Citation
coldman a écrit:
Agression d'un jeune juif dans un train: garde à vue des suspects prolongée
La garde à vue des deux agresseurs présumés d'un jeune juif mercredi dans un train entre Toulouse et Lyon a été prolongée vendredi à Lyon, les enquêteurs devant déterminer notamment si cette agression revêt ou non un caractère antisémite.
Jeudi, les deux suspects ont été confrontés à la victime, un adolescent de 17 ans, scolarisée à l'école Ozar Hatorah de Toulouse où Mohamed Merah avait tué en mars trois enfants et un père de famille.
Les deux agresseurs, âgés de 18 ans et d'origine maghrébine, n'ont pas nié l'agression, selon une source proche de l'enquête, mais ont en revanche rejeté toute connotation religieuse.
Une source judiciaire avait évoqué auprès de l'AFP, jeudi soir, des "témoignages contradictoires", avançant prudemment que dans le cadre du début de l'enquête, "le caractère antisémite de l'agression", pourtant avancé par le ministère de l'Intérieur, "n'était pas encore avéré".
"Les faits de violences sont là, par pluralité d'auteurs et dans un moyen de transport, mais il faut continuer à recueillir des témoignages, notamment des passagers de la rame, pour considérer un caractère antisémite", avait précisé jeudi cette source judiciaire.
L'objectif des enquêteurs était donc vendredi de recueillir des témoignages afin de déterminer avec précision les éléments déclencheurs de l'altercation.
Selon l'avocat toulousain de la victime, Me Simon Cohen, interrogé par l'AFP, "il est trop tôt pour présumer de la suite qui sera donnée à l'affaire".
Les suspects pourraient faire l'objet d'une comparution immédiate, voir leur garde à vue levée, ou encore être présentés devant un juge en vue d'une mise en examen pour des faits qui pourraient être aggravés par l'appartenance de la victime à une religion.
Les faits, qui ont déclenché de vives réactions, remontent à mercredi soir, alors que la victime, qui avait terminé son année scolaire à Toulouse après avoir passé son bac de Français, rentrait en train à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon, où réside sa famille.
Selon son témoignage, il a été pris à partie et insulté par l'un de ses agresseurs présumés, alors qu'il téléphonait à son frère, qui a un prénom juif.
Les deux jeunes hommes se sont retrouvés sur la plateforme du wagon où la victime a commencé à être frappée. L'agresseur est alors rejoint par son ami. Durant la bagarre, seul l'un des deux a fait référence à son judaïsme, a relaté la victime.
"Seule l'intervention d'un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", avait précisé le ministère de l'Intérieur.
Les deux hommes de 18 ans, sans casier judiciaire selon une source policière, ont été interpellés jeudi peu après 11H00 dans un bureau de recrutement de l'armée à Lyon et placés en garde à vue.
La victime s'est vu délivrer une interruption temporaire de travail de 10 jours.
"Il est très choqué", a souligné Me Cohen. D'autant que le jeune homme s'est trouvé en première ligne de la tuerie de l'école Ozar Hatorah, le 19 mars, par Mohamed Merah.
"Il a essayé de protéger deux des victimes et a pratiqué le bouche-à-bouche à l'une d'entre elles", a indiqué Me Cohen. "Il a été épargné par chance", a poursuivi l'avocat selon lequel "on a l'impression que se multiplie ce type d'agressions".
Certes, aujourd'hui, le caractère antisémite de cette agression n'est pas avéré. Mais pour l'avocat, en "faire la preuve est très difficile. Mais personne ne peut s'interdire de penser à ça", a-t-il ajouté.
[www.liberation.fr]
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Wiyaks a écrit:Citation
coldman a écrit:
Agression d'un jeune juif dans un train: garde à vue des suspects prolongée
La garde à vue des deux agresseurs présumés d'un jeune juif mercredi dans un train entre Toulouse et Lyon a été prolongée vendredi à Lyon, les enquêteurs devant déterminer notamment si cette agression revêt ou non un caractère antisémite.
Jeudi, les deux suspects ont été confrontés à la victime, un adolescent de 17 ans, scolarisée à l'école Ozar Hatorah de Toulouse où Mohamed Merah avait tué en mars trois enfants et un père de famille.
Les deux agresseurs, âgés de 18 ans et d'origine maghrébine, n'ont pas nié l'agression, selon une source proche de l'enquête, mais ont en revanche rejeté toute connotation religieuse.
Une source judiciaire avait évoqué auprès de l'AFP, jeudi soir, des "témoignages contradictoires", avançant prudemment que dans le cadre du début de l'enquête, "le caractère antisémite de l'agression", pourtant avancé par le ministère de l'Intérieur, "n'était pas encore avéré".
