Des chercheurs anglais se sont pris la tete pour expliquer l'effet des blagues anglaises sur le cerveau: voilà l'article
Des chercheurs anglais ont bombardé 14 volontaires de blagues anglaises de deux types : phonétiques ou sémantiques. Les premières qui sont des calembours ou des jeux de mots activent une région du cerveau impliquée dans le traitement des sons, le cortex préfrontal gauche. Pour les secondes qui jouent plus sur le sens des mots, c’est le lobe postérieur gauche qui est activé. Mais quel que soit le type de plaisanterie, une même zone du cerveau s’active si la blague fait mouche : le cortex préfrontal médian. Cette région représente la composante affective de l’humour ; elle a déjà été mise en évidence comme étant associée à une récompense et à l’affect.