Menu
Connexion Yabiladies Ramadan Radio Forum News
L'imposteur de la République
a
25 juin 2006 17:57
sarkozy L'imposteur de la République




Le flamboyant incapable

Il est dynamique, boulimique, plein d'idées clinquantes mais c'est un piètre stratège. En 1995, à la recherche des vents porteurs, il joue Balladur contre Chirac. Perdu. Parvenu au ministère de l'Intérieur, il flatte et multiplie policiers et gendarmes, atteint son objectif : faire baisser rapidement (les chiffres de) la délinquance. Il embraye alors sur un référendum en Corse… Re-perdu. Devenu président de l'UMP, il mène la campagne du parti pour le OUI à la constitution européenne. Re-re-perdu.

Comment peut-on croire sérieusement qu'il pourrait un jour faire les bons choix pour la France ?

Moi, moi et moi

On connaissait sa capacité à critiquer son propre camp pour se faire valoir. La campagne référendaire a une fois de plus montré l'homme tel qu'il est. Dès le début (100 minutes pour convaincre, sur France 2), alors que le OUI s'effrite déjà, il ne parle que de lui-même, lui en 2007, lui contre Chirac, lui président, lui. Discret quand le NON est au plus haut, on le voit de nouveau quand le OUI remonte. Et quand l'affaire tourne au fiasco, il est le premier à jeter l'éponge (à laisser dire qu'il a dit que c'était râpé), pour ré-embrayer sur son inépuisable programme présidentiel : " je l'avais bien dit, il faut tout changer !"
Il est prêt à jouer les sauveurs d'un camp qu'il a sciemment laissé couler, qu'il s'est finalement réjoui de voir couler, puisque le naufrage était plus préjudiciable au président qu'à lui. A peine réinstallé au gouvernement, et après avoir bien fait sentir qu'il n'était pas un ministre ordinaire, il fait dire qu'il "prendra l'air" fin 2006 pour préparer la présidentielle. N'oublions pas de lui rappeler ses ECHECS, quand sa logohrrée offre quelque répit, bien sûr.

L'américain

Comme tous les cabris de la modernité, Nicolas Sarkozy est fasciné par l'Amérique et ses paillettes. Favorable à la discrimination positive, il ne cache pas son goût pour le communautarisme, un rapport de forces tellement plus facile à gérer que l'hamonie de la société, une compétition tellement saine. Posant pour les magazines à la mode Kennedy, il fustige la vieille Europe et ces rigidités, fait aussi, à mots à peine couverts, l'apologie de l'Angleterre et de son taux de chômage racoleur.

"le meilleur modèle social, c'est celui qui donne du travail à chacun. Ce n'est donc plus, hélas, le nôtre avec trois millions de chômeurs. Ce n'est pas faire du mimétisme idéologique que de vouloir s'inspirer de ceux qui, en Europe, ont su trouver le plein-emploi et de vouloir tourner le dos aux méthodes de ceux qui n'en finissent pas de s'enfoncer dans le chômage de masse. C'est au contraire de l'aveuglement idéologique que de refuser à notre pays ce qui se fait ailleurs."

Le taux d'humanité, c'est autre chose : on ne peut pas s'intéresser à tout. Haro donc sur le code du travail : tout pour la quantité d'emploi, pour le chiffre ; rien pour la qualité, pour la vie des gens.

Le pompier pyromane.

A peine revenu Place Beauvau, Nicolas Sarkozy s'est de nouveau lancé dans la surenchère sécuritaire qui lui avait si bien réussi en 2002. Pendant la campagne, on sème la peur, après la campagne, on dit qu'on va y remédier : policiers, fichiers, contrôles, tout y passe. Ne sachant pas, lui non plus, quoi faire du résultat du référendum, Nicolas Sarkozy détourne l'attention sur un sujet consensuel, comme Dominique De Villepin sur le chômage.
Comme il est plus facile d'augmenter le nombre de charters de clandestins que de baisser le nombre de chômeurs, c'est une stratégie qui n'a que des avantages : apparaître comme le bon élève qu'on ne laisse pas donner toute sa mesure...et faire de l'oeil à l'électorat frontiste.

