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L'Islamiste Belliraj: Le chef du réseau a commis six assassinats en Belgique
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21 février 2008 08:04
Maroc: Le chef du réseau a commis six assassinats en Belgique
RABAT - Le chef du réseau islamiste démantelé en début de semaine au Maroc a commis six assassinats entre 1986 et 1989 en Belgique, a déclaré mercredi le ministre marocain de l'Intérieur Chakib Benoussa.
le zmagri criminel "Abdelkader Belliraj, alias "Ilyass" et "Abdelkrim", né en 1957 dans la région de Nador (nord du Maroc), et possédant les nationalités marocaine et belge.
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21 février 2008 08:37
RABAT (AFP) — Le Premier ministre marocain Abbas El Fassi a annoncé mercredi la dissolution du parti islamiste Al Badil Al Hadari (Alternative civilisation) alors que la police a fait état de la saisie de nombreuses armes à feu lors du "démantèlement d'un réseau terroriste".

La dissolution du parti, dont le chef Mustapha Moâtassim a été placé en garde à vue lundi, a été décidée "compte tenu des liens avérés entre ce réseau (démantelé) et la création même du parti", a indiqué le Premier ministre dans un communiqué.

M. El Fassi a également évoqué "des indices graves quant à l'implication des principaux dirigeants" de ce parti.

Al Badil Al Hadari, petit parti islamiste, avait été officiellement autorisé en 2005. Deux de ses dirigeants ont été placés en garde à vue lundi.

Une source sécuritaire a par ailleurs annoncé mercredi la saisie d'un important lot d'armes lors du démantèlement du réseau terroriste présumé.

L'arsenal saisi est notamment constitué de neuf fusils d'assaut Kalachnikov, deux fusils-mitrailleurs, sept pistolets-mitrailleurs, 16 pistolets automatiques ainsi que des chargeurs et munitions de différents calibres et des détonateurs, a-t-on ajouté.

Selon la même source, les membres du réseau recourent aux "braquages" pour financer leurs activités. En 2001, ils avaient introduit au Maroc une somme équivalant à 30 millions de dirhams (2,7 millions d'euros) issue du braquage commis une année auparavant du siège central de la société Brinks au Luxembourg.

Les fonds du réseau provenant de différentes activité illicites ont été investis, pour blanchiment, dans des projets touristiques, immobiliers et commerciaux dans plusieurs villes du Maroc, selon la police.

Des bijoux volés en Belgique ont été introduits au Maroc où ils ont été changés en lingots par un orfèvre, également sous les verrous, a-t-on indiqué.

"Les résultats de l'enquête ont fait apparaître que les personnes impliquées dans le réseau Belliraj (du nom de son chef présumé) ont des liens avérés" avec cinq formations islamistes, selon une source sécuritaire.

Il s'agit de la Chabiba Islamya (Jeunesse islamique, interdite), deux groupes présentés sous les noms de Mouvement révolutionnaire islamique marocain (MRIM), et Mouvement des moujahidines au Maroc, le parti Oumma (non autorisé) et Al Badil Al Hadari, officiellement autorisé en 2005.

En outre, les autorités marocaines avaient annoncé mardi soir l'arrestation d'un total de trente-deux personnes, dont un officier de police et un journaliste dans le cadre de cette affaire.

Sur la liste des personnes arrêtées figure le nom d'un journaliste marocain, Abdelhafid Sriti, correspondant à Rabat de la télévision libanaise Al Manar du Hezbollah.

Trois résidents marocains en Belgique, dont le chef présumé du réseau Abdelkader Belliraj, figurent parmi les prévenus.

M. Belliraj est soupçonné d'avoir commis six assassinats et plusieurs braquages en Belgique, a par ailleurs annoncé mercredi le ministre marocain de l'Intérieur Chakib Benmoussa.

"Abdelkader Belliraj, alias "Ilyass" et "Abdelkrim", né en 1957 dans la région de Nador (nord du Maroc), et possédant les nationalités marocaine et belge, a commis six crimes en Belgique de 1986 à 1989", a affirmé Chakib Benmoussa lors d'une conférence de presse.

