Selon des chercheurs, l'enseignement de l'histoire de l'immigration reste une "carence" du système scolaire
Malgré des tentatives de prendre le sujet à bras-le-corps, l'enseignement de l'histoire de l'immigration témoigne d'une "carence" de l'éducation nationale, contribuant à entraver "la construction d'une mémoire collective scolairement partagée". Tel est le principal constat d'un rapport conjoint de l'Institut national de recherche pédagogique (INRP) et de la Cité nationale de l'histoire de l'immigration (CNHI). Remis vendredi 19 octobre à Jacques Toubon, président du conseil d'orientation de la CNHI, ce rapport est le fruit d'un travail de deux ans, dirigé par Benoît Falaize, spécialiste de ces questions, agrégé d'histoire, chargé d'études et de recherches à l'INRP, avec Olivier Absalon et Pascal Mériaux.
Programmes scolaires, manuels, pratiques enseignantes : le premier souci des rapporteurs a été de dresser un état des lieux sur un sujet controversé. A cet égard, ils contestent aussi bien l'idée d'un refus "communautariste" de l'histoire de France que les assertions courantes sur la prétendue absence de l'esclavage et de la colonisation dans les programmes et les manuels scolaires.
Mais il en va différemment de l'histoire de l'immigration proprement dite : selon ces chercheurs, elle n'est qu'exceptionnellement envisagée "comme un thème d'étude en lui-même".
Une cinquantaine d'entretiens approfondis menés avec des enseignants a montré qu'ils ont cherché à compenser cette carence, le plus souvent en prenant appui sur l'origine et l'histoire familiale de leurs élèves issus de l'immigration. Les rapporteurs saluent l'engagement des professeurs et leur volonté de réhabilitation symbolique, motivée par les valeurs "de respect, de tolérance et d'ouverture au monde".
Les chercheurs critiquent néanmoins cette approche "morale" : elle risque selon eux "d'enfermer les élèves dans une identité de groupe". L'enseignement ainsi dispensé leur apparaît "peu structuré".
En conclusion, ils déplorent que l'histoire de l'immigration reste "un impensé" du système scolaire, non seulement pour les enfants de l'immigration mais pour "la nation elle-même", qui persiste ainsi à faire de l'immigré "une figure équivoque de la question nationale".
"un impensé" ; c'est exctement le qualificatif en ce qui concerne l'histoire de l'immigration.
Quel domage. Honnêtement, en comptant la maternelle, cela fait 18 ans qu je vais à l'école. Et il n'y a que cette année que le sujet est abordé dans certains d emes cours, et encore dans la superficialité.
C'est une grande perte de ne pas enseigner, informer, partager ce savoir en ce qui concerne l'histoire de l'immigration. Pourquoi n'est-ce pas une discipline, un mmodule inscrit noir sur blanc dans les programmes pédagogiques dès le collège.
C'est une grande perte pour les enfants de la République, issue de l'immigration ou pas...
C'est une grande perte pour les programmes scolaires, car quelle richesse pédagogique...
C'est une grande perte pour les enseignents car c'est un sujet qui intérésse je pense tou leurs élèves...
C'est une grande perte pour l'immigrations car elle en a passé des étapes...
Mais c'est surtout une grande perte pour la culture, une ouverture... Car l'histoire de l'immigration est une branche culturelle qui ne devrait pas être négligé.
Moi j'y crois toujours, dans certains Etats comme l'Angleterre ou les Etats Unis c'est une discipline à part entière. Un jour en France aussi ça le sera.
Certains dirons que je suis utopique mais j'y croie sérieusement...
La culture c'est comme de la confiture, moins on en a et plus on veut l'étaler !
"un impensé" ; c'est exctement le qualificatif en ce qui concerne l'histoire de l'immigration.
Quel domage. Honnêtement, en comptant la maternelle, cela fait 18 ans qu je vais à l'école. Et il n'y a que cette année que le sujet est abordé dans certains d emes cours, et encore dans la superficialité.
C'est une grande perte de ne pas enseigner, informer, partager ce savoir en ce qui concerne l'histoire de l'immigration. Pourquoi n'est-ce pas une discipline, un mmodule inscrit noir sur blanc dans les programmes pédagogiques dès le collège.
C'est une grande perte pour les enfants de la République, issue de l'immigration ou pas...
C'est une grande perte pour les programmes scolaires, car quelle richesse pédagogique...
C'est une grande perte pour les enseignents car c'est un sujet qui intérésse je pense tou leurs élèves...
C'est une grande perte pour l'immigrations car elle en a passé des étapes...
Mais c'est surtout une grande perte pour la culture, une ouverture... Car l'histoire de l'immigration est une branche culturelle qui ne devrait pas être négligé.
Moi j'y crois toujours, dans certains Etats comme l'Angleterre ou les Etats Unis c'est une discipline à part entière. Un jour en France aussi ça le sera.
Certains dirons que je suis utopique mais j'y croie sérieusement...
La culture c'est comme de la confiture, moins on en a et plus on veut l'étaler !
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