"Les faits de violences sont là, par pluralité d'auteurs et dans un moyen de transport, mais il faut continuer à recueillir des témoignages, notamment des passagers de la rame, pour considérer un caractère antisémite", avait précisé jeudi cette source judiciaire.
L'objectif des enquêteurs était donc vendredi de recueillir des témoignages afin de déterminer avec précision les éléments déclencheurs de l'altercation.
Selon l'avocat toulousain de la victime, Me Simon Cohen, interrogé par l'AFP, "il est trop tôt pour présumer de la suite qui sera donnée à l'affaire".
Les suspects pourraient faire l'objet d'une comparution immédiate, voir leur garde à vue levée, ou encore être présentés devant un juge en vue d'une mise en examen pour des faits qui pourraient être aggravés par l'appartenance de la victime à une religion.
Les faits, qui ont déclenché de vives réactions, remontent à mercredi soir, alors que la victime, qui avait terminé son année scolaire à Toulouse après avoir passé son bac de Français, rentrait en train à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon, où réside sa famille.
Selon son témoignage, il a été pris à partie et insulté par l'un de ses agresseurs présumés, alors qu'il téléphonait à son frère, qui a un prénom juif.
Les deux jeunes hommes se sont retrouvés sur la plateforme du wagon où la victime a commencé à être frappée. L'agresseur est alors rejoint par son ami. Durant la bagarre, seul l'un des deux a fait référence à son judaïsme, a relaté la victime.
"Seule l'intervention d'un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", avait précisé le ministère de l'Intérieur.
Les deux hommes de 18 ans, sans casier judiciaire selon une source policière, ont été interpellés jeudi peu après 11H00 dans un bureau de recrutement de l'armée à Lyon et placés en garde à vue.
La victime s'est vu délivrer une interruption temporaire de travail de 10 jours.
"Il est très choqué", a souligné Me Cohen. D'autant que le jeune homme s'est trouvé en première ligne de la tuerie de l'école Ozar Hatorah, le 19 mars, par Mohamed Merah.
"Il a essayé de protéger deux des victimes et a pratiqué le bouche-à-bouche à l'une d'entre elles", a indiqué Me Cohen. "Il a été épargné par chance", a poursuivi l'avocat selon lequel "on a l'impression que se multiplie ce type d'agressions".
Certes, aujourd'hui, le caractère antisémite de cette agression n'est pas avéré. Mais pour l'avocat, en "faire la preuve est très difficile. Mais personne ne peut s'interdire de penser à ça", a-t-il ajouté.
[www.liberation.fr]
Et donc ?
Oui ils l'ont agressé parce qu'il était juif. .Ça t'étonne ? Moi non...
La majorité des maghrébins n'aiment pas les juifs. Et réciproquement.
Ainsi va le monde...
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layale4 a écrit:Citation
Wiyaks a écrit:Citation
coldman a écrit:
Agression d'un jeune juif dans un train: garde à vue des suspects prolongée
La garde à vue des deux agresseurs présumés d'un jeune juif mercredi dans un train entre Toulouse et Lyon a été prolongée vendredi à Lyon, les enquêteurs devant déterminer notamment si cette agression revêt ou non un caractère antisémite.
Jeudi, les deux suspects ont été confrontés à la victime, un adolescent de 17 ans, scolarisée à l'école Ozar Hatorah de Toulouse où Mohamed Merah avait tué en mars trois enfants et un père de famille.
Les deux agresseurs, âgés de 18 ans et d'origine maghrébine, n'ont pas nié l'agression, selon une source proche de l'enquête, mais ont en revanche rejeté toute connotation religieuse.
Une source judiciaire avait évoqué auprès de l'AFP, jeudi soir, des "témoignages contradictoires", avançant prudemment que dans le cadre du début de l'enquête, "le caractère antisémite de l'agression", pourtant avancé par le ministère de l'Intérieur, "n'était pas encore avéré".
"Les faits de violences sont là, par pluralité d'auteurs et dans un moyen de transport, mais il faut continuer à recueillir des témoignages, notamment des passagers de la rame, pour considérer un caractère antisémite", avait précisé jeudi cette source judiciaire.
L'objectif des enquêteurs était donc vendredi de recueillir des témoignages afin de déterminer avec précision les éléments déclencheurs de l'altercation.
Selon l'avocat toulousain de la victime, Me Simon Cohen, interrogé par l'AFP, "il est trop tôt pour présumer de la suite qui sera donnée à l'affaire".