D'autre part, plusieurs journaux ont souligné mercredi la "stupéfaction" de l'opinion publique après l'arrestation de cadres islamistes réputés modérés.

Le Soir (indépendant) note que c'est la première fois depuis le début de la lutte antiterroriste au Maroc que des dirigeants de partis islamistes sont interpellés pour d'éventuelles liaisons avec le terrorisme.

Le Maroc a adopté en 2004 une loi antiterroriste pour affronter les mouvements extrémistes qui en mai 2003 avaient perpétré des attentats ayant fait 45 morts dont 12 kamikazes à Casablanca.

En 2007, d'autres explosions se sont produites, en mars et avril, dans la même ville. Enfin, une tentative d'attaque-suicide visant des touristes étrangers a eu lieu le 13 août à Meknès (120 km à l'est de Rabat).
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21 février 2008 08:46
Grand choc au Maroc aprés la conférence de presse du ministre de l'intérieur
(le Matin: un journal qotidien marocain)

Le parti de Mostafa Lmouatassime et Mohamed Regala devait servir de couverture officielle à un projet remontant à plusieurs années et visant l'assassinat de plusieurs personnalités, civiles, militaires et de confession juive, ainsi que plusieurs autres cibles

Le réseau «Belliraj» procédait aux braquages en Europe, au transfert des fonds, aux opérations immobilières, touristiques et commerciales au Maroc à des fins de blanchiment pour financer ses projets. En décrétant la dissolution du parti «Al Badil al-Hadari», le Premier ministre, M. Abbas El Fassi, s'est conformé aux dispositions de l'article 57 de la loi relative aux partis politiques.

Cet article, dans sa clarté limpide, dispose que «sera dissous, par décret, tout parti politique qui inciterait à des manifestations armées dans la rue, ou qui présenterait, par sa forme et son organisation militaire ou paramilitaire, le caractère de groupes de combat ou de milices privées ou qui aurait pour but de s'emparer du pouvoir par la violence, de porter atteinte à la religion islamique, au régime monarchique ou à l'intégrité territoriale du Royaume». Invoqué et appliqué aujourd'hui à l'encontre de «Al Badil al-Hadari», cet article peut-il prêter à équivoque au moment où, d'une découverte stupéfiante de réseau à la saisie spectaculaire d'un arsenal de guerre, l'opinion publique se trouve confrontée à ce terrorisme rampant et à sa variante idéologique qui - à travers un parti politique officiel - n'a jamais été aussi insidieux et dissimulé, parce qu'il épouse le visage d'une certaine légalité, veut fonctionner au mode de la transparence et fourvoyer les citoyens. Inutile de dire que c'est-là un nouveau choc pour tout le monde ! Le démantèlement du réseau terroriste «Belliraj» lundi dans la journée a été accompagné, dans le cadre d'une enquête légale et respectueuse des normes, de nombreuses perquisitions dans les domiciles et les locaux, résidences et lieux de travail des personnes arrêtées.

Le ministère de l'Intérieur, mobilisé à travers toutes ses instances, a annoncé mercredi matin que les services de sécurité ont découvert, notamment à Casablanca et à Nador, d'importantes quantités d'armes, des lots de munitions, d'artifices pyrotechniques. Par la même occasion, ils se sont emparés de plusieurs articles destinés à être utilisés pour garantir l'anonymat des auteurs de la série de crimes planifiés. La police judiciaire, poursuivant ses investigations, a fait état de nouvelles découvertes aussi effarantes que les premières.

Elles restituent le circuit qu'emprunte le réseau démantelé. Ces investigations permettent aux enquêteurs de « déterminer l'origine du financement du réseau « Belliraj ». Ce financement provient essentiellement de braquages, de recels et de contributions directes effectuées par des membres du réseau terroriste.