C'est là d'ailleurs l'aspect le plus nauséabond de sa stratégie : lier indirectement le chômage à l'immigration clandestine, en affichant une préférence pour l'immigration choisie en fonction des besoins de l'économie, laisser entendre (sans jamais le dire) que l'insécurité et l'immigration ne sont pas étrangères l'une à l'autre, utiliser le fantasme des étrangers qui se ressemblent tous (et qui abusent des largesses sociales) pour justifier le fichage de la population. Cet homme est dangereux, il ne faut pas le lâcher. .

Réfléchissez avant d'applaudir !

9 juin 2005. Après la priorité absolue sur l'emploi déclamée par Dominique de Villepin à l'assemblée... et toute la lumière qu'elle a jeté sur l'orateur, le Sous-Premier-Ministre Sarkozy ne pouvait pas rester dans l'ombre bien longtemps. Il a lui aussi le droit de répondre n'importe quoi au scrutin du 29 mai : il a donc fixé comme objectif de doubler le nombre de "charters" de clandestins affrétés, et a décidé qu'il serait établi des quotas d'immigration "choisie", métier par métier, comme... au Canada (Aux Etats-Unis aussi ? ah bon...).
Le rapport avec le traité européen ? Mais il est évident, on n'a pas compris, c'est tout.

14 juin 2005 : Précipitation. Le 10 juin était retrouvé le corps de Nelly Crémel, assassinée le 2 juin, alors qu'elle faisait son jogging. Cette affaire, particulièrement sordide (butin : 20 euros), a suscité une légitime émotion dans la population. Pour autant, fallait-il que le Ministre de l'Intérieur se précipite pour l'exploiter à son profit, pour alimenter le mythe de son exceptionnelle réactivité ?
Les deux suspects de l'affaire sont mis en examen le 14 juin. L'un d'eux est un criminel récidiviste, 12 condamnations, condamné à perpétuité en 1990 et en liberté conditionnelle depuis 2003. Le jour même, à l'assemblée, le surdoué sous-Premier Ministre, après une dramatisation un peu facile, voire populiste (J'ai reçu ce matin M. Christian Crémel, qui a vu sa femme partir pour faire son jogging et qui n'est jamais revenue), annonce des propositions sur la multirécidive pour le 14 juillet !
Un mois à peine. Est-ce vraiment suffisant pour un dossier aussi complexe ? Sauf à rétablir la peine de mort ou à appliquer stricto sensu la perpétuité, la récidive et la multi-récidive resteront le risque choisi d'une société qui a confiance en l'Homme. De toutes façons, les juges aggravent déjà progressivement les peines pour répondre à la récidive.
La justice mérite un peu de recul. D'ailleurs, dans l'entourage du ministre de la Justice, on estime (fort heureusement) que le dossier Crémel ne peut pas justifier à lui seul de nouvelles modifications législatives. L'agitation coutumière de Nicolas Sarkozy montre encore une fois ses limites, et cache mal un échec de sa politique sécuritaire tape-à-l'œil : malgré son action énergique et celle, non moins énergique, de Dominique de Villepin, en France on ne peut toujours pas faire du jogging en toute sécurité…
Décidément, dans le rôle du " récupérateur de cadavres ", je préfère Boris Karloff…
Dernière minute : Selon un article du Monde.fr, Annie Kensey, chargée de mission à l'administration pénitentiaire, et Pierre Tournier, criminologue enseignant à l'université Paris-I s'apprêtent à publier un rapport qui évalue à 0,5 % le taux de récidive criminelle des meurtriers ! Alors, même si on devient très bons dans ce domaine...

14 juin 2005. Contre une attaque bien menée, N. Sarkozy n'est pas plus malin qu'un autre : il répond par des banalités peu convaincantes. Lire le compte-rendu d'un échange avec A. Montebourg.

