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L'inceste au Maghreb
e
21 novembre 2007 20:02
En Europe c'est fréquent, suffit de voir les émissions TV type Mireille Dumas, mais au Maghreb?
P
21 novembre 2007 20:12
Tu m'as rappelé un article de presse que j'avais lu sur internet, un inceste "assumé reciproquement" entre un oncle et sa niece.



De l’inceste à la prison ferme

Date 12/3/2007


Pendant dix-sept années, Abdenbi, 46 ans, et sa nièce, Khadija, 44 ans, entretenaient une relation incestueuse à Youssoufia. Tous deux viennent d’être condamnés à la prison.

Nous sommes à la chambre correctionnelle près le tribunal de première instance de Youssoufia. Cet après-midi du lundi 5 février 2007, la salle d’audience est archicomble. La majorité de l’assistance attend l’affaire de Khadija et Abdenbi. Personne, dans cette petite ville, située à 90 km de l’est de Safi, n’aurait imaginé qu’une telle affaire aurait pu éclater à Youssoufia. C’est une histoire qui dépasse leur imagination au point que leur engouement d’assister au procès ne prouve, en fait, que leur envie de se convaincre qu’elle est vraie et non pas une fiction. Quelle est donc la vraie histoire de Khadija et Abbenabi ?
C’est en 1960 qu’Abdenbi a vu le jour dans une famille d’un douar de Youssoufia. Deux ans plus tard, sa sœur aînée a mis au monde une petite fille qu’elle a prénommée Khadija. Au fil des jours, l’oncle maternel, Abdenbi et la nièce, Khadija, grandissaient et jouaient ensemble, devant les regards de la famille. Ils ne demeuraient pas au même domicile, mais se rencontraient assez souvent, durant leur enfance et leur adolescence. Leur relation dépassait celle qui devrait lier un oncle maternel à sa nièce. Rares sont les fois où ils ne se retrouvaient pas ensemble. Chacun devenait presque l’ombre de l’autre. Ils partageaient tant le mal que le bien, la souffrance que la joie au point qu’on ne pouvait plus parler, dans la famille et au douar, d’Abdenbi sans penser à Khadija. Et vise-versa. «S’il n’était pas son oncle maternel…», disaient les uns soulignant même qu’«ils auraient pu être le couple le plus parfait du monde». Cela n’a jamais effleuré l’esprit ni de Khadija ni de son oncle maternel, Abdenbi. Pour eux, peu importe cette relation familiale. Car chacun d’eux vouait un sentiment d’amour à l’autre. Un sentiment si fort qui les a même “dispensés“ de penser à ce qui pouvait plus distinguer ce qui est licite de ce qui est illicite.
En 1989, alors qu’Abdenbi et Khadija étaient respectivement à leur 29 et 27 printemps, leur relation a connu une mutation radicale. C’était la première fois qu’ils partageaient ensemble le même lit. Le plus étonnant, c’est qu’ils n’ont rien regretté de leur acte incestueux, interdit par les mœurs et la religion. Au contraire, ils s’y sont habitués au point qu’ils se considéraient comme mari et femme. Dix ans plus tard, ils ont décidé tous les deux de se réfugier dans une ferme située plus loin de leur douar pour travailler et vivre librement leur relation incestueuse. Là, Khadija est tombée enceinte et a mis au monde, en 2001, une fille qu’elle a confiée à une famille résidant à Taroudant. Après quoi, le couple est retourné à Youssoufia pour reprendre, en catimini, sa relation.
Dix-huit ans plus tard, un membre de la famille d’Abdenbi et de Khadija a découvert leur relation incestueuse. Convaincu que se taire deviendrait une complicité, il a décidé de se rendre chez la police pour les aviser. Ne croyant pas leurs oreilles, les limiers se sont rendus aux domiciles de l’oncle maternel et de sa nièce. Ils les ont conduits au commissariat pour les soumettre aux interrogatoires. Ni Abdenbi ni Khadija n’ont nié cette relation incestueuse. «Je l’aime…», a avoué chacun d’eux. Un aveux qui a étonné aussi bien les enquêteurs que les habitants de la petite ville. Personne n’y a cru. Comment ont-ils continué à entretenir pareilles relations. Ils ont avoué vivre leur relation amoureuse depuis dix-sept ans sans attirer l’attention de personne. Ils ont affirmé au tribunal qu’une fille, âgée actuellement de six ans et adoptée par une famille «roudanaise», était le fruit de leur amourl. La tâche n’était pas difficile pour le juge du tribunal pour annoncer leur culpabilité. Et il a condamné respectivement Abdenbi et Khadija à un an et demi et à un an de prison ferme. Penseront-ils mettre fin à leur relation après leur libération ?