Les suspects pourraient faire l'objet d'une comparution immédiate, voir leur garde à vue levée, ou encore être présentés devant un juge en vue d'une mise en examen pour des faits qui pourraient être aggravés par l'appartenance de la victime à une religion.
Les faits, qui ont déclenché de vives réactions, remontent à mercredi soir, alors que la victime, qui avait terminé son année scolaire à Toulouse après avoir passé son bac de Français, rentrait en train à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon, où réside sa famille.
Selon son témoignage, il a été pris à partie et insulté par l'un de ses agresseurs présumés, alors qu'il téléphonait à son frère, qui a un prénom juif.
Les deux jeunes hommes se sont retrouvés sur la plateforme du wagon où la victime a commencé à être frappée. L'agresseur est alors rejoint par son ami. Durant la bagarre, seul l'un des deux a fait référence à son judaïsme, a relaté la victime.
"Seule l'intervention d'un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", avait précisé le ministère de l'Intérieur.
Les deux hommes de 18 ans, sans casier judiciaire selon une source policière, ont été interpellés jeudi peu après 11H00 dans un bureau de recrutement de l'armée à Lyon et placés en garde à vue.
La victime s'est vu délivrer une interruption temporaire de travail de 10 jours.
"Il est très choqué", a souligné Me Cohen. D'autant que le jeune homme s'est trouvé en première ligne de la tuerie de l'école Ozar Hatorah, le 19 mars, par Mohamed Merah.
"Il a essayé de protéger deux des victimes et a pratiqué le bouche-à-bouche à l'une d'entre elles", a indiqué Me Cohen. "Il a été épargné par chance", a poursuivi l'avocat selon lequel "on a l'impression que se multiplie ce type d'agressions".
Certes, aujourd'hui, le caractère antisémite de cette agression n'est pas avéré. Mais pour l'avocat, en "faire la preuve est très difficile. Mais personne ne peut s'interdire de penser à ça", a-t-il ajouté.
[www.liberation.fr]
Et donc ?
Oui ils l'ont agressé parce qu'il était juif. .Ça t'étonne ? Moi non...
La majorité des maghrébins n'aiment pas les juifs. Et réciproquement.
Ainsi va le monde...
Comment peut-on justifier avec autant de détachement de tels actes !!!???
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coldman a écrit:
Agression d'un jeune juif dans un train: garde à vue des suspects prolongée
La garde à vue des deux agresseurs présumés d'un jeune juif mercredi dans un train entre Toulouse et Lyon a été prolongée vendredi à Lyon, les enquêteurs devant déterminer notamment si cette agression revêt ou non un caractère antisémite.
Jeudi, les deux suspects ont été confrontés à la victime, un adolescent de 17 ans, scolarisée à l'école Ozar Hatorah de Toulouse où Mohamed Merah avait tué en mars trois enfants et un père de famille.
Les deux agresseurs, âgés de 18 ans et d'origine maghrébine, n'ont pas nié l'agression, selon une source proche de l'enquête, mais ont en revanche rejeté toute connotation religieuse.
Une source judiciaire avait évoqué auprès de l'AFP, jeudi soir, des "témoignages contradictoires", avançant prudemment que dans le cadre du début de l'enquête, "le caractère antisémite de l'agression", pourtant avancé par le ministère de l'Intérieur, "n'était pas encore avéré".
"Les faits de violences sont là, par pluralité d'auteurs et dans un moyen de transport, mais il faut continuer à recueillir des témoignages, notamment des passagers de la rame, pour considérer un caractère antisémite", avait précisé jeudi cette source judiciaire.
L'objectif des enquêteurs était donc vendredi de recueillir des témoignages afin de déterminer avec précision les éléments déclencheurs de l'altercation.
Selon l'avocat toulousain de la victime, Me Simon Cohen, interrogé par l'AFP, "il est trop tôt pour présumer de la suite qui sera donnée à l'affaire".
Les suspects pourraient faire l'objet d'une comparution immédiate, voir leur garde à vue levée, ou encore être présentés devant un juge en vue d'une mise en examen pour des faits qui pourraient être aggravés par l'appartenance de la victime à une religion.
Les faits, qui ont déclenché de vives réactions, remontent à mercredi soir, alors que la victime, qui avait terminé son année scolaire à Toulouse après avoir passé son bac de Français, rentrait en train à Villeurbanne, dans la banlieue de Lyon, où réside sa famille.
Selon son témoignage, il a été pris à partie et insulté par l'un de ses agresseurs présumés, alors qu'il téléphonait à son frère, qui a un prénom juif.
Les deux jeunes hommes se sont retrouvés sur la plateforme du wagon où la victime a commencé à être frappée. L'agresseur est alors rejoint par son ami. Durant la bagarre, seul l'un des deux a fait référence à son judaïsme, a relaté la victime.