20 juin 2005. Récupération. Après la mort par balle d'un jeune garçon de 11 ans dans la cité des 4000, à La Courneuve (Seine-Saint-Denis), Nicolas Sarkozy s'est précipité sur place pour dire (devant des caméras qui devaient se trouver là par hasard) qu'on allait "nettoyer La Courneuve". Employant le terme désuet de "voyous" pour plaire au bon peuple, il promet même la rédemption pour les brebis égarées "Et ceux qui veulent s'en sortir, je les aiderai" Bref, de son aveu même, une grosse descente de police en perspective, bien voyante, bien superficielle. Cette volonté compulsive de se faire passer pour quelqu'un qui réagit immédiatement et avec beaucoup d'efficacité et de pragmatisme et qui fait ce que les gens veulent, ça donne le tournis, et au bout du tournis, il y a la nausée..

22 juin 2005. Ligne jaune. S'adressant à une assemblée de gendarmes, Nicolas Sarkozy affirme que le juge qui a remis en liberté le meurtrier présumé de Nelly Crémel doit "payer sa faute". Dans sa frénésie d'emportement populaire, il demande une sanction contre le magistrat "qui a osé remettre un monstre pareil en liberté" et en oublie au passage qu'il s'agit de décisions collégiales (à moins qu'il ne l'ait jamais su...) Malgré une (molle) mise au point du Garde des Sceaux sur la légalité incontestable de la décision, il persiste dans le populisme : à l'Assemblée, il revendique sa proximité avec le peuple, un langage commun. Son agence de communication a dû lui lui dire que le vote du 29 mai était un rejet des élites, car maintenant il ne les aime plus.
L'électorat du Front national est décidément apétissant..., les méthodes promo-provocatrices de son patron... contagieuses.
Si le premier ministre et le président de la République ont rappelé eux aussi le principe constitutionnel de la séparation des pouvoirs (encore un oubli de Nicolas-le-surdoué...), ils n'ont pas eu le courage de dire au ministre de l'Intérieur de se calmer ; mieux, l'un comme l'autre en appellent à une révision des lois sur la récidive et la liberté conditionnelle : après le meutre de l'étudiante de Tours, une loi sur le dépit amoureux semble donc indispensable. « Un fait divers, une loi », l'action selon Sarkozy...

27 juin 2005. Nouvelle loi en vue... Alors qu'un vice de procédure a permis la remise en liberté d'une quinzaine de caïds grenoblois, le commentateur en chef des décisions de justice, autoproclamé thermomètre du peuple, sent monter la juste colère des gens ordinaires... Une loi "anti vices de forme" va sûrement venir enrichir le catalogue des mesures musclées du candidat Sarkozy. Quel homme !
Rappel : En ce qui concerne le commentaire des décisions de justice, l'article 434-25 du Code Pénal dispose : Le fait de chercher à jeter le discrédit, publiquement par actes, paroles, écrits ou images de toute nature, sur un acte ou une décision juridictionnelle, dans des conditions de nature à porter atteinte à l'autorité de la justice ou à son indépendance est puni de six mois d'emprisonnement et de 7 500 euros d'amende.
Monsieur Sarkozy montre l'exemple... de l'impunité : n'y a-t-il donc personne pour le traîner en justice comme un vulgaire citoyen ?

30 juin 2005. Populiste, moi ? Dans une interview au Figaro, le sous-premier ministre déclare :"Aujourd'hui, un étranger en situation irrégulière a plus de droit aux soins gratuits qu'un smicard qui paie ses cotisations, ce n'est pas acceptable! Nous allons revoir tout cela par des décrets et, s'il le faut, par la loi". Il aurait pu remplacer "étranger en situation irrégulière" par "SDF français", c'était tout aussi vrai : la couverture médicale universelle (CMU pour Français et étrangers en situation régulière), comme l'aide médicale d'état (AME, pour les étrangers en situation irrégulière) ne sont faites QUE pour les gens sans ressources, et les smicards (malgré leur situation quotidienne difficile) ne sont pas sans ressouces. Ah, l'Etranger qui prend le travail des Français, l'Etranger qui vient profiter du système social Français et se tourner les pouces, l'Etranger assassin, violeur, lâche et traître...
Notre présidentiable professionnel prétend déjà "avoir" l'électorat du Front National : visiblement, il tient à le garder !