Abderrafii ALOUMLIKI
Aujourdhui.ma
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
e
21 novembre 2007 20:20
eh bé...
P
21 novembre 2007 21:08
Citation
elhalem a écrit:
eh bé...


Un truc de fou n'est ce pas... Une histoire d'amour completement assumé!!!
Vas savoir ils vont certaienemt se remetre ensemble à la sortie de prison... et puis leur fille meskina sad smiley

Moi je pense que c'est tellement hchouma au bled, et aussi pour respecter les familles, on evite de trop mediatiser... Allah ouwa3lem.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 21/11/07 21:08 par malika_malika.
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
m
21 novembre 2007 23:35
assumer skil ont fait sans aucun remord ms c abusé Oh
kune chose a dire lah y ster
P
22 novembre 2007 00:01
Il tue sa femme qu’il soupçonne d’inceste


Date 8/1/2007


La ville de Safi est toujours sous le choc du double crime qui a coûté la vie à Ghizlane, 18 ans et à son demi-frère, âgé de 22 ans. L’auteur n’est autre que le mari de celle-ci qui la soupçonnait d’entretenir une relation incestueuse avec son demi-frère.

Nous sommes le dimanche 24 décembre 2006. Le nouvel an et la fête du Sacrifice sont dans une semaine. Tout le monde se prépare à fêter, qui l’avènement de 2007, qui le sacrifice du bélier, qui les deux à la fois. Rachid, lui, ne fait que broyer du noir à longueur de journée. Il vit seul dans son domicile du quartier Jnane Chakkouri, à Safi, après avoir été abandonné par Ghizlane, sa jeune épouse.
À l’arrivée prochaine de la nouvelle année et de l’Aïd, il mêle ses ressentiments à l’égard de sa femme, qu’il aime à la folie mais qui le contrarie. Il pense à aller la chercher chez Abdelouahed, le demi-frère de Ghizlane, chez qui elle a trop l’habitude de se rendre, au point d’abandonner littéralement le domicile conjugal pour Dieu sait quelles raisons.
Jeune marin de vingt-neuf ans, Rachid ne sait plus quoi décider. L’idée d’aller demander conseil à un ami n’effleure même pas son esprit. Il estime qu’il est parfaitement en mesure de gérer tout seul cette situation et que tous les efforts qu’il a déjà déployés pour rendre sa femme heureuse finiront par porter leurs fruits.
La relation entre les deux époux n’en est pas moins conflictuelle. Ghizlane, moins âgée que lui, n’a pas regagné cette fois-ci le foyer conjugal après leur dernière dispute. Elle a, de plus, refusé de lui permettre de voir leur enfant. Ce n’est pas la première fois que Rachid envisage de la répudier, au pire pour en finir, au mieux à titre d’avertissement. Mais il ne parvient pas à s’y résoudre. Son amour pour Ghizlane est trop puissant.
Il se souvient des moments où il est tombé amoureux d’elle, la suivant comme son ombre jusqu’à ce qu’elle accepte de lui parler. Il se souvient de son immense joie lorsqu’il lui a été enfin permis de venir faire sa demande auprès des parents de sa bien-aimée. Il se souvient de son émotion les jours précédants leur mariage et de son bonheur sans bornes lors de la nuit de noces.
Certes, il n’oublie pas ces moments de malheur, lorsque des querelles venaient assombrir le ciel de leur foyer. Les reproches de Ghizlane retentissent soudain dans sa tête : elle supportait de moins en moins bien qu’il consomme de la drogue, d’autant plus légitimement que dans ces états-là il en arrivait à la frapper, se droguer et de la violenter.
Rachid en arrive à la conclusion que Ghizlane essaie de le pousser à la répudier. Il entre soudain en colère contre le demi-frère de son épouse, auquel il reproche de ne pas intervenir pour convaincre sa sœur de respecter davantage son mari, de regagner son foyer et de s’y consacrer. A moins, se dit-il soudain, que Abdelouahed n’aie précisément intérêt à ce que Ghizlane soit répudiée ?
On ne saura jamais si les soupçons de Rachid étaient fondés ou si quelqu’un était venu lui donner les preuves de l’infidélité de sa femme. Toujours est-il que le jeune marin se lève, pris d’une pulsion irrépressible.
Rachid enfourche son vélomoteur et se rend chez Abdelouahed. Constatant que Ghizlane ne s’y trouve pas et apprenant qu’elle se trouve chez l’une de ses cousines, il semble s’apaiser. Il invite alors Abdelouahed à le suivre.
Abdelouahed monte derrière Rachid et les voilà en route. Au cours du trajet, la conversation est banale. Abdelouahed n’a aucune raison de se méfier de son ami et beau-frère, pour ainsi dire. Le duo est bientôt arrivé à destination : le cimetière Sidi Abderrahmane Messaoud, dans la périphérie de Safi, l’endroit idéal pour fumer tranquillement quelques joints.
C’est alors que Rachid révèle ses intentions. De sous ses vêtements, il extrait un grand couteau et ordonne à Abdelouahed de prononcer la Chahada, la profession de foi de ceux qui s’apprêtent à passer dans l’au-delà. Terrorisé, Abdelouahed ne voit son salut que dans l’imploration qu’il adresse à Rachid de lui pardonner. Mais ce dernier est fou furieux. Il se jette donc sur l’autre et le crible de dix-huit coups de couteau.
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
P
22 novembre 2007 00:01
....Suite