"Seule l'intervention d'un passager et des contrôleurs de la SNCF a pu mettre un terme aux violences", avait précisé le ministère de l'Intérieur.
Les deux hommes de 18 ans, sans casier judiciaire selon une source policière, ont été interpellés jeudi peu après 11H00 dans un bureau de recrutement de l'armée à Lyon et placés en garde à vue.
La victime s'est vu délivrer une interruption temporaire de travail de 10 jours.
"Il est très choqué", a souligné Me Cohen. D'autant que le jeune homme s'est trouvé en première ligne de la tuerie de l'école Ozar Hatorah, le 19 mars, par Mohamed Merah.
"Il a essayé de protéger deux des victimes et a pratiqué le bouche-à-bouche à l'une d'entre elles", a indiqué Me Cohen. "Il a été épargné par chance", a poursuivi l'avocat selon lequel "on a l'impression que se multiplie ce type d'agressions".
Certes, aujourd'hui, le caractère antisémite de cette agression n'est pas avéré. Mais pour l'avocat, en "faire la preuve est très difficile. Mais personne ne peut s'interdire de penser à ça", a-t-il ajouté.
[www.liberation.fr]
Citation
Melkafr a écrit:
LOI ANTI-SEMITES s appliquent aux gens qui portent atteintent aux sémites
Les juifs sont des sémites donc la loi s'applique
Dans ce meme syllogisme,
les magrebins sont aussi des sémites, doit-on donc appliquer la même loi?
Et par extension, un sémite qui porte atteinte à un autre sémite
Par quelle loi devant t'on les juger?
c'est à dire taper sur les proies faciles, quand on est pas capable d'aller taper sur tsahal on s'attaque aux civils innocents.Citation
Casasurseine a écrit:
Toute cette haine à été provoquée et est alimentée par le sionisme en action!
Il faut y mettre fin rapidement.
Citation
omar625 a écrit:c'est à dire taper sur les proies faciles, quand on est pas capable d'aller taper sur tsahal on s'attaque aux civils innocents.Citation
Casasurseine a écrit:
Toute cette haine à été provoquée et est alimentée par le sionisme en action!
Il faut y mettre fin rapidement.
c'est de la lacheté
Citation
omar625 a écrit:c'est à dire taper sur les proies faciles, quand on est pas capable d'aller taper sur tsahal on s'attaque aux civils innocents.Citation
Casasurseine a écrit:
Toute cette haine à été provoquée et est alimentée par le sionisme en action!
Il faut y mettre fin rapidement.
c'est de la lacheté
Citation
Casasurseine a écrit:
L'identification est loin d'être factice:ils sont humains d'abord puis arabe et musulman comme eux.
C'est largement suffisant.
Il n'y a pas de " judéophobie chez eux, juste un "racisme de guerre"entretenu par les sionistes et leurs soutiens...[/quote
un jeune francais maghrébin a les mêmes préoccupations immédiates et attentes qu'un autre jeune francais.
s'inventer des fréres en indonésie ou au moyen orient, c'est du romantisme à trois balles.
des musulmans victimes d'épuration, il y en a eu en tchetchenie et en bosnie. pourquoi ces conflits n'ont pas été populaires chez les musulims francais. parce qu'à la rigueur, si on suivait ton raisonnement "on aime pas les juifs à cause du conflit palestinien", tu devrais aussi avoir de la rancœur vis à vis des russes et des serbes. et même des chinois en solidarité avec les ouigours.
c'est du n'importe quoi.
Citation
coldman a écrit:Citation
Casasurseine a écrit:
L'identification est loin d'être factice:ils sont humains d'abord puis arabe et musulman comme eux.
C'est largement suffisant.
Il n'y a pas de " judéophobie chez eux, juste un "racisme de guerre"entretenu par les sionistes et leurs soutiens...[/quote
un jeune francais maghrébin a les mêmes préoccupations immédiates et attentes qu'un autre jeune francais.
s'inventer des fréres en indonésie ou au moyen orient, c'est du romantisme à trois balles.
des musulmans victimes d'épuration, il y en a eu en tchetchenie et en bosnie. pourquoi ces conflits n'ont pas été populaires chez les musulims francais. parce qu'à la rigueur, si on suivait ton raisonnement "on aime pas les juifs à cause du conflit palestinien", tu devrais aussi avoir de la rancœur vis à vis des russes et des serbes. et même des chinois en solidarité avec les ouigours.
c'est du n'importe quoi.
et les chretiens s'attaquer aux musulmans pour venger les victimes de bokoharam