Leila Trabelsi ou l’irrésistible ascension d’une apprentie coiffeuse devenue femme de dictateur et la chef du clan mafieux le plus puissant du Maghreb. En 23 ans de règne l’ogresse cruelle de Carthage a pillé sans pitié tout un pays au profit de sa famille. Itinéraire stupéfiant d’une shampouineuse sans morale qui a rasé la Tunisie. Née d’une famille modeste et unique fille de onze enfants (heureusement qu’il y en avait pas deux filles), elle grandit à El-Hafsia un des quartiers pauvres et délabrés de la médina de Tunis, son père vendeurs de fruits secs et la mère au foyer à élever la nombreuse famille. Après des études primaires Leïla entre a l’école de coiffure où elle a des difficultés car pas très portée sur les études. Fille très facile, prostituée à l’occasion et par ambitions, libérées dans ses mœurs Leïla est connue comme fille des nuits chaudes de Tunis. Elle sort beaucoup et est surnommée par les habitués des boites de nuit « Leïla Gin » parce qu’elle est grande consommatrice de cette alcool, à 18 ans elle épouse Khalil Maaouia directeur de l’agence Avis Tunisie. La jeune Leïla s’ennuie ferme dans le mariage, son mari souvent absent ils finissent par divorcer au bout de trois ans. Leïla abandonne totalement la coiffure et pistonnée finit hôtesse dans une agence de voyage proche du milieu aisé de Tunis. Elle fait la connaissance de Farid Mokhtar, industriel et beau frère de Mohamed Mzali premier ministre de Bourguiba et grâce à cette rencontre et son savoir faire sexuel, elle parvient sans connaissance du métier à se faire embaucher comme secrétaire de direction et débute sa vie dans la haute société de Tunis. Intrigante opportuniste et culotée la shampouineuse vogue à son aise dans ce milieu corrompu du pouvoir jusqu’à ce que son mari Farid excédé par les infidélités de cette épouse qui use les lits des hommes importants, rompt avec elle et meurt dans un accident douteux alors qu’elle est déjà la maitresse d’un certain Ben Ali chef de la sureté générale. Amoureux passionné de cette spécialiste des trucs pour hommes, Ben Ali en ce temps marié à Naïma Keffi dont il divorcera pour la Leïla qu’il installe dans une villa luxueuse où elle aura son premier enfant en 1986 Nasrine Ben Ali, l’année d’après nommé par Bourguiba ministre de l’intérieur , Ben Ali renverse le vieux dictateur et se fait élire pour 23 ans de terreur. Il régularisera en épousant Leïla en 1992 et à partir de ce moment la hyène de Carthage va s’accaparer le pouvoir et par la même octroie les postes clés et la gestion des richesses à ses proches. Elle exige du pantin Ben Ali a ce qu’aucune décision d’état ne soit prise sans son accord, c’est elle qui nomme les hauts fonctionnaires, les conseillers, les ministres, elle reçoit dans sa chambre à coucher et en fonction des prestations du candidat il faisait carrière ou échouait. Les Trabelsi se saisissent du pouvoir grâce à leur sœur et cousine, aucun investissement n’est accordé sans que les Trabelsi n’aient leur part importante et ils deviennent si voraces que bien des investisseurs utiles abandonnent, ils ont la mainmise sur les banques, l’industrie, l’immobilier, les médias, le téléphone, tout ce qui peut les enrichir et dépouiller le pays. La belle famille du président sans pouvoir tient les rennes par la terreur en imposant racket, pots de vin, corruption, trafic de drogue régnant en maitres et en toute impunité. Aujourd’hui toute cette racaille née d’alliance consanguine grave qui n’avait rien qui intellectuellement les destinait à gouverner un pays sinon la complicité d’un Ben Ali assujetti et drogué et autres ministre et policiers Hypnotisés par une femme quelconque mais sachant dispenser le sexe, ce qui fera dire au gens du futur qu’une cruelle et immorale créature sans charme particulier mais par ses fesses a fait le malheur d’un peuple. Les Trabelsi et ce Ben Ali qui leur a livré la Tunisie seraient tous, en d’autres temps écartelés en place publique pour le mal qu’ils ont fait pendants ces 23 années..
WAAAAW ..... Il faut la pendre, haut et court, cette stupifr nana qui a ruiné la tunisie ainsi que tous ses proches. Ils sont tous coupables et responsables de ce jeu de massacre... qu'ils rapatrient toutes les richesses, à commencer par la tone et demie d'or pur qu'elle a piqué au peuple tunisien. Il faut rendre à sézar ce qui appartient à sézar. Les tunisiens ont besoin de cet argent détourné et de tous les biens pour qu'ils puisent construire leur pays.
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