cas improbable d'un second échec, j'irais jusqu'à la cour européenne de justice.
Ma détermination n’a d’égale que l’ampleur de l’injustice dont je suis victime et la gravité de la catastrophe que je subis avec ma femme et nos quatre enfants.
Si le lion montre ses canines, ne crois pas qu’il te sourit
Tout ce que je demande, c’est qu’on me laisse exercer ce métier avec l’amour, la passion et le dévouement que j’y ai mis, depuis plus de 35ans. En effet, lycéen déjà, je donnais des cours de soutien à mes petits frères et sœur.
s
11 septembre 2010 13:17
bonjour.
3id moubarak said au posteur et aux lecteur;
je souhaite un heureux dénouement a ton affaire.
ceci ne m'empéche pas de rajouter une note d'humour pour égaier ton histoire.
""si sarkosy lit ta lettre,il peut vous déchoire toi et le recteur de la nationalité française.
toi pour pour avoir publié cette lettre,et le recteur, pour licenciement abusif.


merci pour ton humour
on entre,on crie,et c'est lavie. on bâille,on dort,et c'est la mort. A. DE CHANCEL
f
11 septembre 2010 16:45
Et les syndicats professionnels ,quels sont leur avis?

Que vous reproche t'on concrétement?
z
14 septembre 2010 10:32
AssaLAmo 3alaycom.
mabrouc 3ydoulfetr. Wacoulla 3Amine wa'antoum bikhayr.
J'ai lu et relu avec indignation ta lettre dans son intégralité, et depuis je n'arrête pas de penser à toi et surtout à tes enfants. Comment peuvent-ils oser licencier un si bon professeur qui exerce ce métier avec amour, passion et dévouent, depuis plus de 26 ans, et qui obtient de si bons résultats. InnA lillAhi, wa'innA ilayhi rAji3oune, wahasbounA llAho wani3ma lwakyl. AllAhomma innA naj3alouca fy nohourihim wana3oudhou bica mine chourourihim. Amyne. A part mes dou3A', bien-sûr, que puis-je faire concrètement pour t'aider et m'acquitter de ce devoir fondamental pour un musulman?
N'hesite pas, je suis à ta disposition, car
]"Qui se tait devant une injustice, est un satan muet"
AllAh yançourac 3alA mane 3AdAc, wayaqyc charra mane yakydou déddac.WassalAmo 3alaycom
>
>
a
14 septembre 2010 10:46
Wa3alaycom assalAmo warahmatoullAhi, soubhAnahou, wabaracAtouh
> JAzAca allaAho, soubhAnahou, khayrane pour ton message réconfortant.
> Il m'a rappelé le hadith où notre prophète "S" Dit :
> "L'exemple des mou'minynes dans leur solidarité, leur entraide et leur soutien mutuel, est comme le corps: Si un organe se plaint, les autres le soutiennent par fièvre et insomnie"
>
> 1) Je sollicite, bien sûr tes dou3A', surtout dans cette période bénie.
> 2) Un autre service que j'espère , et qui ne te coûtera presque rien, est de faire pression sur le recteur, inondant son adresse e mail: ce.recteur@ac-reunion, par un courrier où tu exprimes ton indignation concernant ce licenciement injuste et (ou) tu lui demandes de casser cette décision inhumaine. La pression est proportionnelle au nombre de courriers, donc demande, STP, à tous ceux que tu connais,habitant La Réunion ou non, faire pareil.
> Exemple de message:
> à: ce.recteur@ac-reunion
> Cc: [email protected]
> objet: Soutie à M. Z. Régragui
>
> Monsieur le recteur,
> j'ai l'honneur de solliciter de votre bienveillance de rendre justice à M.Régragui en cassant cette décision injuste et inhumaine de le lcencier après plus de 26 ans de loyaux services durant lesquels il a obtenu de bons résultats.
> Dans l'attente d'une réponse favorable de votre part, je vous adresse, monsieur le recteur, mes salutations distinguées.
> 3) Écrire un article de protestation dans le courrier des lecteurs du JIR et du Quotidien, de La Réunion.
> 4) Téléphoner aux radios locales: Freedom, Festival..., pour pousser un "coup de gueule, en dénonçant cette injustice.
> 5) Si tu peux me permettre de solliciter l'intervention de certains élus locaux, ou de personnes influant..ou me faciliter la publication d'articles dans les médias locaux (presse écrite ou radios ou chaines de télé)...ce sera un plus non négligeable.
> 6) Diffuser ces demandes, JAzAc AllAho, soubhAnahou khayrane.
>
> AllAh, soubhAnah, ne juge pas nos actions en fonction de leur résultat, mais Il récompense, plutôt, notre intention et notre effort (selon nos moyens).
> JAzAca AllAho, soubhAnahou, khayrane.
> 3ydou lfetr moubArac wacoulla 3Amine wa'antoum bikhayr wa 3alA khayr.
> WassalAmo warahmatoullAhi, soubhAnahou, wabaracAtouh
z
17 septembre 2010 13:08
Citation
abdourapih a écrit:
Salam
Le Recteur de l'Académie de La Réunion, M. Mostafa Fourar, est d'origine marocaine
Le comble est que ce soit un rectorat dirigé par un marocain, (bénéficiant de la discrimination positive de N. Sarcosy) qui fait subir une discrimination négative allant jusqu'au licenciement abusif, à un autre marocain de sa génération.