Après avoir lancé un dernier regard sur le corps sans vie d’Abdelouahed, Rachid remonte sur son vélomoteur et se rend chez la cousine de Ghizlane. C’est elle qui lui ouvre la porte. Un scénario identique à celui de l’assassinat d’Abdelouahed se reproduit: Rachid ordonne à sa femme de s’en remettre à Dieu avant de mourir puis la transperce de treize coups de couteau avant de s’enfuir.
Alertés, les enquêteurs du premier arrondissement de police de Safi se sont dépêchés sur les deux lieux des deux crimes. Abdelouahed a rendu l’âme, mais Ghizlane est encore en vie ; elle est conduite en urgence vers l’hôpital Mohammed V, où elle finira par décéder. Les enquêteurs entrent alors en action. Tous les soupçons convergent rapidement vers Rachid qui a disparu sans donner signe de vie. Il sera finalement arrêté quatre jours plus tard, le jeudi 28 décembre, et ne tardera pas à avouer.
Le lendemain de la fête du Sacrifice, Rachid attendait son tour, dans les couloirs de la Cour d’appel de Safi, pour être interrogé par le parquet général et par le juge d’instruction. Tandis que son unique enfant était livré à un bien cruel destin…


Abderrafii ALOUMLIKI
Aujourdhui.ma
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
P
22 novembre 2007 00:03
Un inceste hors du commun


Date 21/9/2006


Comment imaginer qu’une jeune fille puisse coucher successivement avec son oncle et ses deux frères et que sa mère cherche à faire accuser son père ? Un douar de la région de Safi a été le théâtre d’un incroyable cas d’inceste.

