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L'arnaqueur du XXIe siècle
s
16 décembre 2008 21:16
Le Monde.fr

JÉRUSALEM CORRESPONDANT

Il est trop tôt pour connaître l'impact du scandale Madoff. Non seulement sur les établissements financiers israéliens qui ont fait confiance à celui que l'on appelle déjà "l'arnaqueur du XXIe siècle", mais aussi sur les nombreuses sociétés philanthropiques juives qui lui ont confié leurs fonds, et sur les investisseurs privés juifs américains ou israéliens qui ont été attirés par des rendements mirobolants.

Ce qui est sûr en revanche, c'est que deux sociétés d'entraide juive ont été contraintes de mettre la clef sous la porte. La Chais Family Foundation, basée en Californie, qui donne chaque année environ 12,5 millions de dollars (9,1 millions d'euros) à des oeuvres juives, a fermé ses portes et congédié ses cinq salariés. "L'ensemble du fonds a été investi par l'intermédiaire de M. Madoff et, par conséquent, le fonds a été perdu dans sa totalité", a dit à Reuters le président de la fondation, Avraham Infeld.

A Boston (Massachusetts), la Robert I. Lappin Charitable Foundation, qui finançait des voyages pour de jeunes juifs en Israël, a déposé le bilan après l'écroulement de la Bernard Madoff Investment Securities (BMIS), qui lui a fait perdre 7 millions de dollars. Ses sept salariés ont été licenciés. "Je suis choquée", a déclaré Deborah Colti, sa directrice générale, à l'agence Bloomberg. Enfin, la fondation JEHT, qui soutient une réforme du système pénal pour les mineurs, a annoncé qu'elle disparaîtrait le mois prochain car ses donateurs Jeanne Levy-Church et Kenneth Levy-Church ont investi dans des sociétés Madoff.


LIENS ÉTROITS


Cette gigantesque fraude de 50 milliards de dollars n'a pas fini de faire des dégâts dans la communauté juive américaine, mais aussi en Israël, où plusieurs sociétés ont investi massivement dans la pyramide montée par Bernard Madoff. Plusieurs firmes d'assurance comme Harel, Clal et Phoenix se retrouvent directement exposées par l'écroulement de cette fiction financière.

Les importants profits de cette société ont attiré nombre d'investisseurs qui, comme le dit le journal Haaretz, "ne cherchaient pas plus loin tant que les bénéfices rentraient, même si certains avaient quelques doutes sur les pratiques financières de M. Madoff".

En Israël, les répercussions seront sans doute importantes en raison des dons fournis par les sociétés philanthropiques à de multiples institutions du pays. Il n'y a pas une rue, un parc ou un bâtiment qui n'ait sa plaque de remerciements avec les noms de généreux donateurs, pour la plupart américains.

La communauté juive américaine, forte de 5,5 millions de personnes, est la plus importante au monde après celle d'Israël et que les liens entre les deux pays sont étroits. A Jérusalem aussi, le scandale Madoff n'en est qu'à ses débuts.


Michel Bôle-Richard
s
16 décembre 2008 21:23
L'homme de confiance de la communauté juive


LE MONDE | 16.12.08 |

NEW YORK CORRESPONDANT

Dans la communauté juive new-yorkaise, la dernière histoire qui court sur Bernard Madoff, qui était à tu et à toi avec les dirigeants du judaïsme américain, est empreinte d'amertume. Il y avait un surnom : "the Jewish bond", "l'obligation juive" (jeu de mots avec bond signifiant aussi le lien). Contrairement aux célèbres "junk bonds", cette obligation-là n'était pas "pourrie", mais symbole de fraternité.

La preuve, dit-on aujourd'hui : quitte à gruger son monde, "Bernie" a d'abord visé ceux qui lui étaient proches. Sa manière à lui de rester honnête... Peu disert sur ses opérations, M. Madoff était un "makher", un faiseur d'affaires qui, avec de nombreux juifs américains fortunés, fonctionnait à l'affect, dans une relation où la parole donnée avait plus de valeur qu'une signature. "Tope là", et pas trop de traces.

Les noms de ceux qui lui ont confié leur portefeuille rempliraient un petit bottin mondain de la communauté. On y retrouve la Fondation Elie Wiesel pour l'humanité, de même que Wunderkinder, la fondation du réalisateur Steven Spielberg, ou encore celle du sénateur du New Jersey, Frank Lautenberg. Y figurent aussi le milliardaire Ira Rennert, patron de la holding financière Renco ; le magnat de l'immobilier et des médias Mort Zuckerman ; la famille Goldberg, ex-propriétaire de la chaîne de supermarchés Stop and Shop ; Carl Shapiro, fondateur de l'entreprise textile Kay Windsor, et son beau-fils, le philanthrope Robert Jaffe ; Norman Braman, l'un des premiers concessionnaires automobiles des Etats-Unis ; les entrepreneurs immobiliers Fred Wilpon et Saul Katz, copropriétaires de l'équipe de base-ball des New York Mets ; Leonard Feinstein, fondateur de la chaîne de matériel domestique Bed Bath & Beyond ; ou le producteur hollywoodien Sam Englebardt. Liste non exhaustive.

Nombre d'avocats d'affaires juifs new-yorkais dirigeaient vers lui leurs clients. "Tous les gros divorces qui arrivaient chez moi avaient des portefeuilles chez Madoff", a reconnu l'avocat Jeff Fischer, très introduit dans la communauté juive en Floride. "N'importe qui peut se faire voler. Mais l'arnaque de Madoff est bien pire, parce qu'il était l'un d'entre eux", explique au New York Times Laurence Leamer, auteur d'un ouvrage à paraître sur les juifs de Palm Beach.