6 juillet. Cracher dans la soupe par procuration. Alors que Londres vient d'être choisie pour les JO 2012, Yves Jego, proche de Nicolas Sarkozy, déclare sur France-Info : «Il faudra tirer les conséquences politiques de tout ça, aussi bien pour le président de la République que pour tous ceux qui ont participé à cette opération». La grande classe...

25 août. Après les vacances, on recommence : cracher dans la soupe par procuration. Alors que la possibilité d'une entente illicite entre grands de la téléphonie mobile, Nicolas Sarkozy fait parler son conseiller Devedjian : Interrogé sur l'éventuelle implication de Thierry Breton, en raison de son passage à la tête de France Telecom, Patrick Devedjian, ancien ministre de l'Industrie, souligne, dans un entretien au Figaro économie de jeudi 25 août que Thierry Breton "n'était pas à la tête de France Télécom au moment des faits". "Mais moralement il serait en position de conflit d'intérêts, ayant gardé de la sympathie et de l'amitié pour les personnes qui travaillent chez France Télécom", ajoute-t-il.
"Son statut d'ancien président de France Télécom pourrait laisser planer une suspicion sur la manière dont il gère le dossier des télécoms", estime Patrick Devedjian. "De plus, il ne défend pas assez la concurrence", ajoute-t-il.

1er octobre. Après le pitoyable épisode du GIGN lancé par Dominique de Villepin contre des grévistes de la SNCM, les réactions ne sont guère unanimes qu'à l'UMP. Jugeant que l'opération est globalement négative en termes de marketing, il se démarque du premier ministe, et on peut lire dans Le Monde "Le ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, a déclaré à propos de la crise à la SNCM qu'il avait "une autre solution", mais que le Premier ministre Dominique de Villepin n'a pas fait appel à lui."
Un jour, la soupe va déborder de la marmite...

Novembre. Les banlieues flambent : la racaille et la chair-à-karcher en ont assez des numéros de kakou du sous-premier-ministre. L'incapacité de Sarkozy à faire autre chose que jacasser éclate au grand jour, à tel point que De Villepin et Chirac doivent intervenir...

9 novembre. Pensant que les imbéciles que nous sommes ont oublié son rôle désastreux dans l'embrasement des banlieues, il tente de reprendre la main avec son petit couplet "fermeté et virilité" : "J'ai demandé aux préfets que les étrangers, qui sont en situation régulière ou irrégulière, qui ont fait l'objet d'une condamnation, soient expulsés sans délai de notre territoire, y compris ceux qui ont un titre de séjour" Voici donc le quasi-droitdelhommiste qui, la main sur le coeur, promettait hier encore d'en finir avec la double peine, qui reprend aujourd'hui sa pêche intensive aux voix du Front National. Il ne sait plus quoi faire pour exister le malheureux...

7 décembre. L'homme n'aime pas la contradiction, l'homme fuit la contradiction, il préfère parler tout seul devant des caméras. Sachant qu'il va être reçu comme un chien dans un jeu de quilles, rejeté par Aimé Césaire, le sous-premier-ministre reporte son voyage aux Antilles.
"Les conditions de sérénité d'un travail collectif nécessaire pour traiter efficacement des questions fondamentales pour les Antillais que sont la sécurité, le développement économique et l'emploi ne me paraissent pas (...) aujourd'hui réunies", a-t-il constaté. "J'ai par conséquence décidé de reporter mon voyage de quelques semaines"
Dommage, on aurait aimé l'entendre parler de la racaille qu'il faut nettoyer au Kärcher, bref d'illustrer une fois de plus le rôle positif de la France outre-mer (marque déposée)