Incroyable histoire mais lamentablement vraie. Elle a pour décor un douar perdu dans la province de Safi.
Personne n’en avait cru ses oreilles en apprenant, un funeste samedi, qu’une mère d’une famille s’est précipitée dans les locaux de la Gendarmerie pour déposer plainte contre son mari, l’accusant d’inceste sur sa fille âgée de 15 ans et demi : «Il a abusé d’elle durant toute une année et l’a obligée à fumer du kif».
Cette mère, qui gagnait sa vie en vendant des vêtements dans les souks hebdomadaires de la région, s’absentait régulièrement de chez elle. En effet, elle devait se rendre chaque semaine à Casablanca pour s’approvisionner en marchandises. Jusqu’au jour où ses trois autres enfants lui font une terrible révélation : «Nous avons surpris, à maintes reprises, notre père allongé nu sur le même lit que notre sœur… Nous les avons vus faire l’amour… Nous avons même entendu à plusieurs reprises leurs gémissements durant la nuit.»
La mère découvre en outre que cette monstrueuse relation entre sa fille et son mari dure depuis un an déjà. Pourquoi les enfants ont-ils gardé ce secret toute une année ? Leur père les aurait-il menacés ? Non, répondent les trois frères. Mais ils craignaient des représailles au cas où ils auraient tout révélé.
Aussitôt, la machine judiciaire a été mise en branle. La victime, encore mineure, est donc convoquée. «Tout ce qui a été dénoncé par ma mère et mes trois petits frères est faux», affirme-t-elle. Étrange, se disent les gendarmes ! S’agirait-il d’un coup monté par la mère, avec la complicité de ses enfants, pour jeter son époux en prison ? Et dans ce cas, quelle en serait la raison ?
«C’est mon oncle maternel qui, il y a deux ans, a commencé à abuser de moi …», révèle alors la jeune fille aux enquêteurs.
Elle était âgée de treize printemps, raconte-t-elle, lorsque son oncle maternel est venu chez eux passer quelques jours. Sa mère était en voyage à Casablanca. L’oncle paternel en aurait donc profité pour rester seul, sur la terrasse de la maison, en compagnie de la jeune fille, à l’abri des regards du père et des trois frères.
«C’était la première fois que je m’enivrais, que je me droguais et surtout que je couchais avec un homme… Bien qu’il m’ait déflorée, j’ai recommencé le lendemain de mon plein gré», avoue-t-elle sans la moindre honte. Mais sa déclaration suivante dépasse d’encore plus loin l’imagination : «je suis même tombée enceinte, il y a un an…». En couchant avec son oncle maternel ? «Non, en partageant le lit de mon frère Amine», répond crânement la jeune fille.
Amine est son aîné de deux ans. La jeune fille déclare qu’elle a couché avec lui à trois reprises ; une première fois en mars, une deuxième en avril et la dernière fois en août, de l’année précédente.
Ce qui devait arriver arriva : la jeune fille tomba enceinte. C’est alors qu’elle en informa sa mère. Sans hésitation, cette dernière décida de la faire avorter. À cet effet, elle mélangea du henné avec plusieurs herbes médicinales que la jeune fille consomma quinze jours durant.
Le seizième jour, après une série de crampes, elle finit par accoucher d’un fœtus encore en vie, que sa mère enterra près d’un palmier non loin de la maison. Les révélations inimaginables s’enchaînent alors en un sordide chapelet «J’ai également couché avec mon frère âgé de quatorze ans», ajoute la prétendue victime. Sous la contrainte ? demandent les enquêteurs ? Pas du tout ! Il se trouve que le jeune garçon lui avait révélé son intention de nouer une relation amoureuse avec une fillette du douar et qu’elle s’est alors jetée sur lui et l’a conduit à l’inceste.
Et son père ? La jeune fille l’a innocenté. Mais alors, pourquoi la mère l’a-t-elle accusé ? L’homme donne une explication : il avait l’intention de déménager à Casablanca et sa femme ne l’avait pas accepté.
La découverte du fœtus au pied du palmier a convaincu les enquêteurs de la véracité des aveux de la jeune fille. Cette dernière, sa mère, son père, ses deux frères et son oncle incestueux ont été traduits devant la justice. Au douar, leurs voisins sont encore sous le choc…


Abderrafii ALOUMLIKI
Aujourdhui.ma
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P
22 novembre 2007 00:08
Un père incestueux traduit en justice


Un enseignant d’éducation islamique incestueux faisait croire à sa fille de onze ans que tous les pères couchaient avec leurs propres filles. L’affaire est actuellement entre les mains de la justice à Kénitra.

