Adieux dis fois au plus aimé des frères Las des adieux, c’est le moment Aux compagnons, ami et collègues Jusqu’au jour du jugement
Allons, je quitte cette aire bien libre Pour l’exil et l’oubli Et mon foyer aux parfumes tendres Pour la solitude, le deuil et les regrets
Je partirais de longues années Tant que bien et mal ont même lois Jusqu'à l’appel de dieu clément Et les prières de ma pure foi Pour mon frère bien aimé L’aube d’une nouvelle naissance Me sacrifier pour ta délivrance.