7 décembre, toujours (mauvaise journée décidément). Les renseignements généraux démontent le péplum sarkozien des banlieues manipulées par des bandes mafieuses, et lui substitue la réalité d'une révolte populaire toute bête. Bref, ce serait juste de l'ingratitude à l'égard des ancêtres politiques de l'actuel ministre de l'intérieur, qui du temps où ils étaient toujours aux affaires, avaient construit des quartiers qui étaient quand même bien* pour les pauvres (avant que les noirs et les Arabes ne fassent fuir les Français, bien sûr).
Le rapport souligne l'absence de caïds ou encore d'intégristes manipulant les émeutiers. Le mouvement "s'apparente à une révolte populaire des cités", mais n'était ni organisé, ni manipulé. La France aurait basculé de "la guérilla urbaine" à "l'insurrection urbaine" et les violences seraient dues à la condition sociale des émeutiers et non à leur origine ethnique ou géographique. Le rapport précise même que "restreindre les derniers événements à de simples violences urbaines serait une erreur d'analyse".

On ne peut vraiment plus compter sur personne... pôôôôvre Nicolas !

(*)Le fait que les architectes et leurs commanditaires n'aient jamais habité là (même avant que les noirs...etc...) s'appelle... une coïncidence !



Debut 2006...

... nouvel avatar de la sarkozysation de la société


Février 2006 : rien ne résiste à l'omniscience du visionnaire. Nicolas Sarkozy s'attaque à l'école sclérosée pour lui insuffler une vraie modernité : casser la carte scolaire pour permettre aux blancs de choisir leurs écoles et éviter celles où il y a de la racaille... et ainsi faire enfin bénéficier la France du summum de la civilisation américaine, le communautarisme. Ajoutons à cela la compétition entre établissements et le salaire des enseignants au mérite....
Bref, monter les gens les uns contre les autres, mettre la France en pilotage automatique, ravager au nom de la réforme-panacée, démissionner au nom de la libéralisation : comment peut-il encore faire illusion ?

8 mars 2006 : cracher dans la soupe, toujours. Le CPE n'est pas populaire, qu'à cela ne tienne : Sarkozy fait donner ses porte-glaviots (De Charette et Devedjian) pour assurer ses arrières (si nécessaire, il dira "on l'avait bien dit"winking smiley et savonner la planche de De Villepin. Mais où est donc la fameuse "rupture" du surdoué ? Ses méthodes abjectes sentent plutôt le réchauffé...
17 mars : comme cela ne suffit pas, Devedjian remet le couvert dans une interview Radio-Notre-Dame/La croix. C'est un bouquet de poignards dans le dos : "...Le premier ministre a fait un choix un peu aventureux avec le CPE", puis "...on aurait sans doute fait autrement si Nicolas Sarkozy avait conduit la politique du pays. Mais quand on est sur le même bateau, on suit les instructions du capitaine. Je n'aime pas les déserteurs. Le capitaine a fait un choix un peu aventureux mais nous sommes solidaires", puis encore..."nous (les sarkozystes) ne sommes philosophiquement pas favorables au CPE en soi". C'est une décision que "nous soutenons par solidarité ministérielle et par pragmatisme (...) C'est le choix du gouvernement. Ce n'est peut-être pas une mauvaise solution mais nous sommes plutôt pour un contrat de travail unique et progressif"

27-28-29 mars : à l'occasion du conflit sur le CPE, le show du traître atteint des sommets qui valent bien une page spéciale...


source:[eklektik2.free.fr]



Modifié 1 fois. Dernière modification le 25/06/06 17:58 par rifton75.
"L'orgueil du savoir est pire que l'ignorance"
s
25 juin 2006 19:06
Sa politique à l'americaine ne fera pas long feu, plus de la moitié des francais le craignent pour ses ambitions illimitées en sa personne et non pour le bien de la "france" les francais ne sont pas dupes enfin je l'espere parce que sinon c'est bush numero 2 qui sera à la tete du pouvoir et là on est pas dans la........on pourra dire que de problemes serieux restent à venir

moi en tout cas je crains le pireeye popping smiley
 
Emission spécial MRE
2m Radio + Yabiladi.com
Facebook