L’idée ne lui a jamais effleuré l’esprit. Elle n’a jamais pensé qu’elle pourrait, un jour, devenir la femme d’un enseignant. A quinze ans, elle avait certes remarqué l’intérêt que lui portait son professeur d’éducation islamique, mais elle a gardé ses distances et découragé toute avance éventuelle de sa part. A dix-huit ans, elle ne pouvait plus. Ceci d’autant plus que Hassan a une bonne réputation parmi le corps enseignant de l’établissement scolaire du quartier Sidi Bernoussi à Casablanca que la jeune fille fréquente.

Mais malgré le fait qu’ils aient scellé leur acte de mariage, elle n’a pas voulu abandonner ses études. Elle a néanmoins quitté son lycée pour une école privée d’informatique. Son diplôme passé, elle a été embauchée par une entreprise de la place. Les noces pouvaient donc être célébrées. Le couple s’est alors installé dans un appartement qu’il a loué au quartier Sidi Bernoussi. Au fil des jours, la jeune épouse va découvrir la véritable nature de son mari ; un homme veule et avare qui ne s’intéressait qu’à sa propre personne. Non seulement il ne lui laissait plus le moindre sou, mais il demandait de lui verser l’intégralité de son salaire à la fin de chaque mois. Sa famille s’étant installée en Italie, elle n’avait personne à qui se confier. N’en pouvant plus, elle a décidé de confesser ses malheurs par téléphone à sa mère. Celle-ci ne l’a pas crue. Elle lui a demandé de faire preuve de patience. Ce dont Hassan semblait manquer. A preuve, il lui a demandé un jour d’intercéder auprès de ses parents pour qu’ils les laissent occuper leur maison de vacances. «Alors que la maison de tes parents est inoccupée durant toute l’année, nous on paie inutilement un loyer», lui a-t-il dit un jour. Ses beaux-parents donnèrent une suite favorable à cette demande. Au bout de trois ans, le foyer s’est égayé d’une naissance d’une fille, mais quelques années plus tard, le couple divorce. L’enseignant a bénéficié du droit de garde de son unique fille et son ex-femme s’est remariée avec un MRE qui vit en Italie. Hassan a été muté à Sidi Yahia Al Gharb. Sa fille qui continue toujours à vivre avec lui ne voyait sa mère que durant les vacances scolaires de l’été.
A onze ans, elle a été invitée à venir passer quelques jours avec sa mère et ses grands-parents qui lui offraient des cadeaux à chacun de leurs retours en vacances au Maroc.
Le soir, comme d’habitude, elle regardait la télévision avec sa grand-mère. Alors qu’elles regardaient un film classique sur la chaîne arabe Rotana Zaman, la grand-mère a “zappé“ une séquence où l’on voyait deux acteurs s’embrasser, ce qui n’a pas été du goût de la petite fille. La grand-mère lui a alors expliqué qu’il était honteux de voir des gens s’embrasser. «Ce n’est pas vrai, moi, je regarde avec papa des films où les gens font l’amour tous nus», a-t-elle déclaré. «Je fais de même avec mon père», a-t-elle précisé. Elle a ajouté que son père la déshabillait, lui touchait ses parties intimes et lui écartait les jambes, etc. «Il me disait que tous les papas font ça avec leurs filles…», a-t-elle dit innocemment à sa grand-mère et à sa mère. Avec le soutien de l’association «Touche pas à mon enfant», une plainte a été déposée auprès de la police à Casablanca accusant le père d’inceste. La fille a été auditionnée. Elle a raconté tout ce que son père lui faisait. L’affaire est actuellement entre les mains de la justice à Kénitra.