Le ministère de l'Intérieur, soucieux d'apporter la plus grande clarté dans cette affaire, rappelle que le braquage commis en 2000 au siège central du groupe BRINKS au Luxembourg, par un membre du réseau Belliraj, avait permis de cueillir la somme de 17,5 millions d'Euros (200 millions de dirhams). Le braquage s'était déroulé avec la complicité avérée de truands notoires, connus sur les places européennes et le butin volé a permis au réseau terroriste « Belliraj » de rapatrier au Maroc l'équivalent d'un montant de 30 millions de dirhams. Le ministère de l'Intérieur souligne, par ailleurs, que ces fonds ont été déployés et investis dans des opérations de blanchiment d'argent sur des projets immobiliers, touristiques et commerciaux à travers plusieurs villes du Maroc.

Le fruit de ces investissements devait servir au financement des activités du réseau terroriste, les biens immobiliers acquis devant en effet constituer le refuge des opérations malveillantes du réseau terroriste. On apprend, par ailleurs, que les recels découverts concernent des bijoux volés en Belgique, ils ont été ensuite introduits au Maroc, transformés en lingots par le biais d'un membre du réseau terroriste connu pour être un orfèvre en la matière et destinés enfin à être revendus et écoulés.

Les investigations se poursuivent toujours, comme devait l'indiquer hier soir le ministre de l'Intérieur au cours d'une conférence de presse à Rabat. L'enquête a permis de découvrir les ramifications des personnes impliquées dans le réseau « Belliraj » avec la Chabiba al-islamya (MJIM), le mouvement révolutionnaire islamique marocain (MRIM), Harakat al-Moujahidin fi-al-Maghrib, Al Haraka min-ajli al-Oumma, des groupuscules non reconnus et enfin avec Al Badil al-Hadari, connu jusqu'ici comme un parti politique dirigé par Mostafa Mouatassim.
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21 février 2008 09:12
Plus d'information sur le parti islamiste dissout au Maroc (AFP)

La police marocaine a saisi des armes dans les locaux du parti islamiste « Al Badil Al Hadari ».

Le gouvernement marocain a annoncé mercredi l'interdiction du mouvement islamiste « Al Badil al Hadari » (Alternative civilisationnelle). Il est accusé d’avoir des liens avec un réseau djihadiste « très dangereux » démantelé ces dernières 48 heures. Lors des descentes de police visant cette organisation dirigée à partir de la Belgique par un Marocain expatrié, Abdelkader Belliradj, des dizaines d'armes ont été saisies.

Le chef d'un réseau islamiste démantelé lundi est soupçonné d'avoir commis plusieurs assassinats et braquages en Belgique. Abdelkader Belliraj, qui possède les nationalités marocaine et belge, a commis six crimes en Belgique de 1986 à 1989, c’est ce qu'a annoncé mercredi le ministre marocain de l'Intérieur Chakib Benmoussa. Ces crimes n'ont pas jusqu'à présent été élucidés.

Benmoussa a souligné que ce réseau avait des liens avec des groupes et organisations terroristes internationaux, particulièrement al-Qaïda, le Groupe islamique combattant marocain (GICM) et le Groupe salafiste pour la prédication et le combat, le GSPC algérien, devenu Branche d'al-Qaïda au Maghreb islamique.

Belliraj fait partie des 32 personnes arrêtées lundi et mardi pour appartenance ou complicité avec un important réseau terroriste. Parmi ces personnes figurent également le chef du parti islamiste « Al Badil Al Hadari » (Alternative civilisationnelle), et le porte-parole Mohamed Amine Régala.

A la suite de ces arrestations, le Premier ministre marocain Abbas El Fassi a annoncé mercredi la dissolution de ce petit parti – qui avait été autorisé en 2005 – en raison des liens avérés entre le réseau démantelé et la création même du parti.