Désormais, le "courtier éthique" qui faisait profiter ses amis juifs de placements supposés fructueux a un nouveau surnom : "Bernie made off". Traduction : celui qui "s'est tiré avec" ce qu'il a empoché.


Sylvain Cypel
a
17 décembre 2008 11:28
salam tlm

Le juifiste madoff a frappé ,il y a quand meme une justice dans cette escroquerie ,ils se sont volé entre
eux.
contrairement aux vol des terres Palestiniennes
Un conseil aux noirs Us si vous vous investissez dans le vol ,volé tres gros ,vous ne risquerez pas grand chose, le juifiste madoff s'en est sortie avec une amende de 10 millions de dollars pour un vol de 50 milliards de dollars.
i
17 décembre 2008 11:31
et 20 ans de prison minimum!
S
17 décembre 2008 11:43
L'homme de confiance de la communauté juive qui à entourloupé sa communauté pour se remplir les poches et bien je vais vous dire fanchement, que je me réjouis de cette bonne nouvelle...
t
19 décembre 2008 15:25
c´ est vraiment l´arnaque du siècle.
19 décembre 2008 17:19
et evidement tous ca c'est pas perdu pour tout le monde.
Je suis sur que personne ne veux savoir ou tout cette argent est partit......... suivez mon regard
Il y a la liberté d'expression mais il y a plus de liberté apres l'expression
a
22 décembre 2008 18:04
salam

toujour a propos du juifiste madoff lu sur le site Lepostinfo

Bernard Madoff est l’ex-président du Nasdaq ( la bourse des nouvelles technologie), auteur d’une escroquerie pyramidale qui représente un vol de 50 milliards de dollars.



Voler 50 milliards de dollars est très difficile, car cette somme est d’un ordre de grandeur macroéconomique. C’est plus que l’aide du gouvernement US à la reconversion de l’industrie automobile. C’est énormément plus que le coût de la reconstruction du World Trade Center. C’est le montant d’un dommage de guerre, qui ne peut transiter que sur des comptes spéciaux dévolus à ce genre de grosses transactions.



Le déclin de l’industrie automobile va sinistrer des régions entières plongées dans le chômage. Des millions de gens vont connaître la pauvreté la plus cruelle, la malnutrition, la pauvreté, la maladie, la mort misérable. Cette escroquerie fait plus de morts qu’un attentat terroriste comme celui du World Trade Center. En terme de destruction de richesse, il représente le coût d’une attaque atomique ou aux gaz toxiques.



La question se pose : Bernard Madoff travaillerait t-il pour Oussama Ben Laden, et a t-il exécuté une des plus sinistres prédictions du chef terroriste : mettre à genoux l’infâme Satan lors du combat d’Armageddon, d’ou émergera dans sa gloire terrestre le Peuple choisi pour le Paradis ?



Un indice venu d’Israël, Terre Promise aux Elus du Seigneurs, nous fournit un élément de réponse :



[www.haaretz.com]



Nous y apprenons que les principales victimes de l’escroc étaient des associations caritatives juives, et Israël pleure leur détresse. Ces associations furent, à l’origine, alimentées par les dommages de guerre de la Shoah. Ce sont des circuits financiers anciens et occultes qui doublent le circuit officiel des associations caritatives, dont les rouages étaient connus du seul Président du Congrés Juif Mondial. L’immonde créature d’Al Quaïda s'y ’introduisit pour en pénétrer les secrets et détourner les fonds vers le terrorisme anti-occidental.



Israël pleure des victimes juives de l’immonde individu qui ravage l’économie américaine. Celui-ci est un Grand Terroriste, branche financière d’Al Quaïda, le redoutable réseau capable des pires ruses pour escroquer d’innocents caritatifs juifs. Les larmes d’Israël sur les victimes juives de Bernard Madoff émeuvent les associations caritatives juives du monde entier, qui font affluer des fonds aux victimes juives de l’immonde individu. Cet argent là ne vient pas des canaux occultes du terrorisme : c’est de l’argent propre venu d’Israël, pour aider les frères dans la misère. Ainsi les victimes juives de Bernie n’auront rien perdu dans l’affaire. Seuls les goys boys, les bons américains de souche auront été lessivés. Le Bernie était un investissement sans risque pour les Juifs, prêt garanti par l’aide aux victimes assurée par Israël. L’aide aux victimes du Terrorisme financier constitue un canal propre de blanchiment d’argent sioniste.



Par qui avaient donc été bernés les bons américains de souche ? C’est la découverte du Mossad, un des services secrets les mieux informés du monde.



« Bernie » avait été retourné par Oussama : ses fonds secrets alimentaient Al Quaïda, assure le Mossad à la CIA, qui en informe Oubama.



- C’en est trop, encore Al Quaïda ! l’affaire Madoff est la goutte d’eau qui fait déborder le vase ! décide le Président, dont le nègre est sioniste.

- Il faut bombarder l’Iran avant que l’Iran ne nous attaque, comme nous en prévient Haaretz, suggère le nègre.


la suite ici [www.lepost.fr]
a
23 décembre 2008 21:34
salam

Aprés l'arnaque premier mort du juifiste madoff



PARIS (Reuters) - Thierry Magon de la Villehuchet, cofondateur d'Access International, une société qui a levé des fonds en Europe pour les investir chez bernard madoff, s'est suicidé mardi à New York, annonce La Tribune.

pas de violence ni de haine seulement, la justice

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