Abderrafii ALOUMLIKI
Aujourdhui.ma
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
P
22 novembre 2007 00:10
Bref je vais m'arreter là, vous l'aurez compris meme au magrheb Allah y ster, y'a de l'inceste! eye rolling smiley
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
j
22 novembre 2007 00:22
eye popping smileyeye popping smileyangry smileyangry smiley

ces histoires parlent de consentement plus ou moins mutuel, mais il ne faut pas perdre de vue que les viols incestueux sont les plus nombreux.
P
22 novembre 2007 00:24
Une derniere... Oh Allah y ster!!!

Maroc : Un clochard viol sa grand-mère


Sous l’effet de l’alcool à brûler, un jeune clochard a violé sa grand-mère. Il a été condamné à 6 ans de réclusion criminelle par la Cour d’appel d'El Jadida.


El Jadida. Nous sommes à la Chambre criminelle près la Cour d’appel. La salle d’audience est archicomble. Portant un jean et un pull jaune, un jeune homme se tient au box des accusés.



«Aziz, âgé de vingt et un ans, sans profession…», commence le président de la cour pour vérifier l'identité de l'accusé. Aziz n’ose pas regarder du côté des magistrats. Sinon de manière furtive. À sa gauche, une vieille femme se tient péniblement debout au point que le président de la Cour lui a permis de s’asseoir.

«C’est lui M. le président, c’est lui…», balbutie la vieille femme sans avoir été inuitée à prendre la parole. Le président de la cour lui demande de quitter la salle d’audience et d’attendre à l'entrée. À pas lents, elle sort. Et le président de la Cour de s’adresser aussitôt à Aziz : «Tu es accusé de viol».

Qui était sa victime ? La vieille femme ? Personne n’en a cru ses oreilles. Etait-il vrai qu’un jeune de vingt et un ans ait osé violer une sexagénaire ? Une question devenue de moindre importance pour une assistance qui va avoir droit au pire : la femme sexagénaire n’est autre que la grand-mère d’Aziz. Comment ce jeune homme est-il passé à l’acte contre la seule femme au monde qui l’ait aimé ?

À sa deuxième année d’enseignement fondamental, Aziz a claqué définitivement la porte de l’école. Il n’était qu’à son neuvième printemps. Ses parents, qui étaient absorbés par les tracas de la vie quotidienne et les besoins de six enfants, n’avaient pas eu le temps de s'occuper de lui. Aziz s’est retrouvé dans un monde cruel où il devait gagner lui aussi sa vie. Vendeur de cigarettes à l'unité, puis cireur hantant les souks hebdomadaires de la région, Aziz a fini par devenir gardien de voitures. Ses revenus croissaient au fil des jours. Depuis, il a commencé à goûter aux cigarettes, puis aux boissons alcoolisées et enfin au haschich. Il s’est retrouvé esclave de ce trio qui absorbe l’argent qu’il gagnait durant une journée de besogne. Et il ne retournait chez lui que dans un état d'ébriété très avancé. Ses parents ont fini par le chasser. Et il a enfin tout perdu : sa famille, son travail et la dignité de soi. Il est devenu clochard, rôdant dans les ruelles d’El Jadida avec un chiffon imbibé de colle à dissolution sur son nez. Une seule personne lui avait laissé sa porte et son cœur ouverts : sa grand-mère. Elle l’accueillait chez elle à n’importe quel moment, lui donnait à manger, lui réservait un endroit pour dormir. Seulement, il a tout anéanti le soir du jeudi 17 mai. La grand-mère se tenait au seuil de sa maison. Elle passait son temps à regarder les passants et les enfants de son quartier qui jouaient et couraient à gauche et à droite. C'était d'ailleurs sa seule distraction. Soudain, elle a remarqué son petit-fils, Aziz, qui pointait du nez, dans un sale état. Il était sous l’effet de l’alcool à brûler et de la colle à dissolution. Il est rentré à la maison sans lui adresser la parole.

La grand-mère l’a suivi après avoir fermé la porte. Elle lui a préparé du thé qu’il n’a pas voulu boire. Tout d’un coup, il a commencé à lui toucher les seins. Bouche bée, la vieille dame lui a demandé de déguerpir. Mais le petit-fils l’a enlacée violemment pour l’embrasser avant de la pousser sur le dos. Par la suite, il l'a déshabillée pour la violer. Sans pitié et sans le moindre égard ni pour son âge, ni pour le fort lien de parenté qui les unissait.