C'est la première fois depuis le début de la lutte antiterroriste au Maroc que des dirigeants de partis islamistes réputés modérés sont interpellés pour d'éventuelles liaisons avec le terrorisme.
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21 février 2008 10:33
Le chef du réseau islamiste démantelé en début de semaine au Maroc est soupçonné d'avoir commis six assassinats et plusieurs braquages en Belgique, a annoncé mercredi le ministre marocain de l'Intérieur Chakib Benmoussa.
"Abdelkader Belliraj, alias "Ilyass" et "Abdelkrim", né en 1957 dans la région de Nador (nord du Maroc), et possédant les nationalités marocaine et belge, a commis six crimes en Belgique de 1986 à 1989", a affirmé Chakib Benmoussa lors d'une conférence de presse.

Selon le ministre, les meurtres ont été commis par Belliraj "avant la mise en place en 1992 des bases du réseau terroriste en question". Par ailleurs, entre 1992 et 2001, les membres du réseau ont organisé une série de braquages ou de tentatives de braquage, a poursuivi M. Benmoussa, ajoutant qu'en 1996, le réseau avait tenté d'assassiner un citoyen marocain de confession juive et qu'il avait planifié d'autres assassinats en 1992, 1996, 2002, 2004 et 2005.

M. Benmoussa a annoncé que le groupe, dont au moins trois membres avaient la nationalité belge, avait l'intention d'assassiner des ministres, des militaires et des Juifs. "Le réseau terroriste Belliraj projetait de perpétrer des attentats terroristes à l'aide d'armes à feu et d'explosifs et d'assassiner des personnalités marocaines en vue. (...) Il avait inscrit comme cible des ministres, des officiers supérieurs et des citoyens marocains de confession juive", a assuré le ministre.
Quelque 32 personnes ont été arrêtées lundi et mardi pour appartenance ou complicité avec un "important réseau terroriste à soubassement jihadiste", selon les autorités marocaines.
M. Benmoussa a souligné que ce réseau avait "des liens avec des groupes et organisations terroristes internationaux, particulièrement Al Qaïda, le Groupe islamique combattant marocain (GICM) et le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC, algérien, devenu Branche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique)".
Le ministre a ajouté que "certains membres de ce réseau terroriste ont bénéficié, grâce aux relations nouées par Abdelkader Belliraj avec des organisations terroristes internationales, d'entraînement au maniement des armes et à la fabrication d'explosifs à partir de produits chimiques disponibles sur le marché".

Le chef d'un réseau islamiste démantelé en début de semaine au Maroc est soupçonné d'avoir commis six assassinats et plusieurs braquages en Belgique, a annoncé mercredi le ministre marocain de l'Intérieur Chakib Benmoussa.
"Abdelkader Belliraj, alias "Ilyass" et "Abdelkrim", né en 1957 dans la région de Nador (nord du Maroc), et possédant les nationalités marocaine et belge, a commis six crimes en Belgique de 1986 à 1989", a affirmé Chakib Benmoussa lors d'une conférence de presse.
"La Belgique n'a pas identifié jusqu'à présent l'auteur. Maintenant que nous savons qui il est, nous allons l'informer pour rouvrir l'enquête à travers Interpol", a-t-il dit.
Selon le ministre, les meurtres ont été commis par Belliraj "avant la mise en place en 1992 des bases du réseau terroriste en question". Par ailleurs, entre 1992 et 2001, les membres du réseau ont organisé une série de braquages ou de tentatives de braquage, a poursuivi M. Benmoussa, ajoutant qu'en 1996, le réseau avait tenté d'assassiner un citoyen marocain de confession juive et qu'il avait planifié d'autres assassinats en 1992, 1996, 2002, 2004 et 2005.
M. Benmoussa a annoncé que le groupe, dont au moins trois membres avaient la nationalité belge, avait l'intention d'assassiner des ministres, des militaires et des Juifs. "Le réseau terroriste Belliraj projetait de perpétrer des attentats terroristes à l'aide d'armes à feu et d'explosifs et d'assassiner des personnalités marocaines en vue. (...) Il avait inscrit comme cible des ministres, des officiers supérieurs et des citoyens marocains de confession juive", a assuré le ministre.
Quelque 32 personnes ont été arrêtées lundi et mardi pour appartenance ou complicité avec un "important réseau terroriste à soubassement jihadiste", selon les autorités marocaines.
M. Benmoussa a souligné que ce réseau avait "des liens avec des groupes et organisations terroristes internationaux, particulièrement Al Qaïda, le Groupe islamique combattant marocain (GICM) et le Groupe salafiste pour la prédication et le combat (GSPC, algérien, devenu Branche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique)".
Le ministre a ajouté que "certains membres de ce réseau terroriste ont bénéficié, grâce aux relations nouées par Abdelkader Belliraj avec des organisations terroristes internationales, d'entraînement au maniement des armes et à la fabrication d'explosifs à partir de produits chimiques disponibles sur le marché".
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21 février 2008 14:20
L achasse aux islamistes criminels commence à faire tomber leur pouvoyeurs. Après le vol comme methode de financement, c'est le tour aux prostitution des voilées et les caids de la drogue?????