Lettre ouverte à monsieur le Recteur.

Le loup, l'agneau et le lion.


Monsieur le Recteur,

j'ai eu l'honneur de vous solliciter par plusieurs courriers électroniques et deux lettres recommandées, au sujet de mon licenciement abusif -qui prive une famille de 6 personnes de ressources-, après plus de 26 ans de loyaux services, sans obtenir la moindre réponse de votre part.
Pourtant on m'a dit du bien de vous. J'en ai conclu que votre entourage leur a surement fait barrage.
En effet, je suis convaincu que, si vous aviez pu bien étudier mon dossier, vous-vous rendriez compte que cette « mise à mort », n'est que la conséquence logique du harcèlement moral, de l'acharnement administratif (je suis le seul professeur, dans toute la France, qui fut inspecté, systématiquement, chaque année, les inspecteurs « se passant le témoin » d'où l'effet domino qui a passé sous silence tous les bons résultats que j'ai obtenus), puis du lynchage bureaucratique.
Et le loup, à court d'argument, agacé par les réponses pertinentes de l'agneau, finit par lui annoncer: « ...Euh, .... De toute façon, je veux te manger, et je te mangerai ».... Et il le mangea.
C'est pourquoi j'ai jeté cette bouteille à la mer, espérant qu'elle tombe entre de bonnes mains qui vous la feront parvenir.

La loi dit que la résiliation de contrat doit être motivée par une faute grave ou une insuffisance professionnelle, bien établies.
Le code du travail dit : (art.122-14-3) « (…) le licenciement doit obligatoirement reposer sur une cause réelle et sérieuse. (…) Ce sont donc les conseils de prud’hommes qui en apprécient l’existence en cas de litige, au vu des éléments fournis par les parties et au besoin par des mesures d’instruction. La loi précise seulement que « si un doute subsiste, il profite au salarié ».
La cause est réelle si elle repose sur des faits objectifs et incontestables. Elle doit encore être exacte, c’est-à-dire que le licenciement ne doit pas avoir pour origine un autre motif (avouable ou non).
La cause doit également être sérieuse, c’est-à-dire être suffisante pour justifier un licenciement. » Fin de citation.
Les responsables de votre rectorat ne m'accusent pas de faute grave, et pour cause.
Quant à la prétendue « Insuffisance professionnelle », si vous aviez pu lire mon dossier de défense, qu'on m'a empêché d'exposer pleinement -comme la loi l'exige- lors de la CCMA, et que je vous ai adressé, où je démontre, preuves à l’appui, la légèreté de cette accusation, vous-vous rendriez compte du ridicule de cette situation Kafkaïenne.
En effet, j'y ai:
*réfuté, point par point, toutes les allégations de mes adversaires. Je citerai, pour l'exemple, un point concret que personne ne peut contester. Parmi les reproches qu'on me fait, se trouve : "Absence de devoir maison"
Or le relevé de notes dans le site officiel "SCOLINFO", quon ne peut trafiquer, montre bien que je donnais un devoir par chapitre.
*présenté mes bons résultats que personne ne peut contester et qui sont faciles à vérifier. J’en citerai, à titre d’exemple: les moyennes de mes classes de l’an passé aux contrôles communs préparés par d’autres collègues : 14,6/20. 15,5/20 et 15,6 /20. Taux de réussite de mes élèves en cours de soutien au bac S et ES, l’an dernier : 100%,
*et cité des témoignages favorables d’élèves et de parents d’élèves…J'en citerai, à titre d'exemple,
*Celui qui m'est venu de Boston aux USA, de M. N. Degauque, actuellement chercheur dans un laboratoire affilié à l'université de Harvard -excusez du peu-, à qui j'ai donné des cours particuliers en 1995, qui lui ont permis d'avoir 18/20 au bac S et son père M. Philippe Degauque, ancien président de la chambre d'industrie des pays de La Loire, qui confirme l'efficacité de ces cours dont son fils avait besoin.
* et celui que j'ai reçu de Vannes, de la part d'une ancienne parent délégué de l'une de mes classes à St Michel, Mme Bucas qui écrit que sa fille était nulle en maths, et que grâce à m Régragui, elle est devenue première de sa classe d'élites, dans un bon collège.
J'espère, monsieur le recteur que vous allez réparer cette injustice flagrante et inhumaine qui prive de ressource, une famille de 6 personnes.


