Qu'on me donne l'obscurité, puis la lumière Qu'on me donne la faim la soif puis un festin Qu'on m'enlève ce qui est vain et secondaire Pour que je retrouve le prix de la vie enfin
Qu'on me donne la peine, pour que j'aime dormir Qu'on me donne le froid pour que j'aime la flamme Pour que j'aime ma terre qu'on me donne l'exil Et qu'on m'enferme un an pour rêver à des femmes
On m'a trop donné, bien avant l'envie J'ai oublié les rêves et les mercis Toutes ces choses qui avaient un prix Qui font l'envie de vivre et le désir Et le plaisir aussi Qu'on me donne l'envie L'envie d'avoir envie Qu'on rallume ma vie
Qu'on me donne la haine, pour que j'aime l'amour La solitude aussi pour que j'aime les gens Pour que j'aime les silences, qu'on me fasse des discours Et toucher la misère pour respcter l'argent
Pour que j'aime être sain, vaincre la maladie Qu'on me donne la nuit, pour que j'aime le jour Qu'on me donne le jour, pour que j'aime la nuit Pour que j'aime aujoud'hui, oublier les toujours
On m'a trop donné, bien avant l'envie J'ai oublié les rêves et les mercis Toutes ces choses qui avaient un prix Qui font l'envie de vivre et le désir Et le plaisir aussi Qu'on me donne l'envie L'envie d'avoir envie Qu'on rallume ma vie
c'est souvent comme ça parce que bien souvent les interprètes ne sont pas les auteurs. ceux-ci s'appellent des NEGRES en littérature! c'est comme "les mendiants de l'amour" d'enrico macias.Je ne l'aime pas mais sa chanson me rappelle les années 70.