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LeMask a écrit:
Je sais que l'être humain voit ce qu'il a envie de voir, et que vos interprétations en disent plus sur vous que sur la personne ou les éléments que vous jugez...
Mais il faut être vachement tordu pour réagir comme vous. Moi je m'inquiète gravement pour vous les filles. Pour vous attaquer à gemia ainsi, après avoir lu cela, avec ces réactions là... Il faut avoir des problèmes très sérieux de compréhension, de logique, de savoir vivre, de savoir faire etc etc...
Bon, je vous donne un conseil, piquez votre crise sur l'insoumise de Beyrouth, vous serez sur la bonne voie.
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gemia a écrit:
J'ai tué Schéhérazade...
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Si vous abordez ces pages en quête de vérités que vous croyez déjà connaître ; si vous espérez être conforté dans votre vision orientaliste, ou rassuré quant à vos préjugés anti-Arabes ; si vous vous attendez à entendre l'incessante berceuse du conflit des civilisations, mieux vaut ne pas poursuivre. Car je ferai dans ce livre tout ce qui est en mon pouvoir pour vous "décevoir".
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C'est en ces termes que Joumana Haddad, l'auteur de "J'ai tué Schéhérazade : Confessions d'une femme arabe en colère", s'adresse au lecteur occidental avant de lui expliquer comment elle et ses semblables peuvent être des femmes libres dans un monde arabe pourtant ravagé par le despotisme et l'obscurantisme. Mêlant témoignage personnel, méditations, poèmes, elle raconte d'abord ses premiers émois, lectrice toute jeune encore du marquis de Sade, puis son expérience d'adolescente qui grandit dans une ville en guerre, Beyrouth, puis de jeune femme écrivant de la poésie libertine, enfin de femme de quarante ans qui édite le premier magazine érotique en langue arabe. Tuer Schéhérazade, c'est à la fois vivre et penser en femme libre, en femme arabe et libre, comme il en existe tant... qu'on s'interdit de voir et d'entendre.
Biographie de l'auteur
Joumana Haddad est née à Beyrouth en 1970.
Elle dirige les pages culturelles du quotidien An-Nahar, ainsi que le magazine JASAD (Corps) qu'elle a fondé en 2009.
Journaliste et traductrice polyglotte, elle a interviewé de grands écrivains comme Umberto Eco, Wole Soyinka, Paul Auster, José Saramago, Mario Vargas Llosa.
Poétesse, elle a publié cinq recueils dont certains ont été traduits dans les principales langues européennes.
Dans la presse
Dans Les Mille et une nuits, Schéhérazade échappe à la mort en distrayant le roi Schahriar avec ses histoires sans fin. "Ainsi, on nous persuade que pour réussir dans la vie il faut satisfaire l'homme. Par une fable, un repas, une paire de seins siliconés, une bonne partie de jambes en l'air !", s'insurge Joumana. Schéhérazade, "objet d'une adoration écœurante de la part des adeptes de l'exotisme orientaliste", a été démasquée : elle n'incarnait en réalité qu'un "complot" contre les femmes. Aussi fallait-il qu'elle mourût...
Joumana Haddad déteste les étiquettes. Et s'ennuyer. Grande gueule, ultraféminine, poétesse, écrivaine, journaliste, maman, intellectuelle, provocatrice, narcissique, hyperactive... Autant de qualificatifs qui lui correspondent mais échouent à la définir.
En feuilletant un livre sur la mythologie, elle a fini par trouver "son" modèle. Sa chapelle, même, pourrait-on dire, si tout ce qui se rapporte à la religion ne la plongeait dans une indignation permanente.
du [Sa référence est Lilith, la toute première femme, créée libre et entière, et non pas sortie de la côte d'Adam comme cette pauvre Eve, et qui a été chassée du paradiss parce qu'elle refusait de se plier aux ordres de Dieu et de l'homme[/b]. "Je suis Lilith, la femme-destin. Aucun homme n'échappe à mon sort, et aucun mâle ne voudrait s'échapper. (…) Je suis la femme-paradis qui chuta du paradis, et je suis la chute-paradis. (…) Je suis la vierge Lilith, visage invisible de la libertine, la mère aimante et la femme-homme. (...) Et lorsqu'on m'évoque entre toutes les femmes, mon nom est maudit ", écrit-elle dans Le Retour de Lilith, portrait autobiographique en poèmes, paru en 2007 en français aux éditions de l'Inventaire, qu'elle considère comme le livre de sa vie. (Extraits de l'article paru dans Le Monde - Lire l'article en intégralité)
"J'ai tué Schéhérazade : Confessions d'une femme arabe en colère"
de Joumana HADDAD,"
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Amar el Soussi a écrit:
Tu m'as donné envi de la découvrir, merci.