Un noyé ne craint pas de se mouiller

Sinon, je me trouverais dans l’obligation d'attaquer le rectorat en justice.Je suis disposé à aller jusqu'au bout. Je suis prêt à investir une partie de mon capital que j'ai obtenu grâce à la vente de ma maison en métropole. Si par malheur je ne gagne pas en premières instances, je ferais appel avec un ténor des barreaux (maître Vergès par exemple). Et dans le cas improbable d'un second échec, j'irais jusqu'à la cour européenne de justice.
Ma détermination n’a d’égale que l’ampleur de l’injustice dont je suis victime et la gravité de la catastrophe que je subis avec ma femme et nos quatre enfants.
Si le lion montre ses canines, ne crois pas qu’il te sourit
Tout ce que je demande, c’est qu’on me laisse exercer ce métier avec l’amour, la passion et le dévouement que j’y ai mis, depuis plus de 35ans. En effet, lycéen déjà, je donnais des cours de soutien à mes petits frères et sœur.
z
20 septembre 2010 12:56
Citation
abdourapih a écrit:
Salam
Le Recteur de l'Académie de La Réunion, M. Mostafa Fourar, est d'origine marocaine
Le comble est que ce soit un rectorat dirigé par un marocain, (bénéficiant de la discrimination positive de N. Sarcosy) qui fait subir une discrimination négative allant jusqu'au licenciement abusif, à un autre marocain de sa génération.

Lettre ouverte à monsieur le Recteur.

Le loup, l'agneau et le lion.


Monsieur le Recteur,

j'ai eu l'honneur de vous solliciter par plusieurs courriers électroniques et deux lettres recommandées, au sujet de mon licenciement abusif -qui prive une famille de 6 personnes de ressources-, après plus de 26 ans de loyaux services, sans obtenir la moindre réponse de votre part.
Pourtant on m'a dit du bien de vous. J'en ai conclu que votre entourage leur a surement fait barrage.
En effet, je suis convaincu que, si vous aviez pu bien étudier mon dossier, vous-vous rendriez compte que cette « mise à mort », n'est que la conséquence logique du harcèlement moral, de l'acharnement administratif (je suis le seul professeur, dans toute la France, qui fut inspecté, systématiquement, chaque année, les inspecteurs « se passant le témoin » d'où l'effet domino qui a passé sous silence tous les bons résultats que j'ai obtenus), puis du lynchage bureaucratique.
Et le loup, à court d'argument, agacé par les réponses pertinentes de l'agneau, finit par lui annoncer: « ...Euh, .... De toute façon, je veux te manger, et je te mangerai ».... Et il le mangea.
C'est pourquoi j'ai jeté cette bouteille à la mer, espérant qu'elle tombe entre de bonnes mains qui vous la feront parvenir.

