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islah a écrit:
euuh
j'ai cru entendre ds une émission que même les humains dégagent une substance semblable aux phéromones qui fait q'elle attirent l'autre sexe
ok j'ai du me tromper mais il y'a un autre article qui parle de çaCitation
ibn hazm a écrit:
Ce que j'adore dans la gente masculine est sa franchise
La gente féminine boute en train quand on met en exergue ses manigances.
Pourquoi s'obstine-t-elle à renier l'évidence de son but attractif.
elle se cachent dans des pseudos raisons futiles pour nous faire ignorer, nous les HOMMES ,que sa recherche d'une bonne odeur n'est aucunement une forme d'attraction masculine mais plutôt ZA3AM une une recherche de bien-être,......mon oeil
Pour SUMI,d'aprés votre apport je ne peux que conclure que l'humain a perdu ses qualités animales pour les ....industrualiser
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islah a écrit:
wa allah yahdikom
j'ai vu un commentaire qui montre clairement que même les humains ont cette possibilité d'emettre des odeurs attrayante secrétée par des organismes
cété prouvé scientifiquement et ca n a rien avoir avec les parfums industrialisés
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sumi a écrit:
Les phéromones humaines [modifier]
Chez l'homme, les phéromones peuvent être sécrétées dans la sueur apocrine axillaire et périnéale (androstène et androsténol) et dans la partie prostatique du sperme (spermine et spermidine).
Chez la femme, les phéromones peuvent être sécrétées dans la sueur apocrine axillaire, mamelonnaire et périnéale, et dans les sécrétions vaginales produite par les glandes atriales et de Skene (chaînes courtes d'acide gras).
Dans l'espèce humaine, les effets les plus significatifs des phéromones sont physiologiques, comme par exemple la synchronisation des cycles menstruels des femmes qui vivent en communauté (Weller 1993).
On observe également quelques effets émotionnels, mais quasi aucun effet comportemental. Par exemple, par rapport à la sexualité, aucune des molécules testées n'a induit ou déclenché un comportement sexuel. Les résultats les plus intéressants concernent l’exposition aux androgènes, mais avec des résultats extrêmement contradictoires. On a ainsi montré que l'exposition expérimentale à l'androsténol augmente chez les femmes la durée de leur contact social avec les hommes (Cowley 1991). La molécule ne provoque pas le comportement de reproduction, mais elle permet de l'initier en favorisant le rapprochement hétérosexuel. Mais d'autres expériences ont montré que l'androsténone induit au contraire, chez les femmes, des réactions émotionnelles négatives envers les hommes (Filsinger 1985), que les hommes produisent simultanément les deux molécules, et que l'effet olfactif de l'androsténone est plus fort que celui de l'androsténol (Maiworm 1990) : l'effet global, en situation "naturelle", devrait alors être répulsif.
En conclusion, l'effet des phéromones est faible dans l'espèce humaine, et il est surtout physiologique.
Chez les mammifères, la diminution de l'importance des phéromones depuis les rongeurs jusqu'à l'Homme est cohérente avec la réalité neuroanatomique : chez les rongeurs, les structures olfactives représentent un tiers du cerveau, tandis que, chez l'Homme, elles ne représentent plus que quelques pourcents ; les trois quarts du cerveau humain étant dédiés aux fonctions cognitives.
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arhaye a écrit:
il fallait le dire avant plus besoin de parler maintenant il faut aller sentir directement
c est du n importe quoi
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ibn hazm a écrit:
Aujourd'hui on va traiter comment les femmes,surtout utilisent le parfums pour attirer les hommes.
Je sais que des signaux extèrieurs peuvent exprimer ce désir, tels le maquillage, une sorte de déhanchement, une voix suave...un comportement typiquement animal
Mais le parfum reste l'handicap humain devant l'animal.
Je m'explique tous les animaux utilisent des phéromones pour communiquer sauf l'homme dont la femme est obligé d'utiliser un parfum pour sa communication.
A vous la gente feminine
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ibn hazm a écrit:Citation
sumi a écrit:
Les phéromones humaines [modifier]
Chez l'homme, les phéromones peuvent être sécrétées dans la sueur apocrine axillaire et périnéale (androstène et androsténol) et dans la partie prostatique du sperme (spermine et spermidine).
Chez la femme, les phéromones peuvent être sécrétées dans la sueur apocrine axillaire, mamelonnaire et périnéale, et dans les sécrétions vaginales produite par les glandes atriales et de Skene (chaînes courtes d'acide gras).
Dans l'espèce humaine, les effets les plus significatifs des phéromones sont physiologiques, comme par exemple la synchronisation des cycles menstruels des femmes qui vivent en communauté (Weller 1993).
On observe également quelques effets émotionnels, mais quasi aucun effet comportemental. Par exemple, par rapport à la sexualité, aucune des molécules testées n'a induit ou déclenché un comportement sexuel. Les résultats les plus intéressants concernent l’exposition aux androgènes, mais avec des résultats extrêmement contradictoires. On a ainsi montré que l'exposition expérimentale à l'androsténol augmente chez les femmes la durée de leur contact social avec les hommes (Cowley 1991). La molécule ne provoque pas le comportement de reproduction, mais elle permet de l'initier en favorisant le rapprochement hétérosexuel. Mais d'autres expériences ont montré que l'androsténone induit au contraire, chez les femmes, des réactions émotionnelles négatives envers les hommes (Filsinger 1985), que les hommes produisent simultanément les deux molécules, et que l'effet olfactif de l'androsténone est plus fort que celui de l'androsténol (Maiworm 1990) : l'effet global, en situation "naturelle", devrait alors être répulsif.
En conclusion, l'effet des phéromones est faible dans l'espèce humaine, et il est surtout physiologique.
Chez les mammifères, la diminution de l'importance des phéromones depuis les rongeurs jusqu'à l'Homme est cohérente avec la réalité neuroanatomique : chez les rongeurs, les structures olfactives représentent un tiers du cerveau, tandis que, chez l'Homme, elles ne représentent plus que quelques pourcents ; les trois quarts du cerveau humain étant dédiés aux fonctions cognitives.
J'ai lu votre "article" ma chère sumi mais le gros pervers (je n'ai pu m'en empècher,vous permettez!!!), avait bien souligné notre comportement animal; or dans votre apport les études se sont fait sur un Homme moderne(masculin et féminin) en notant la déclinisant des phéronomes chez ce dernier;
d'où mon approche sur une industrialisant de ces phéronomes à travers le PARFUM.