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dallila a écrit:Citation
Rastapopûlos a écrit:
Encore une inculte qui vient grossir le cortège de celles qui, n'ayant pas le talent nécessaire pour briller en littérature, choisissent un thème qui leur ouvrira les portes des médias, l'Islam. Qui connaissait cette scribouillarde auparavant?
Pour percer en littérature, c'est simple, il suffit de s'en prendre à la religion Musulmane. Et quand bien même vous seriez d'un niveau plus que médiocre, cela ne vous disqualifierait aucunement.
C'est bien en occident que la femme est traitée comme un accessoire. C'est bien en Occident que pour vendre un paquet de chips, on met une femme toute nue. C'est en occident que le culte de la beauté et de la femme objet pousse au suicide et à l'anorexie des millions de femmes.
Les problèmes des femmes dans les pays du sud sont à relativiser. Ce sont des pays pauvres ou les femmes sont avant tout victimes des conditions sociales, de la pauvreté et de l'ignorance.
Mais l'Occident, qui se croit la société la plus avancée, au point de vouloir imposer son mode de vie au monde entier, n'a pas cette excuse.
Eh le mask va te faire l'avocat du diable ailleur et prend de la graine sur la reponse la plus intelligente (rastapopulos)concernant ce sujet d'hypocrite...Dailleurs j'en ferai de meme...
Je persiste...
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dallila a écrit:
Et c'est toujours les meme parasite sur ce forum qui non seulement deteste l'islam mais aussi la culture arabe...Certain le disent clairement(le mask et coldman) et d'autre(al soussi gemia dehma)font "genre" ceux la sont les pires!
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Amar el Soussi a écrit:Citation
dallila a écrit:
Et c'est toujours les meme parasite sur ce forum qui non seulement deteste l'islam mais aussi la culture arabe...Certain le disent clairement(le mask et coldman) et d'autre(al soussi gemia dehma)font "genre" ceux la sont les pires!
Débranche ton ordi ton mari arrive.
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dallila a écrit:
Gemia n'est surement pas musulmane vu tt ses sujet et commentaire sur ce forum on a une tite idee de ce qu'elle est vraiment mis a part une soit disant feministe quand ça l'arrange puisqu'elle selectionne hypocritement ses sujet surtout que ses intervention sont plus que douteuse dés que l' on parle de l'etat hebreux,de la palestine,des musulman et des juifs... Bref ça en dit long sur le personnage
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Rastapopûlos a écrit:
Le Mask, a mon avis, tu ignores quelques aspects de la culture Arabe pré-Islamique (Jaahiliyyah). Ils n'étaient pas aussi mauvais qu'on le dit, surtout pour leur époque. Bien au contraire, je crois même qu'ils étaient parmi les meilleurs, si on tient compte de l'époque à laquelle ils ont vécu.
Parmi leurs qualités reconnues, il y a la générosité, l'hospitalité, le sens de l'honneur, le courage, la bravoure, la ghayrah, la fidélité à la parole donnée et le respect des nobles d'entre eux. Donc non, la Jaahiliyyah, ce n'était pas des hommes dénués de toute qualité. Les Arabes se distinguaient des autres peuples alors que les occidentaux vivaient dans les ténèbres et que leurs rois se lavaient une fois par trimestre.
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Amar el Soussi a écrit:
Punaise faut vraiment régresser extrêmement bas pour essayer d'apercevoir une infime étincelle dans ce qui vous reste de cellules grises !!! casainfo1 sur quel post on peut y lire les accusations que tu portes à l'encontre de gemia ?
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ND a écrit:Citation
Rastapopûlos a écrit:
Le Mask, a mon avis, tu ignores quelques aspects de la culture Arabe pré-Islamique (Jaahiliyyah). Ils n'étaient pas aussi mauvais qu'on le dit, surtout pour leur époque. Bien au contraire, je crois même qu'ils étaient parmi les meilleurs, si on tient compte de l'époque à laquelle ils ont vécu.
Parmi leurs qualités reconnues, il y a la générosité, l'hospitalité, le sens de l'honneur, le courage, la bravoure, la ghayrah, la fidélité à la parole donnée et le respect des nobles d'entre eux. Donc non, la Jaahiliyyah, ce n'était pas des hommes dénués de toute qualité. Les Arabes se distinguaient des autres peuples alors que les occidentaux vivaient dans les ténèbres et que leurs rois se lavaient une fois par trimestre.
c'étaient des barbares païens aux moeurs viciées.. ni plus ni moins..
le prophète est venu mettre de l'ordre dans le désordre.
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Amar el Soussi a écrit:
Donc, si je comprends bien, enterrer un fille vivante, se faire la guerre et déshériter les femmes c'est queue dalle à coté de croire en plusieurs dieux !!!!