La loi dit que la résiliation de contrat doit être motivée par une faute grave ou une insuffisance professionnelle, bien établies.
Le code du travail dit : (art.122-14-3) « (…) le licenciement doit obligatoirement reposer sur une cause réelle et sérieuse. (…) Ce sont donc les conseils de prud’hommes qui en apprécient l’existence en cas de litige, au vu des éléments fournis par les parties et au besoin par des mesures d’instruction. La loi précise seulement que « si un doute subsiste, il profite au salarié ».
La cause est réelle si elle repose sur des faits objectifs et incontestables. Elle doit encore être exacte, c’est-à-dire que le licenciement ne doit pas avoir pour origine un autre motif (avouable ou non).
La cause doit également être sérieuse, c’est-à-dire être suffisante pour justifier un licenciement. » Fin de citation.
Les responsables de votre rectorat ne m'accusent pas de faute grave, et pour cause.
Quant à la prétendue « Insuffisance professionnelle », si vous aviez pu lire mon dossier de défense, qu'on m'a empêché d'exposer pleinement -comme la loi l'exige- lors de la CCMA, et que je vous ai adressé, où je démontre, preuves à l’appui, la légèreté de cette accusation, vous-vous rendriez compte du ridicule de cette situation Kafkaïenne.
En effet, j'y ai:
*réfuté, point par point, toutes les allégations de mes adversaires. Je citerai, pour l'exemple, un point concret que personne ne peut contester. Parmi les reproches qu'on me fait, se trouve : "Absence de devoir maison"
Or le relevé de notes dans le site officiel "SCOLINFO", quon ne peut trafiquer, montre bien que je donnais un devoir par chapitre.
*présenté mes bons résultats que personne ne peut contester et qui sont faciles à vérifier. J’en citerai, à titre d’exemple: les moyennes de mes classes de l’an passé aux contrôles communs préparés par d’autres collègues : 14,6/20. 15,5/20 et 15,6 /20. Taux de réussite de mes élèves en cours de soutien au bac S et ES, l’an dernier : 100%,
*et cité des témoignages favorables d’élèves et de parents d’élèves…J'en citerai, à titre d'exemple,
*Celui qui m'est venu de Boston aux USA, de M. N. Degauque, actuellement chercheur dans un laboratoire affilié à l'université de Harvard -excusez du peu-, à qui j'ai donné des cours particuliers en 1995, qui lui ont permis d'avoir 18/20 au bac S et son père M. Philippe Degauque, ancien président de la chambre d'industrie des pays de La Loire, qui confirme l'efficacité de ces cours dont son fils avait besoin.
* et celui que j'ai reçu de Vannes, de la part d'une ancienne parent délégué de l'une de mes classes à St Michel, Mme Bucas qui écrit que sa fille était nulle en maths, et que grâce à m Régragui, elle est devenue première de sa classe d'élites, dans un bon collège.
J'espère, monsieur le recteur que vous allez réparer cette injustice flagrante et inhumaine qui prive de ressource, une famille de 6 personnes.


Un noyé ne craint pas de se mouiller

Sinon, je me trouverais dans l’obligation d'attaquer le rectorat en justice.Je suis disposé à aller jusqu'au bout. Je suis prêt à investir une partie de mon capital que j'ai obtenu grâce à la vente de ma maison en métropole. Si par malheur je ne gagne pas en premières instances, je ferais appel avec un ténor des barreaux (maître Vergès par exemple). Et dans le cas improbable d'un second échec, j'irais jusqu'à la cour européenne de justice.
Ma détermination n’a d’égale que l’ampleur de l’injustice dont je suis victime et la gravité de la catastrophe que je subis avec ma femme et nos quatre enfants.
Si le lion montre ses canines, ne crois pas qu’il te sourit
Tout ce que je demande, c’est qu’on me laisse exercer ce métier avec l’amour, la passion et le dévouement que j’y ai mis, depuis plus de 35ans. En effet, lycéen déjà, je donnais des cours de soutien à mes petits frères et sœur.
f
20 septembre 2010 16:16
Le Recteur de l'Académie de La Réunion, M. Mostafa Fourar, est d'origine marocaine
Le comble est que ce soit un rectorat dirigé par un marocain, (bénéficiant de la discrimination positive de N. Sarcosy) qui fait subir une discrimination négative allant jusqu'au licenciement abusif, à un autre marocain de sa génération.


Je ne comprends rien à vos propos...un licenciement reste un licenciement en dehors de toute autre connotation...