Après quoi, il était sorti comme si de rien n'était. Alertés, les gendarmes l’ont arrêté. Il s’est contenté de regretter son acte. Ce regret ne valait rien devant la cour qui a fini, après les délibérations, par le juger coupable d'inceste contre sa grand-mère et l’a condamné à 6 ans de réclusion criminelle.

Source : Aujourd'hui le Maroc
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
n
nah
22 novembre 2007 00:41
eye popping smiley Allah y sterthumbs down
[b][color=#FF0000]:L:***Nadia[/color] [color=#006633]Casawia***:L:[/color][/b][color=#009900][center][b]Mok Yaaa Mok!!![/b][/center][/color]
B
22 novembre 2007 10:23
Serieux vous me degoutez à poste des choses pareilles thumbs down ça donne envie de gerber. Pas besoin de poste de la daube on sait que dans toutes les sociétés dans le monde l'inceste est present, personne n'a nie le phenomene au Maghreb.



Modifié 1 fois. Dernière modification le 22/11/07 10:32 par Bidawy.
P
22 novembre 2007 11:16
Citation
Bidawy a écrit:
Serieux vous me degoutez à poste des choses pareilles thumbs down ça donne envie de gerber. Pas besoin de poste de la daube on sait que dans toutes les sociétés dans le monde l'inceste est present, personne n'a nie le phenomene au Maghreb.


Il suffisait de ne pas lire tongue sticking out smiley
Et puis c'est pas parceque toi tu sais que l'inceste existe dans toute les sociétés que tous le monde le sait... regarde l'auteur du post n'était pas au courant! Elle pensait que le maghreb était epargné de ces phénomenes.

Ce sont des article de presse serieux tu sais, et un sujet grave... tu lis jamais la presse? Tous les jours y'a des trucs comme ça dans la rubrique fait divers. Cela donne envie de gerber, malheureusement c'est la realité de certaines personnes.

Je pense que l'ajout d'article de presse aurait pu ouvrir le debat. Le but était pas de dégouter.
Et le pire des ignorants est celui qui ignore qu'il est ignorant.
c
22 novembre 2007 13:13
Bidaway: lire ces posts t'écoeure dis-tu? Imagine l'horreur des personnes qui subissent l'inceste.
l
22 novembre 2007 15:36
je suis choquée c'est affreux!!!!eye popping smiley
e
22 novembre 2007 21:00
Citation
Bidawy a écrit:
Serieux vous me degoutez à poste des choses pareilles thumbs down ça donne envie de gerber. Pas besoin de poste de la daube on sait que dans toutes les sociétés dans le monde l'inceste est present, personne n'a nie le phenomene au Maghreb.

Le pire c'est de se voiler la face!
m
22 novembre 2007 23:27
Bonjour,

j'ai lu chacunes des histoires
ça doit être dur pour les victimes qui ont subi ce genre de chose
je ne sais pas quoi rajouter
mais pour tous ceux et celles qui vivent ce genre de chose il faut vous dire que vous êtes des victimes et que ce qui vous arrive n'est pas de votre faute
il ya autour de vous des associations qui vous protègent et il y a aussi la justice et surtout il y'a l'islam qui interdit ce genre de chose

bon courage à vous
un personne qui vous veux que le bien
d
23 novembre 2007 21:56
Salam Aleykoum

Je trouve cela malheureux que l'inceste éxiste dans ce bas monde et encore plus dans la communauté musulmane.Mais le pire c'est que l'on pense que ca n'arrive qu'aux autres et on s'appercoit un jour qu'un membre de ta famille a subit l'inceste et ca fait très mal;le pire je crois c'est qu'on pense que ce sont toujours les étrangers qui font ces choses horribles et en fait la plupart du temps c'est au sein meme de la famille que ca se passe le plus souvent
Qu'Allah subhannu nous épargne de ces méfaits
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