Un autre gangster a écroué: [www.lessentiel.lu]


Abdellatif Bekhti: un terroriste avec une tête de «type sans histoire»
Celui qui a participé au braquage de la Brink’s n’avait rien d’un bandit et encore moins d’un teroriste. Il blanchissait pourtant de l’argent pour le compte du réseau islamiste démantelé hier au Maroc.
Abdellatif Bekhti pourrait être remis aux autorités luxembourgeoises. (Photo: police grand-ducale)Contexte-Box
Les 30 millions de la Brink's finançaient le terrorismeInfo-Box
Le parcours de Abdellatif Bekhti

17 avril 2000: un commando auquel appartient Bekhti déronbe plus de 17 millions d'euros au siège de la Brink's à Kehlen.

Janvier 2003: Bekhti, seul jugé du commando, est condamné à 20 ans de prison par la chambre criminelle de Luxembourg.

Mars 2003: aidé de 7 complices, il s'évade le prison de Schassig.

Février 2008: il est arrêté au Maroc et soupçonné d'appartenir à une organisation terroriste qui préparait des attentats contre des ministres et la communauté juive.Certains le pensaient mort après son évasion de la prison de Schrassig en janvier 2003. Condamné à 20 ans de réclusion par la chambre criminelle de Luxembourg, pour le braquage de la société Brink’s, l’homme a toujours nié mais ses empreintes ont été retrouvées sur les restes du butin quelque part dans un bosquet en Belgique.

L’homme s’est évadé deux mois après sa condamnation, aidé de 7 complices armés jusqu’aux dents. Ils ont escaladé le mur d'enceinte à l'aide d'une grande échelle et ont libéré le prisonnier.

Plus de nouvelles jusqu’à hier où son nom est réapparu dans la liste des enquêteurs marocains. L’homme avait donc injecté sa part de butin (près de 2,5 millions sur les 17 millions dérobés) dans une organisation terroriste qui fomentait des attentats contre des ministre et la communauté juive.

Selon l’enquête marocaine, Bekhti était chargé de blanchir les fonds notamment via des projets touristiques, immobiliers ou commerciaux dans plusieurs villes du Maroc.

L’homme sans histoires, n’avait pas le profil d’un braqueur et encore moins d’un terroriste se souviennent les acteurs de son procès en 2003. «Il avait le comportement de quelqu’un qui a toujours vécu dans l’anonymat» confie Pierre Medinger, chef de la section du grand banditisme de la police grand-ducale. «Il était plutôt insignifiant. Il me faisait penser au brave maçon marocain sans histoire (…) le type qui fait tout pour éviter les ennuis (…) il n’avait pas le look du gangster» se souvient une ancienne journaliste du Quotidien qui avait suivi son procès en 2003.

Et pourtant, lors de la perquisition, la police marocaine a saisi neuf fusils d’assaut Kalachnikov, deux fusils mitrailleurs, sept pistolets mitrailleurs, seize pistolets automatiques, des chargeurs, de munitions et des détonateurs. Un véritable arsenal constitué pour tuer.

On ne sait pas encore si Abdellatif Bekhti sera remis aux autorités luxembourgeoises.
 
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