Que vous reproche-t'on?
z
2 octobre 2010 15:00
Salam
Je suis indigné par tant d'injustice!!!
Comment peut-on t'aider?
Car celui qui se tait devant une injustice, est un satan muet.
Bon courage.
Salam
a
4 octobre 2010 13:33
Wa3alaycom assalAm.
Merci pour ton message. Là je reconnais, enfin, la chaleur humaine et la solidarité des marocains et des musulmans.
Le service que je demande est très facile, sans engagement et ne coûte rien.
Il suffit de copier cette lettre ouverte (copier-coller) et de l'adresser par mail, au recteur de La Réunion et aux deux quotidiens de cette île française.
De:
à: ce.recteur@ac-reunion, [email protected], [email protected], [email protected],
cc:[email protected]
Le but est de faire pression, à l'image de ce que font des organismes humanitaires comme avvaaz, amnesty international, humain ...
La pression est proportionnelle au nombre de messages envoyés. Par conséquent, je te prie de demander à toutes tes connaissances d'en faire autant, et un même personne peut utiliser plusieurs adresses pour multiplier les envois.
Merci beaucoup d'avance.
WassalAmo, 3alaycom
z
13 octobre 2010 12:34
SalAm
Je ne comprends pas pourquoi tous ceux qui ont lu cette lettre n'ont pas accompli ce devoir sacré de défendre un frère en envoyant ce message aux quotidiens et au recteur de La Réunion. D'autant plus que cela ne les engage à rien et ne leur coûte que quelques clics.
Pour ma part, je l'ai fait plusieurs fois et demandé à des amis de le faire.
Puisse AllAh, soubhAnah te soutenir dans cette rude épreuve. HasbounA llAho wani3ma lwakyl.
Wassalamo 3alaycom
f
13 octobre 2010 18:24
On ne peut envoyer un tel courrier voyons sans un minimun d'information
a
18 octobre 2010 12:59
« Ali demande à son épicier:
> - Un soda, SVP
> - Quelle marque?
> - Bof, un Coca ferait l'affaire.
> Light ou non?
> Normal
> Grande, moyenne ou petite?
> Tiens, une petite
> En verre, plastique ou cannete?
> Une cannette
> Je n'en ai pas.
> En plastique, alors.
> Je n'en ai pas.
> Tant pis, en verre
> Je n'en ai pas.
> Dans ce cas donnez-moi une moyenne
> Je n'en ai pas.
> Un Pepsi
> Je n'en ai pas.
> Un Fanta
> Je n'en ai pas.
> La belle affaire! Donnez-moi n'importe quelle boisson.
> Je n'en ai pas.
> Mais puisque vous n'avez rien, pourquoi me cuisinez-vous avec votre interrogatoire inutile?!!! »
>
> Voilà des semaines, voire des mois, que je vous ai exposé mon problème. « Alhorre belremzah, wal3abd beddebzah »
> Tout ce que j'ai reçu, c'est des paroles et paroles et paroles -comme dit la chanson-. Et encore des donneurs de leçons: « Pourquoi tu as fait ceci? », « Tu aurais dû faire cela »...et ce alors que je demandais des petites actions qui ne coûtent presque rien: un copier-coller, quelques petits clics pour envoyer un message anonyme au rectorat, et aux quotidienx locaux pour publier cette lettre ouverte dans leur courrier des lecteurs.
Merci beaucoup aux rares personnes serviables qui ont accompli ce devoir, facile, rapide et qui peut rapporter gros.
D
18 octobre 2010 15:26
Salam Abdourapih,

N'y a-t-il pas des voies de recours ? Avez-vous écrit au ministre ?
a
20 octobre 2010 09:52
Salam
L'unique recours qui me reste est le tribunal administratif. J'ai du mal à trouver un avocat sérieux, motivé et compétent pour porter l'affaire en justice.
A moins que la pression populaire, par une pétition soutenue par des centaines de personnes, même non résidents à La Réunion, qui écrivent aux quotidiens locaux et au recteur, fasse plier ce dernier. C'est ce que je demande aux personnes de bonnes volonté à travers ce forum, depuis longtemps, en vain malheureusement.
Le poéte arabe dit: "Tu seras entendu si tu parlais à des vivants, mais point de vie en ceux à qui tu t'adresses"
Merci pour ton intérêt.
Salam
z
22 octobre 2010 13:06
SalAm
Je te félicite pour ton humour en répondant d'une manière intélligeante (l'annecdote de l'épicier) à Gémia et aux charognards qui au lieu de t'aider en envoyant par copier-coller , ta lettre ouverte aux quotidiens de La Réunion:
[email protected], [email protected], [email protected], [email protected], ce.recteuràac-reunion.fr
ce qui ne leur coûte presque rien et ne les engagent à rien,
cherchent des pretextes ridicules et découragent même les autres de le faire.
Courage.
SalAm
f
22 octobre 2010 13:22
à Gémia et aux charognards

c'est injurieux et déplacé...je proteste...
z
25 octobre 2010 13:11
SalAm
Connaissez-vous l'histoire du prophète SoulaymAne et du voleur de pigeons? Quand il dit à celui qui venait se plaindre :"...Tu ne vois pas que celui qui t'as volé les pigeons a encore une plume sur la tête?"
SalAm
a
5 novembre 2010 11:15
Salam
merci zakabounour pour ton soutien. Je crains que la plupart des lecteurs ne comprennent pas l'histoire que tu mentionnes, ni le rapport avec "la protestation" de Gémia.
Je me permets donc d'en préciser la fin pour donner un indice.
...Un des suspects a passé sa main sur sa tête, et Soulaymane dit : "Le voilà ton voleur!!".
En fait personne n'avait de plume sur la tête.
Un proverbe marocain dit: "Ly fyh lfezz tayqfez"
Salam.
z
16 novembre 2010 13:24
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
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