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Teylor a écrit:
Rho mais arrête de parler de Poutine comme le soi disant homme de la situation. Cet homme n'est qu'un boucher, un assassin qui n'en a que faire des droits de l'homme, ou de la dignité des personnes.
C'est par centaine que des Syriens sont massacrés TOUS LES JOURS. Je te trouve extrêmement stupide de défendre une personne telle que lui.
Et si tu justifies ton attachement à Poutine par la nécessité d'un contre pouvoir aux Américains alors tu ne vaux pas mieux que ces dits américains ...
Pour répondre à ta question, tu vois bien qu'aujourd'hui, leur influence s'effrite petit à petit, toutes leurs opérations sont remises en question. Plus personne ne tombe dans le panneau. Et suffit de voir récemment ce qui s'est passé en Turquie, le coup d'Etat raté instigué par les Etats-Unis qui a fini par rapprocher deux grands ennemis des USA : La Turquie et la Russie.
Je peux t'assurer que les Etats-Unis s'en mordent les doigts à présent. Sans compter que leur autorité est remise en question dans tout le Moyen-Orient.
En Afrique ou ils soutiennent la plupart des dictateurs, les peuples s'éduquent ailleurs et ils commencent à faire changer les choses dans leur propre pays. Ce n'est qu'une question de temps avant qu'ils ne s'effondrent totalement.
Mais encore une fois : QUELLE ALTERNATIVE ? Si c'est pour avoir Poutine qui propose un nouveau contre-pouvoir alors la situation va s'aggraver irremédiablement. Poutine est un dictateur corrompu Point.
Je pense que l'issue peut se jouer dans une alliance des pays arabes ou du Moyen-Orient mais malheureusement tous nos dirigeants sont corrompus. Les musulmans dignes de ce nom qui faisaient trembler tous les continents ont été remplacés par des gens cupides ne cherchant que plus de pouvoir sur leurs semblables.
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Marcus GOLDMAN a écrit:
Ou est-ce que j'ai parlé de Poutine comme l'homme de la situation ?
Et je lui ai montré mon attachement en plus ? Ou ça ?
Relis mes propos. Et jusqu'au bout, merci.
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Teylor a écrit:
Je te cite : " Oui, c'est vrai que l'on parle souvent de la Russie comme contre pouvoir mais je pense que c'est parce que Poutine est disant plus "visible", il y a quand même une stature d'homme fort et qui ose notamment grâce aux propos qu'ils tient face aux dirigeants occidentaux, à ses positions assumées, sa mise en scène médiatique, ses opérations "coup de poing" , au final même sa "critique" en Occident lui sert et il en use clairement dans ses discours "Ils sont impérialistes, je ne rentre pas dans le rang, je suis l'insoumis donc on veut m'abattre" ".
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berceuse a écrit:
message trop court
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Marcus GOLDMAN a écrit:
Merci pour cette interview intéressante qui démontre une fois de plus que la situation en Syrie est très obscure et qu'il est difficile de savoir ce qui s'y déroule réellement.
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Nahla-toun a écrit:
Pour moi ce qui se passe en Syrie est très clair, ils ont voulu attiser la haine entre chiites et sunnites, ils ont envoyés des espions et émissaires spéciaux pour attiser la colère du peuple syrien contre leur dirigeant, on leur a fait miroiter le rêve d'une révolution qui leur donnerait une vie meilleure. Résultat aujourd'hui c'est le peuple syrien qui est perdant.
Les américains pensaient pouvoir boucler laffaire syrienne comme ils l'ont fait avec l'Irak et la Libye mais ça n'a pas fonctionné.
On a arraché à Poutine un accord pour pouvoir intervenir en Libye mais au final il n'a pas eu ce que les américains et occidentaux lui avait promis. Alors, quand ils ont décidés de s'attaquer à la Syrie, c'était sans compter sur la farouche opposition de la Russie décidée a ne pas se faire avoir une deuxième fois. D'autant plus que la Russie avait d'excellentes relations comerciales avec la Libye et davantage avec la Syrie.
Il y a des syriens installés en France depuis longtemps, et au tout début du conflit il y a plusieurs annees je discutais avec eux, ils étaient ravis à l'idée d'une révolution du peuple contre Bachar..je leur disais qu'ils faisaient fausse route et qu'ils regretteraient un jour cette position... mais ils en plaisantaient et ignoraient totalement ce qui les attendaient.
Aujourd'hui ces même syriens pleurent sur l'état de leur pays...et ce n'est plus Assad qu'ils fustigent...
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